Soumise à un odieux chantage

Récit érotique écrit par mazaudier le 06-01-2022
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Catégorie Partouzes-Orgies

- On mon dieu, se dit-elle, pourvu que j'ai le temps de prendre une douche.

Elle se regarde dans le miroir de courtoisie, voit que son rouge à lèvres avait largement débordé.

Le coeur battant, alors que son irritation montait, Carole ne pouvait s'empêcher de revenir sur les évènements de ces derniers jours.

Les photos obscènes lui revenaient en tête.

Les yeux pleins de larmes, Carole se sentait souillée par le sperme que Mansour, le rival de son mari, lui avait injecté dans la chatte.

Carole était si naive et innocente, qu'elle ne pouvait pas réaliser qu'on puisse être aussi vil.

Juste trois semaines plus tôt, alors que son mari était en voyage d'affaire, Mansour avait payé un groupe le loubards, pour qu'ils envahissent la maison. Retenue captive chez elle, elle avait découvert que c'était le pervers concurent de son mari, qui avait commandité la manoeuvre.

Sous l'oeil des caméras, accroupie sur la moquette, les jeunes ados s'étaient branlés sur elle, éjaculant leur sperme sur son visage.

C'est alors que Mansour avait fait un pas en avant, braguette ouverte, extirpant une énorme queue, pour se branler sous ses yeux horrifiés.

Ayant reçu plusieurs instantanés par mail, instantanés du film relatant sa souillure, Carole comprit tout de suite qu'elle ne pouvait laisser son mari et ses parents, les découvrir. Elle s'était rendue au bureau de Mansour, pour le supplier de lui rendre les photos et le clip vidéo, ainsi que les éventuelles copies.

Carole frémit de dégout en repensant à ce qu'elle avait du faire pour dissuader Mansour d'envoyer les photos et vidéos de sa déchéance à son mari et ses parents. Elle avait des nausées en se souvenant avoir été obligée de s'agenouiller entre ses genoux, pour, tout d'abord branler son imposante queue, avant de la prendre en bouche. Jamais elle n'avait pratiqué une telle chose, même pour faire plaisir à son mari. Pire encore, elle réalisa rapidement que Mansour avait l'intention de vider ses couilles dans sa bouche. Il lui tenait fermement la tête, l'obligeant à avaler tout son sperme, en dépit de son écoeurement.

N'étant pas parvenu à convaincre son mari de céder ses parts de la société à son rival, lors de la semaine que Mansour lui avait accordé à cet effet, elle avait dû le rencontrer à nouveau, pour négocier un délai supplémentaire, afin d'accomplir sa mission.

Cette fois, en contre partie, elle dût payer un prix bien plus élevé. Beaucoup plus élevé.

Elle avait dû coucher avec l'infâme rival de son mari. Elle avait dû se faire saillir par lui. Il l'avait baisée sauvagement. Honteuse, elle avait honte de la réaction de son corps.

Alors que jamais, un autre homme que son mari ne l'avait baisée, voilà qu'elle rentrait chez elle la chatte pleine de sperme de l'ignoble conccurent de son mari.

- Mon dieu...pourquoi mon corps a réagit à ses caresses...pourquoi a-t-il joui ainsi...

Elle s'arrêta et pressa le bouton de garage. Par chance, la voiture de son mari n'était pas là. Elle s'empressa d'aller à la salle de bains.

Après d'une heure d'une douche réparatrice, elle en ressorti, trouva son mari assis sur le canapé, vêtu d'un simple short. Il avait servi l'apéritif.

Elle se précipita, et se blottit contre lui. Elle s'étala sur le sofa, la tête sur les genoux de son mari. Elle sentait sa main caresser ses cheveux, ses doigts courant dans sa soyeuse chevelure noire.

Elle se demandait comment elle parviendrait à convaincre son époux de revendre ses parts. Elle hésitait cependant à revenir sur ce sujet.

Ils en avaient brièvement discuté la veille, mais Pierre ne semblait pas très convaincu et elle ne voulait surtout pas le brusquer en la matière.

Promenant sa main sur le short de son mari, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à la dernière fois que son visage s'était trouvé proche d'une virilité tendue.

Elle caressa lentement la grosse bosse qui déformait son short et referma la main sur la bite de son mari. Elle se rappelait le nombre de fois qu'il avait tenté de la persuader d'embrasser son gland turgescent avant de prendre sa queue en bouche, elle avait toujours refusé de se livrer à des actes aussi pervers.

Elle se demandait avec curiosité qu'elle serait la réaction de son homme si elle descendait la fermeture de sa braguette, avant de le prendre en bouche pour le sucer avec avidité, lui faisant expérimenter tout ce que Mansour lui avait appris.

Se serrant contre son mari, elle le sentit répondre à ses caresses. Carole savait qu'il ne s'opposerait aucunement à ce qu'elle glisse sa main dans son short pour y pêcher sa bite qui grossissait à vue d'œil, c'était un acte auquel elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Elle observait la queue de son mari s'étendre alors qu'elle la branlait lentement, elle se pencha alors sur son ventre pour emboucher gland palpitant. Pierre était abasourdi, pris totalement à l'improviste par les initiatives de sa ravissante femme.

Elle avait le visage si proche de sa queue qu'il en ferma les yeux rêvant qu'il avait enfin convaincu sa femme de lui octroyer une fellation.

C'était un rêve que Pierre ne pouvait se sortir de la tête, il se demandait toujours ce qu'il ressentirait si sa femme lui suçait la bite. Mais elle avait une éducation si conservatrice, si "bien-pensante" qu'il savait que ce rêve resterait sûrement un vœu pieux.

Un frisson de plaisir courut tout au long de son corps alors que sa douce Carole lui caressait son membre.

Depuis quelques jours, Pierre se demandait pourquoi son adorable femme semblait si déterminée à ce qu'il abandonne les parts de sa société.

Il savait qu'elle travaillait à contrecœur dans la même entreprise que lui, elle avait trop souvent entendu dire que le travail en commun avait mené bien des couples au divorce.

Comme l'entreprise nécessitait de nouveaux investissements et un profond changement de statuts, Pierre commençait à penser qu'en fait, il ferait mieux de vendre ses actions.

Peut-être bien que Carole voulait passer à autre chose, elle avait souvent été convoitée par différents clients qui voulaient l'embaucher dans leur boite.

Sentant ses doigts se promener sur sa virilité, Pierre sentait sa queue répondre à ces caresses affolantes, il priait pour que sa femme ait vraiment envie de s'amuser avec lui.

Jamais sa femme si prude et si réservée ne s'était comportée de façon aussi hardie, prête à glisser sa main dans son short pour tirer de coté son caleçon et s'emparer de sa bite frémissante.

C'est alors qu'elle empoigna son chibre tendu et l'extirpa de son short prête à l'emboucher avidement. Jamais Carole ne s'était tenue le visage aussi proche de sa virilité. Il avait rêvé si souvent de voir son visage s'approcher de son membre, il le lui avait d'ailleurs parfois suggéré.

Mais une telle requête avait toujours révulsé Carole lui répliquant vertement :

" T'es complètement fou si tu crois que je me livrerai un jour à un acte aussi répugnant."

Il avait pas mal réfléchi sur l'avenir de sa société, et les problèmes que cela posait. Il en était venu à conclure qu'il ferait peut-être bien de vendre ses parts.

Sachant que Carole espérait vivement qu'il cède ses affaires il lui vint la brillante idée de susurrer à sa femme.

- Oh chérie c'est si bon... Je sais que tu veux que je revende ma société... Pour ouvrir une agence de comptabilité. Si tu te montres gentille avec moi... Vraiment très gentille... Tu parviendras à me convaincre de vendre.

Excitée d'entendre son mari lui faire cette proposition, elle gloussa en sentant sa virilité s'épanouir entre ses doigts, elle savait pertinemment ce qu'il entendait obtenir d'elle.

Toutefois elle savait qu'elle ne pouvait pas se comporter avec lui comme une femme expérimentée, possédant une certaine science de la fellation.

Son infâme rival lui avait appris quelques semaines plus tôt à prodiguer une gorge profonde...

- Tu vendrais vraiment si...si je me livrais à un acte aussi pervers? Tu sais que je n'ai jamais fait une chose pareille.

Empoignant la bite de son mari, elle comprit qu'elle pourrait sans problème lui prodiguer une fellation jubilatoire.

Se penchant en avant elle tendit la langue et caressa furtivement le gland turgescent de son mari, elle entendit Pierre grogner son plaisir.

En fait, profondément enfouie dans son esprit, elle avait une terrible envie de comparer le fait d'avoir la bite de son mari en bouche, à son ressenti lorsque Mansour lui avait fait emboucher la sienne.

Se penchant en avant les lèvres entre ouvertes, elle prit en bouche le champignon palpitant de son mari...tout de go il se mit à grommeler :


- Oh... Oui... Oh ma chérie... Suce moi... Encore...

Tout en branlant sa bite elle montait et descendait la tête sur sa hampe vibrante, alors qu' elle l'entendit grogner.

- Oh chérie... Mon bébé... Je jouis......

Sa main s'appesantit sur sa nuque, il ne voulait pas qu'elle cesse ses délicieuses succions. Elle avala tout le foutre qu'il lui injectait en pleine bouche.

Tout au fond d'elle, elle ne pouvait s'empêcher de comparer la ridicule performance de son époux, avec celle de son maître chanteur. Sa bite ne mesurait pas les trois quart de longueur, et d'épaisseur de celle de Mansour et la dose de sperme qu'il lui avait éjecté en pleine bouche faisait à peine le tiers de l'éjaculation que son suborneur l'avait forcée à ingurgiter.

- Oh chéri, c'était si bon... Si bon... S'exclama Pierre en extirpant sa bite frémissante de la bouche de sa femme qui continuait à le sucer avec avidité.

Jetant un oeil sur elle, il vit qu'elle le regardait un large sourire aux lèvres.

De toute sa vie il n'avait jamais espéré que sa prude jeune femme lui procura une telle fellation, exactement comme l'aurait fait une pro de la pipe ! ...

Pierre abritait un secret au fin fond de son esprit. Un de ses secrets dont jamais sa femme ne devrait entendre parler.

Lors d'un voyage d'affaires au Japon, bien qu'il aima profondément sa ravissante épouse, un de ses clients l'avait entraîné dans un club. Au cours d'une nuit, il s'était fait tailler plusieurs pipes, s'imaginant que c'était sa ravissante épouse qui lui accordait ce privilège.

Cette fellation qu'elle lui avait prodiguée était, de loin la meilleur qu'on lui ait accordée, les autres pipes fournies par ces putes lui paraissaient bien pâles en comparaison.

Une pensée soudaine traversa son esprit.

" Mon Dieu... Carole m'a sucée comme une pro... Aurait-elle sucé d'autres hommes ? Il n'y avait aucune chance que ce soit possible... Elle était si pure, si innocente... Jamais elle n'avait pu le tromper...puis tailler une pipe, pour une femme, ça ne s'apprend pas.

Cela ne changeait rien au fait qu'elle lui avait administré la plus jouissive fellation qu'il ait expérimentée. Les yeux levés vers son bien-aimé époux, Carole se pourléchait ses lèvres lustrées.

- As-tu apprécié mon chéri? Me suis-je bien débrouillée pour une première pipe? Rappelle-toi ta promesse! ... Et je recommencerai chaque fois que tu le désireras.

Léchant le foutre engluant encore ses lèvres elle constata que sa crème n'était ni aussi épaisse, ni aussi salée que celle de son concurrent.

Quelques jours plus tard Carole soupira de soulagement lorsque. Pierre lui appris qu'il acceptait l'offre de la "compagnie de commerce du moyen orient".

Satisfaite de la fin de cette affaire, Carole voulait recouvrir le plus rapidement possibles les originaux et les copies de l'immonde vidéo que détenait le rival de son mari.

Mais le fait d'ignorer si Mansour entendait mettre fin à son chantage la tracassait fortement. Cependant elle voulait être certaine qu'elle détenait bien les originaux et les copies avant que la vente ne soit effective, bien qu'il resta toujours la possibilité que ce salopard de Mansour garde une copie en sa possession.

Encore qu'elle savait pertinemment que ce serait la seule chance de s'assurer que ni son mari, ni ses parents n'auraient connaissance de ces horribles images obscènes.

Une semaine après son dernier sacrifice afin d'obtenir un délai supplémentaire pour que son mari se prononce favorablement pour la vente, Carole décida de consulter ses mails. C'est là qu'elle en vit un de Mansour. Après avoir hésité, elle l'ouvrit.

" Hello...ta protection est terminée...aimerais-tu la renouveler? Si oui, contacte-moi dès aujourd'hui, que l'on puisse négocier un nouveau délai. Sinon, tu sais ce que je vais faire de la vidéo et des photos. A t'entendre rapidement ma chérie."

Carole fit tout de suite le numéro de la compagnie de commerce du moyen orient.

- Je voudrais parler à Mansour, s'il vous plaît. C'est Carole.

- Ah oui, justement, il attendait vôtre appel. Je vous le passe.

Carole frémit en entendant la voix familière au bout du fil.

- C'est vous ma ravissante amie...j'ai attendu vôtre appel toute la matinée. Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail.

- Mais...j'ai fait tout ce que vous voulez. J'ai convaincu Pierre de vous vendre sa société. Il m'a dit qu'ils vous avez rencontré il y a deux jours, pour peaufiner la vente.

- Mais chérie, rien n'est encore signé pour l'instant. Il ne s'agit que d'une entente verbale. Et tu connais le seul engagemanet oral que j'apprécie vraiment chérie...tu comprends ce que je veux dire...je parle du type d'accord oral que tu m'as prodigué, il y a quelques jours...

Bouillant de dégoût, Carole se rappela le type d'accord auquel Mansour faisait allusion.

" Mon dieu...comment pourrai-je oublier cette horrible journée? Se dit Carole. Mansour m'avait obligée à me prosterner à genoux...et j'avais du le contenter avec ma bouche."

Carole posa sa main sur son estomac secoué de nausées, se remémorant comment elle avait dû avaler le foutre épais , avant de le vomir dans les toilettes.

Ayant bloqué son après-midi et son début de soirée, nerveuse, Carole se dirigea vers les docks. Comme convenu, elle fonçaa vers l"emplacement trois.

Carole gravit la passerelle, chancelant sur ses hauts talons. Se dirigeant vers l'arrière du bateau, elle entenedit la voix familière de son bourreau. Une autre voix lui répondait, aussi familière, mais sans pouvoir l'identifier.

Le claquement des talons sur le sol métallique, avait signalé son arrivée. Le visage de Mansour apparut au bout du pont, un sourire pervers au bout des lèvres.

- Par ici ma chérie...toujours aussi ponctuelle...

Comme elle s'avançait timidement sur le seuil de la cale; Carole vit l'auteur l'auteur de l'autre voix familière.

- Tu connais Guy, n'est-ce pas ma chérie, interroge Mansour.

Et de fait, elle connaissat Gu, dont elle avait repris le départemen financier dans la société de son mari. Carole grinça des dents, observant l'arrogant banquier, qu'elle méprisait profondément. Même si Guy s'avérait être très séduisant. Il semblait croire qu'il était un véritable " Don Juan" aux yeux des femmes qu'il côtoyait. Il chechait surtout à déstabiliser les femmes mariées, dont certaines succombaient à ses avances, et trompaient leu mari. Carole avait eu droit à ces avances, mais les avait balayées d'un bras. Mais Guy n'avait pas abdiqué pour autant, pensant que son jour viendrait.

Carole lui avait soufflé son poste et il avait été obligé d'aller chercher du travail.

Carole se retrouvait face à l'homme qui devait ruminer sa rancune envers elle. Elle se rappelait comment il l'avait appelé à plusieurs reprises, pour qu'elle insiste auprès de son mari, pour le garder dans la société. Il avait même alerté Pierre pour le réintégrer. Il avait alors répondu que c'était impossible, qu'il avait promis à son épouse, qu'elle aurait les mains libres, concernant le département financier.


- Carole, je suis heureux de vous rencontrer à nouveau, sourit Guy. Je n'ai pas eu le temps de vous reparler depuis...en fait, depuis que vous avez pris en main le département financier de la société de vôtre mari, me spoliant ainsi de mon poste. En plus, vous avez contacté les autres banque, de ne pas m'embaucher. Vous rendez-vous compte de tous cela, délicieuse Carole.

- Guy est mon partenaire financier dans cette reprise ma chérie. Lorsque je lui ai signalé que j'avais besoin de fond, Guy pensa tout d'abord que c'était une plaisanterie. Mais Guy se montra plus intéressé lorsque je lui révélais que j'avais des appuis à l'intérieur de la société. L'aide de la très sexy épouse de Pierre lui même.


Il semblait à la malheureuse Carole, que le sol se dérobait sous ses pieds, en entendant le banquier lui préciser d'une voix ironique.

- Mansour m'avertit que vous aviez accepté de l'aide dans cette affaire. Et comment vous avez oralement, scellé le marché.

Carole avala difficilement sa salive, fixant le ricanant Guy, réalisant que l'arrogant banquier, savez pertinemment qu'elle s'était agenouillée, et avait tailler une pipe à l'énorme queue de Mansour.

Retenant ses larmes, Carole semblait défaillir, ses jambes se dérobaient sous elle. Elle était figé par la peur, alors que Mansour s'approchait d'elle, l'avisant.

- Guy m'a proposé un alléchant tau d'intérêt. Mais il avait besoin d'un engagement décisif, ma chérie.

Mansour posa sa main sur les fesse de Carole, qu'il pelote, avant de poursuivre.

- Comprends-tu quel encouragement pourrait amener Guy, à m'accorder ce tau très bas qu'il me propose. Pourquoi ne l'escorterais-tu pas jusqu'à la cabine du capitaine, pour m'aider à le convaincre de tenir sa proposition.

Frémissante de révulsion, Carole réalisait ce que sous-entendait Mansour. Elle faisait l'objet de la négociation. Il la prostituait pour s'assurer le concours de ce banquier véreux, auquel elle allait être obligée de se donner. De grosses larmes ruisselaient sur ses joues. Carole reniflait, alors qu'il commentait ironiquement.

- L'arrogante et fidèle Carole va payer mon exclusion de la société. Elle va me dédommager en s'agenouillant comme une salope qu'elle est, et elle va me tailler une bonne pipe, comme elle sucé le gros calibre du concurent de son mari. Vous n'êtes qu'une pute, n'est-ce pas? Et je vais vous baiser jusqu'à te faire crier...

Arrivé dans la confortable cabine, Carole se place au centre de la salle, alors que son bourreau prend un siège.

- Tu as entendu ce que t'as dit Mansour. Il ne te reste plus qu'à me convaincre de l'aider. Commence par te débarrasser de ta robe. Montre moi ton sublime corps de pute. Effeuilles-toi pour moi.

Totalement résignée, Carole tendit le bras dans son dos, pour descendre la fermeture éclair de la robe, la fit glisser sur ses hanches.

- Tu n'es qu'une sale pute de bas étage ma chérie. Pierre sait-il qu'il a épousé une salope. Tu as bien caché ton jeu...quand je pense qu'il croit que sa femme est la plus fidèle des épouses...s'il savait...tournes-toi vers moi, salope.

Carole cherchait désespérément à penser à autre chose, cherchant à chasser de son esprit, ce qu'elle était obligé de faire. En sanglotant, elle laissa tomber sa robe sur la moquette. Elle ne portait plus qu'un soutien gorge et sa culotte à dentelles, assortie à ses hauts-talons.

- Ton soutie gorge à présent, et tes charmes les plus secrets, ordonna-t-il. Ta délicieuse petite chatte.

Folle de honte, elle dégrafa son soutien gorge. Elle roula sa petite culotte, qui ne tarda pas à rejoindre sa robe encerclant ses chevilles. et ôta sa culotte.

- Et maintenant, chère Carole, pose ton adorable petit cul sur le lit. A quatre pattes salope.

Tête basse, figée par l'humiliation, Carole jeta un oeil sur le côté, en entendant le froissement de vêtements qu'on quitte. Elle grimaça en sentant le lit s'affaisser.

Déjà, les mains de Guy lui palpaient la croupe, tandis qu'il intervenait à nouveau.

- Salope de chienne, je t'explique pas le plaisir que je vais prendre à te baiser.

Il caressait la tendre texture de ses fesses, ne croyait pas à ce qu'il lui arrivait. Après avoir été évincé par cette foutue salope, il avait maintenant, la possibilité de faire payer son attitude de cette satané bordille.

- S'il vous plaît...je vous en prie, je suis désolée...ne me faites pas ça...

Ses pleurs et ses lamentations, ne faisait que renforcer son érection. Agrippant le galbe de ses hanches, il l'empala de toutes ses forcs.

- Je te baise enfin, foutue salope.

- Non...mon dieu...non...sanglotait Carole, alors que l'homme qu'elle méprisait tant, introduisait brutalement sa bite dans sa chatte.

- Oh...oui...couinait Carole, alors que Guy allait et venait dans sa chatte maintenant bien lubrifiée.

"Oh mon dieu, se disait-elle, alors que sans le vouloir, ses sphincters vaginaux se crispaient sur la bite du banquier."

En sentant ses muscles intimes se serrer et se desserrer sur sa queue, Guy se moqua de sa jeune proie soumise.

- T'as l'air d'aimer ma chérie...tu jutes comme une salope...comme une chienne en rut.

- Oh oui...j'aime...c'est bon...

Cependant, Guy voulait qu'elle se rappelle toute sa vie de ce jour. Mansour lui avait confié qu'il avait été le premier à glisser sa queue dans sa bouche, mais que jusqu'ici, personne ne l'avait encore enculée. Guy pensait qu'il était de son devoir de la prendre au petit trou, de la dépuceler de ce côté là.

Une poignée de main avec Mansour, avait scellé leur entente. Il lui avait offert d'être le premier à casser le cul de la sublime petite pute, en échange du taux d'intérêt qui lui offrait. Alors que la jeune femme s'empalait d'elle même sur la grosse bite de Guy, il savait qu'il aurait bien vite l'occasion de farcir ce petit trou, qu'il espérait vierge.

Lui flattant lascivement la croupe, Guy empoigna fermement ses hanches, extirpant lentement sa queue de sa chatte si accueillante.

Carole venait juste se d'adapter au rythme que lui imposait Guy, lorsque étonnée, elle le sentit se retirer, alors qu'elle était sur le point de jouir.

Pantelante, elle se tourne vers lui, le sentant promener son gland dans sa raie culière. C'est alors qu'il s émit à presser son gros champignon, contre son petit trou effrayé.

- Que faites-vous, interrogea-t-elle...

Ses mains agrippaient fermement ses hanches, alors que son glande décalotté, frappait à la porte de ses reins. Elle tendit la main, empoignant la tête du lit.

- Je vais te donner une bonne leçon ma chérie, dit Guy en pressant férocement son gland conte le petit orifice de Carole.

- Oh mon dieu...pas ça, je vous en prie, je ne l'ai jamais fait...

Guy sourit à cette confirmation. Il savait maintenant qu'il serait le premier à casser le cul de cette somptueuse salope. Il raffermit sa prise sur ses hanches. Sa bite était prête. Il donna un féroce coup de reins.

-Alors chérie...

- Aie...aie...arrêtez...ça fait mal...

Ses plaintes réjouissaient Guy, se plantant entre ses reins.

- T'es qu'une sale petite chienne, salope...je vais t'enculer pour te remercier de m'avoir viré de mon poste de directeur. C'est bon pour me dédommager.

- Je vous en prie...arrêtez, sanglotait Carole.

Jamais elle n'avait enduré une expérience aussi douloureuse.

En entendant rire Guy qui l'enculait sauvagement, elle comprit qu'elle ne devait attendre aucune pitié de sa part. Il ne ferait qu'accroître sa douleur et son humiliation.


- Oh mon dieu...comment peut-on être assez pervers pour se livrer à des accès aussi odieux...

- Mais chérie, tu es si étroite...t'as un succulent petit cul. Si doux, si chaud, j'en crois pas ma bite...dire que je dépucelle ton petit trou...


Figée par la douleur, Carole demeura à quatre pattes sur le lit, frémissante de douleur, alors que Guy extirpait sa queue souillée de son anus meurtri.


- Et maintenant, tu vas ramener ton petit cul si fidèle, à ton mari, salope. Tu pourras lui dire que tu as participé à la vente, en offrant ton petit trou aux investisseurs.

Le corps de Carole était secoué de spasmes de douleur. La douleur était intense. De plus sentir le sperme suintait de son trou, était vraiment insurportable.

- Te voila avec un trou de cul tout neuf ma salope? Au revoir ma chérie...je rentre à la banque finaliser les prêts consenti par Mansour...que t'arrive-t-il? Ton petit trou te brûle après ce que je lui ai mis. Tu vas me nettoyer la bite salope...

Dès que Carole ouvrit la bouche, il lui enfouit sa grosse bite dans la bouche.

- Allez salope...grouilles toi de me nettoyer mon calibre..oh oui...lèches-moi...comme ça. C'est excellent...vas-y...lèches encore...

C'était la seule humiliation qu'il pouvait infliger à cette salope, qui lui avait ravi son poste. Il coulissait de plus en plus furieusement entre ses lèvres, enfonçant sa bite frémissante de quelques centimètres.

- Oh mon dieu, Sucer Mansour était une chose, mais cet immonde salopard m'oblige à sucer sa bite, alors qu'il vient de la sodomiser.

Guy frissonna de plaisir en la sentant reprendre ses succulentes sucions. Il était au bord de l'explosion.

- Oh ma chérie, mon petit coeur...tes lèvres sont si douces...ah...oui, comme ça...lèches encore..oh oui...je vais jouir...je jouis...avale...avale tout...oh oui...

Il tenait fermement sa ravissante proie par ses longs cheveux. Guy était conscient de ses regards suppliants. Guy se réjouissais de la voir se débattre, mais il la tenait, l'obligeant à avaler sa semence. Il la vit soudain s'étouffer, C'est alors qu'elle entendit la porte de la cabine s'ouvrir. C'était Mansour qui souriat en se moquant.

- J'ai entendu que tu as fini par conclure avec Guy. Tu utilises vraiment tous tes charmes pour subjuguer tes interlocuteurs. Prêtes à écarter encore tes cuisses.

Elle avait tiré aucun plaisir, aucune satisfaction de son rapport forcé avec Guy. Elle ne pouvait cependant s'empêcher les muscles de ses cuisses de se crisper, à l'idée d'accueillir la grosse bite de Mansour dans sa chatte. Carole ne put s'empêcher de jouir. Cette fois, elle avala toute la semence, sans hésitation.

La semaine suivante, les papiers officiels de session de la société, furen signés dans la salle de conférence de la compagnie.

Une fois les documents paraphés, Carole poussa un soupir de soulagement en lisant le message que Mansour lui avait fait parvenir. Assise derrière son bureau, elle ne pouvait s'empêcher de repenser à cet enchaînement d'évènements qui avaient débutés deux mois plus tôt.

Maintenant qu'elle pensait avoir fait le nécessaire pour écarter la menace de cette horrible video, elle était déterminée à ne plus appartenir qu'à Pierre, son mari.

C'est alors que le téléphone sonna. Sa secrétaire lui annonça que Mansour voulait la rencontrer

- Dites-lui de monter...

Elle prit une profonde respiration. Elle voulait paraître calme, et confiante.

Bien qu'elle ne puisse nier la crispation soudaine de ses muscles des cuisses, alors qu''un flot de cyprine inondait sa chatte. Lorsque le conccurent de son pari entra, la secrétaire referma la porte. Carole sentit un frisson lui parcourir l'échine, quand Mansour la verrouilla.

Il s'approcha du bureau, en souriant, et lui tendis une boîte, comme un cadeau.

- Comme promis, voici l'original et les copies de ton clip vidéo. J'ai signé un papier qui te mets à l'abri de tout chantage, concernant ces copies.

En lisant le document, Carole poussa un gros soupir de soulagement.

- Vôtre mari en ligne, sonna la secrétaire.

Elle écouta son mari préciser la raison de son appel.. Il lui disait que Guy était dans son bureau, que tout était en ordre.

- Je vous accompagne à la conférence dit-elle.

A sa grande surprise, Mansour lui empoigna le bras, et la tourna lentement vers lui.

- Il est nul besoin de sa précipiter ma chérie...Ils peuvent commencer sans nous.

Comme il se penchait sur elle, elle entre ouvit les lèvres, et enroula sa langue autour de la sienne. Quelques unstants plus tard, agenouillée au sol du bureau, Carole était en train de tailler une pipe au rival de son mari. Quelques secondes plus tard; elle avalait la semence épaisse de Mansour.

Arrivée dans la salle de conférence, Carole s'assit à côté de son mari, alors qu'on servait le café. Il lui demanda si elle voulait un peu de crème. Carole ne répondit pas. Elle en avait assez avalé comme ça. Une bonne crème épaisse, provenant des grosses couilles de l'homme qui se tenait en face son mari.

Se pourléchant les lèvres, elle vérifia qu'il ne subsistait aucune trace de son forfait, sur ses lèvres pulpeuses, et qu'elle avait bien ingurgité la totalité se la substance crémeuse, que Mansour avait éjaculé dans sa bouche, quelques minutes plutôt.

Assise à la table officielle; elle fut surprise de voir que Mansour avait accepté de l'intégrer en tant que consultante financière, aux côtés de Guy.

Carole compris qu'il lui offrait ce poste, plus pour ses compétences sexuelles, qu'autre chose. Mansour précisa qu'ils travailleraient dans le même bureau. Guy regrada Pierre.

" Si seulement cet imbécile savait que sa femme n'était qu'un chaude chienne, et que Mansour et lui, allaient la baiser toute la journée."

Carole passa sa langues sur ses lèvres, savourant la proposition, pensait au coup de queues qu'elle allait prendre dans la chatte et dans le cul, mais aussi aux pipes qu'elle allait tailler, au sperme qu'elle allait avaler.

Mansour précisa qu' une fois dans le bureau, elle devait travailler entièrement nue, et être à sa disposition, mais aussi à celle de Guy.































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