Une nuit érotique

Récit érotique écrit par mazaudier le 01-12-2012
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Catégorie Lesbiennes

Cet été, Anne-Lise et Laurent passent leurs vacances en camping en bord de mer, sur la côte d’Azur. Anne-Lise est une superbe femme au corps magnifique. Ils sont âgés de vingt quatre ans. Leur mobil home, est en face celui d’un couple d’italiens, dont la fille, Francesca, est d’une beauté à couper le souffle. Cheveux noirs, yeux bleus acier, l’air coquin. Luigi, son copain, est lui très séduisant, beau comme un dieu. Les couples sympathisent vite, s’invitent à l’apéro, ou au dessert. Le couple transalpin flashe vite sur la belle Anne-Lise, qu’ils sentent faible, surtout Francesca. La petite française se sent mal à l’aise, évite leurs regards qui la déshabillent. Le deuxième soir, les deux hommes prévoient une sortie nocturne en bateau, pour faire une partie de pèche. Départ, dix huit heures, rentrée, le lendemain dix heures.

-Si vous voulez, dit Francesca, on s’organisera une soirée entre filles…N’est-ce- pas Anne-Lise. Il y a une boite tout près, le « Bar Live », on pourrait y aller prendre un verre.

-Ben…pourquoi pas, répond Anne-lise du bout des lèvres.

C’est l’été, il fait très chaud. Les tenues vestimentaires sont réduites au strict minimum. Anne-Lise opte pour une extra mini jupe et d’un chemisier, Francesca d’un short moulant et d’un ample caraco.  Les deux femmes sont au bar, assises sur de hauts tabourets, jambes croisées en train de siroter un wiski. La mini jupe d’Anne-Lise remonte sur ses cuisses, attire les regards. Francesca fixe sa copine, la sent mal à l’aise.

-Pourquoi me regardes-tu comme ça, demande Anne lise troublée…à quoi penses-tu ?

-Un fantasme ma chérie, sourit Francesca. J’imagine ma main glisser entre tes jambes écartées, et caresser ta petite chatte.

-Quoi…mais jamais de la vie…tu n’y pense pas…je ne suis pas une gouine…

Une heure plus tard, si les wiskis de Francesca finissent dans l’évier ou dans les pots de fleurs, ceux d’Anne-Lise vont bien dans son gosier. Elle se laisse aller au gré des invitations à boire. Dans la vapeur de l’alcool, elle ne se rend même pas compte que Francesca, d’un geste malicieux, lui a ôté sa culotte, et remonté sa jupe sur les hanches. Les gens qui passent près du bar rient, certains prennent le risque de glisser un doigt. Anne-Lise n’est pas farouche, écarte les jambes pour mieux s’offrir aux caresses. Francesca juge la situation obscène, ne tient pas que sa copine se donne à n’importe qui. Elle la veut pour elle. Elle l’emmène aux toilettes, la met toute nue, et la passe sous l’eau pour la rafraichir. Anne-Lise suffoque au contact de l’eau. 

-Mais tu es folle, bégaie Anne-Lise, ça va pas.

-Rentrons, dit Francesca, il est près d’une heure, on va passer par le bord de plage, ça te réveilleras.

L’air fait le plus grand bien à Anne-Lise, qui, petit à petit retrouve sa lucidité. Francesca la tient par la taille, veut que la jeune femme se donne à elle, en pleine possession de ses moyens.

-Et si on prenait un bain, propose-t-elle…à poils…mais…ou est passé mon string…quelqu’un me l’a volé…

-A bon, ce n’est pas grave ma chérie, sourit Francesca, tu n’en as plus besoin…allez, viens…

A peine arrivé dans l’eau, Francesca enroule ses bras autour de la taille d’Anne-Lise. Ses mains courent sur le corps totalement dénudé, caressent  les parties intimes. Anne-Lise, qui a retrouvé ses esprits, roucoule de plaisir. Elle s’écarte pour que les doigts pénètrent sa chatte, lui doigte le clitoris entièrement décalotté.

-Ha…oh non…salope…tu me grattes la chatte là…tu me doigte le bouton…hou…hou…tant pis…branle moi, fais moi jouir…hou…hou…mon mari sait pas me caresser comme ça…oh putain…comme tu me clites…

-Te retiens pas ma chérie, dit Francesca, crache…c’est bon hein…tu le bouge ton cul…petite salope, j’étais sure que tu aimais ça…

Les corps enlacés roulent sur la plage. Les doigts de la belle italienne ne quittent la chatte de la jeune française, qui hurle de plaisir. Le corps d’Anne-Lise ressemble à une anguille qui serpente sur le sable. Il est quatre heures du matin quand elle atteint son troisième orgasme. Francesca continue à la caresser, l’intérieur des cuisses, la fente dégoulinante de cyprine, le ventre, le bout des seins tendus par le désir. Elle lui prend les lèvres pour un interminable baiser. Anne-Lise répond aux attentes de Francesca.

-Tu m’as rendu heureuse, soupire Anne-Lise, j’aurai jamais cru faire l’amour avec une femme, et surtout, que ça me plaise autant…j’ai rarement joui comme ça. Et toi, dis moi, tu t’es régalé de me voir jouir…ce n’est pas la première fois que tu t’amuses avec une femme…as-tu une préférence…

-J’aime bien les petites françaises, je trouve qu’elles sont chaudes. Chaque fois que je suis de passage  en France, je m’en tape une. Les italiennes aiment bien s’amuser avec elles. Ce sont de vraies joueuses, ont fait ce que l’on veut avec, surtout les femmes mariées insatisfaites, en manque de caresses.

-Tu as du en choper des femmes, demande Anne-Lise, tu n’es jamais tombé sur plus vicieuse que toi...

-Oh que si, avoue Francesca. C’était lors d’une croisière. Je me suis fait maquer par une jeune coréenne. Pendant trois nuits, elle m’a doigtée, branlée, enculée. Je ne réagissais pas, j’étais paralysée, envoutée par cette superbe fille. Plus j’étais épuisée, plus elle me donnait. Une vraie dominatrice. Je lui obéissais aux doigts et à l’œil. Surtout aux doigts. Je n’ai pas compté les orgasmes que j’ai eus, je n’avais jamais joui comme ça auparavant.

-Rentrons, propose Anne-Lise, nos mari ne vont pas renter avant dix heures, on a du temps devant nous. J’aimerai tant de caresser moi aussi, te faire jouir.

Les ébats se passent dans le mobil home de Francesca. Les deux femmes s’étreignent dans de longs gémissements de plaisir. Mais Anne-Lise, en manque d’expérience, succombe à plusieurs reprises sous le joug vicieux et pervers de la belle italienne, qui prend plaisir à la faire jouir. Elle force Anne-Lise à plonger sa tête entre ses jambes. Maladroitement, cette dernière lèche la chatte pleine de mouille, aspire le clitoris décalotté, et parvient à arracher un orgasme à sa partenaire.

-Ah…oui…gémit Francesca, petite pute…tu m’as fait jouir…tu vois…c’est bon de se gouiner…ouah…tu vas être joueuse toi aussi…hum…essayons de dormir un peu maintenant…viens dans mes bras.

-J’aimerai que tu me caresses les seins pendant que je m’endors, murmure Anne-Lise.

Francesca se réveille, la jambe d’Anne-Lise posé en travers de son ventre. La vue sur sa chatte est imprenable. Leur regard se croise, leurs lèvres s’effleurent.

-Tu as vu comme tu es écartée, petite vilaine, sourit Francesca. Ta petite fente est toute ouverte

-Gratte moi la chatte, supplie Anne-Lise, tu ne vois pas qu’elle attend que çà cette salope…elle a pris gout…trempes y tes doigts…bien profond…fais la jouir…fais moi crier encore une fois…

-Mais enfin, répond Francesca, tu es folle, je te l’ai grattée toute la nuit, t’as pas arrêté de jouir…elle est encore toute mouillée…puis nos maris vont rentrer, t’imagines…on va leur dire quoi s’ils nous surprennent.

-On leur dira de prévoir une autre sortie en mer, souffle Anne-Lise, j’ai trop envie que tu me gouines.


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01-12-2012 0 7974

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