En famille

Récit érotique écrit par cerebrox le 16-07-2014
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Catégorie Sadomazo

Après une période de longues difficultés financières et amoureuses, je suis retourné vivre chez mes parents car, après tout, c'est encore chez eux que je m'y sens le mieux. C'est un vieux couple de débauchés, grand lecteur des œuvres du marquis de Sade. Papa a fait mon éducation sexuelle et ils m'ont élevé à la dur, mais ma dévotion est restée intacte avec les années et, comme je leur dois tout, je m'efforce, au quotidien, de leur être très reconnaissant. En vérité, je suis devenu leur esclave, la bonniche mâle du foyer qui leur manquait et ce rôle de lopette aux ordres me va à merveille. Je sais désormais où est ma place. Je porte, à la maison, les tenues sexy réglementaires. Très efféminé, mais joli garçon, je suis presque imberbe de nature. Je m'épile cependant les dessous de bras et le pubis car on n'aime pas les poils dans cette famille. Opéré, il y a peu, j'ai aussi des implants mammaires dont je suis très fier. Mes faux seins sont une vraie réussite chirurgicale qu'ils ne se lassent pas de triturer lorsque nous sommes tous les trois réunis dans le grand lit conjugal . Ma peau douce, la fermeté de mes petites fesses, ma frêle silhouette et mes cheveux longs me donnent des airs de jeune femme qui plait beaucoup. Papa dit qu'il prend bien plus de plaisir à m'enculer depuis que j'ai une poitrine. Et, c'est vrai que j'ai plus de sensations anales tant sa queue est enflée de désirs brutaux pour moi. Je suis le travesti idéal car je possède, héritage paternel, un gros et long sexe masculin dont l'effet de contraste avec l'illusion d'ensemble ne peut laisser indifférents nos invités, les amis de mes parents. On complimente souvent mes géniteurs à ce sujet. Docile et maso, j'apprécie ma servilité quotidienne qui a quelque chose de rassurant que je ne saurais dire. Sans doute est-ce la raison pour laquelle j'effectue mes taches ménagères et toutes les corvées à domicile avec autant de bonheur. J'ai de nombreuses obligations et contraintes auxquelles je m'astreins volontiers comme autant de règles strictes qui constituent mon équilibre. J'aime mes parents comme un chien aime son maître. Le beau collier en alliage cuir-métal que je porte en atteste. J'ai également un code barre de supermarché tatoué sur la nuque: autre signe indélébile d'appartenance sexuelle et morale. Ce mode d'existence peu ordinaire me va pourtant comme un gant et je ne me sais jamais plus utile qu'au service de leurs fantasmes les plus pervers, les plus dégradants. Je fais la cuisine et je sers, tous les jours à table et sous la table. En plus de mon emploi du temps très chargé, je dois me tenir discrètement à disposition pour satisfaire tout caprice dans l'instant. On ne m'adresse la parole que pour me signifier des ordres que j'exécute toujours avec zèle afin de les contenter au mieux. Je suis rarement puni à coups de fouet, mais il arrive que mon père ait envie de passer ses mauvaises humeurs sur moi qui suis leur défouloir à tous deux. Je vis en permanence avec un pick-anus au cul que je ne peux ôter que pour aller déféquer et après en avoir demandé la permission ou quand on souhaite me défoncer. Maman aime aussi me prendre au gode-ceinture et faire des démonstrations en petit comité pendant que je suce les invités (hommes ou femmes). J'avale car j'aime vraiment me nourrir de la jouissance des autres. Je bois la pisse aussi. Celle que je préfère, c'est celle du face-sitting maternel auquel j'ai droit, presque chaque matin dans la salle de bains. Papa aime me savoir agenouillé entre ses jambes sous le lavabo lorsqu'il se rase avant d'aller bosser. Je dois calmer affectueusement ses érections matinales ou le boire aussi. Je compresse moi-même son canal urétral pour régler le débit et me permettre de déglutir les gorgées âcres et salées sans salir le tapis. C'est souvent bien plus pratique pour lui d'avoir son urinoir ambulant. ça lui fait gagner du temps et ça lui évite de devoir se rendre aux toilettes situées à l'autre extrémité du couloir. Ce rituel du lever me va bien. L'avantage de partager l'intimité la plus salace des parents est que je les connais bien. Je connais leurs vices et leurs attentes. J'anticipe leurs besoins. Maman adore se faire masser le soir par mes soins lorsqu'elle prend un bain afin de se détendre après une longue journée stressante au bureau. Papa aime se faire pomper lorsqu'il est aux wc ou assis dans son fauteuil devant un bon film x à fumer son cigare ou à siroter son cognac. ça le délasse formidablement. Le week-end, je frappe avant d'entrer pour aller ouvrir les volets de leur chambre et déposer le plateau du petit-déjeuner. Habillé en soubrette, je dis la formule rituelle qu'ils veulent entendre: "Bonjour madame, bonjour monsieur. Avez-vous passé une bonne nuit ?" Mes érections que je ne peux cacher du fait de mon petit tablier trop court soulèvent toujours mes jupettes. Et, en fonction de leur appétit du moment, je reste, au garde à vous, debout près du lit, à attendre des directives qui parfois ne viennent pas. J'aime cette façon qu'ils ont de m'ignorer. Je suis ravalé au rang d'objet humain, surtout quand je tiens la chandelle pendant qu'ils font l'amour. Ma mère et lui ne peuvent plus se passer de ma présence lors des élans amoureux du couple. Je suis, de part ma soumission et ma cérébralité, ce qui procure à celle qui m'a donné le jour de foudroyants orgasmes car celle-ci est très exhibitionniste et se plait à bomber impudiquement le cul lorsque mon père la baise. Je suis toujours invité à mater le coït parental sous tous les angles, à tâter, à caresser, à lécher avant d'assister aux explosions des sens les plus bruyants et les plus spectaculaires. Quelques fois, elle me prie de venir sous son ventre lorsque mon paternel la pilonne en levrette pour jouir très intensément dans ma bouche en me traitant de tous les noms d'oiseaux tant elle est excitée. Ma récompense arrive une fois par mois. J'ai alors l'autorisation de lui faire l'amour comme un homme en présence ou non de mon père. Etant donné mon état de nervosité bien compréhensible, je me masturbe avant, histoire de faire durer ce type d'échange avec elle plus longuement. Je parviens à la faire gueuler, alors je gicle en elle en prenant mon plus grand pied.

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16-07-2014 0 11493

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