Marie Passage à l’acte (version hard)

Récit érotique écrit par marika342021 le 18-03-2021
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Catégorie Partouzes-Orgies

 

Je viens de terminer un long cycle d’apprentissage.

Mon dernier jour dans cette étude de notaires…

 

Je deviens cadre de la fonction publique…

 

J’ai organisé un apéritif pour tous mes collègues et mes 2 patrons associés qui m’ont donné ma chance en sortant de la fac de droit, et mes nombreux et nombreuses amis, collaborateurs, et quelques personnes de l’extérieur avec lesquelles j’avais créé une sympathie particulière.

 

J’ai fait confiance à un traiteur, pour organiser cette réception, je désire que tous s’amusent, un apéro dinatoire, dans les salons de l’hôtel attenant à l’étude notariale…

 

Mon cheminement fut jonché de succès, et de quelques déboires, qui ont fait ma force, et d’opportunités diverses. Ils veulent tous me remercier pour avoir facilité nos rapports.

« J’aime que tout soit Clerc, comme je le disais souvent pour plaisanter »…

 

La petite salle de réception est parfaitement décorée et nous passons aux speechs de remerciement qui me laissent en larmes.

 

Les deux associés de l’étude me couvrent d’éloges, Cédric et Didier, avec lesquels j’ai parcouru dix ans, m’intégrant à tous les niveaux, particulièrement vers le droit des affaires, des marchés et des spécificités de l’administration française…

 

Je lance la soirée, on peut s’assoir et discuter, danser, bavarder entre gens de métier ou proches. J’ajoute qu’on peut même se rapprocher…

 

Il y a des journalistes, des banquiers, des courtiers, des assureurs, des collègues et quelques clients, tout un panel de personnes avec lesquelles j’ai fait mon apprentissage…

Le métier de notaire s’est féminisé petit à petit, ma préférence va vers Louane…

Une jeune diplômée avec des parents adorables et riches qui lui ont permis de créer son étude, après être passée par ma place. Je l’ai remplacée, mais je n’étais pas autant diplômée, raison de ma mise à niveau volontaire en dehors des voies normales… Mais j’ai réussi…

Elle était ravie le jour de mon diplôme…

 

Nous nous sommes suivies, on a gardé des relations professionnelles, je l’adorais en dehors de son étude, jeune femme vive, charmante, belle, sensuelle même…

J’ai gardé mes distances pour ne pas gâcher cette complicité, voire cette amitié qui s’était instaurée entre nous…

Je sentais une attirance réciproque, parsemée de regards et de gestes…

Il m’est arrivé de penser à elle… Je l’imaginais en dehors du travail, essayais de deviner la femme sans son tailleur Chanel (Sans jeu de mots…)

 

Assise sur le grand bureau, jupe remontée en haut des cuisses, avec vue sur sa culotte immaculée marquée de son désir de femme….

Je m’approchais de cette vestale, écartait la veste de son tailleur, sous laquelle elle était nue, ses seins pleins offerts à ma bouche, tétons fièrement dressés, encadrés par sa chevelure de jais…

 

Aussitôt, mon mécanisme intime réagissait, je glissais mes doigts vers mon intimité, appuyant sur mon pubis, ouvrant mes cuisses dans mon lit ou dans la baignoire, parfois devant la télé, étendue lascivement sur mon canapé et mes doigts mettaient le feu à mes organes, jusqu’à un orgasme libératoire…

 

Une fois ma libido en émoi, d’autres images défilaient, s’entrechoquaient, jamais la même, sauf la première…

Ma bouche contre son sexe, langue glissante, nous découvrions notre facette inconnue, devenions amantes, libertines et lesbiennes…

Nues l’une contre l’autre, nos dermes léchés et caressés, nos chattes dégustées, après une mise en bouche délirante, un gout de nectar et de parfums de marque, la sensation d’entrer dans un espace virtuel, aux sons imagés, qui accompagnaient notre découverte…

 

Draps de soie, baie vitrée, champagne, nos corps se découvraient, ondulaient l’un contre l’autre dans la pénombre et l’intimité de mon loft, se frottaient en nous emportant, gémissantes, perdant la notion du temps, atteignant des sommets si tendres, que nous arrêtions notre danse pour nous embrasser…

Gestes doux, caresses osées, positions lascives, défilant un kamasoutra lesbien sans tabou, ni à-priori, face à la mer, sans vis-à-vis…

 

Je l’imaginais parfois, dans certains moments d’abstinence, avec les deux associés, dans son tailleur de luxe, pimentant une réunion matinale, s’autorisant quelques écarts dans le bureau directorial, pour leur plus grand plaisir…

 

Elle vient vers moi, m’offre un paquet joliment festonné, et elle ajoute : « A ouvrir seule, dans ta chambre ce soir… ».

 

Elle me pose plein de questions sur mon avenir, je lui avoue fréquenter Paul, qui deviendra plus tard mon mari… Mais pour l’instant, je n’ai pas de projet défini, ni avec lui, ni avec un autre et je me sens libre comme l’air, en pleine confiance pour ma vie intime…

J’ai insisté sur les derniers mots, la fixant dans les yeux…

 

Elle me lance un sourire désarmant, elle sait faire ça, je sens une onde de chaleur parcourir mon ventre…

Voilà pourquoi elle a tant de succès auprès des hommes…

J’ai pu constater leur intérêt, avec parfois des fleurs sur son bureau, des présents discrets, un rendez-vous non marqué, des coups de fil sur son portable, qu’elle n’utilise pas professionnellement…

 

Adulée, richement logée, entourée par des parents aisés qui la comblent de cadeaux et de leur affection.

Maintenant qu’elle a pris son rythme de croisière et se fait un nom, je vois son aisance en société, ses sourires qui font la différence auprès de ses clients…

Elle vient de s’offrir une voiture de sport, et un sublime appartement vue sur le port et les îles.

 

Après un temps fort, et des danses rythmées, nous entrons dans la soirée…

 

La salle s’est vidée à moitié, nous restons entre « proches »…

 

Les deux associés nous trouvent ainsi en conversation, je lui demandais si elle fréquentait, mais elle resta muette, pourtant je voyais qu’elle avait envie de me parler, de se confier peut-être ?

 

-       Voici nos égéries, celles qui nous ont permis de faire un bond pour nous imposer dans cette ville… Vous avez été et restez celles qui avec leur témérité, leur passion du métier, leur implication sans faille dans vos postes, ont marqué notre étude. Deux femmes qui ont montré que la profession se féminisait pour notre plus grand plaisir…

-       Merci… N’en jetez plus…

-       Votre soirée est parfaite Marie. Merci.

-       Elle n’est pas terminée… Servez-vous, amusez-vous, libérez-vous, ce n’est pas si souvent… Et… Les derniers seront les mieux servis…

-        ???

-       Attendez… Vous aurez la réponse vers minuit, mais d’abord goûtons le gâteau…

-       Vous me mettez l’eau à la bouche… Un spectacle ?

-       Pas mal déduit… Mais il va vous surprendre…

-       Bon !...

-       En fait, nous allons nous éloigner les uns des autres… Pourtant, nous ne nous connaissons pas, en dehors du bureau…

-       C’est vrai, nous n’avons pas eu le temps de nous connaître, quelques apéros au bureau, mais jamais plus loin…

-       Voilà pourquoi j’ai pensé à assoir notre amitié, car elle est là, tapie…

-       Deux hommes encore jeunes et beaux, aisés, arrivés, 2 mâles dans la force de l’âge, m’ont fait réagir… Pourquoi se priver ? Je sais que vous jouez au tennis, que vous faites du golf, mais pas de femme dans votre vie, ou alors vous la cachez tous les deux !

-       Nous avons une vie sentimentale, mais autant l’un que l’autre, nous ne voulions pas vous abreuver de lieux communs, papa, enfants, ski, voyages, femme au foyer, belle villa…

-       Exact ! Nous voulions rester discrets. Nous sommes des Maîtres ici… On prend un masque, on crée, on rédige, on devient des automates de la loi…

-       Mais je veux créer justement un événement, qui va vous séduire en tant qu’homme… Et toi, en tant que femme, tu seras charmée. Nous avons été privés de ces joies simples, des discussions festives à la machine à café, de celles que l’on voit dans tous les bureaux, sociétés, etc… Se découvrir vraiment en tant qu’individu.

 

Je les invite à la table…

Le gâteau est parfait, on danse, on boit du champagne, la soirée s’étire, des gens partent en me remerciant, ravis de cette soirée…

 

J’envoie alors un SMS à 12 personnes, des proches, mes plus chers amis, collaborateurs, financiers, etc…

 

Je mets un terme à la soirée, libérant la salle…

Puis je conduits mes amis vers une salle au sous-sol…

Salon, théâtre ouvert, les lumières s’éteignent, une fois assis dans des fauteuils confortables, en cercle autour d’une estrade centrale…

Entrent des femmes masquées, des hommes altiers, beaux et forts, et les notes s’envolent…

Assis dans nos fauteuils, champagne servi, un ballet moderne se déroule sous nos yeux, dans lequel, peu à peu, les femmes se déshabillent, les hommes deviennent leurs esclaves, peau luisante, couchés à terre, obéissants… Elles les entraînent dans leur monde magique, érotique, nous aussi…

 

Peu à peu, une touche sexuelle prend le pas, la danse est plus suave, plus proche, plus intime…

Les dix acteurs passent parmi nous, et continuent le spectacle, une danse envoûtante, aux reflets orientaux, mêlés de notes épicées de nos îles… Une autre saccadée, leurs seins fermes et leurs ventres agités nous détendent, nous transportent…

La proximité ajoute à l’excitation… On a envie de toucher…

Les lumières déclinent…

 

Elles invitent les hommes à les rejoindre, se lovant dans leurs bras sans complexe…

Les acteurs aux corps parfaits, tendent leurs mains aux dames, les emportent dans leurs bras puissant…

Le mien est un beau noir aux yeux luisants, je me glisse contre lui, je me suis mise en maillot, ma peau contre la sienne… Louane en culotte de soie rouge, les autres ont suivi, Anne est en string, provoquante et sensuelle, Cécile est en combiné de dentelles qui ne cachent rien… Hélène glisse dans les bras d’un jeune homme altier, elle lui sourit, en regardant autour d’elle, dévoilant des seins opulents magnifiques… Perle, la dernière entrée, arbore une culotte décorée de motifs coquins…

 

Tous mes amis jouent le jeu, attirés par leurs séductrices dévêtues, tandis que nous épions le sexe des anges dans la pénombre, en nous glissant dans leur bras cavaliers…

 

Cela dure une danse, chacune et chacun s’évade, semblent aimer cet intermède, puis ils changent de partenaire…

Le mien est maintenant blond, souriant, ma poitrine semble le séduire, son ventre contre le mien, déclenche mes pensées… Que vont-ils faire de nous ?

 

Une autre danse, un déclic, et la troupe disparait, nous laissant entre nous…

Puis au micro la voix conseille aux dames de franchir le pas, aux messieurs de montrer la voie… La nudité est originelle…

 

Didier m’offre sa main, que je saisis, Cédric prend Louane dans ses bras, j’aperçois notre comptable Anne contre Gérard, un de nos banquiers préférés, Perle, secrétaire au cœur d’or et à la patience sans limite, a immédiatement pris la main de son copain Autun, Cécile, 48 ans, s’est rapprochée de notre premier clerc Jean du même âge, en ôtant ses dentelles, tandis qu’Hélène, clerc, est lovée dans bras de Victor, clerc aussi…

 

Mon maillot de bain sexy a fait fureur, mais moins que le string de Anne…… Ils rejoignent tous deux nos habits sur les chaises…

Didier reluque ma poitrine qui ondule devant ses yeux.

Louane est ravie de pouvoir dérider Cédric, le plus jeune des deux patrons, et elle semble le kiffer grave.

 

S’ensuivent quelques danses rapides, puis des jeux coquins, appréciés lors des mariages, de la danse érotique, plusieurs artistes, dont Gainsbourg et son Lemon inceste, et un slow à déchirer les fantasmes…

 

Cécile a franchi le pas, elle embrasse goulûment Jean qui la pelote sur la scène…

 

Je craque dans les bras de mon notaire, assis sur un fauteuil, je lui donne un baiser intense, comme demandé par la meneuse du jeu… Je ne suis pas forcée, et il me l’a rendu…

Les hommes assis sur leur chaise, les femmes viennent s’assoir doucement sur eux, de dos…

 

On termine en orgie, sur la scène jonchée de coussins et de matelas de plage… Quelques couples s’accouplent, s’échangent, se reforment… Notre système fonctionne, je les savais lubriques, et maintenant portés sur le sexe…

 

Louane est appuyée sur une table et se fait défoncer le cul par son notaire préféré…

Je vais la voir, elle me sourit et m’embrasse sur la bouche…

-       Viens avec Didier, on se les échange ?

Puis après quelques minutes de plaisir à 4…

 

-       Je te veux, viens chez moi demain midi… Je t’envoie l’adresse…

-       Tu vas baiser avec lui toute la nuit ?

-       On l’a déjà fait il y a une paire de mois… En déplacement à Paris pour une assemblée de notaires, même hôtel, une coïncidence…

-       Tu l’aimes ?

-       Non, juste de la baise pour ma libido. Et j’ai adoré comment ils ont créé l’ambiance… Et puis je ne prends pas la pilule…

-       A demain et fais-toi plaisir…

-       Toi aussi, il te plait ?

-       Je ne sais pas encore… Mais j’ai hâte de le savoir…

 

Il m’invite chez lui, il est seul…

On boit un verre dans le salon, belle demeure, un peu triste…

Il parle de sa femme qui l’a quittée…

On reprend là où on en était, et il m’étreint avec passion, m’effeuillant peu à peu…

 

-       J’en rêvais parfois dans mes nuits de tristesse… Je te voyais si belle, gaie, aimable, et ce corps si attirant…

-       Rattrapons-nous alors…

 

Il m’emporte dans la chambre, me dépose dans le lit et quand il ouvre mes cuisses, je sens sa langue, langoureuse et perverse, et m’offre à ses fantasmes…

 

On passe au 69, délice d’échange de nos humeurs corporelles… Fellation et cunnilingus, massage, caresses, et il m’invite sur lui, pour continuer nos ébats, par une pénétration douce, fièrement empalée sur un dard remarquable…

 

J’ondule mon bassin, je le porte aux rives du plaisir, il caresse mes seins, masse, excite ma vulve avec ses doigts fins de pianiste…

 

Je jouis doucement, puis me délivre soudain, nos corps s’épanchent, s’entraînent, je me donne à lui, en levrette, et il me baise avec affront, se libérant de son stress, en me faisant le sexe…

 

Il y va… Jusqu’au bout, par étapes, glissant dans mes entrailles, puis changeant encore, en ciseau, et dans diverses positions du Kamasoutra…

 

D’accord avec lui, sentant le plaisir envahir mon ventre, la chaleur monter, l’orgasme me contraindre, il se délivre en moi, en parfait harmonie, me laissant pantoise, en travers du lit, épuisée par un combat physique…

 

Il vient lécher la sève qui s’échappe, me broute activement, me redonnant envie, par sa langue experte, et mes sens en alerte…

 

Un doigt dans mon anus, je me réjouis, et me positionne pour lui offrir une vue magnifique et alléchante de mon cul de désormais fonctionnaire…

 

Sa bite déclenche des transes, je me doigte le vagin, et tandis qu’il me bouscule, je me masturbe en râlant mes orgasmes…

Il laboure les hanches, me pistonne comme une locomotive, sa semence s’enfuit, mais il continue, fouraillant dans mon méat, me crémant avec art, jusqu’à l’hallali, pleine de foutre, écartelée les bras en croix, vidée de tous mes sucs de femme…

 

Il sait que j’aime ça et m’apporte un grand café, avec un gros croissant, un pain au chocolat, une brioche au sucre que l’on partage sur les draps de soie…

 

Mon sourire en dit long quand je referme la porte de la salle de bains, et la douche me réveille…

Je remets mon maillot de bains en souriant, ma robe, mes chaussures.

On échange un long baiser d’au-revoir avant que mon taxi arrive…

 

Et mon dimanche commence, quand je donne au chauffeur l’adresse de Louane…

Je me regarde dans le rétroviseur, il m’aperçoit, me sourit…

 

Je me sens femme…

 

Quand elle m’ouvre sa porte, elle est nue sous une robe d’intérieur…

Ses seins pointent sur le tissus, j’en perds ma retenue…

 

Elle est déjà dans mes bras, et nos lèvres se fondent, pour un baiser de douceur et de tendresse, en me guidant vers sa chambre, vue magnifique sur la mer…

 

Son déshabillé tombe à ses pieds, et ma robe s’envole, le reste aussi, nous fondons comme un sucre dans un expresso…

 

-       Tu me plais depuis le premier jour…

-       Parfois je pensais à toi, dans mes rêves érotiques…

 

Nos baisers deviennent sucrés, torrides, on se découvre avec chaque partie de nos corps, mains, doigts, langues, sexes, on se frotte et on se donne, on se lèche, on se broute, on fait l’amour lesbien, et sans retenue aucune, j’ose la sodomie, avec un doigt enduit de ses sucs et des miens, et elle part en orgasme, en me rendant la pareille…

 

On se tourne, se retourne, on est chattes, on est lionnes, on devient amantes, usant de nos atours, de nos charmes de femmes, de nos sens enflammés, de nos sexes emboités, et nos jeux intimes, enrichissent le catalogue des positions lesbiennes…

 

Nos râles retentissent, nos gémissements se confondent, nos orgasmes se conjuguent au présent, et plus rien n’existe d’autre que nos corps jouissants l’un de l’autre à travers tout son appartement…

Pire qu’avec un homme, j’ai découvert Louane, qui vient de m’avouer qu’elle était lesbienne depuis sa tendre enfance, que hier soir, elle avait franchi le pas pour la première fois, avec Cédric, qu’elle adorait en cachette depuis 7 ans…

 

Ils ont pris des précautions, comme la dernière fois à Paris, dans cet hôtel où elle a été déflorée par son premier amant… Elle est devenue sa maitresse, car il lui a avoué qu’il était en couple, mais libre de ses actes, en bon Notaire qu’il est…

 

FIN

 

Marika842010

mars 2021

 


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