Cadeau d'anniversaire de mon mari

Récit érotique écrit par mazaudier le 25-12-2017
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Catégorie Infidélité

 

Bonjour. Je m’appelle Estelle, très belle, d’après mes amis, dont certains, hommes ou femmes, n’hésiteraient pas à m’emmener dans leur lit, pour me baiser ou me gouiner.

Je suis marié depuis cinq ans à Didier, à qui je voue une fidélité sans faille.

Cela fait pas mal de temps que mon mari a un fantasme. Il aimerait me voir baiser avec un autre homme, devant lui. Je me suis toujours opposée farouchement à cette proposition.

Ce soir, c’est son anniversaire.

Didier rentre du club, vers vingt heures, légèrement éméché. Il a du offrir à boire à ses copains. Il est accompagné de Lucas, son meilleur pote. Lucas est un mec très séduisant, débordant de virilité. Le genre de mec qui pourrait rendre une femme infidèle.

 

-J’ai emmené mon pote, dit-il, ça ne te dérange pas mon amour ?

-Mais pas du tout, mon chéri, au contraire…bonsoir Lucas, ça va, dis-je en l’embrassant.

-Ca va, et toi…toujours aussi ravissante.

 

Là, me vient une idée. Et si je réalisais le fantasme de mon mari. Je prends Lucas à l’écart, et lui explique le deal. Il refuse catégoriquement. Il est hors de question qu’il  baise la femme de son meilleur copain.

Je suis déçu pour mon mari, mais aussi pour moi, car, à tromper mon mari, c’est avec un mec comme ça, que je l’aurais fait, d’autant  que, d’après ses conquêtes, il est hyper monté.

Mais en même temps, je comprends sa décision, et la respecte.

 

En attendant le champagne, les deux copains sont assis sur le canapé, en train de suivre un match à la télé. Je suis derrière, appuyée sur le dossier, mes bras entourant mon mari.

Pris d’un besoin pressant, Lucas va aux toilettes.

Je me penche sur mon mari, lui donne plein de bisous dans le cou, quand soudain, je sens des mains remontés ma robe sur mes hanches, baisser ma culotte. J’ai un léger sursaut quand une main lisse mon fin duvet. Puis c’est un doigt qui court sur ma fente de bas en haut, jusqu’à mon clitoris.

Aurait-il changé d’avis. En tout cas, je n’interviens pas. Je veux savoir jusqu’ou il veut aller.

Et il va loin, très loin. Je sens un énorme objet, dur comme du fer, se faufiler entre mes cuisses. C’est sa queue, et quelle queue. Les rumeurs sont bien fondées. Je devine le gland décalotté se frayer un passage. Je sens mes lèvres intimes s’ouvrir sous la poussée de sa bite qui me pénètre, aidée par une humidité naissante.

Je suis toujours penchée sur mon mari, qui doit sentir mon souffle saccadé dans son coup. La queue se met en action, je sens les grosses couilles cogner contre mes fesses. Je sens le  désir monter en moi. Ma respiration s’accélère au rythme des coups de bites dans ma chatte en feu. Mon mari ne s’aperçoit même pas, que son copain est en train de m’enfiler. En plus, je suis obligée de dissimuler mes gémissements de plaisir.

 

-Que t’arrive-t-il ma chérie, bégaie mon mari, je te sens toute excitée.

-Ce n’est rien mon amour, c’est de te caresser qui me m’excite.

-A ce point…et Lucas, ou est-il.

-Il ne doit pas être bien loin, aux toilettes peut être.

 

Soudain,  je me cambre, mets ma main devant ma bouche pour ne pas crier. J’atteins l’orgasme au moment ou Lucas se vide les couilles dans ma chatte.

Lentement, il se retire, s’essuie à ma robe, et retourne s’asseoir sur le canapé. Je vais me laver à la salle de bains, et change ma robe pour une tenue plus sexy. Jupe courte au ras de la mate, boutonnée sur le devant, un chemisier ouvert. Pas de soutien gorge, ni de culotte.

Je rejoins les deux copains. J’emmène le champagne avec trois flutes.

En servant Lucas, je tourne le dos à mon mari, qui doit avoir une vue imprenable sur ma croupe. Je crois qu’il a compris mes intentions. Il me saisit par les hanches, et m’assoit sur ses genoux, offrant ma chatte aux yeux grands ouvert de son copain.

 

-Hey… Lucas, elle n’est pas belle ma femme. Tu peux la caresser si tu veux, hein ma chérie.

-Tu veux m’offrir à lui, salaud…ça fait longtemps que tu veux me voir faire prendre par un autre homme...si c’est ça que tu veux...

-Tu as entendu mon pote, poursuit Didier, tu ne vois pas qu’elle a envie de se faire baiser.

 

Lucas hésite, puis se lève. Il se penche sur moi, me prend tendrement les lèvres, tout en déboutonnant mon chemisier. Mes seins jaillissent sur son visage. Il en profite pour me sucer les bouts, les mord, au point de me faire mal. Sa tête descend sur mon ventre, le couvre de baisers, puis va plus bas. Didier écarte lui-même, mes lèvres intimes, pour que Lucas puisse boire à ma source. Je sens sa langue lécher ma chatte, ses lèvres aspirer mon clitoris. Un doigt pénètre mon petit trou. C’est trop. Ces caresses perverses m’excitent de plus en plus.  Je me cambre pour aller à l’encontre de cette langue qui me donne tant de plaisir. Puis, c’est  l’orgasme, terrible. Tout mon corps est pris de spasmes, j’hurle de plaisir.

 

-Oh putain, il me fait jouir l’enfoiré…ah…oui…oui…vas-y salaud…

-Tu as aimé te faire bouffer la chatte, dit mon mari, hein, salope…c’était bon

-Oh oui c’était bon…et toi salaud, tu t’es régalé de voir ton copain me faire jouir.

 

Lucas se relève, se déshabille, arbore un sexe impressionnant. Je le savais pour l’avoir eu dans la chatte, mais Didier ouvre grand les yeux en le découvrant. Le pauvre, il se sent gêné.

Lucas s’avance, la queue tendue, s’amuse à la frotter sur mes lèvres, comme pour me faire râler. Je la saisis enfin, la décalotte, puis la prends en bouche. Elle me parait encore plus grosse, en tout cas, rien de comparable avec celle de Didier.

Lucas me tient la nuque, se branle lentement.

Au bout de cinq minutes, il stoppe ses va et vient, sa queue reste enfoncée dans ma bouche. Je sens le sperme giclé au fond de ma gorge. Ce salaud est en train de jouir, sans me prévenir. Il prend tout son temps pour se vider les couilles. J’avale tout.

Mon mari, surpris, reste scotché devant la scène. Je ne l’ai jamais sucé.

 

-Quel veinard, dit-il, elle suce bien, dis moi Lucas. Elle ne m’a jamais taillé de pipes à moi.

-Oh putain, souffle Lucas, si elle suce bien…ouah…tu ne sais pas ce que tu perds... vas-y salope…nettoies moi le zob.

-C’est bon ma chérie ? Son sperme à bon gout…le mien, tu ne l’as jamais gouté

-Hum…hum…, dis-je en me léchant les lèvres…super bon…hum…

-Tu devrais lui demandé de te baiser, propose Didier…en levrette, tu aimes, n’est-ce pas ?

-Oh oui…en levrette, prends moi en levrette Lucas…j’ai tellement envie de ta bite…vas-y.

 

Lucas me fait mettre à genoux sur le fauteuil. Je me cambre au maximum, la chatte baveuse, bien ouverte, pour recevoir l’offrande de cette queue, qui me rend folle.

Lucas se positionne derrière moi, excite mon clito et mon petit trou, avec son énorme bite.

Il me pénètre, me tenant par les hanches, ou me prenant les seins. Je geins de plaisir.

Lentement, le copain de mon mari prend une autre orientation. Son gland est contre mon petit trou, force la porte. Mon petit orifice se dilate sous la pression de l’énorme queue.

 

-Aie…aie…tu es fou, je n’ai jamais fait çà…arrêtes…

-Que t’arrive-t-il ma chérie, demande mon mari.

« On va lui montrer, murmure Lucas à mon oreille, tu vas lui dire ».

 

Il me saisit par la jointure de mes genoux, et me soulève. Je suis carrément empalée sur sa bite. Il s’avance de mon mari.

 

-Oh mon amour, regarde ton copain comme il m’encule…tu ne me l’as jamais fait toi.

-Tu aurais eu moins mal, répond Didier, je suis moins monté que lui.

 

Soudain, l’énorme queue de Lucas sort de ma chatte.

 

-Mon amour…s’il te plait, remet la…

-Mais avec plaisir ma chérie, dans quel trou.

-Le petit…c’est trop bon de se faire enculer. Puis il faut bien que je m’habitue

 

Lucas poursuit son œuvre sur le canapé. Je jouis à plusieurs reprises, sans que celui-ci ne sorte sa queue de ma chatte.

Soudain, on est attirés par de petits »pff…pff… »

On se retourne, et on s’aperçoit que Didier s’est endormi. Quel con, il va manquer la suite.

J’en profite pour demander à Lucas d’aller au lit.

On fait l’amour dans toutes les positions. Je ne sais pas combien j’ai eu d’orgasme, combien de pipes j’ai taillées, combien de sperme j’ai avalé.

Lucas quitte la villa vers six heures du matin. Didier, soul, n’a pu assister à la nuit torride que j’ai passée avec son pote. Peut être m’a-t-il entendu crier…je l’espère en tout cas.

 Je prends une douche, et rejoins le lit conjugal. Mon mari, encore un peu éméché, ne dort pas. Il veut savoir.

 

-Alors mon amour, comment ça s’est passé avec Lucas. Il t’a bien baisée au moins.

-Ben, quand il a vu que tu dormais, il est parti, mens-je. Je suis restée un peu sur ma faim.

-A bon…c’est ma faute  Je l’appelle dans la semaine. Je veux qu’il réserve le weekend prochain…à moins que tu ne veuilles pas.

-Mais mon chérie, tu sais bien que je ferais n’importe quoi pour toi. Je t’aime tellement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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25-12-2017 0 31531

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