Le père de ma femme

Récit érotique écrit par cerebrox le 12-07-2014
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Catégorie Inceste

J 'ai connu ma femme (nous sommes mariés depuis maintenant dix ans) sur les bancs de la faculté. On a très vite sympathisé puis flirté comme beaucoup de jeunes couples épris l'un de l'autre. Corinne n'était pas vierge, mais je m'en foutais. Alors, la fougue des premiers temps passée, est venu celui des confidences les plus inavouables. Je lui fis part de mes penchants bisexuels et Corinne, nullement contrariée par cet aveu, se sentit dans l'obligation de me dire qu'elle entretenait des rapports singuliers avec son pervers de père, un veuf célibataire de 62 ans encore très vert qu'elle tenait absolument à me présenter. Elle disait être sûre de son fait, que nous nous entendrions bien, tous les trois. J'étais certain que cette bonne petite cochonne tenait son paternel au courant de mes fantasmes. Je n'avais rien contre cette idée fort stimulante, au contraire. J'espérais seulement trouver un mâle à mon goût. Corinne, devant mon intérêt manifeste grandissant, ne m'avait pas caché ses penchants les plus dépravés et, bien évidemment, le fait que cet amant exceptionnel à ses yeux était, de plus, très fortement membré. Nous faisions l'amour en parlant de lui. Corinne me montra sur son ordi quelques photos de son paternel en tenue d'Adam. Elle n'avait pas menti au sujet du gros gourdin qui pendouillait entre ses cuisses glabres et musclées et qu'il exhibait fièrement. Avec mes 20 cm, je pouvais aller me rhabiller ! J'étais déjà fasciné par la taille hors norme du formidable engin au repos. Je surmontais pourtant très vite une petite jalousie bien naturelle et n'eus bientôt plus qu'une seule envie: faire enfin la connaissance de celui qui avait le rare privilège de faire grimper sa fille au rideau. René habitait dans une petite bourgade à 50 kilomètres en voiture de notre campus universitaire où nous avions nos chambres d'étudiant. A l'époque, je n'avais pas encore mon permis de conduire ni Corinne. Il était venu nous chercher dans sa belle berline allemande au point de rendez-vous convenu et nous étions d'accord pour passer le week-end chez lui, histoire de faire plus ample connaissance. Ma première impression fut la bonne. J'aimais déjà cet homme grand à l'allure fière, à la voix métallique et au regard intimidant qui pria sa fille de monter devant. Je grimpai avec le sac de voyage sur la banquette arrière après l'avoir salué poliment pour surprendre ma copine en train de rouler une énorme pelle baveuse à son propre père qui lui caressait la poitrine. C'était sans nul doute une entrée en matière qui mettait les choses au point bien mieux encore que de vaines explications verbales. J'étais en érection très à l'étroit dans mon caleçon et l'effet de surprise m'avait donné des palpitations. Très nerveux et la gorge nouée, je bafouillais des réponses étranglées et peu audibles aux questions inquisitrices de mon futur beau-papa qui semblait amusé par mon trouble. Corinne, penchée sur lui, tétait maintenant difficilement mais avec une gourmandise non feinte la grosse pine papale et je fus cordialement invité à la regarder faire, la bouche emplie de son gland épais durant une bonne partie du trajet. Elle cessait, de temps en temps, sa besogne buccale pour venir m'embrasser, les lèvres gluantes, comme pour s'assurer de mon degré d'excitation. C'était divin. René me pria de glisser une main dans l'ouverture de son pantalon afin de lui masser une paire de couilles volumineuse. J'en eus mal à la queue tant je brûlais d'envie d'aider Corinne ou de prendre sa place. Corinne se caressait sous ses jupes et je la vis se faire jouir, secouée par des contractions soudaines, la bouche soudée à l'imposante hampe paternelle. Ses plaintes jouissives étouffées me ravir. C'était un spectacle ineffable et intenable tant j'étais en émoi. Jamais, encore, je n'avais éprouvé une telle excitation ! Fébrile, j'étais à deux doigts de décharger dans mon froc sans même me branler. J'étais dans un état indescriptible. C'est avant d'entrer dans le village que René choisit le moment de conclure cette mise en bouche qui promettait un week-end endiablé. Il se vida dans la gorge de sa gamine sans préavis et Corinne, les joues enflées, vint m'adresser un long baiser visqueux dont je me souviendrai toute ma vie.

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12-07-2014 0 24261

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