Vie à trois

Récit érotique écrit par cerebrox le 14-07-2014
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Catégorie Sadomazo

Cela fait maintenant plus de cinq ans que René, un vieux pervers de 63 ans à la retraite, vit avec nous et partage tout de notre intimité. Et même beaucoup plus que cela. Bien que veuf et sans attaches, c'est notre couple masochiste qui est très attaché à lui. Grand, costaud, un brin bedonnant, le corps glabre et le crâne chauve, le regard froid et intimidant, il possède sur ma femme Cathy et moi-même une autorité naturelle et une emprise incontestées. Nous lui sommes entièrement dévoués, corps et âmes. Nous portons tous les deux, tatoué sur la fesse droite, le signe discret de notre appartenance et de notre totale soumission à ce mâle sans gêne et aux mœurs dépravées. Nous sommes devenus, sous contrat dûment lu et signé, la propriété de ce Maître exceptionnellement membré et à la cérébralité sans limites. René est très fier de ses attributs virils qui me filent des complexes et qui font gueuler de contentement ma chienne docile de bonne femme aux ordres quand je dois évoluer à la maison, les week-end et jours fériés, à poil, plug au cul, ou en sous-vêtements féminins et encagé selon ses humeurs, ses directives, ses fantaisies du moment, quand je ne suis pas tout bonnement puni, fouetté sous une avalanche d'insultes très humiliantes et entravé ou mis au placard. René occupe la chambre conjugale et je couche dans la chambre voisine. Je les entends forniquer toutes les nuits ou parfois en journée et je dois supplier notre Maître de daigner vouloir bien me laisser tenir la chandelle à leur côté. Il m'accorde le privilège de regarder, de les caresser en train de baiser, de lécher les coïts, de lui sucer longuement et profondément le cul en recevant des paires de claque, de boire sa pisse en bon "fils de pute" que je suis ou encore de faire la toilette intime de mon épouse après qu'il se soit vidé les couilles en elle, les deux orifices du bas ventre tuméfiés. Ma femme lui sert également de wc humain et nous ne lui refusons rien. Quand il est bien disposé, il se laisse volontiers sucer par mes soins confortablement assis, à poil, dans son fauteuil devant un bon film x. Mon épouse lui sert son apéritif ou lui offre un bon cigare en tenue de soubrette. René aime la mater en train de faire le ménage. Il se tripote ostensiblement et la siffle pour qu'elle vienne s'asseoir un instant sur sa queue, puis je reprends mon travail de bouche sur l'engin tout poisseux des senteurs intimes de Cathy. Le goût de sa grosse pine enflée n'est jamais aussi suave que lorsqu'elle vient de visiter les profondeurs moites des trous de ma poufiasse de bonne femme. Je dois demander à notre Maître l'autorisation de faire l'amour à Cathy. C'est souvent refusé. Quant aux séances de masturbation pour me soulager d'une trop forte tension sexuelle, elles ont lieu en sa présence, une fois la cage ôtée, sous les ricanements et les propos désobligeants. Il me faut alors faire un effort surhumain, au-delà de toute honte, pour rester concentré et parvenir à bander et à décharger dans le creux de ma main car le règlement voulu par lui m'oblige à boire ma propre semence ou encore à avaler ma propre pisse lorsqu'il désire me voir faire dans la baignoire de la salle de bains. Parfois, j'ai droit, suprême récompense, à un long baiser baveux de mon épouse qui a pris soin de garder en bouche l'onctueux lait de couilles du Maître, après une bonne pipe. Mais, quel serait l'intérêt pour lui de disposer à volonté des " deux bonnes salopes de service" que nous sommes à ses yeux s'il ne pouvait pas nous prêter, nous partager, nous échanger ? René fait, sans cesse, sur internet, de nouvelles connaissances et nous ne sommes pas informés sur les choix de sortie ou de visites à domicile qu'il nous impose. C'est lui qui décide des programmes et, la plupart du temps, nous ne savons pas à quoi nous en tenir. C'est à la fois effrayant et fort excitant pour nous deux. Une fois, un type à la mine peu recommandable s'est pointé chez nous pour emmener Cathy tout un week-end. Le Maître l'avait louée avec obligation de rendre compte de ses prestations et de sa servile obéissance par téléphone, webcam et photos expédiées via le net. Bien qu'anxieux, je ne disais mot et fus mis au courant des abus dégradants que l'on fit subir à mon épouse pendant deux jours et deux nuits qu'une fois les premières photos parvenues à destination de nos boîtes mails respectives. J'en eus affreusement mal à la queue car encagé et j'implorai aussitôt le Maître de consentir à me délivrer de ce carcan tant mon excitation était violente, étant données les circonstances. René me fit passer sous la table de son bureau pour se faire téter son gros morceau et laper les boules en matant les nombreux clichés numériques envoyés. Mais un refus catégorique me fut signifié concernant mon vif besoin de juter: "Au lieu de dire des conneries, rends-toi utile, enculé! Après, on verra..." J'astiquais donc, un temps interminable et sur commande, l'entrecuisse du Maître, une douleur affreuse au ventre, forcé de prendre cette nouvelle torture morale et physique en patience et en écoutant, sans voir les images, les commentaires très crûs que René s'adressait à lui même au sujet de ma femme: "Ah, putain! Quelle bonne saloperie c'est, celle-là !" ou encore: "C'est vraiment une vraie truie, cette connasse !" Le Maître bandait dur comme du bois et lubrifiait beaucoup. C'était un vrai régal de pouvoir le pomper. Totalement absorbé par ce qu'il découvrait sur son écran, je n'étais plus pour lui qu'une bouche câline et gourmande. Afin de faire durer son plaisir égoïste, René repoussait sèchement ma figure lorsqu'il sentait qu'il allait jouir. Puis, l'excitation maximum retombée, il grognait pour être embouché à nouveau ou m'administrait une gifle; "T'attends quoi, saleté ? Pompe, putasse !" Cette fois-là, il m'a honoré de sa copieuse semence sans préavis. Une bruyante décharge orgasmique qui en disait long sur son état de nervosité inhabituel. J'ai failli m'étrangler avec, avant de digérer tout ça sans m'en plaindre. J'ai enfin pu être délivré de la cage métallique qui enserre la plupart du temps mon sexe et dont le Maître seul possède la clé pour avoir la permission d'aller me branler dans ma chambre, devant mon ordinateur. Les photos expédiées montraient sous tous les angles ma femme tenue en laisse, partouzée sans ménagement et fessée, les poignets entravés dans le dos par des bracelets de cuir, un bandeau sur les yeux, dans un foyer pour immigrés. Je ne fus pas bien long à cracher mon foutre en reconnaissant ce visage si familier, malgré les grimaces de plaisir et de douleur mêlés. Son tourment consenti était aussi le mien. j'avais la bouche pleine de ma crème qu'il me fallu encore montrer au Maître avant de pouvoir déglutir, comme à l'ordinaire, en ouvrant bien grand. Je manquai d'avaler de travers lorsque René m'annonça que Cathy ne prenait plus la pilule, à sa demande, depuis deux mois...

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14-07-2014 0 8659

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