Première soirée avec ma chérie dans un club libertin

Récit érotique écrit par camille95 le 23-04-2021
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Catégorie Couple

Ce soir, ma chérie, tu vas vraiment goûter aux joies du pluralisme : je t’emmène dans une boite échangiste et si je t’ai toujours promis de ne pas toucher une autre femme que toi, en revanche je t’ai également promis qu’un jour je te livrerai à plusieurs hommes en même temps, à des tas d’hommes, même … Et pas question de te défiler, n’est-ce pas, ma toute belle, car pas de non ni de mais … Ce soir, j’en connais, ou plutôt je ne connais pas tous ceux qui vont se régaler de ma petite putain … Il faut dire que tu es tellement appétissante, si joliment maquillée, peut-être est-ce exprès que tu as un peu appuyé sur le khôl et sur ce rouge à lèvres, rouge vif, qui donne envie de mordre sauvagement tes lèvres, et coiffée comme tu l’es, tes beaux cheveux blonds relevés sur les côtés et retenus en arrière par une pince, tu as cette frange que j’adore, tu as mis, tu ne devrais jamais l’ôter, ce collier de chienne, rouge et portant, en lettres de strass, le mot « AMOUR », ce petit bustier noir qui découvre avantageusement ta poitrine et permet au regard de plonger très profondément entre tes seins, cette mini jupe portefeuille noire, qui ne tient qu’à un seul petit bouton, faible et illusoire bastion, un peu comme l’épine de la rose, dans « le Petit Prince », tes bas fumés et ces fins escarpins noirs à talons dont les lanières, nouées autour de tes chevilles, en soulignent encore plus la finesse … Et puis ton parfum … tu sens si bon … un vrai pousse-au-crime, ce parfum, qui te va mieux qu’à n’importe quelle autre femme …

A croire qu’il a été créé uniquement pour toi … A mon avis, tu vas avoir beaucoup de succès, les prétendants ne vont pas manquer …

Te tenant par le bras, je pousse la porte du club : Il y a là un physionomiste, je lui donne les pseudos sous lesquels j’ai réservé, et presque sans un mot, même pas un « bonne soirée, Madame, Monsieur », il doit manquer d’humour, il soulève le rideau de velours cramoisi qui masque la porte par laquelle il nous invite à entrer. Nous accédons au bar. Te tenant toujours fermement par le bras, je nous conduis vers deux tabourets libres. Pas question de s’asseoir à une table, car juchée sur un tabouret, les jambes croisées, tu fais déjà beaucoup d’effet sur les consommateurs présents. D’ailleurs, l’un d’eux s’approche négligemment, je ne le décris pas, puisqu’à son regard interrogateur, je réponds en souriant : « plus tard, peut-être, mais pour le moment nous prenons un verre et ensuite nous allons dîner ». Il acquiesce et s’éloigne aussi tranquillement qu’il est venu. Apparemment, il a dû glisser le mot aux autres, car aucun ne se manifeste pendant que tu sirotes ton Bailey’s et moi mon Dry Martini cocktail. J’appelle le barman : « Voulez-vous demander au maître d’hôtel si notre table est prête ? » « Tout de suite, Monsieur » puis, « votre table est prête, par ici, Madame, Monsieur, s’il vous plaît ». La salle de restaurant n’est pas très grande, il y a seulement huit tables, toutes occupées sauf une, la nôtre, mais la décoration est raffinée et l’atmosphère semble chaleureuse. Les couples attablés ne se gênent pas pour nous dévisager, et pour ce qui te concerne, de te détailler des pieds à la tête … C’est tellement évident que l’on dirait que certains sont déjà en train de faire mentalement leur réservation ! Il y a même un homme qui fait une petite mimique et un clin d’œil appuyé à la femme qui l’accompagne, comme pour lui demander, elle te plaît, celle-là ? Ah ça, ma chérie, je ne te garantis pas que je te protègerai aussi des femmes … Tu sais bien, puisque je te l’ai déjà dit, que je te mettrais volontiers entre les mains de l’une d’elles … Comme je sais que cela ne te plaît pas, ça fera comme pour ce type que tu n’aimes pas, tu sais, ce crétin de Stéphane, tu devras subir … D’autant que la femme en question n’est pas désagréable à regarder … une petite cinquantaine bien entretenue, blonde, élégante, l’air plutôt affirmé de la femme sûre d’elle et de ce qu’elle veut … Ma foi, si elle a envie de ma chérie, on verra … En tout cas, son compagnon, lui, a déjà en te regardant l’air d’être sur les starting blocks ! Mais nous commençons à dîner tranquillement, foie gras pour toi, histoire de prendre une avance sur les calories qui risquent de se perdre plus tard dans la soirée, saumon fumé pour moi, et ensuite, la même chose pour nous deux, sole grillée et petites pommes dauphines. Evian, évidemment, malgré l’air pincé du sommelier qui prend notre commande. Contrairement à ce à quoi je m’attendais, et en dehors des regards appuyés ou furtifs, le restaurant semble être une sorte de no man’s land où personne ne vient troubler notre tête-à-tête. C’est trop calme, il faut faire quelque chose … La nappe, sur la table, est assez courte et ne redescend pas devant ou sur les côtés. Je m’adresse à toi sans vraiment baisser la voix :

-         Sabrina, retire ton string 

-         Non, Paul, s’il te plaît … 

-         Sabrina, ton string, donne le moi.

Tu le retires le plus discrètement possible mais lorsque tu me le tends, je le porte à mon visage, le plus ostensiblement possible. Puis je le glisse dans la petite poche extérieure de ma veste, comme une pochette …

-         et maintenant, écarte un peu les cuisses … mais pas trop …

Mon manège avec le string n’a pas manqué d’attirer vers notre table des regards curieux … Les mateurs matent, normal, à la fois ravis de ce qu’ils peuvent entrevoir, et frustrés de ne pas en voir plus.

-         maintenant, tourne-toi un peu plus vers la salle, comme ça, de trois quarts, et écarte encore un peu plus …

-         Paul …

-         Sabrina, tu n’as pas idée de ce que je te réserve si tu continues à te montrer rétive … Tu es à moi, mais dis-toi bien que tu m’appartiens ici encore plus qu’ailleurs et que tu es ma pute … ou tout ce que je veux que tu sois … Quoi que tu fasses, personne ne te touchera sans mon accord. Mais il suffirait d’un geste de ma part pour que ce soit la curée …

Il est vrai que tes hésitations, en ce lieu, m’agacent un peu … c’est pourquoi plutôt que de te tranquilliser par des mots rassurants, je préfère te répondre un peu sèchement … sèchement mais pas trop, parce qu’au fond de mon cœur je suis obligé de juguler toute cette tendresse et tout cet amour qui me portent vers toi, qui voudraient que je te prenne dans mes bras et te dise, en te couvrant de baisers, « mais Sabrina chérie, mon Amour, tu ne risques rien, nous sommes ici pour nous amuser, toi et moi, et pour passer une bonne soirée dont nous aurons plaisir, ultérieurement, à nous remémorer les détails … Oublie les convenances, oublie ta timidité, ta pudeur, cet endroit est un écrin pour ta beauté … c’est aussi une scène idéale pour affirmer, confirmer, ton appartenance, bien sûr, ma chérie, parce que je t’aime, mais aussi parce que tu es à moi … tu es ma chose, et tu le sais » C’est difficile à expliquer, probablement parce que l’amour ne s’explique pas, mais confusément j’ai le sentiment que mon amour pour toi confinerait moins à la passion et à l’obsession, s’il n’y avait pas cette merveilleuse possession de toi, cette possession qui n’a cessé de se développer, de s’affirmer, et ce, pratiquement sans qu’il t’aie été nécessaire, jusqu’à présent, de m’en donner des preuves réelles et tangibles … Bon, il y a bien eu les ellipses à pattes, mais ça … Tandis que ce soir, dans ce club, je te veux non seulement toute à moi, mais également totalement en mon pouvoir … Imagine, ma chérie, ce que peuvent être les sentiments et les sensations d’un homme à qui tu confères ce pouvoir … Crois-tu qu’il puisse faire autrement que d’être fou d’amour et de désir ? Mon ami Roberto, qui est argentin, dit que le tango est une drogue. Moi je dis que la possession en est une autre, une addiction, une dépendance bien plus forte, et ainsi que je te l’ai déjà dit, mais j’en reviens toujours là, c’est l’histoire de l’arroseur arrosé …

Mais nous ne sommes pas ici pour philosopher … Les autres non plus, d’ailleurs …

Je bois mon café, pas mauvais, en fait, et tu essaies de faire durer ton Earl Grey le plus longtemps possible … mais arrive le moment où la tasse et la théière sont vides …

-         viens, allons danser

-         donne-moi juste le temps d’aller aux toilettes me repoudrer le nez …

-         je t’attends près de la piste de danse

Tu reviens presque un quart d’heure plus tard …

-         je commençais à m’impatienter !

-         c’est que j’ai été obligée de négocier avec deux types !

-         ils t’ont ennuyée ?

-         non, juste un tout petit peu insisté, mais de façon tout à fait correcte

-         j’aime mieux ça … dansons, veux-tu …

Justement, c’est un slow … je serais étonné qu’ils passent autre chose … Quoique la salsa, pour les exhibitionnistes ! Il y a quelques tables occupées, autour de la piste, et cinq ou six couples qui dansent en s’étreignant de façon plus que langoureuse … Ceux qui sont assis regardent ostensiblement les couples sur la piste. Cela me donne une idée un peu tordue, mais pas du tout déplacée en ces lieux : tout en dansant, imperceptiblement, subrepticement, je relève peu à peu ta mini jupe, dévoilant le bas de tes fesses, puis un peu plus, à tous les regards … au début, tu ne te rends compte de rien, mais en passant devant un grand miroir, tu te vois, tu vois ce que tout le monde voit, et …

-         Paul, tout de même …

-         Sabrina, ma chérie, ce soir, tu es ma pute, je veux que tout le monde le sache et puisse le savoir, et tout à l’heure, tout le monde verra que tu es aussi une bonne salope …

Je ne sais pas si l’explication te convient ou si c’est seulement pour te rassurer, mais tu te colles encore plus contre moi … je ne m’en plains pas, d’ailleurs, et tu t’en rends très bien compte …

-         coquin …

-         à ta place, je serais vexée si ce n’était pas le cas …

Rien de tel que le contact du ventre chaud de ma chérie, de mon visage dans ses cheveux et de son parfum qui m’enivre, c’est tellement bon qu’en ce moment, l’entourage des mateurs n’existe plus autour de nous … Nous ne sommes plus que tous les deux, enlacés, mon adorée et moi, son Paul, qui suis fou d’elle … Il y a bien, parfois, des mains qui, au passage, effleurent ses fesses, toujours en partie découvertes, mais cela ne compte pas. D’ailleurs, elle prend merveilleusement – et courageusement – sur elle, puisqu’elle fait mine de les ignorer …

Encore quelques slows tendres et voluptueux, c’est si bon, j’ai maintenant une envie irrésistible d’entraîner ma Sabrina vers le coin-câlins … Il suffit pour cela de passer la tenture pour se retrouver dans un endroit peu éclairé, une pièce assez vaste qui comporte des alcôves, des sièges bizarres mais … adaptés, des couches confortables, des canapés, des fauteuils, des coins plus isolés, et un grand lit rond, presque au milieu … Là, il y a du monde, et un monde qui se livre sans la moindre gêne aux ébats les plus spectaculaires … Les corps sont emmêlés, un homme, deux femmes, une autre femme, deux hommes, encore une autre, entourée d’au moins quatre assaillants, enfin, des assaillants, c’est pour dire, car ils ont l’air d’être tout à fait ‘’galants’’ et la dame n’a pas l’air de se plaindre de leurs hommages pressants … Il y a aussi un groupe, sur le lit rond, mais là, l’obscurité ambiante m’empêche d’en distinguer le nombre exact … Il y a un fauteuil vacant, sur lequel je te pose littéralement, restant debout devant toi … Je n’ai même pas besoin de prononcer la formule magique qui m’excite tant, « suce, salope », déjà tu ouvres ma fermeture éclair pour me pour me prodiguer ces douceurs dont tu me sais si friand … Et c’est là que les petits soucis commencent. Oh, pas de vrais soucis, juste cet importun qui aurait bien aimé prendre son tour, et que je dois renvoyer, simplement parce qu’il est nu et qu’il a gardé ses chaussettes … grotesque !

Maintenant, tu vas continuer, mais c’est moi qui vais être assis, et toi à genoux devant le fauteuil. Là, il faut dire que c’est de la provocation, car étant donné la longueur de ta mini jupe et le fait que tu ne portes plus de string, ta croupe est largement offerte à toutes les concupiscences … D’ailleurs, la tentation est suffisamment forte pour qu’un type s’approche … Il n’est pas mal, celui-là, un peu plus de la trentaine, et d’après ce que l’obscurité laisse deviner, un beau physique, mince, assez musclé, pas trop poilu, enfin, pas mal du tout … Toi tu ne peux le voir, toujours occupée que tu es … Il m’interroge du regard, me désignant, d’un geste courtois, totalement dépourvu de vulgarité, la croupe magnifique de cette pute agenouillée devant moi … je réponds par un geste significatif, et il me montre qu’il est bien en possession de la petite protection en latex, qu’il se met d’ailleurs en devoir de dérouler sur … sa personne. Rassuré, d’un geste plus ample, presque magnanime, je l’invite alors à partager sans plus attendre les délices de cette belle petite putain qui s’affaire toujours docilement à mes genoux. Dans cette position, tu ne t’es pas rendue compte du marché dont tu étais l’enjeu, mais lorsqu’il écarte tes chairs pour te pénétrer, tu as comme un petit sursaut … mais tu ne peux te soustraire, parce que d’une main ferme, je fais pression sur ta nuque … Quelle vision magnifique … maintenant que nos yeux se sont accoutumés à la pénombre, je regarde avec un réel plaisir cet homme, ce bel homme, en train de baiser ma pute, ma pute qui continue à me sucer tout en poussant de petits gémissements à chacun des coups de boutoir, si violents parfois qu’ils la soulèvent presque du sol … Depuis le temps que durent les douces caresses de ta bouche, ma chérie, conjuguées, de surcroît, au spectacle dont je profite intensément, de voir cet homme s’activer derrière toi, imaginant trop bien ce qu’il ressent, je ne peux plus longtemps retenir mon plaisir : tout en veillant à ce que ton visage reste bien appuyé contre moi, ma jouissance est telle que je ne peux réprimer un cri … Comme si ce cri, que j’ai pourtant tenté d’étouffer était un signal, l’homme ouvre une bouche démesurée, comme pour reprendre son souffle, il regarde désespérément les petites étoiles lumineuses au plafond, et exhale enfin une sorte de râle, en proie visiblement à la plus intense jubilation. Il se retire poliment, bredouille quelque chose qui ressemble à des remerciements et va se fondre dans la multitude. Celui-là, si je le revois, je lui demande son numéro de téléphone ! Non, plus amusant, en tout cas pour moi, c’est toi qui le lui demanderas … une salope sans aucune pudeur et fière de l’être ! Tu te relèves, un peu titubante, et je t’installe à nouveau sur le fauteuil. Maintenant, dis-je, nous allons jouer : je vais faire un tour, juste pour ‘’zieuter’’, cinq minutes, pas plus, et toi tu restes là … Je t’observerai de loin, mais je veux, à condition qu’il ne soit pas répugnant, que tu dises « oui » au premier homme qui te sollicitera et qui aura envie de te baiser … Si tu dois refuser, parce qu’il est trop laid, tu devras naturellement l’éconduire avec gentillesse. Et je m’éloigne tranquillement, sans toutefois te quitter du regard. Là, j’avoue que j’ai le cœur un peu serré, car tu ressembles à une naufragée sur une île déserte … mais pas si déserte que ça, finalement, car, à peine ai-je fait quelques pas qu’un homme s’approche de toi … Je n’entends pas ce qu’il te dit, je m’en doute un peu, évidemment, et je guette ta réaction, car, pour autant que je puisse en juger, l’homme est assez grand, mince, les cheveux argentés et d’un port assez élégant. Celui-là, Sabrina, tu n’as pas le droit de le rejeter … De loin, les choses ont l’air de se bien se passer entre vous, on dirait que vous faites une petite mise au point, je vois d’ailleurs que vous faites des gestes, visiblement pour préciser la position dans laquelle ce monsieur a l’intention de t’honorer … Bon, finalement, c’est encore une levrette qui emporte son choix, mais tu dois cette fois-ci te mettre à genoux sur le fauteuil, face au dossier et les bras appuyés dessus. Très bien ça, car le fauteuil étant placé le long du mur, tu ne risques pas ainsi d’avoir un prétendant qui voudrait profiter de ta bouche. Et puis tu t’assures, ainsi que moi, de loin, que le monsieur a bien passé son latex. Parfait, tout est en ordre … de marche, le monsieur est déjà à son affaire, tandis que je me rapproche subrepticement, mais de côté, de façon à ce que tu puisses me voir, et voir que je te regarde … Quoi que tu puisses penser en cet instant, ma chérie, comme tu es belle, Sabrina chérie, comme je t’aime, c’est vrai, tu sais, dans un moment comme celui-là, je me dis plus que jamais que tu es ma merveille … Le monsieur aux tempes argentées, tout élégant qu’il fut, devait être pressé, car l’affaire n’a pas duré plus de trois à quatre minutes … et il a filé sur un bref salut de la tête … ou peut-être s’est-il simplement dit qu’il n’avait affaire, après tout, qu’à une petite pute, donc, une fois repu, pas de galanterie superflue ! Au fond, il a partiellement raison, ce brave homme, mais s’il savait quel trésor inestimable, quelle merveille entre toutes les merveilles, le hasard d’une telle soirée lui a permis de s’offrir et de consommer … même à la va-vite, le bougre !

Bien, je crois que pour une première, c’est suffisant et nous allons en rester là. Il y aura bien encore un prétendant ou deux, mais désolé, Chers Messieurs, nos guichets sont fermés, les trente cinq heures et les RTT, vous comprenez …

Dans la rue, en retournant au parking, tu m’étreins le bras comme si tu craignais que je te lâche, ou que je te perde … Aucun risque, mon Amour, je tiens beaucoup trop à toi pour cela, et ce soir tu m’as montré, et avec quel brio, jusqu’où deux êtres qui s’aiment follement et qui se respectent vraiment peuvent aller, comment une pute peut se conduire en pute, en faisant abstraction de sa dignité, mais sans la perdre le moins du monde, et comment un amant amoureux et voyeur peut regarder la femme de sa vie se faire baiser par d’autres sans que son amour pour elle en soit le moins du monde entaché, bien au contraire.

Avant d’arriver au parking, nous nous arrêtons sur le trottoir, pour nous embrasser longuement dans la rue, comme deux adolescents épris l’un de l’autre et qui n’auraient pas de toit pour abriter leur amour et leur passion.

J’espère, ma chérie, que tu as aimé notre soirée. Il me serait agréable que tu me fasses profiter des pensées qui ont été les tiennes ou des craintes qui t’ont assaillie, que ce soit lors de notre arrivée au club, ou pendant que nous y étions.

Tiens, la prochaine fois que nous irons, j’espère que la femme blonde qui te dévorait des yeux au restaurant sera encore là … 


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