JAMAIS TROP TARD (2)

Récit érotique écrit par portois1954 le 24-12-2019
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Catégorie Couple

Gourmande avait gardé sa culotte et son soutien gorge et je fis sortir chacun de ses seins des bonnets qui les comprimaient. Nous étions dans une semi-pénombre qui était sans doute sécurisant pour elle. Allongée sur le dos, j'entendais sa respiration s'accélérer à chaque caresse que je lui prodiguais. 
Je parcourais son corps de mes mains qu'elle trouvait chaudes tandis que ma bouche aspirait alternativement ses tétons. Ils durcissaient et je pouvais sentir sous mes doigts les picots d'excitation sur le pourtour de ses aréoles. Elle me tenait la queue avec force, la comprimant un peu maladroitement mais qu'il était bon de me sentir prisonnier de ses doigts. Lorsque ma main parvint à son entrejambe, je devinais un mont de vénus bien rebondi sous le coton de sa culotte. Je l'empaumais en le malaxant doucement et quand mon majeur s'inséra dans sa fente vaginale, le tissu était tout trempé d'une mouille abondante. Je passais un doigt en dessous de l'élastique de sa culotte et vint au contact direct de son intimité que je doigtais sans retenue. 

Douceur et chaleur de sa mouille abondante m'incitait à la posséder de manière forte. Trois doigts actifs dans sa chatte la faisait gémir. Je me mis sur le côté alors qu'elle était sur le dos, je soulevais ses jambes les posant sur les miennes. J'amenais mon gland au contact de sa vulve et la pénétrait d'un coup. Sa chatte était profonde et captura ma bite tendue comme jamais. Tout autour de ma queue je ressentais des contractions de ses chairs intimes et constatait que son utérus était gonflé, gorgé de sang comme ma bite pouvait l'être, bref elle bandait fort elle aussi. La baisant doucement et avec la volonté d'aller au plus profond de sa chatte à chaque coup de rein et sans autre caresse, je la sentais prête à jouir. Gourmande était vaginale. Je la besognais de plus en plus vite et la fit crier de plaisir. Je l'accompagnais avec des mots doux, l'incitant à aller loin dans son plaisir et ainsi je lui fis avoir deux orgasmes coup sur coup qui la rendirent haletante et abandonnée, jambes resserrées dans un besoin de faire retomber l'excitation entre son entrejambe. Je continuais à lui caresser les seins, faisant courir mes mains sur son corps. 

J'aimais la sensation électrisante dont son corps entier semblait être doté. Je pris le temps de la laisser se décompresser ma queue toujours fichée dans sa chatte. Quand elle eut retrouvé un peu plus d'amplitude dans sa respiration, je me mis à lui caresser son clitoris et quasi instantanément, je reçus un petit jet de liquide tout chaud sur mes doigts alors qu'elle se pâmait à nouveau, tout son corps pris de contractions que ma queue percevait en direct , comprimée par ses parois vaginales gonflées. Gourmande était aussi clitoridienne et très expressive dans la montée de son plaisir. J'aimais ça et le lui dit tout en continuant à la baiser avec douceur. Je sentais bien qu'elle avait coulé entre ses cuisses et les bruits de succion, les « flocs flocs » perçus à chaque fois que je la pénétrais confirmais ses belles coulées. Il y en avait plein dans sa raie culière, et de mon majeur je m'en servis pour lui lubrifier l'anus. Bientôt mon doigt dans son cul suivait le même mouvement d'avancée de ma bite dans sa chatte. 

Gourmande acceptait cette double pénétration tant que rassuré sur ses capacités à aimer la sodomie, je quittais sa chatte pour positionner mon gland contre son œillet. Je n'eus pas à forcer trop pour la pénétrer mais je le fis consciencieusement et méthodiquement. Je voulais qu'elle me prenne en entier au fond de ses reins et quand, lui soulevant une jambe, je me fichais au plus profond de son fondement j'y restai un moment lui faisant prendre conscience qu'un pieu de chair de 20cm était planté dans son cul, un doux fourreau. Conscient de son acceptation et de son aptitude, je la besognais de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plaisir qui allaient crescendo et quand elle explosa, je lui lâchais de longues giclées de foutre au plus profond de son tunnel. 

Gourmande était aussi anale, pas loin d'être la femme exceptionnelle dont rêve beaucoup d'hommes, à savoir disponible une fois conquise, jouissive de toutes parts. Ne me restait plus qu'à découvrir ses capacités en matière de caresse buccale et quittant le confort de son trou du cul, je me mis sur le dos et l'invitait à me sucer dans des termes qui ne lui laissaient pas d'alternatives. Je voulais qu'elle comprenne que dès cette première fois,il n'y aurait aucun interdit ni de tabou dans le relationnel que je souhaitais établir entre nous. A mon invite, elle emboucha ma queue sans même se demander si elle était souillée et se mit à me sucer avec application même si j'estimais qu'il y aurait du progrès à faire de ce côté là. Gourmande se montrait appliquée, douce et patiente et acceptait ma main sur sa nuque pour lui bloquer la tête afin de lui baiser sa bouche telle que je l'avais fait de sa chatte. 

Elle aimait sucer même si un peu sur la réserve. Je savais qu'il me fallait l'amener à du mieux dans tous nos échanges mais aussi à s'accepter comme elle était afin de ne plus éteindre la lumière lors de nos ébats futurs.

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24-12-2019 0 2509

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