Pour ce qui est de l’intime il est souvent plus d

Récit érotique écrit le 17-01-2008
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Catégorie Partouzes-Orgies


Pour ce qui est de l’intime, il est souvent plus difficile de parler de soi plutôt que de puiser dans son imaginaire.

Cependant, la tentation de partager ces moments savoureux l’a emportée… Nous vous livrons, pour commencer, nos souvenirs de la première soirée coquine à trois que nous avons vécu…

Nous attendions Nicolas d’une minute à l’autre. Après avoir fait sa connaissance sur Internet (il avait répondu à notre petite annonce), nous avions entretenu une correspondance soutenue. Nous avions pu ainsi, en quelques semaines, faire un peu connaissance et échanger quelques photos. Il semblait intelligent, gentil, et plutôt beau garçon… Ces écrits, souvent fantasques, nous avaient considérablement émoustillés… Nous étions tout excités, et, à vrai dire, un peu apeurés.

Toi, tu étais splendide. Après de grandes réflexions, tu avais opté pour une jolie robe dont la longueur nous ferait aujourd’hui sourire (presque jusqu’au genou !).

Il a sonné à notre porte. J’ouvrais, et, alors que je le saluais, il te vit descendre notre escalier. Tous deux étiez visiblement troublé. Il te fit une bise et nous échangeâmes quelques paroles pleines de confusion.

Nous nous sommes installés au salon, pour prendre l’apéritif. La discussion se poursuivait, détaillant un peu plus ce qu’étaient nos vies respectives. Nous étions tous les trois fort réservés, et le trouble était palpable. Comment fallait-il s’y prendre en pareille situation ? Alors que nous discutions, lui et moi n’avions d’yeux que pour toi. Il effleura ta jambe. Ce geste me ravit au plus haut point. Qu’on puisse te toucher sensuellement devant moi était un délice que je découvrais ce soir-là…

Je me plaisais à imaginer ce que tu ressentais. Est-ce que tu réalisais que l’homme avec lequel nous discutions en ce moment allait, tout à l’heure, te faire l’amour ? Qu’avais-tu éprouvé lorsqu’il t’avait caressé la jambe ? Que ressentais-tu à être regardée par deux hommes qui te désiraient ardemment ? C’était un peu comme si je revivais nos premiers jeux de séduction, l’émotion de nos premiers moments…

Son geste, bref et discret, ne se reproduit pas tout de suite. Je commençais à caresser doucement ton épaule, puis, dégageant un peu ton gilet, la base de ton cou et la naissance de ton sein. Il posa aussi sa main sur toi, et fit glisser légèrement la bretelle de ta robe.

Toute confuse, tu nous invitas, dans un sourire, à aller manger. Cette esquive nous amusa. A table, malgré d’imposants préparatifs, personne ne mangea beaucoup. Nous te regardions toujours avec gourmandise. Tu en étais sans doute un peu gênée. Le repas pris rapidement fin.

Nous étions toujours dans l’hésitation, personne n’osant prendre d’initiative.

Tout à coup, je vous proposais de prendre le café au salon. Je me levais, et, sans attendre ton avis, je te tirais par la main, t’incitant à te lever à ton tour.

Je te sentais hésitante. J’imaginais que tu pressentais le moment proche, j’imaginais l’anxiété mêlée de désir…

Vous vous êtes levés. Mais, alors que vous alliez prendre la direction du canapé, je te retenais près de moi. Mes bras t’enlacèrent, ma bouche se posa sur la tienne. Nicolas restait immobile, puis s’approcha un peu plus.

Ton gilet tomba au sol. En t’embrassant, je tendais la main vers lui, en guise d’invitation à nous rejoindre. Il se colla à toi, posant les mains sur tes hanches.

Tu fermais les yeux. Posant à mon tour mes mains sur ta taille, je te faisais te retourner vers lui. Tes bras se glissèrent autour de son cou, puis ses lèvres se posèrent sur les tiennes. Je vous regardais, te caressant le dos, les cheveux. Tu étais magnifique, savourant ce baiser avec émotion.

Alors que vous vous embrassiez, je te débarrassais de ton soutien gorge, et me mettant a genou, je fis glisser ta culotte sur tes chevilles. Tu t’en dégageais très vite.

Déjà, Nicolas caressait tes seins partiellement dénudés.

Tu rouvris les yeux, et, te dégageant un peu de notre étreinte, tu réajustais sommairement ta robe. Tu nous entraînas alors, en souriant, jusqu'à la chambre.

Arrivés en haut, nos mains se posèrent de nouveau sur toi. Tu refermais les yeux alors que, tout en te caressant, nous nous étendions avec toi sur le lit.

Alors que nos bouches te couvraient de baisers, nous dégagions les bretelles de ta robe. Nos lèvres se posèrent sur tes seins, alors même que nous remontions tes cuisses, soulevant ta robe jusqu’à la taille. Ma main, succédant à celle de Nicolas, trouvait ta chatte démesurément mouillée.

Restant à moitié habillée, tu pris l’initiative de nous aider à nous dévêtir. Tu t’installais au bord du lit. Nicolas, à demi étendu, était devant toi, ne portant plus qu’un slip. Je te regardais avec tendresse déposer un baiser sur son ventre, et poser ta main sur son membre gonflé au travers du tissu. Tu devais être bien troublée de cette situation. Tu baissas doucement son sous-vêtement, libérant sa bite devant ton visage. Tu y déposas un baiser.

Puis un autre. Tes mains le saisirent. Je te voyais là, devant moi, sensuelle et coquine, le faire lentement pénétrer dans ta bouche. Tu le suçais quelques instants avant de te tourner vers moi. Tu me pris aussi entre tes lèvres.

Nous t’avons attirée plus près de nous sur le lit. Nicolas, après de longues caresses, descendit entre tes cuisses et se mit à te lécher. Tu continuais à me sucer, étendue sur le dos, jambes écartées, gémissant doucement. Je tendais un préservatif à notre partenaire. Bientôt, il se redressa et avança entre tes jambes. Je me reculais un peu, sortant de ta bouche, pour mieux te regarder. Toute innocente, le visage angélique, les mains de part et d’autre de ton visage, tu étais là, passive, regardant celui qui allait te prendre. A genoux, il guida son dard d’une main jusqu'au tien. Puis, s’allongeant un peu plus sur toi, il t’embrassa. Il se rapprocha de toi lentement. Plus il s’enfonçait en toi, plus tes jambes se relevaient, se refermant sur son bassin. Je te contemplais alors qu’il commençait à marquer de petits vas et viens. Tu semblais savourer cet instant. Tes gémissements reprirent. Je caressais tes seins, ton visage, souriant de ton plaisir. Lui gémissait aussi. J’aimais être, à ce moment-là, votre spectateur.

Mon ange, si jolie, en train de se faire sauter, aimer ça, jouer la petite salope… Vos langues se mêlaient parfois, sans que ses mouvements ne s’interrompent. Il jouit « discrètement » et ne se retira de toi qu’après quelques instants. Avais-tu conscience de ton pouvoir à nous offrir tant de plaisir ?

Nous te caressions toujours. Je te pénétrais à mon tour. Saisissant tes chevilles, je les levais à hauteur de mes épaules, puis je te prenais tout doucement. Tu étais très belle. Tes seins ballottaient à chacun de mes coups, alors que tu embrassais Nicolas. Il se « rétablit » vite puisque, après quelques minutes, il se trouvait de nouveau dans ta bouche. Il était terriblement excitant de voir ton joli visage, ta bouche grande ouverte, ce sexe tendu aller et venir entre tes lèvres. Alors que tu le suçais, je sortais de toi pour te lécher. Deux doigts dans ton vagin, je promenais ma langue sur ton clitoris. Tu gémissais de plus en plus. Mon autre main me permit de caresser délicatement ton anus. Un doigt s’y glissa. Tu étais sans doute prête à jouir. Tes petits cris étaient irrésistible. Nicolas, dans ta bouche, semblait y être sensible, lui aussi. Je relevais la tête un instant, le voyant sur le coté, t’offrant son membre tout en tenant doucement ta tête. Son bassin marquait des vas et viens rapide. Je poursuivais mes caresses. Vous gémissiez tous deux maintenant très fort. Tout à coup, tu cessas de gémir.

Je t’entendis déglutir. Puis déglutir encore. Je te regardais, tenant son chibre d’une main. Je pensais au sperme qui s’était rependu dans ta bouche, à l’effet que cela pouvait te faire.

Je continuais à te lécher. Dès lors, il ne fallut que quelques instants pour te faire jouir. Laissant notre camarade se remettre de ses émotions, je me redressais, me préparant à te prendre. Tu ne fus pas surprise lorsque, profitant de tes jambes relevées, j’appuyais ma queue sur ton anus. Je m’enfonçais doucement. Un peu d’abord, puis plus profondément. Je te baisais comme ça un petit moment, Nicolas te caressant, glissant ses doigts dans ta chatte.

Par la suite, tu t’installas sur lui, et, te laissant caresser, tu te mis à bouger sur sa queue. Quelques minutes après, te couchant sur son torse, tu me laissas prendre de nouveau ton cul. Deux bites pour toi, en même temps. Nous restions quelques instants dans cette position, bougeant doucement en toi. Mais cette « nouveauté » fut brève et laissa la place à un nouvel assaut de Nicolas qui te prit encore comme la première fois, allongée sur le dos. Son endurance nous impressionnait. Il jouit encore en toi.

Je te pris moi aussi. Sur excité, je m’abandonnais à mon tour, jouissant dans ton cul, un peu plus bruyamment que notre ami… Épuisés, heureux, nous nous sommes endormis tous les trois dans notre « lit conjugal ». J’étais comblé. Fier de toi, de nous. Quelle chance de vivre avec toi, quelle chance de partager ça. Quel bonheur de tordre le cou aux conventions, d’écouter nos désirs. Quelle valeur ajoutée à notre amour ! Au réveil, nous n’avons pas pu nous empêcher de te prendre de nouveau.

Puis Nicolas repris sa route, nous laissant à notre bonheur.

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17-01-2008 0 5569

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