Brésil, sur la grande Île (3)

Récit érotique écrit par Kewine le 24-02-2022
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Catégorie Couple

Je plonge ma tête sous l’eau tout en lui écartant les fesses, et je lèche sa raie en faisant pression de ma langue. Ma langue parcourt son entrejambe depuis son Å“illet jusqu’à son abricot, où je peux à nouveau respirer à la surface de l’eau. Je continue jusqu’à son clitoris, avant de raidir ma langue et l’insérer dans sa fente. Je fais des mouvements de va et vient, mais dans l’eau dans cette position ce n’est pas évident. Je l’incite à se mettre debout et s’appuyer sur les rochers, dos à la mer. 


Mmmh elle est trop bonne comme ça. Je me plaque contre elle, lui presse les seins, lui caresse la fente et le haut des cuisses. Je me remets à bander. Je m’assieds dans l’eau contre les rochers et entre ses jambes. J’amène ma langue à son sexe, bien plus ouvert dans cette position. Elle écarte les cuisses et descend un peu sur ses jambes pour plaquer son abricot sur ma bouche. Je lui dévore son petit minou…partout je lèche, souvent je rentre en elle, je titille son petit bouton…moi je bande dans l’eau et plein de petits poissons viennent s’agiter autour de ma queue et de mes boules. J’attrape un de ses seins et elle plaque sa main dessus. Elle se presse le sein avec ma main, la déplace sur l’autre en gémissant et en ondulant son bassin sur mon visage. Elle prend ma main et la met sur ses fesses, que je malaxe. Elle reprend ma main et la dirige vers son Å“illet. La coquine… je glisse mon majeur dedans, elle aime ça, c’est nouveau aussi…je sors doucement mon doigt de sa rondelle, avant de l’enfoncer de nouveau. Je continue comme ça un moment tout en lui mettant le feu dans le minou. Elle prend ma tête avec sa main et me la secoue contre son abricot. Je durcit ma langue et la pénètre rapidement avec. Je m’aide en attrapant ses lobes charnus et les pressent contre moi. Elle écarte encore un peu plus les jambes et bascule son bassin vers moi. Son minou complètement ouvert, je fais balader ma langue avec insistance au cÅ“ur de sa fente, et je suce son bouton. 


Elle gémit puis me dit : j’en peux plus prends moi !!! En se mettant à quatre pattes dans l’eau, je la pénètre puis m’assieds sur mes talons en la redressant contre moi. Une main sur ses seins, l’autre entre ses cuisses, non ondulons l’un et l’autre au gré des pénétrations, bien collés l’un à l’autre. Nos sexes sont sous l’eau et cela fait du bien aussi de sentir un peu de fraîcheur ici. Et les poissons ! Quels coquins ceux là ils viennent nous effleurer de partout partout, c’est surprenant ! On se prête au jeu …oh celui là il m’a touché le clito ! Je me retire un peu d’elle, et nous ne bougeons plus. Nous faisons un peu de place pour les poissons en écartant nos jambes et attendons. On les voit affluer vers nous et tourner autour de nos sexes. Je suis encore planté bien dur en elle mais pas en entier. Cela nous fait rire ils nous titillent. 


Oh j’en ai plein sur mes bourses ! 


Oui j’en sens plein sur mes fesses aussi! 


Oh celui là a aussi envie de rentrer dans ma foufoune! 


Ah oui je le sens aussi!


On rit. À chacun de ses rires je sens son vagin se contracter sur moi. Alors j’en profite. Je glisse discrètement un doigt sur son téton et lui dit: oh il y a même un poisson volant qui te touche les seins ! Elle rit en s’enfonçant un peu sur mon manche. En réponse je lève mon sexe en elle , sans la pénétrer plus, juste comme si je lui disais bonjour avec mais à l’intérieur. Elle rit. 


Oh il y a une murène qui s’agite en moi!


La coquine oui! Et je recommence. Elle rit et se contracte sur moi puis s’enfonce et ressort un peu, elle ressort encore jusqu’à ce que mon gland commence à apparaître puis elle regarde là sans bouger. Des poissons arrivent : 


Regarde ils te touchent ! 


Oui je les sens ils arrivent vers toi, prépare toi!


Ouh ils me chatouillent et j’en ai plein devant ma foufoune !


Ça te fait du bien?


Oui c’est agréable, si doux! 


Allez faites place les poissons ! Je la reprends jusqu’à la garde et y vais de mes va et vient. Mon sexe est dur comme du cristal et me fait un peu mal après toutes ces péripéties. Je lui redresse la croupe et la pilonne en levrette. L’eau est encore montée et baigne le bas de nos sexes. Je suis terriblement excité et elle aussi. On y va à un rythme soutenu. Nous gémissons de plaisir. Je la pénètre profondément. Cela gicle de partout au niveau de ses fesses. Je ne sais pas si c’est de l’eau de mer ou de la cyprine où les deux en même temps mais ça gicle bien, et j’en rajoute en faisant couler de l’eau sur sa raie.


Je la relève et lui plaque les mains sur les rochers. Elle tend ses fesses vers moi et je la pénètre. Elle gémit, oh oui vas-y vas-y vas-y. J’y vais de plus belle et là elle jouit intensément. Elle ne tient presque plus sur ses jambes en criant. Je continue de la pénétrer en la tenant par les hanches. Arrête stp arrête, ah ah ah …elle ne sait plus dans quel monde elle est. Moi je n’en peut plus non plus…Je jouis violemment en elle. Ouh me dit elle, j’ai senti ta giclée en moi! Ah je jouis encore, ça dure et ne s’arrête pas. Ma bite se contracte sans arrêt. 


Cela finit par se calmer et je me retire d’elle. 


On s’embrasse. 


Eh bien dis donc tu es en forme me dit elle. 


Si tu savais comme tu es désirable et comme tu me fais bander…


On s’embrasse goulûment.


On nettoie nos intimités dans l’eau , remettons nos maillots et regagnons nos paréos pour une sieste bien méritée.


Nous rejoignons notre bungalow après 2 bonnes heures de marche, et arrivons trempés de sueur. Déjà on se boit une bonne caipirinha pour retrouver de l’énergie et filons à la douche. 


Là nous voyons que nous avons pris des bons coups de soleil à des endroits assez inhabituels : moi sur les fesses et les hanches, elle sur les seins, à l’emplacement des bretelles et les fesses.


Je lui propose de la biafine, ce qu’elle accepte à condition que ce soit moi qui lui applique. Pas de problème ! Donc je lui tartine les seins de cette crème fraîche et bienfaisante. Je lui tartine les fesses aussi, et les bretelles.


Je t’en met aussi me dit elle? Oui je veux bien! Mais tu n’ as pas beaucoup de coups de soleil ! Pas tant que cela mais mon sexe est douloureux, comme brûlé par l’intensité de nos ébats. Tu pourras aussi lui mettre de la biafine ? Attend j’ai mieux me dit elle. Elle part à la salle de bains, pendant que je mate ses fesses cremees, et elle revient avec de la crème hydratante. Elle en prend une Grosse noisette et l’étale partout sur mon sexe. C’est frais et cela fait du bien. Lorsqu’elle m’applique la crème sur le dessous du gland et le frein, elle me provoque une erection, douloureuse. Peut importe elle continue de me masser, et me dit que maintenant que la peau est bien tendue, la crème pénétrera encore mieux. Ah merci ma chérie, j’ai hâte de récupérer et qu’on refasse l’amour. La biafine ayant pénétré en elle, je lui en rapplique sur les seins.


Viens la me dit elle en attrapant mon sexe.


Elle plaque mon sexe entre ses seins et dépose une noix de crème à leur contact. 


C’est encore plus sensuel comme ça lui dis je. 


Tu aimes ? Ça te fait pas trop mal? 


Je la sens bien mais j’oublie tant la vue de ta belle paire de seins me réjouis. Elle serre ses seins et emprisonne la queue en leur centre, tout en les faisant bouger lentement de haut en bas.


Tu seras vite remis me dit elle vu comme tu sembles encore en forme!


J’espère aussi, et que toi aussi. 


Auscultation de contrôle demain matin! Chiche?


L’histoire ne dit pas ce qu’il s’est passé le lendemain matin, mais le lit a grincé dans la nuit.


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