Pauvre Georges

Récit érotique écrit par mazaudier le 21-10-2012
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Catégorie Sadomazo

Georges, trente ans, un colosse de un mètre quatre vingt, quatre vingt dix kilos, rentre d’une mission au Kossovo. Il est accueilli par Valérie, sa jeune et ravissante épouse âgée de vingt deux ans, autant dire, à la fleur de l’âge. Le couple vit chez Odette, la mère de Valérie, âgée de cinquante ans. Le courant passe très mal entre Georges et sa belle mère. Celle-ci la même mit en grade.                                                                  Depuis quelques temps, un couple de maghrébin, d’une cinquantaine d’années, est venu s’installé à la maison d’à côté. Valérie a vite sympathisé avec les nouveaux voisins, a tel point, que quand Georges était absent, il n’était pas rare qu’elle aille passer une nuit chez eux, pour faire baiser par l’arabe, avec l’accord.   Odette entendait sa fille hurlait de plaisir, et jubilait, heureuse de savoir son gendre cocu.

Un jour, en sortant de la douche, entend une conversation entre Valérie et sa belle mère, concernant se escapades nocturnes. Son sang ne fait qu’un tour.                                                                                                   « Quoi, rugit-il, je vais lui dire deux à ce sale arabe, tu va voir la rouste que je vais lui mettre ».                                                                                                Georges attend que son épouse soit partie aux courses, et se rend chez les voisins, simplement vêtu d’un slip de bain. S’engage alors une vive altercation. Les cris, les insultes fusent. Le maghrébin traitant Georges de cocu, d’incapable au lit, de ne rein avoir entre les jambes. Ce qui n’est pas totalement faux, car si Georges est tailler en athlète, faut reconnaitre que du côté sexe, il n’a pas été aidé par la nature.                                                                                                    Non seulement le ton monte, mais les deux hommes en viennent aux mains. De la fenêtre restée ouverte, Odette entend tout.                                                                                                                                                   »Non…non, cri Georges…ne quitte pas mon slip…aie…aie…pas mes glaouis…aie…salaud…ne me met pas un doigt au cul…ha… »                                                                                                                                               « C’est ma bite que tu vas avoir, connard…c’est quoi ce zob…c’est avec ça que tu baise ta femme…je comprends qu’elle se régale quand je la nique…Malika…viens voir qui est là…»                                                                A entendre les cris  de Georges, Odette s’imagine la scène. Et elle n’est pas déçue.                                         « Non Madame…s’il vous plait…pas ça…vous savez que les hommes n’aiment pas quand une femme les attrape par les couilles…ahou…ahou…ça fait mal…non…qu’est-ce-que vous faites à mon fifre… »                                  »Je te le décalotte, répond la maghrébine, tu n’aimes pas…tu vas voir, je vais te mettre le bout tout rouge »                                     Pendant cet intermède, Djamel en a profiter pour se mettre à poils. Il saisit Georges par les hanches, le soulève, et l’empale sur sa bite en érection. Odette entend un cri de bête blessée. Son gendre est en train de se faire enculer par l’amant de sa femme. La scène se reproduit à plusieurs reprises.                                          » Assez…assez…ça fait trois fois que tu m’encules…d’accord…tu pourras la niquer quand tu veux ma femme…mai arrête…s’il te plait »                                                                                                                              En effet, Georges va se faire sodomiser tout l’après midi. Un coup dans le garage, un coup en levrette sur la pelouse, en fourcher sur le corps allongé de son rival, qui lui tire les mamelons. Le maghrébin joue avec lui, lui gratte violemment les couilles, jusqu’à le faire couiner, lui branle la queue entièrement décalottée, en  pleine érection. Pour finir, il va même se faire tailler une pipe.                                                                               Soudain, plus rien. Odette se dirige vers la porte, l’ouvre. Elle met sa main devant sa bouche pour ne pas éclater de rire. Son gendre est là, sur le seuil, plié en deux dans une brouette, dans une position plutôt inconfortable. Le maghrébin lui a replié les jambes sur les épaules, et les a ficelés autour du torse. Tant est si bien, qu’au bas du ventre, les couilles sont exposées tel un fruit prêt à être cueilli, et Odette va le cueillir. Elle saisit un à un les testicules qu’elle vrille, comme si elle arracher un fruit. En fait, ce sont les cris de douleurs de son genre qu’elle arrache.                                                                                                                        « Ben dis dont, sourit-elle, ils sont bien accrochés…on va voir si ton petit sifflet est aussi accroché, tu veux… ? Attend, je vais bien te le décalotter…voilà…ton petit gland est tout nu...je vais bien te branler…tu vas voir comme belle maman va faire cracher ta petite nouille…                                                                 Odette va s’amuser avec son gendre, faisant rouler les testicules entre ses doigts, les pincer pour le faire couiner, jusqu’aux larmes. Dans cette position, le petit trou est à porté de doigts. Odette en enfonce deux. Jugeant enfin que sa victime en avait assez, elle la libère. Tout en le maintenant par les couilles, elle le traine jusqu’à la salle de bain pour le laver…au gant de crin. Georges hurle de plaisir quand sa belle mère lui lave les noisettes qui rougissent sous le traitement. Il hurle encore plus quand elle frotte violemment le gland décalotté, jusqu’à ce qu’il soit rouge sang. Georges est soumis supplie, pleure comme un gamin. Sa belle mère l’oblige à rester nu pour qu’elle puisse lui prendre les couilles et le zob quand elle le désire. Certains après-midi, Odette emmène son gendre chez le voisin, en le tirant par le fifre. Là, pendant qu’elle prend le café avec Malika, son mari encule Georges pendant des heures.                              


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