Dimanche à Merlimont

Récit érotique écrit le 10-10-2018
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Catégorie Sadomazo

Les 3 jeunes hommes étaient arrivés depuis samedi à Merlimont et entendaient bien profiter de ces trois semaines de vacances à la mer. Et il faut dire que le temps qu’il faisait depuis ces deux jours était propice à lézarder sur cette belle plage des côtes du Pas de Calais, à profiter du paysage et du spectacle des jeunes filles en tenue estivale. Marc, Nicolas et Thierry, 3 beaux gosses célibataires, espéraient beaucoup de ces quelques jours pour trouver non pas l’âme sœur mais au moins une belle nana pour passer du bon temps et oublier les jours sombres de l’année universitaire qu’ils venaient de passer. Ils étaient assis en haut de la plage, face à la mer, à regarder passer les touristes, à écouter les familles avec leurs enfants jouer ou se disputer et faire nombre de commentaires sur tel et tel groupe de personnes. Un peu avant midi, un petit groupe de filles arrivèrent par la gauche pour passer juste devant eux. Ils s’agissaient de 8 gonzesses, bien foutues, en short et T-shirt ou robe courte, lunettes de soleil. Il y en avait pour tous les gouts (grandes et moins grande, brunes et blondes, mais pas de rousse, fines et un peu plus en formes sans pour autant qu’on puisse les qualifier de grosses, il y en avait même une qui devait être un peu métisse) Trois d’entre elles portaient un sac à dos et deux autre un chapeau de paille qui leur allait très bien. - Salut les filles, vous avez le temps ? Venez vous assoir avec nous ! - Salut les mecs ! Très peu pour nous de faire la crêpe et rotir allongées sur la plage ! On part un peu plus loin pour se baigner tranquille et pique-niquer dans les dunes. Si ça vous tente, allez chercher de quoi manger et venez nous rejoindre. Il y en a un qui peut venir avec nous comme ça vous pourrez l’appeler pour nous retrouver dans les dunes. - ok, on arrive. Nicolas, tu pars avec elles et on te téléphone dès qu’on est de retour avec la bouffe. On te prend un menu au Mc Do’ ? - Sympa, on s’installe et on vous attend ! - Et n’en profite pas pour disparaitre tout seul avec elles, tu t’en sortiras pas tout seul ! Laisse en nous un peu. - T’inquiètes … Marc et Thierry partent donc vers le centre-ville pour faire leurs achats et Nicolas part en bonne compagnie vers des zones plus désertées de la plage, du côté Nord, après la zone de baignade surveillée, devant la digue, et où tout le monde s’agglutine puisqu’en face des parkings. Il tente tout de suite de lier conversation avec les filles et déjà en particulier avec Anne, une grande brune tout à fait dans ses goûts. Mais très vite les filles lancent un défi : le dernier arrivé en face de la grande dune après le dernier parasol rayé rouge et blanc se fera jeter à l’eau tout habillé par les autres ! Et c’est parti pour une petite course, dans laquelle se lance Nicolas sans hésitation car il ne risque pas de perdre face à des filles ! Mais courir dans le sable est plus fatiguant qu’il n’y parait et les filles semblent entrainées et se relaient pour le faire courir le plus vite possible et l’épuiser avant la portion dans le sable mou. A cinquante mètres de l’arrivée, il trébuche et s’effondre dans le sable et les filles en profitent pour le dépasser et crier victoire. Elles font alors demi-tour et s’élancent vers lui pour l’empoigner par les bras et les jambes. Mort de fatigue et de honte, il ne peut que se laisser faire en criant de le laisser au moins sortir son téléphone de sa poche mais les filles sont tellement excitées et criant tout aussi fort que lui si ce n’est plus ne l’entendent pas et continuent de marcher rapidement vers la mer. Arrivées à destination, elles avancent assez loin dans la mer jusqu’à ce que l’ensemble du groupe se fasse bousculer par une vague plus grosse que les autres. Nicolas se retrouve au fond de l’eau avec 6 ou 7 filles au-dessus de lui, l’empêchant encore de se redresser ou d’attraper son portable, ce qui devient très vite moins important que de retrouver un peu d’air ! A temps, tout le monde se remet debout, les filles dans leur joie d’avoir réussi à faire boire la tasse à un beau mec, et Nicolas qui essaye enfin de sauver son portable. Il est un peu vénère après les filles mais se doute bien qu’elles ne l’ont pas fait exprès et espère que la garantie « perte, vol et casse » fonctionnera. Et puis, après ça, elles ne pourront pas lui refuser grand-chose. Il se dit que ça valait peut être le coup finalement. Les 9 jeunes se mettent donc à remonter vers les dunes, à l’endroit où les filles avaient déposé leurs sac à dos. Elles en sortent des serviettes de plage et commencent à se sécher en grimpant dans les dunes. Une fois derrière la première barrière de dunes passée, Anne passe derrière Nicolas et pose sa serviette sur ces épaules pour commencer à le sécher, d’abord les cheveux et la tête, puis elle lui demande d’enlever son T-shirt pour finir de le frictionner. Une fois le haut sec, les filles lui proposent d’enlever son short et son maillot de bain pour achever le séchage. Bien que de nature entreprenante, Nicolas trouve que tout ça va un peu vite et leur déclare qu’il attend qu’elles en fassent autant, qu’il ne fait pas froid et qu’on pourrait peut-être attendre les 2 autres. C’est alors qu’Anne qui se tenait toujours derrière lui à lui frotter le torse avec sa serviette remonte celle-ci en haut des ras, serre rapidement autour du coup et tire un grand coup en arrière pour le faire tomber. Les autres filles se jettent sur lui pour l’immobiliser et lui mettent une grosse balle dans la bouche avec un bâillon pour la tenir et l’empêcher de crier. Une fille assise sur chaque avant-bras, deux filles sur chaque jambe et une fille lui immobilisant la tête et lui mettant un masque l’empêchant de voir, Nicolas était complètement à la merci de ces filles. - Tu ne bouges plus d’un poil, sinon … Il sent une lame de couteau sur sa peau qui glisse de son torse jusqu’à sa cheville droite avant de remonter le long de sa jambe en découpant son short à droite puis à gauche. Les filles tirent ensuite l’avant de ce short qui s’enlève complètement, révélant un caleçon à fleurs pas du tout adapté à la baignade et aussi bien trempé par le bain forcé ayant commencé son aventure que par ce qu’il se passait à l’intérieur de ce caleçon. Il sent la raideur de sa bite qu’il ne contrôlait plus. A la vue de ce spectacle les filles veulent en savoir d’avantage et la lame de couteau repart se promener sur le torse et les cuisses de Nicolas. Il se glisse à plusieurs reprises sous le tissu du caleçon mais ne se résout pas à le déchirer, juste à piquer un peu les couilles et la verge tendue. Enfin, juste avant une éjaculation qu’il aurait vécue comme la honte de sa vie, une des filles arrache d’un coup sec le caleçon et un seau d’eau froide lui est balancé immédiatement après afin de lui calmer ses ardeurs. Nu comme un ver, il sent alors qu’elles le retournent sur le ventre, le nez dans le sable, qu’elles lui posent une grande planche dans le dos et qu’elles le ficellent sur cette planche. A chaque tentative de résistance, la fille postée à sa tête la lui écrase un peu plus dans le sable et pour ne pas finir étouffé, il se résigne à se laisser faire : ça sera peut-être une expérience un peu particulière de sadomasochisme, différente de ce qu’il avait déjà regardé sur des sites de vidéo. Il en avait déjà vu pas mal en streaming avec ses copains et en général, c’étaient plutôt les mecs qui avaient une fille comme esclave. Mais il fantasmait secrètement sur une inversion des rôles, même s’il n’avait jamais osé en discuter avec ses potes. Une fois ficelé sur sa planche, il est retourné sur le dos, la figure, le ventre et les jambes pleins de sables mouillé, et posé dans ce qu’il identifie comme un brancard de toile. Aveugle et sans pouvoir bouger, il sent que les filles le transportent à travers les dunes et ce transport lui semble long : où donc l’emmènent elles ? Enfin, lors d’une pause, elles lui proposent d’enlever son bâillon en lui assurant qu’au moindre cri d’un « au secours » il lui sera remis jusqu’au soir et qu’il ne pourra donc ni boire ni manger de la journée ; il en sera de même s’il les saoule par ses plaintes ou ses demandes. Trop content de s’en débarrasser et de pouvoir boire un coup, il acquiesce de la tête pour promettre d’être « sage » et une fois libéré de cette boule dans la bouche, il attend sans réclamer que les filles lui proposent à boire. Celles-ci profitent de cet arrêt pour constater sa tranquillité et se mettent à le caresser avec plusieurs brosses très douces de la tête au pied jusqu’à ce qu’il n’ait plus de sable sur lui. Evidemment, ces caresses sur son corps dénudé lui redonnent une belle vigueur entre les jambes et les filles en rajoutent pour le spectacle de cette queue qui gigote et dégouline à chaque passage de la brosse sur ses couilles. Il parvient à se retenir avec beaucoup de mal jusqu’à ce qu’il entende une fille déclarer que le soleil tape fort ce midi et qu’il faudrait le tartiner de crème solaire. Et là, alors que deux mains douces lui étalent ce qui doit être de la crème sur les pectoraux, la tension est trop forte et une puissante éjaculation jaillit en même temps qu’un râle de soulagement. - Oh le vilain, il a craché son venin ! Et qui c’est qui va nettoyer ça ? Alors, les filles lui remettent du sable sur le ventre et le bas-ventre, et, sans douceur cette fois, frottent énergiquement toute la zone souillée jusqu'au nettoyage complet. Un bon décapage au sable sur le ventre, c’est dur mais sur la bite, ouille ouille ouille ! Enfin, le tartinage de crème reprend avec douceur sur l’ensemble du corps exposé au soleil. L’odeur est un peu prenante mais ça soulage et Nicolas pense que c’est le mélange de l’odeur de la crème, dont il n’est pas un habitué, avec celle du sperme. Ayant complètement oublié sa première inquiétude au sujet de son téléphone, il entend une des filles s’écrier - Hé, mais il semble bien vouloir redémarrer ton portable ! C’est quoi ton code PIN ? - C’est pas grave, ça peut attendre. Laisse, je verrai ça plus tard. Une main se saisi alors délicatement de ses bourses et se mit à les serrer l’une contre l’autre de plus en plus fort - Valérie t’as demandé ton code PIN ! - 47 56 » répondit Nicolas après une seconde d’hésitation et un petit cri de douleur - c’est fou ça les mecs ! Vous jouez les durs mais dès qu’on vous touche vous crachez le morceau. Vous êtes plutôt douillets en fait, vous ne supportez pas la moindre petite douleur. Bouge pas, bois un coup et surtout tais-toi le temps qu’on étudie un peu ce qu’il y a là-dedans. Et pendant longtemps, il les entend qui commentent ses photos, ses vidéos, ses sms, son profil facebook,… Tout son univers personnel mis à plat devant ses filles qu’il ne connait même pas. Et il y en a des choses personnelles, voire très personnelles, quand il s’amusait à se filmer ou ses selfies avec sa copine, les sms qu’ils s’échangeaient. Mais le pire vient maintenant qu’elles sont en train de fouiller l’explorateur internet et les recherches effectuées sur YouTube et les sites de films pornos : ça leur donne des idées d’après ce qu’il entend. En tout cas, ça les faire beaucoup rire. Nicolas, lui, ne rigole plus du tout et commence même à flipper un peu en se demandant où tout ça va s’arrêter. Dans les trucs qu’il a lus sur internet à propos des séances sadomaso, il doit toujours y avoir un code entre maitre et esclave pour pouvoir mettre fin à la séance quand cela va trop loin pour ce dernier. Soudain, le téléphone se met à sonner et le prénom « Thierry » s’affiche à l’écran avec sa photo. Patricia s’éloigne un peu avant de répondre : - Salut Thierry, c’est Patricia ! - Salut, il fait quoi Nico ? Ça fait presque une demi-heure qu’on essaye de vous avoir. - Un petit problème avec le téléphone qui n’a pas aimé l’eau de mer ! Vous êtes où exactement ? - Ok, on a avancé sur la plage, on est juste après les derniers parasols, à droite en regardant la mer. - Ca marche, on est un peu plus loin dans les dunes, on arrive à votre rencontre. Continuez à marcher sur la plage, en bas des dunes. A tout de suite - Anne, tu restes t’occuper de Nicolas, nous on va accueillir les deux autres. Sois gentille avec lui, et tu peux commencer à l’essuyer pour enlever l’huile de bronzage : il est bien assez cuit comme ça, surtout là » dit Fiona en donnant une gifle sur les couilles toutes rouges de Nicolas qui en hurla de douleur. Ces salopes ne l’avaient pas tartiné avec de la crème protectrice mais avec de l’huile pour bronzer ! Et avec ce soleil en plein midi, sans pouvoir bouger, le résultat est très réussi… Vivement que les copains rappliquent pour que ça s’arrête. Même s’il a honte que ses potes le trouvent comme ça, ils devraient pouvoir le libérer de ces filles cruelles qu’il a bien envie de punir. A deux, ils ne devraient pas se faire avoir aussi facilement qu’il l’a été. Laissant Anne et Fiona avec Nicolas, les 6 autres filles s’avancent à la rencontre de Thierry et Marc en passant par les dunes pour ne pas se faire repérer trop vite. Avant de redescendre sur la plage, elles posent leurs affaires dans les dunes et remontent sur le front de dune pour attirer les garçons qui les rejoignent en courant, avec leur sac à dos et les paquets de Mc Do’. Ils posent le tout à côté des affaires des filles et du T-shirt de Nicolas en demandant où est passé ce dernier. Stéphanie explique alors qu’il est parti un peu plus loin dans les dunes avec Anne et Fiona après que tous se soient baignés et qu’ils ne devraient pas tarder à arriver. Valérie propose alors une petite partie de Colin-maillard afin de mieux faire connaissance : les garçons ont les yeux bandés et doivent trouver le prénom des filles qu’ils attraperont ; s’il gagne le garçon peut enlever un vêtement de la fille, s’il perd, c’est lui qui en enlève un ; on s’arrête que les 3 autres reviennent. C’est prometteur et les garçons disent ok sans hésiter. Ils se laissent mettre un foulard autour des yeux et les filles passent chacune leur tour entre leur main pour qu’ils puissent les reconnaitre. C’est parti ! les filles tournent autour des garçons qui essayent de les attraper. Et ils sont bien motivés ces petits gars, au premier coup, chacun se trompe et ils se retrouvent sans T-shirt mais repartent de plus belle et gagnent à la deuxième tentative : Véronique et Valérie se trouvent en maillot de bain. Puis c’est au tour de Christelle et de Stéphanie, puis Marc doit enlever son short et les filles peuvent apercevoir une forme explicite dissimulée sous le slip de bain. Mais Thierry arrive à faire ôter la robe de Patricia avant de réussir encore une fois son coup avec Sophie. Enfin, Marc peut dénuder Valérie pendant que Thierry rate son coup avec Christelle et se retrouve lui aussi en caleçon de bain. L’une après l’autre, toutes le miss se retrouvent à poil et proposent alors aux garçons un dernier « quitte ou double » : s’ils gagnent ils auront droit à une pipe chacun, sinon elles se rhabillent toutes pendant que les garçons resteront à poil en attendant le retour des 3 autres. Ils ne se doutent à aucun moment que les filles maitrisent depuis le début les « gagné » et les « perdu » puisqu’ils ont les yeux bandés et ne peuvent constater par eux même la véracité de leurs dires, surtout que les résultats sont plutôt en leur faveur, alors pourquoi contester ? Après avoir « gagné » le dernier tirage, les filles s’approchent des garçons : pour chacun des gars, qui ont toujours leur bandeau, une fille se place devant et se met à genoux et une qui se met discrètement derrière. Puis Valérie demande aux mecs de rester pendant que Sophie s’occupera de Marc et Stéphanie de Thierry. Ils devront garder les mains derrière le dos, les pieds joints et éviter de bouger. Les garçons promettent de rester immobiles et attendent sagement que les gâteries commencent. Deux paires de mains remontent doucement des pieds jusqu’aux maillots de bain en passant par l’entrejambe, continuent de monter jusqu’aux torses avant de redescendre en caressant les côtes – les garçons ayant du mal à rester immobiles à cause des chatouilles qu’elles leurs faisaient – puis sur le coté des fesses où elles accrochent le slip et le caleçon de bain pour finir tout doucement avec l’ensemble sur les pieds. Enfin, dans une synchronisation parfaite quatre paires de menottes emprisonnent les chevilles et les poignets des deux pauvres mecs interloqués qui ne comprennent pas ce qui leur arrive. Les filles, qui s’étaient rhabillées entre temps, leur font alors descendre le foulard qui leur cachait les yeux pour le transformer en bâillon puis les emmènent à travers les dunes où ils découvrent leur copain toujours ligoté sur sa planche et rouge comme une tomate bien mure. Deux nouvelles paires de menottes rassemblent les pieds et les mains de Marc et Thierry qui se retrouvent bloqués dos à dos. Dans une tentative de déplacement, ils tombent dans le sable l’un sur l’autre à coté de Nicolas. Après avoir expliqué aux deux derniers ce qui leur arriverait s’ils gueulaient, avec confirmation de la part de Nicolas, les bâillons sont enlevés et de l’eau mise à leur disposition. Mortes de rire, les maitresses du jour se mettent à manger les repas apportés par leurs esclaves en se demandant ce qu’elles vont bien pouvoir faire de ces trois-là qui se racontent à voix basse leurs aventures sans savoir pourquoi ni comment ils en sont arrivé là et ce qui va encore leur arriver. Le repas terminé, les filles reprennent le portable de Nicolas et pour bien montrer aux deux autres leur pouvoir, s’approchent de Nicolas, mettent une main autour de ses couilles et lui demandent son code pour accéder aux services de sa banque en ligne. Nicolas ses potes. Elles programment alors sur les prochains jours des virements du montant maximum – 1500 € - vers leurs propres comptes jusqu’à épuisement du compte de Nicolas. Après cette forfaiture, les filles fouillent le sac des garçons et en retirent deux autres téléphones, trois jeux de papiers et cartes bleues, une clé de voiture et un trousseau de clés. Lorsque Marc s’agite pour protester contre cette violation de la vie privée, Stéphanie lui répond que ça lui donne une bonne idée et s’approche de lui en compagnie de Sophie, Patricia et Fiona. Elles le détachent de Thierry qu’elles accrochent à Nicolas et proposent à ces derniers de profiter du spectacle pour réfléchir à leur avenir. Angoissé à l’extrême, Marc est amené devant les autres filles et immobilisé bras et jambes écartés l’aide de grands piquets vissés dans le sable du genre utilisé pour les laisses de chiens. Stéphanie sort de son sac un épilateur sur batterie et se met au travail sur les jambes du pauvre Marc qui hurle de douleur sous son bâillon que Véronique avait pris soin de lui replacer. Le traitant de chochotte Stéphanie attaque ensuite le torse du malheureux. La séance de torture terminée, Anne demande à Marc le code PIN de son téléphone, celui de sa carte bleue et de ses accès à sa banque en ligne. Devant la réticence de Marc, Anne déclare qu’il n’avait droit qu’à une seule chance et qu’il est trop tard pour se reprendre, qu’il doit donc être puni. Elle se saisi à nouveau de l’épilateur et s’attaque cette fois aux aisselles : très douloureux, puis décide de lui faire l’intégralité du maillot de la même façon. C’est trop dur et Marc s’évanouie de douleur. - Ha non, pas question qu’il n’en profite pas jusqu’au bout ! Je veux qu’il se rende bien compte de ce qu’ils nous font faire pour leur plaire. » déclare Anne en le réveillant à coup de verres d’eau dans la figure, de baffes et pour finir de petits coups de pied dans les couilles. - je te promets que tu vas rester avec nous jusqu’à ce que j’ai fini ! Allez, je ne suis pas une méchante, c’est vrai qu’avec des poils aussi long ça fait un peu mal, je vais passer la tondeuse pour raccourcir tout ça avant de te finir. Et c’est parti pour la tondeuse, réglée à 5 mm qui élague cette abondante toison quasiment sans douleur. Mais quand elle termine sa tonte, elle fait un petit détour sur la belle chevelure dont Marc est si fier pour lui faire une malheureuse coupe au bol. Enfin, Anne reprend le vilain épilateur pour nettoyer les parties intimes du pauvre Marc qui supporte son calvaire jusqu’au bout. Pendant ce temps, Fiona retourne auprès de Nicolas et lui applique avec douceur de la Biafine, ce qui le soulage un peu de ses brulures. Il apprécie ce geste, surtout quand celle-ci s’attarde longuement à caresser sa bite qui se remet à gonfler et durcir rapidement. Elle la lui masse et remasse jusqu’à l’éjaculation libératrice qu’il a retenu au maximum pour faire durer le plaisir. Mais après avoir si bien joui, Fiona continue à astiquer cette belle queue qui en devient encore plus rouge qu’elle n’était et chauffe, chauffe comme pas possible. Et elle insiste encore et encore jusqu’à obtenir une deuxième puis une troisième éjaculation avant de s’apercevoir enfin que les ourses sont vides et qu’il n’en peut vraiment plus. Elle le libère alors de sa planche et le laisse comme ses copains avec juste des menottes aux pieds et mains. Fiona va ensuite voir Thierry en annonçant à tous qu’heureusement qu’il y en a un qui est gentil et obéissant dans le lot. Pour prouver qu’elle a vu juste elle lui demande également tous ces codes ainsi que l’endroit où il a garé sa voiture. Conscient des risques, Thierry n’hésite pas une seconde et leur dit tout ce que filles lui demandent. En récompense, il a le droit à de belles caresses de la part de toutes. Une fois bien tendu et encouragé par celles-ci, Christelle lui propose de choisir qui il veut sodomiser. Incrédule, il les dévisage d’un air interrogateur jusqu’à ce que Christelle lui précise qu’il doit choisir entre Marc et Nicolas et qu’à défaut de faire son choix, c’est les deux qu’il devra prendre. Et que les autres n’ont pas intérêt à résister s’ils ne veulent pas perdre définitivement de leur virilité ! Le cauchemar continue donc pour lui aussi. Il ne peut faire un choix mais ne pas en faire est encore pire : quel dilemme, et il faut répondre très vite, avant que ne tombe le verdict sanction : il se dirige sans rien dire vers Nicolas qui comprend et se met docilement en position. Marc n’a pour le moment eu que des sévices et aucune contrepartie ni plaisir, Thierry n’a pas voulu en rajouter. Mais cette nouvelle expérience qu’il se refuse à vouloir ne semble pas perturber sa belle trique : plus il essaye par la pensée de la faire tomber, plus celle-ci se tend vers son camarade. Thierry ne peut plus échapper et essaye de rentrer le plus en douceur possible dans le trou de balle de Nicolas mais les filles le pressent d’aller plus vite, plus fort et plus loin. Elles le harcèlent en lui fouettant le cul avec un martinet qui oblige, par réflexe de contraction, Thierry à se projeter en avant, c’est-à-dire dans le cul de Nicolas. Ce dernier qui souffrait sur les premières pénétrations commence malgré lui à trouver cela de plus en plus agréable et il lâche même un petit cri « OUI » dans l’assaut final de Thierry. Les trois mecs sont ensuite liés ensembles par les menottes de chevilles et leurs mains sont libérés pour une petite pause accordée par leur sadiques maitresses. Arrive ensuite deux nouvelles filles – Cécile et Marie – avec tout ce qu’il faut selon les dires de Patricia, ce qui fait redouter le pire aux garçons. Sophie leur présente leurs trois esclaves et demandent aux deux nouvelles à quoi elles ont envie de jouer avec ces deux-là sachant qu’elles ont tout pouvoir, à l’exception de la vie et de la mort. Cécile déclare vouloir se venger de ses séances d’épilation à la cire sur la personne ou plutôt sur le corps, puisqu’ils ne sont plus considérés comme des êtres humains mais des sujets d’expériences et de vengeance, de Thierry. En effet, les brulures de Nicolas risquent de ne pas supporter la cire chaude. Cette peau-là sera plus préservée par un rasage délicat avec crème à raser et baume après rasage : ce sera Marie qui s’y colle avec un plaisir non dissimulé puisqu’on distingue nettement sa culotte mouillée sous sa robe légère et transparente et une application digne d’une grande esthéticienne. Une fois les trois garçons débarrassés de tout poil sur l’ensemble de leur corps dorénavant comme glabres, ils ont droit à un bon repas pour reprendre des forces, accompagné par des boissons énergisantes auxquelles ont été ajoutés discrètement quelques cachets d’aspirine, histoire de mixer un effet excitant avec une activation de la circulation sanguine. Après ce repas revigorant, les menottes de chevilles sont remplacées par un dispositif donnant un peu plus de liberté de mouvement aux jambes tout en gardant les trois prisonniers enchainés ensemble. Le trio est alors prié de se mettre en route derrière Véronique et Fiona, encadrés et suivis par les autres. Ils avancent donc, toujours nus comme des vers, en boitillant maladroitement au début avant d’arriver à se synchroniser et à marcher d’un pas presque normal. Au bout d’une marche d’environ une heure, ils arrivent en haut d’une dune plus haute que les autres et aperçoivent les premières maisons de la ville et le parking en bout de plage. Ils sont toujours gardés par 6 filles qui les accompagnent mais Anne, Fiona, Sophie et Stéphanie les ont lâchés depuis un moment. En bas de cette dune, une nouvelle pause est commandée par Patricia et les garçons sont priés de mettre les mains derrière le dos pour reposer les menottes, puis dos à dos en triangle. Une corde, bien serrée par Valérie autour de leur poitrine les immobile bras et corps dans cette position tandis que Véronique fait un nœud autour des chevilles pour éviter tout départ de coup de pied Il est d’ailleurs rappelé que toute tentative d’agression ou de rébellion sera sévèrement punie ainsi qu’il ont déjà dû le comprendre. Cécile explique alors la suite des évènements : - Nous allons maintenant avancer vers le parking où nous attendent nos 3 voitures et celle de Thierry. Nous irons ensuite dans un ancien entrepôt que nous avons aménagé afin d’y terminer la journée. Si tout va bien, vous pourrez repartir demain matin puisque vous vous réveillerez tranquillement dans votre voiture. Comme nous allons approcher un peu des gens, nous allons faire barrage autour de vous pour ne pas nous faire repérer. Pour vous dissuader de toute tentative pouvant nous faire repérer, nous allons vous passer autour des boules un petit nœud coulant avec ce fil à couper le beurre dont chaque gardienne tiendra une extrémité. Vous comprenez facilement qu’a la moindre incartade il nous suffira de tirer un coup sec pour qu’il se passe ça que vous ne voulez même pas imaginer. Et si vous ne nous croyez pas capable de le faire, dites-le nous tout de suite pour qu’on vous le prouve… - Non non, il n’y aura pas de problème, on fera tout ce que vous voulez ! » dirent ensemble Marc, Thierry et Nicolas. - Je crois qu’ils commencent à comprendre la leçon. Ils savent maintenant que ce sont les filles qui font la loi au pays du plus fort. On devrait être tranquille. Mais gardez les bien à l’œil quand même, le collet serré et la main prête. Les voitures sont arrivées au fond du parking là-bas, on fait le détour derrière cette dune pour les rejoindre. Voilà Fiona, Sophie et Stéphanie qui arrivent. En avant ! Les garçons sont déliés et se remettent en file indienne, la laisse bien serrée autour des bourses et tendu par leur gardienne qui marche légèrement en avant de chacun d’eux tandis qu’une autre fille le surveille attentivement du regard. Marie marche un peu devant et plus en hauteur sur le côté pour vérifier la liberté de l’itinéraire et l’ensemble du convoi. Sophie et Fiona complètent le dispositif de camouflage du trio masculin. Arrivés au bord du parking, la tension est plus forte, tant chez les filles que sur le fil à couper le beurre… et les couilles. Ce fil commence d’ailleurs à faire mal, et les garçons sentent qu’il ne faudrait plus grand-chose pour que l’irréparable se produise. Ils se montrent aussi dociles et coulants que le nœud qui leur fait si peur ! Tour à tour ils embarquent à l’arrière de chacune des trois voitures des filles aux vitres surteintées, chacun toujours accompagné de sa maitresse qui le tient en laisse. On leur met la ceinture, rappelle encore une fois de ne pas faire de bêtises et un nouveau masque leur ôte la vue. Au bout de quelques kilomètres, ils sont invités à descendre, toujours en laisse, à avancer en essayant de ne pas trébucher pour éviter les à-coups sur celle-ci même si la tension est retombée, et à se mettre debout selon les instructions données. Les mains sont alors détachées pour être replacées en hauteur, légèrement écartées en V, puis les pieds sont également libérés, écartés et maintenus. Une fois les 4 hommes à nouveau immobilisés, les laisses sont enlevées ainsi que les bandeaux. Ils se découvrent alors dans une grande pièce, chacun attaché à une croix de Saint André située à un petit mètre d’un mur différent, ce qui leur permet de voir leur copain ainsi qu’une 4ème croix prête à l’emploi. Les filles sont assises au centre, autour d’une table garnie d’un bon repas. Avant d’annoncer une grande nouvelle, Anne explique qu’il y aura plusieurs épreuves au cours de l’après midi et de la soirée et que le vainqueur de chaque épreuve sera libéré 10 minutes pendant lesquelles il pourra venir à table pour boire et manger. Seuls ses pieds seront entravés pour éviter toute rébellion, d’ailleurs inutile puisque les portes sont verrouillées et que l’entrepôt est suffisamment isolé pour que personne ne passe à proximité. Anne annonce ensuite qu’après l’examen des portables des garçons, un certain Maxime doit arriver à la gare en fin d’après-midi, qu’elle l’a identifié grâce aux photos sur les comptes Facebook de leurs trois loustics. Il s’agit d’un beau black apparemment assez baraqué ! Elle a aussi trouvé parmi les photos le type de filles qui semblent lui plaire. Elle a donc répondu par sms avec le portable de Marc qu’ils avaient trouvés des filles et qu’il lui en envoyait deux avec la 307 de Thierry dont une grande brune aux cheveux long comme il les aime, qu’il fallait qu’il prévoie des capotes pour tout le monde ! Elles l’attendront devant la voiture. C’est donc Cécile et Véronique qui partiront à la gare accueillir ce quatrième partenaire pour la soirée. Ensuite, Anne monte à ses copines les sms, photos et vidéos les plus amusantes qu’elle a trouvé sur les portables. Les mecs demandent très poliment s’ils peuvent avoir un peu d’eau avant de continuer car l’après-midi a été très chaud et ils n’ont pas pu boire beaucoup. C’est demandé si gentiment qu’exceptionnellement, un grand verre de limonade à la menthe est accordé à chacun, sans qu’ils s’aperçoivent que quelques gouttes de produit vaisselle ont été mises dans ceux-ci. Une fois les verres bus, les mecs voient avec angoisse les filles venir à eux mais celles-ci leur expliquent qu’elles ne sont pas méchantes, qu’elles veulent juste jouer un peu comme les garçons jouent avec les filles en général, une simple inversion des rôles. Bien sûr, au début elles étaient obligées d’être un peu dures mais c’était uniquement destiné à les rendre plus dociles. Maintenant, elles promettent d’être très gentilles. Espérant sans encore trop oser y croire, ils sentent qu’elles les caressent avec des mains toutes douces, qu’elles les lavent et les rincent avec de l’eau à bonne température avant de les masser avec de l’huile de massage. C’est si agréable après les épreuves endurées qu’ils sombrent dans un état semi-endormi pour mieux encore en profiter. Après ce long moment de repos, elles passent à l’huile de massage stimulante Durex appliquée en bonne quantité sur les parties génitales et l’extrémité du gland de leurs hommes qui reprennent alors toute leur vigueur. Une fois les trois bites bien tendues et les hommes bien éveillés, le premier concours est lancé : il s’agit en 5 minutes d’en mettre un maximum dans trois petites coupelles qui seront pesées pour déterminer le gagnant. Celle qui aura réussi à faire gagner son partenaire aura également carte blanche sur les autres pendant les 10 minutes de trêve du vainqueur. Les filles organisent aussi un pari sur le vainqueur en mettant chacune un billet de 20€ sur un prénom, la somme sera répartie entre les gagnantes. Véronique se place à coté de Marc, Fiona à coté de Nicolas et Christelle va s’occuper de Thierry. Le chrono est lancé ainsi que les activités des 3 branleuses qui font de leur mieux pour extraire le maximum de jus à leur jouet. Au bout d’à peine 3minutes, les trois ont déjà éjaculé deux fois chacun mais elles continuent à aller chercher encore une petite giclée, tant et si bien que Marc et Thierry réussissent à éjaculer une troisième fois juste avant la fin de l’épreuve. Nicolas a la queue brulante mais aussi le ventre en feu à cause peut être de la sodomie reçue et surement également à cause du produit vaisselle ajouté à leur boisson, et pendant la pesée des coupelles n’arrive plus à se retenir et explose littéralement d’une énorme chiasse. Honte absolue, peur des représailles, soulagement, cris de dégout puis de rire, beaucoup de sentiments plus ou moins contradictoires se mêlent dans la salle pendant quelques instants. Fiona tire un tuyau d’arrosage d’un coin du mur et commence à nettoyer les dégâts aussi bien sur l’homme, le mur et le sol. Pour terminer son récurage, elle encule Nicolas avec le tuyau et réouvre le jet d’eau « pour nettoyer l’intérieur ! ». Cela ne manque pas de faire dégueuler le malheureux qui finit de se vider par l’anus une fois le tuyau ressorti. Un deuxième lavage complet est nécessaire. Hilares, les filles se remettent à la pesée des résultats et, sans grande surprise puisqu’il était le seul à n’avoir pas encore éjaculé de la journée, c’est Marc qui a fourni le plus de sperme avec 6 grammes contre 2 pour Nicolas et 5 pour Thierry. Marc est donc libéré et invité à table où il en profite pour se rassasier pendant que Véronique fait doucement le tour de Thierry en le regardant sous toutes les coutures, puis de Marc en le caressant légèrement de bas en haut avant de revenir derrière Thierry pour lui redresser la bite encore irritée et essoufflée avant de lui frictionner le bout du gland avec vigueur, ce qui le rend horriblement brulant. Après deux longues minutes de ce supplice, elle descend sa figure à hauteur de ce bout incandescent et souffle tout doucement son haleine chaude dessus. La sensation est diablement insupportable et Thierry ne peut s’empêcher de crier sa douleur. C’est sans compter sur la perversité de Véronique qui se redresse, pose les couilles sur le plat de sa main gauche et claque un grand coup avec sa droite. Sans réussir à respirer, il n’arrive qu’à murmurer des cris et toutes sortes d’insultes à son bourreau qui remet ça encore deux fois avant que plus un son ne réussisse à sortir de la bouche du malheureux. Enfin, les 10 minutes sont terminées, trop rapides pour Marc mais beaucoup trop longues pour Thierry. C’est également l’heure pour Cécile et Véronique de partir à la gare chercher leur ami Maxime. Dans la salle des tortures, ce sera un temps de pause ou les esclaves ne seront pas sollicités et ils pourront dormir, bien sûr attachés sur leur croix. Ils ont même le droit à un verre d’eau, pure cette fois, ainsi que des consignes sur l’arrivée future de Maxime : aucun bruit ne sera toléré de leur part car cela gâcherait le plaisir des filles qui veulent faire une surprise au nouveau … - qui de toute façon ne pourrait absolument rien tenter puisqu’il sera secrètement encadré par Sophie, Christelle et Stéphanie impatientes de faire joujou avec les nouveaux Tazer achetés la semaine dernière. Donc, toute action contraire au but recherché sera réprimée de manière définitive avec ce que vous voyez sur le bord de la table » Table sur laquelle les trois cobayes aperçoivent avec effroi un maillet et une petite planchette de bois. - Et maintenant reposez-vous un peu avant le dernier acte ! Cécile et Véronique arrivent à la gare quelques minutes avant l’heure d’arrivée du train et se garent à proximité de la sortie du bâtiment sur un parking où sont déjà stationnées une dizaine de voiture attendant leurs passagers. Quelques voitures arrivent encore avant que ne sortent environ vingt personnes de la gare. Un black s’arrête à la sortie, parcourt le parking du regard et s’avance vers Cécile debout à côté de la 307. Ils se présentent, se font la bise, Cécile ouvre le coffre dans lequel Maxime jette son sac. Véronique sort également dire bonsoir à Maxime et se remet au volant. Cécile propose à ce dernier de monter derrière avec elle. N’en croyant pas sa chance, il accepte volontiers l’invitation et s’installe derrière Véronique. Cécile lui explique alors que l’équipe est en train de faire un jeu de piste et qu’ils vont les retrouver à la prochaine étape mais qu’il serait plus juste qu’il ignore, tout comme eux, l’endroit exact de cette étape. De toute façon, il y aura des récompenses pour tous les participants. Et le regard lancé par Cécile aussi bien que celui de Véronique dans le rétroviseur ne laisse pas le moindre doute à l’innocent Maxime qui se plie de bonne grâce à l’épreuve du masque. Pendant le trajet, Cécile le chauffe un peu en discutant avec lui, elle lui demande ce qu’il aime, quel type de femmes, ce qu’il aime chez elles, s’il a des fantasmes, … Elle lui caresse les cuisses mais lui interdit de faire pareil, lui demande de se laisser faire et de rester tranquille, lui tâte les bras musclées, le torse. Elle ne s’aventure pas sur le bas ventre mais devine aisément les effets produits lorsque la voiture passe sous un lampadaire et qu’un faible éclairage entre dans l’habitacle. N’y croyant toujours pas, Maxime savoure chaque seconde ce trajet en se demandant comment la soirée pourra être meilleure encore. Une seule angoisse au tableau : a t-il prévu assez de capotes ? Malheureusement, il sent que la voiture ralentit et s’engage sur un petit chemin de terre avant de s’arrêter. Cécile sort et fait le tour de la voiture pour lui proposer de la suivre en la tenant par les épaules. Il en profite pour caresser un peu ces beaux et longs cheveux qu’il a aperçus devant la gare et la suit très docilement. Il passe une porte, sent une odeur d’encens qui parfume les lieux et se laisse diriger sur la gauche et s’immobilise quant Cécile se retourne devant lui et pose ses main sur sa taille, les remontent sur les côtes puis sur ses bras qu’il a toujours aux épaules de Cécile. Elle lui prend les poignets « Tu permets ? » et sans attendre les monte aux extrémités de la quatrième croix. - Les autres ne sont pas encore arrivés, ils seront là dans une dizaine de minutes mais tes copains nous ont dit que tu étais joueur ! Avec Véronique, on peut s’occuper de toi pour faire passer le temps. Tu veux bien qu’on t’attache ? Une telle occasion ne se présentera pas deux fois dans sa vie, il en est sûr ! Et encore une fois se laisse enchainer avec plaisir. Deux paires de mains s’affairent à le frôler du crane aux pieds, de droite à gauche, encore et encore avant de le déchausser, de remonter son T-shirt sur sa tête et de repartir courir sur sa peau hyper excitée. Les passages sur les intérieurs des cuisses ont notamment un effet ravageur à l’intérieur du caleçon mais les mains ne s’arrêtent pas là et continuent à sensibiliser toute la surface de sa peau. Maxime est en extase complète et ne regrette pas d’avoir voulu rejoindre ses copains qui ont fait très fort sur ce coup-là. Il gémit de plaisir sous ces caresses mais Cécile lui demande de faire silence, de se retenir au maximum pour ressentir toute l’intensité de ces sensations. Enfin, deux mains attrapent les bords du caleçon qui est accompagné jusqu’aux chevilles. Mais ces mains ne s’approchent toujours pas de son sexe qu’elles ne peuvent pourtant pas rater tant la taille est imposante. Elles commentent pourtant son corps musclé, ce torse si lisse et glabre qu’on le croirait épilé, ces bras puissants avec des mains pourtant douces, et cette queue impressionnante ! Elles le tartinent de lait nourrissant sur tout le haut, les bras et pour finir la verge et les boules – mais alors Véronique échange discrètement le lait avec une crème dépilatoire. Maxime ne s’en rend absolument pas compte car Cécile continue avec le lait sur les jambes, rejointe peu après par les mains de sa copine. Au bout de 20 minutes de ce traitement, Il n’en peut plus mais commence à ressentir les effets brulants de la crème dépilatoire sur ses parties génitales sans pouvoir identifier que la cause ne vient pas uniquement de son envie de jouir. Il n’a jamais ressenti une telle envie et pense qu’il est arrivé à l’ultime jouissance – le graal de tout homme digne de ce nom ! Mais ça chauffe de plus en plus et demande à ses deux « déesses de l’amour » ce qui se passe. Elles ne comprennent pas et lui disent qu’on va se calmer et le rincer pour éviter tout problème. Elles vont même frotter légèrement avec un gant de crin pour bien tout enlever. Et effectivement, elles enlèvent bien tous les poils sans qu’il ne se rende compte de rien. Au contraire la séance de rinçage lui fait du bien et calme le feu de la crème. C’est quand la main de Sophie, qui s’est invitée silencieusement, lui passe sur les couilles qu’il se rend compte d’une sensation bizarre et demande ce qu’elles ont fait exactement. Alors qu’elle lui demandant le silence, il sent que ses vêtements sont découpés pour être complètement retirés et proteste plus énergiquement et exige d’être détaché et d’ôter son masque. Lorsque ce dernier est ôté, il est d’abord aveuglé par la lumière avant de découvrir ses trois copains en fâcheuse position. Maxime comprend alors seulement qu’il est dans la même condition que ses potes et demande des explications. Avec un grand coup de pied dans les testicules, Cécile lui ordonne de se taire, que ce soir ce sont les filles qui commandent. Refusant de se soumettre comme ça, il se fait fouetter le cul par un martinet tout en prenant des coups de cravache sur les couilles. - Tes copains ont appris à obéir ! Tu peux leur demander des conseils. Ça t’évitera de prendre trop cher ! Pour commencer on va te poser la laisse ! Allez y vous autres, vous avez le droit de parler maintenant pour lui expliquer, mais l’un après l’autre et sans crier, sinon … Le collet est rapidement posé autour des bourses de Maxime et bien serré d’entrée de jeu. L’effet de ce collier et les explications fournis par ses copains ont calmé les velléités de rébellion de l’athlète qui se tient alors tranquille. Après avoir laissé les 4 amis échanger librement pendant près de 10 minutes, elles mettent fin à la liberté d’expression de ceux-ci et retire le lien blessant posé à Maxime. Afin de reprendre le cours de leur activité, Patricia décide de redresser cette bite noire en mettant une main sous les couilles et en la branlant de la main droite jusqu’à claquer sa main gauche. Maxime serre les dents pour ne pas crier à chaque fois que ses couilles en prennent un coup et parvient à résister et obtenir une érection qui impressionne les filles. Afin de savoir si le contenu des bourses est à la hauteur de la taille de la queue, Patricia insiste jusqu’au moment où il ne peut plus retenir son éjaculation, ainsi qu’une deuxième, beaucoup plus symbolique, quelques minutes plus tard. Et le résultat semble intéressant, la coupelle est pesée à son tour et la balance indique 8 grammes. Patricia déclare que ce serait du gâchis de jeter toute cette semence et demande à Maxime de la bouffer. Devant son refus, elle lui propose alors, tout en accompagnant ses dires des actions qui vont avec, de faire griller ses couilles à la bougie, et de les manger après ! Avec une réticence et un dégout compréhensible, et après avoir supplié d’écarter la bougie qui lui brule les burnes, Maxime s’exécute et lape sa coupelle de sperme. - C’est pourtant bien ce que vous nous demandez d’avaler, non ? Comme ça maintenant, vous serez au courant de ce que vous exigez de nous et vous y réfléchirez à deux fois ! On ne demande pas aux autres de faire ce qu’on ne voudrait pas faire soi-même. - Maintenant que vous êtes à égalité et que vous avez tous les quatre assez souffert, on va jouer à ce que vous aimez. Puisque nous sommes toutes en fac de médecine, on va pouvoir jouer au docteur. Marie étant en 3ème année, elle sera notre professeur de travaux pratiques et vous ferez nos cobayes. Le programme annoncé, elles ôtent leur T-shirt et robe, enfilent une veste d’infirmière et retirent ensuite leur soutient gorge, short et culotte de façon bien visible pour bien faire comprendre ou qu’elles sont nues sous leur blouse. Elles posent et ouvrent alors sur la table un sac de voyage duquel elles retirent toutes sortes d’instruments médicaux. Les garçons reconnaissent entre autres des pansements, des scalpels, des seringues, des aiguilles, des produits en bouteille et autres instruments divers et variés dont ils ignorent l’usage. Marie prend alors la parole pour expliquer la suite des évènements : - Mesdames, nous allons commencer par réviser les piqures ! La première sera une sous-cutanée, dans le bras droit de votre patient. Vous y mettre 2 ml de tranquillisant mélangés à 1 ml de GHB. Le tranquillisant devrait calmer nos petits gars mais en les gardant éveillés et conscients, pendant que la GHB inhibera leur résistance, leur volonté pour les rendre dociles et soumis à souhait. Rassurez-vous, leurs sensations seront conservées, ils se rendront compte de tout ce qui va leur arriver, seules leurs réactions seront amoindries sinon annulées. Les effets auront une durée d’efficacité de l’ordre de deux heures et vous devrez donc veillez à bien les rattacher avant la fin de celle-ci, soit avant 22h30 ! Après cela, ce sera l’heure du somnifère pour nous laisser le temps de nettoyer, de les remettre en voiture sur le parking de la plage et de disparaitre. C’est parti, à vous de jouer pour la préparation des corps ! Dans les 10 minutes d’attente de l’effet de l’injection vous ferez également une prise de sang, puis, vous pourrez à tour de rôle et par binôme, présenter à l’assemblée un exposé de votre choix. La prise de sang permettra de réguler la résistance de chacun. En effet, plus ils résisteront, plus ils perdront de sang et seront épuisés. A eux de choisir entre calme et soumission ou épuisement : pour nous, le résultat sera équivalent. Résignés et ayant bien compris que leur calvaire cesserait dans 2 heures, et même s’ils s’inquiètent secrètement de la tenue qu’ils auront au réveil dans la voiture sur le parking public, les 4 garçons se laissent piquer et essayent de faire baisser leur tension pour la prise de sang. Mais les infirmières et apprenties docteurs ne l’entendent pas ainsi et font leur possible pour les énerver. Dans un premier temps, elles se caressent mutuellement très langoureusement, ce qui fait remonter la tension des jeunes hommes, mais les garçons ferment les yeux pour échapper à ce spectacle bandant. Constatant que les queues de ces messieurs retombent, traduisant ainsi une baisse de la tension artérielle, elles se mettent à deux sur chacun pour lui réveiller les sens : frôlements, caresses, massages érotiques et branlettes font leurs effets inévitables et chacun perd plus d’un demi-litre de sang avant que les dix minutes ne soient écoulées. Le premier binôme constitué de Cécile et Christelle détache alors prudemment Marc pendant que les autres filles le surveillent, armées de leur Tazer. Mais cette surveillance est inutile, la GHB rempli son rôle et Marc n’a aucun signe de rébellion alors qu’il rejoint la table à quatre pattes comme demandé par Cécile. Il monte ensuite sur la table, s’y couche sur le dos, bras et jambes écartées afin d’y être attaché. Un casque intégral à visière opacifiée lui est posé sur la tête. - Je suis sûre que vous ne connaissez même pas l’existence du point G masculin ! On a appris ça dans nos cours et on va vous en faire la démonstration. Christelle se place entre les jambes de Marc et lui glisse son majeur dans le cul. Elle caresse alors doucement l’intérieur vers le bas ventre et Marc sent effectivement monter une sensation inconnue mais extrêmement agréable. En même temps, Cécile le branle tranquillement et c’est dans une grande jouissance qu’une dernière éjaculation secoue Marc. - Nous avons aussi appris quelques rudiments d’acuponcture que nous allons maintenant essayer de développer. Tout d’abord, les points classiques très connus … Marc sent alors de nombreuses aiguilles le piquer mais sans douleur. Cette douleur est bien plus visible dans les yeux effrayés des trois autres compères qui assistent malgré eux au spectacle. - … et ensuite des points inconnus qui n’ont pas encore fait l’objet d’étude scientifique. Nous entrons en phase expérimentale. Sentant alors qu’une main commençait à maintenir sa queue toujours bien dure, Marc hurle de peur et un bâillon lui est rapidement enfoncé dans la bouche. - Si tu commences à crier avant d’avoir mal, on ne s’en sortira pas ! Alors : Silence. La visière est rabaissée, Marc ne peut plus voir, parler mais ses sens sont en alerte. Il se tortille comme il peut mais rien n’y fait, il est bel et bien immobilisé sur cette table, à la merci de ces filles. Une première aiguille se plante dans la peau du prépuce, sans grande douleur puisque celui-ci ne contient pas de terminaison nerveuse mais une deuxième traverse sa bite, légèrement sur le coté, et la douleur est réelle même si elle reste supportable. La troisième prend le chemin intérieur et rentre par l’orifice de l’urètre sur plus de 15 cm. Là encore, la douleur augmente mais reste supportable. Christelle constate que leur jouet se ramolli un peu et rentre à nouveau son majeur dans l’anus, accompagné cette fois de l’index, pour restimuler le fameux point G et regonfler le pénis. Quand une dernière aiguille lui transperce une bourse de part en part, Marc ne peut plus résister, il crie dans son bâillon, s’agite tant qu’il peut et fini par s’évanouir, tant de douleur que d’épuisement et de tension nerveuse. - Parfait les filles, laissez-le se reposer, surveillez ses fonctions vitales et passons aux suivantes. Véronique et Fiona, c’est à vous avec Thierry. - Merci. Comme vous avez pu le constater à l’instant, la peau du prépuce ne contient pas ou très peu de terminaisons nerveuses. Nous pouvons donc sans crainte procéder à une circoncision de notre patient ici présent. Nous allons profiter du fait qu’il ne soit pas en érection pour cette opération car la peau ne sera pas tendue. Munie d’un petit ciseau de chirurgien, Véronique taille tranquillement cette peau autour du gland, sous les yeux horrifiés de Maxime et Nicolas qui n‘arrivent pas à croire à ce cauchemar, et malgré les agitations de Thierry qui se débat. - Arrête de gigoter où je vais te couper autre chose que de la peau ! Faudra pas te plaindre. La découpe terminée, Fiona applique de l’eau oxygénée pour aider la cautérisation et stopper les saignements. Puis, Valérie revient avec un gros tube transparent relié à une petite machine. Elle enfile le tube sur la verge de Thierry et met en route ce qui s’avère être une pompe à vide. La dépression ainsi engendrée autour de la queue de Thierry appelle un afflux de sang dans celle-ci qui se met inévitablement à grossir de manière impressionnante. - Voyez-vous messieurs qu’une simple pompe à vide est encore ce qu’il y a de plus efficace pour vous donner toute la vigueur nécessaire au prochain exercice, et cela, que vous le vouliez ou non ! C’est surement moins agréable pour vous que le point G découvert par Christelle mais plus propre pour nous, pauvres filles obligées de satisfaire tous vos fantasmes. Donc, maintenant que cette queue est aussi dure que possible, nous allons vérifier sa solidité. Fiona se place derrière Thierry, à genoux, et prend la bite de celui-ci dans sa main. D’un grand coup, elle la tire vers le bas comme pour essayer de l’arracher. Malgré un cri de douleur de son propriétaire, elle tient bon et revient à sa position initiale après l’épreuve. Fiona recommence sans précipitation et tire cette fois ci progressivement de plus en plus fort. Thierry pense sa dernière heure venue et croit qu’il va perdre sa bite tant la douleur est intense Mais le corps humain ne cède pas si facilement et Fiona doit s’avouer vaincue pour le moment, en promettant qu’elle aura sa revanche. - Puisque je n’ai pas réussi à arracher cette saleté, nous allons procéder différemment pour empêcher cet homme de nuire ultérieurement aux femmes. Je vous propose une castration par suppression des couilles. Pendant que les autres filles s’empressent de mettre les baîllons aux trois garçons qui ne peuvent plus se taire et commencent sérieusement à croire qu’ils ne sortiront pas vivants de ce piège, Fiona va chercher une petite planche de bois et un scalpel et revient vers Thierry qui s’agite pour ne pas la laisser œuvrer. Pour le calmer, Fiona lui balance un grand coup de pied entre les jambes. Avant qu’il ne s’en remette, elle place la planchette sous une couille et d’un coup de scalpel la détache, enlève le bâillon, lui fourre la couille dans la bouche, remet le bâillon, lui pince le nez et ôte de nouveau le bâillon au moment où il suffoque. Il en avale sa couille en reprenant de l’air. Le bâillon est remis en place, le nez laché. Mais Véronique réitère par surprise l’opération avec la deuxième couille qu’elle conserve pour la ramener sur la table. Une dissection minutieuse permet à tous de visualiser concrètement l’intérieur d’une couille : plein de petits tuyaux minuscules enroulés les uns sur les autres : les tubes séminifères où sont produits les spermatozoïdes ! Thierry est abandonné, comme Marc, plus ou moins évanoui. - Bravo, belle démonstration de la solidité d’une queue et magnifique opération de castration effectuées sans à-coup. Quant à la dissection, un point supplémentaire aurait pu être gagné si vous l’aviez fait sur la bête ! Peut-être une idée pour les suivantes … Marie regarde alors Nicolas et Maxime complètement paniqués et incapables de se contrôler. Toutes rigolent un bon coup pendant que Valérie et Patricia s’approchent de Nicolas tremblant de peur et s’étant fait dessus. Valérie utilise une cravache pour couvrir de petits coups tout le corps de Nicolas pendant que Patricia lui assène des coups de fouet. Une fois le corps rouge des coups de cravaches et lacéré par les coups de fouet, Patricia s’acharne sur les fesses et Valérie sur la bite et les couilles. Chacune leur tour, elles frappent de plus en plus fort jusqu’à ce que Nicolas semble abandonner toute résistance et n’ai même plus la force de crier à travers son bâillon. Patricia reprend la pompe à vide pour redonner un peu de vigueur à la partie qui les intéresse de ce corps qui ne ressemble plus vraiment à un corps d’homme. - Ne t’inquiètes pas, nous n’allons pas te couper les couilles comme Thierry, nous avons une autre idée pour t’empêcher de nuire. Véronique et Fiona ont supprimé la machine à fabriquer les spermatozoïdes dont vous êtes si fiers, mais il y a d’autres moyens, comme par exemple de supprimer la liaison entre les bourses et le reste. Nous allons te ligaturer les couilles : un simple fil enroulé serré à la base des bourses. Tu verras, ça ne doit presque pas faire mal. Sans avoir la force de la moindre réaction, Nicolas baissa la tête pour regarder Valérie poser son fil de coton entre sa queue et ses couilles et tourner en serrant de plus en plus. La première douleur s’affaibli progressivement jusqu’à disparaitre complètement mais la vue de ses bourses qui sont passées du rouge après les coups reçus au violet après l’étranglement et qui maintenant sont en train de virer au noir lui confirme qu’elles doivent être en cours de nécrose à cause de l’absence d’irrigation sanguine. En effet, après dix minutes, les couilles sont toutes noires et complètement insensibles aux coups et piqures que testent Valérie et Patricia. Même après que le fil ai été enlevé, le sang ne revient pas, « Les couilles sont mortes ! » déclarent fièrement les 2 castratrices aux autres. Pour le prouver, elles reprennent avec vigueur une séance de branlette, assistée de la pompe à vide. Et même si la bite affiche une belle forme, bien que des contractions d’éjaculation soient présentes, rien ne sort au bout du gland malgré tous les efforts des deux filles. Satisfaite et hyper excitée, Patricia monte sur une chaise devant Nicolas, relève sa blouse et lui pisse dessus sous les applaudissements de ses copines. Fiona retourne à la table et revient avec une seringue qu’elle a remplie et la plante dans le bas ventre, juste au-dessus de la verge de Nicolas. Assez vite, il ressent les effets de l’anesthésiant local injecté et n’a plus aucune sensation au niveau de l’entre-jambes. Fiona arrive alors avec ce qu’il identifie comme un sèche-cheveux, mais c’est plutôt un décapeur thermique qu’elle met en fonction pour commercer à chauffer sa bite, à distance et en évitant le ventre et les jambes par une plaque de protection. Nicolas ne souffre pas physiquement mais au fur et à mesure, au bout de quelques minutes, il commence à sentir le grillé tout en voyant sa queue passer du rose au rouge puis au noir. - Qui veut gouter un hot-dog maison ? Mais où sont les frittes qui vont avec ? Fiona croque le gland et déclare que c’est cuit juste comme il faut, que ça ressemble un peu à du boudin et que ce serait meilleur avec un peu de moutarde. Nicolas regarde les filles croquer tour à tour un petit peu de sa bite, mais le pire est qu’il ne sent rien et ne peut que constater visuellement qu’elles lui ont tout bouffé ! C’est un cauchemar dont il n’est pas sûr de se réveiller. Il s’endort enfin, vaincu par la fatigue, la douleur, la peur et le stress. Abandonnant leurs trois premières victimes, les filles se rassemblent autour du pauvre Maxime terrorisé. - Avouez Mesdames, que celui-ci est quand même le plus bel exemplaire du genre masculin qu’on ait eu jusqu’ici ! Il serait dommage de l’abimer. Aussi je vous demande d’en prendre soin et d’opérer avec un maximum de délicatesse. - Pour commencer nous allons toutes nous charger de le laver de haut en bas et de le badigeonner de crème adoucissante pour le corps. Au travail ! Agréablement surpris mais restant méfiant après ce qu’il avait vu jusque-là, Maxime se laisse nettoyer, soigner et parfumer au lait corporel. Après cet instant de douceur, Anne branla un peu la verge de Maxime qui ne tarda pas à gonfler et à se monter très impressionnante. - Ah oui, en effet, il ne faudrait pas abimer ça, il faudrait plutôt qu’on puisse la conserver pour en profiter tant qu’on veut. Pendant ce temps, Stéphanie s’est équipée d’un gode ceinture, le plus gros qu’elles avaient en stock, et passe derrière Maxime. Sans avoir préparé le terrain ni lubrifié son engin, elle attaque directement l’anus du jeune homme qui tente de résister un moment avant de s’apercevoir que cela ne sert à rien et que la douleur est moins grande en se laissant pénétrer sans « serrer » les fesses. Après lui avoir bien fait chauffer le trou de balle, Stéphanie se détache de son gode de manière à le laisser en place et met en route la fonction vibrante avant de remettre un masque sur les yeux de Maxime. A l’aide d’une feuille de cuisson en silicone, Valérie forme un entonnoir autour des bourses et de la queue de Maxime, toujours bien tendue, et le maintien bien en place avec des gants isolants tandis que Sophie s’approche avec une bouteille thermos qui fume par le goulot. Maxime ressent d’abord une impression de froid qui disparait relativement vite à la base de ses attributs. Après quelques minutes, il a enfin le droit à des explications : - On t’a noyé l’ensemble dans de l’oxygène liquide, histoire de geler le tout, comme ça, c’est devenu une stature de glace, regarde ! déclare Marie Elle ôte alors le masque pour que Maxime voie Christelle donner un petit coup de marteau au niveau de la base de ses couilles et faire tomber dans sa main tout son attirail sexuel. - Qui veut une bonne glace ? A son tour, Maxime tombe dans les pommes, laissant les filles seules entre elles. - Je crois qu’on ne pourra plus faire grand-chose avec ceux-là ! Il nous reste à tout nettoyer, à nous débarrasser des corps. On les mettra dans la voiture qu’on emmènera au fond de cette ancienne mine, avant d’y mettre le feu et de recouvrir le tout de chaux vive. La galerie descend sur près de 500 m, il suffira d’y faire un petit éboulement devant la carcasse. Comme ça, on pourra encore utiliser cette galerie pour les suivants. - Une vrai chance que tu ais hérité de cette ancienne mine avec son bâtiment d’accès loin de tout. Tu ne savais pas quoi en faire au début mais tu as bien fait de nous en parler. Il faudra qu’on trouve d’autres jeux et d’autres idées, mais je pense que comme moi, vous n’êtes pas en manque de fantasmes vengeurs. - Moi, pour les prochains, je voudrais partir moins sur les sévices physiques mais utiliser la peur de ceux-ci pour les humilier mentalement, les forcer à tout nous dire, à se mettre à nu, nous montrer tous leurs secrets, leurs conversations sur Skype et autres Facebook, leurs photos intimes, celles de leurs copines et qu’ils nous les commentent ! Qu’ils nous donnent leurs codes, leurs accès à tout : banques, mails, réseaux sociaux. Je veux les vider totalement de tout ce qu’ils peuvent contrôler. Prendre le contrôle de leur vie. L’idéal serait d’y arriver sans violence physique, juste en les menaçant ou en menaçant de s’en prendre à leurs copains, à leurs copines ou à leurs familles. - Oui, ça pourrait être le fil conducteur de la prochaine séance si vous êtes toutes d’accord. Mais, à la fin, il ne faudra pas laisser de traces et donc on reste sur une suppression finale totale. Sinon, le risque est trop grand. Attention toutefois, à vouloir tout connaitre de leur vie, il ne faudra pas s’attendrir sur ces mecs et rester inflexibles sur le débouché des hostilités. OK ? A l’unanimité : OK !

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10-10-2018 0 10539

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