Mon mari est cocu

Récit érotique écrit par mazaudier le 23-03-2022
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Catégorie Infidélité

Cette histoire est véridique et relatée dans ses moindres détails. Elle m’est arrivée au mois d’octobre deux mille deux. Pourquoi avoir attendu presque un an avant de l’écrire? Tout simplement par désir de me confier. Personne jusqu’à présent ne connaît cette histoire.

Mais d’abord laissez-moi me présenter. Je m’appelle Céline, j’ai quarante huit ans, je mesure un mètre soixante neuf, brune, avec un corps parfait, avec de jolis petits seins.

Vous comprendrez plus tard pourquoi je dis qu’ils sont très jolis. Je suis mariée à Daniel depuis plus de vingt ans, nous avons deux filles Carole et Nadine toutes deux majeures. Jusqu’à ce fameux mois d’octobre deux mille deux, les quatorze, quinze, et seize plus précisément je n’avais jamais trompé mon mari. Daniel est un homme plein d’humour qui travaille dans une banque et qui gagne très bien sa vie. Moi je suis cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés. Je considérais notre vie sexuelle normale, mais après chaque rapport avec mon mari, je ressentais comme un goût d’inachevé, d’incomplet. Nous abordions et continuons à aborder toutes les facettes du sexe, j’adore sucer, me faire pénétrer la chatte et je ne refuse pas la sodomie bien que ce ne soit pas ce que je préférais jusqu’à ce fameux mois d’octobre deux mille deux.

En résumé une vie banale.

Bien voilà mon décor personnel planté. Je vous explique maintenant le décor professionnel. Je suis, je l’ai déjà écrit plus haut cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés située à Bordeaux. Le premier juillet deux mile un est entré dans notre entreprise un employé de bureau qui avait répondu à une offre d’emploi. Il s’appelle Hervé il est âgé de quarante six ans. Grand, mince, cheveux châtain légèrement dégarni mais charmant. C’est moi qui lui ai fait visiter l’entreprise, l’ai instruit sur le travail qui l’attendait et lui ai précisé après l’avoir installé dans son bureau, qu’il pouvait venir me demander tous les renseignements dont il aurait besoin. Et pendant plus d’un an il venait souvent me demander des renseignements. Je sentais qu’il n’étais pas insensible à mes charmes et je dois l’avouer j’en étais troublée, mais jamais il ne m’a proposé quoi que ce soit ni même d’aller boire un café en sa compagnie. J’en étais un peu frustrée mais je l’ai dit, jamais je n’avais trompé mon mari et même, sentant l’attirance que je représentais pour Hervé, je n’envisageais pas du tout de le faire, c’est une idée qui ne me venait même pas à l’esprit.

Le huit octobre deux mille deux, nôtre directeur de l’époque m’appela au téléphone et me demanda d’aller le voir dans son bureau en me précisant de dire à Hervé de venir aussi. Je passe donc par le bureau d’Hervé et lui dit que nous sommes attendus tous les deux dans le bureau du patron. L’entrevue à trois fut brève mais le patron nous apprit que l’entreprise allait se doter d’un nouveau logiciel informatique de gestion acquis auprès d’une société parisienne, et que pour cela deux personnes devaient se rendre à Paris en quelque sorte en éclaireurs afin de s’initier aux rudiments de ce nouvel outil informatique. Les deux personnes choisies étaient moi Céline, et Hervé, et les billets de train étaient déjà retenus pour le quatorze octobre deux mille deux, à onze heures quarante cinq. J’en parlais quand même à mon mari, qui me dit qu’à partir du moment que c’était pour mon travail, il n’y avait pas de soucis.

Nous voilà donc au quatorze octobre deux mille deux dans le train. Tout le voyage se déroula normalement. Hervé était extrêmement gentil et galant, il voulu absolument me laisser la place à la fenêtre pour que je puisse profiter du paysage. Nous avons longuement bavardé de tout, loisirs, cuisine, sport, culture. Arrivés à destination nous avons pris le métro Parisien pour nous rendre jusqu’à notre hôtel, vers dix neuf heures trente. Là nous avons convenu de nous retrouver dans le hall de l’hôtel vers vingt heures trente dans le but de trouver un petit resto. Vingt heures trente, nous nous retrouvons et je propose à Hervé de nous rendre sur les Champs Élysées, car je connais la bas un resto sympa le « Bistrot Romain ».

Voilà toute la scène est plantée car c’est maintenant que commence vraiment mon infidélité conjugale. Après un petit apéritif nous entamons le repas, à vrai dire je ne me souviens plus de quoi il était composé, mais à ce moment je me suis aperçue que j’avais oublié d’appeler une amie, une grande confidente à qui je n’ai jamais rien caché de ma vie, y compris mon insatisfaction sexuelle, que j’avais invité à déjeuner chez moi le lendemain, et je ne pourrai pas pour cause de déplacement. Je prie donc Hervé de m’excuser et saisis mon portable pour l’appeler

- Allô Christine, c’est Céline. Je t’appelle pour te dire que le déjeuner de demain est annulé, je suis en déplacement à Paris.

- C’est pas grave, ma chérie, on remettra ça pour une autre fois. Tout va bien pour toi.

- Oui merci.

- Et ton problème de sexe ?

Il faut dire que Christine croyait que j’étais seule pendant cet appel, et puis lorsque je discute avec elle je suis tellement détendue, que je perds parfois toute notion d’intimité.

- Toujours pareil, on fait l’amour et je reste sur ma faim pour ainsi dire. J’aurai presque envie de recommencer de suite, mais Daniel est un rapide, et il s’endort de suite après.

Au fait Christine je ne t’ai pas donné mon nouveau numéro de téléphone.

- Tu as encore changé ?

- Oui...note le...

- Merci on se rappelle à bientôt ma chéri.

Je m’excuse auprès d’Hervé pour ce petit intermède puis nous reprenons notre repas au cours duquel je trouve mon collègue encore plus prévenant, je sens son pied qui touche parfois le mien, et quelquefois sa main vient jusqu à frôler la mienne. Enfin notre repas se termine et nous rentrons bien sagement à l’hôtel.

Arrivés devant l’hôtel Hervé me souhaite bonne nuit, et me dit qu’il va rester quelques minutes en bas pour fumer un cigarette. C’est vrai qu’il fume mais peu.

Je regagne ma chambre, prends une douche, et garde comme seuls vêtements, une nuisette transparente, et une culotte.

C’est au moment ou j’allais entrer dans le lit que mon portable se met à sonner. Je décroche.

- Allô.

- Allô... bonjour Madame.

J’ai immédiatement reconnu la voix d’Hervé et j’ai cru qu’il voulait un renseignement professionnel, c’est pourquoi j’ai répondu tout normalement comme sur un ton de plaisanterie.

- Bonjour monsieur.

- Madame j’ai déjeuné ce soir à une table voisine de la votre, j’ai entendu que vous communiquiez votre numéro à votre correspondant, et je n’ai pu m’empêcher de le noter, car je vous ai observé tout le repas et vous trouvé très séduisante, et très charmante...je tenais à vous le dire.

A ce moment tout m’est revenu en mémoire en un éclair, et j’ai compris qu’il ne voulait pas qu’un simple renseignement. J’en fus troublée et flattée, et je ne pus que répondre avec un chevrotement dans la voix, mais en continuant et en entrant dans cette sorte de jeu.

- Et bien monsieur c’est très gentil de votre part et je suis très flattée, mais vous avez aussi certainement compris que je suis une femme mariée.

- Oui madame, je l’ai aussi entendu, et je dois vous dire que je suis marié aussi. J’ai aussi entendu que vous connaissez quelques difficulté…sexuelles avec votre mari.

- C’est vrai mais il reste mon mari, je ne l’ai jamais trompé, et n’ai pas l’intention de le faire..

- Moi aussi madame je n’ai jamais trompé ma femme, et je connais aussi avec elle des problèmes du même genre que les vôtres.

- C’est à dire ?

- Que je ne suis pas entièrement satisfait sur le plan sexuel.

- Et comment se manifeste cette insatisfaction.

La situation commençait à m’exciter. Ma voix devenait de plus en plus hésitante, mes petits seins commençaient à pointer sous ma nuisette, une douce chaleur envahissait mon ventre, et je sentais ma chatte devenir humide.

- Et bien mon épouse n’accepte pas toutes les caresses, cela est pour moi comme une frustration.

Moi, qui bien qu’en préférant certaines caresses à d’autres n’en refuse pour autant aucune, devenais toute tremblante. Je ne pensais plus à mon mari, j’étais collée sur mon téléphone à écouter la douce voix de cette homme, qui elle aussi devenait tremblante maintenant.

- Et pourquoi me dire tout cela maintenant à cette heure ?

- Parce que je vous ai suivi depuis le restaurant, parce que je suis devant votre hôtel, parce que je discute avec vous en ce moment merveilleux, parce que vous êtes absolument charmante et terriblement sensuelle et…

Ho mon dieu que tout cela était bon à entendre. Je voulais en entendre encore plus, je lui dis.

- Et ? N’ayez pas honte de dire ce que vous voulez dire. On ne rougit pas au téléphone.

- Et que j’aimerai que vous m’ouvriez votre porte pour…….

- Pour ?

- Pour passez une nuit ensemble.

J’ai ressenti une énorme poussée d’adrénaline j’ai hésité deux, trois secondes, qui pour Hervé ont certainement été une éternité, mais sans me reconnaître, je me suis entendu répondre.

- Et bien monsieur je suis en chambre 332.

Quelques minutes plus tard j’ai entendu un petit tapement à la porte de ma chambre. J’étais dans un état effervescent je tremblais et vêtue seulement d’une culotte et chemise de nuit. J’ai ouvert, Hugues m’a souri il est entré. Sitôt la porte refermée et avant que je ne me retourne vers lui il s’est plaquée derrière moi sa tête contre mon oreille, ses mains son venues se positionner sur mes hanches et continuant à jouer son jeu il m’a dit.

- Je m’appelle Hervé Alain, et vous ?

- Céline Larchaux, ai-je répondu sans même m’en rendre compte, comme dans un nuage sensuel.

Ses mains son remontées vers mes petits seins déjà durs et il a murmuré.

- Madame LECLAUX je suis fou de vos jolis petits seins je vais les dévorer toute la nuit je vais les sucer comme je vais vous sucer la chatte à vous en faire crier.

Après ces paroles j’ai compris ce qui me manquait avec mon mari. Tout simplement ces paroles un peu crues que jamais il n’oserait prononcer. Elles résonnaient dans ma tête comme un appel au sexe à deux, délivré des ses derniers tabous, reliées par le vouvoiement de cet homme que je côtoyais chaque jour, et par cette scène de jeu. Elles me faisaient plaisir à entendre j’avais envie d’en entendre encore plus, et d’en prononcer moi aussi des plus sales encore, et comme si Hervé avait deviné mes pensées il poursuivit en disant.

- Cela ne vous gêne pas si je vous parle ainsi.

En guise d’acquiescement je répondis.

- Oh oui….sucez mes petits seins...sucez pa petite chatte...

- Madame Larchaux, je vais vous sucer toute la nuit et vous baiser toute la nuit.

- Oh oui...baisez-moi...enfilez-moi...bourrez-moi par tous les trous.

- Par tous les trous vous en avez envie ?

- Oui j’ai envie que tu baises ma chatte, oubliant le vouvoiement, que tu baises ma bouche que tu m’encules jusqu’à m’élargir le petit trou.

J’étais folle et complètement libérée. Ces paroles sales, je les connaissaient mais c’était la première fois que je les prononçaient pendant l’amour et j’y prenait un énorme plaisir. Hervé m’a alors guidée vers le lit, et me suis allongée sur le dos. Il à commencé à m’embrasser puis ses mains on fait glisser les bretelles de ma nuisette, dans la pénombre il a découvert mes petits seins dont il m’a répété qu’il en était fou, il les a sucé un bon quart d’heure, ils me faisaient mal tellement les pointes étaient dures. Ensuite il a ôté ma nuisette complètement, et à travers ma culotte il à commencé à me sucer la chatte, a recommencé à me sucer les seins et a passé sa main dans l’échancrure de ma culotte. Il me branlait tellement bien, titillant mon petit bouton qui était dur, je sentais ses doigts glisser dans ma chatte complètement noyée, à ce moment il a enlevé ma culotte et s’est jeté sur ma chatte j’ai écarté les cuisses le plus largement possible, pour que sa langue puisse entrer au plus profond de moi. Ensuite il a écarté mes lèvres d’une main tandis qu’il entrait deux doigt dans un lent puis rapide va-et-vient. Le clapotis de ses doigts et de ma chatte était tellement excitant que je lui ai demandé

- Baise moi baise moi fort maintenant je veux sentir ta queue au fond de moi.

- Non tu ne connais pas encore ma queue...tu vas d’abord me sucer. Je suis sûr que tu aimes avoir une queue dans la bouche. Elle est belle ta bouche tu vas bien me pomper je veux jouir dans chacun de tes trous et sur ton corps.

Et joignant le geste à la parole il s’est relevé à baissé son pantalon, je me suis assise sur le lit, et n’y tenant plus j’ai baissé son slip et la j’ai découvert ce que n’osait espérer, une queue large, longue d’au moins vingt centimètres, alors que celle de mon mari culminait à peine à quinze centimètres en pleine érection, qui ne dure pas longtemps, et de plus il n’est pas large et dure comme une barre d’acier. Sa queue dans ma bouche, je l’ai pris par les fesses et l’ai attiré sur le lit. Allongée sur le dos lui au-dessus de moi j’avais son énorme mandrin dans la bouche et il s’employait à le faire coulisser pour me baiser la bouche, comme il m’avait dit plus tôt. Comme je l’ai dit plus haut j’adore sucer mais j’ai horreur que l’on jouisse dans ma bouche. Chaque fois que je fais une pipe à mon mari je lui demande de me prévenir et lui enrobe la queue dans une serviette lorsqu’il joui. Mais ce jour là je n’avais même plus conscience que la grosse bite d’Hervé pouvait décharger à tout moment dans ma bouche. Il s’était maintenant allongé sur le dos et me tenait par l’arrière de la tête et je suçait parfois lentement, parfois rapidement en enfonçant son engin le plus profondément et je sentais mes joues se gonfler par cet énorme pieu qui parfois venait buter au fond de ma gorge. Soudain Hugues m’a demandé.

- Plus vite mon amour...plus vite je vais décharger dans ton gosier.

Et bien que je n’aime pas cela je lui ai dit.

- Tu veux jouir dans ma bouche ? Tu veux que j’avale tout ton foutre...oui j’ai envie de te boire, j’ai envie que tu me gave de ta crème, tu vas me remplir la bouche et l’estomac avec tout le jus de ton énorme bite, mais garde des force, je veux absolument que tu me défonces par tous les trous.

Tout en disant cela je continuais à le masturber lentement pour qu’il garde toute sa vigueur. Puis j’ai repris sa queue en bouche, j’ai recommencé à le manger lentement, ensuite plus vite, soudain j’ai senti tout son corps se raidir sa queue prendre une dimension encore plus grosse et tressaillir dans ma bouche et un long jet chaud et crémeux me couvrir la gorge, puis un deuxième et un troisième, et pendant qu’il jouissait je continuais à le sucer comme une folle à m’en m’étouffer, et j’avalais en essayant de pas perdre une seule goutte de sa liqueur. J’ai tout avalé avec délectation. Ensuite Hervé m’a embrassé goulûment, en essuyant mes lèvres de sa langue, il semblait prendre beaucoup de plaisir à goûter les restes de son sperme sur ma bouche.

- Ta bouche et tes lèvres sont salées.

- Cela te plaît ?

- Oui.

Nous sommes restés enlacés un long moment à nous embrasser, nous caresser. C’est durant ces caresses que j’ai senti à nouveau le sexe de Hervé grossir, je me suis alors jetée dessus fiévreusement pour le reprendre en bouche. Il était aussi gros qu’auparavant j’ai demandé à mon amant.

- S’il te plaît prends moi, prends moi par derrière, j’ai trop envie de te sentir en moi. J’ai envie de ta grosse bite dans ma chatte en feu.

- Viens mets toi à genoux je vais te défoncer en levrette.

Je me suis mis à genoux par terre les bras et le torse appuyés sur le lit. Hugues s’est positionné derrière moi mais alors que je m’attendais à recevoir son énorme pieu dans ma grotte inondée de mes sécrétions j’ai entendu Hugues qui salivait dans sa main et qu’il passait celle-ci sur mon petit trou. Je n’ai pas eu le temps de lui dire que je voulais d’abord le recevoir dans la chatte. Sa queue est venue se loger entre mes fesses je l’ai senti appuyer sur ma rondelle et d’une poussée vigoureuse qui m’a écrasé sur le lit son gland énorme est venue me déchirer le cul et m’a arraché un cri de douleur.

- Salaud tu me casses le cul.. je te voulais dans ma grotte d’abord.


Il m’a proposé de ressortir pour la forme car il ne l’a pas fait et en plus j’avais vraiment envie qu’il m’encule bien à fond.

- Tu me traites de salaud alors que tu en veux comme une pute. Jamais je t’aurais cru aussi chienne dans le plumard tu en veux encore plus ?

- Oui enfonces la bien au fond, défonces moi le trou, ramone moi, élargi moi le petit trou.

- Espèce de salope tu vas pas le regretter tiens prends la toute entière.

Toujours son énorme bite dans mon cul, il réussi à se mettre sur ses jambes et à grands coups de boutoir, il fit coulisser son membre dans mon petit cul que je sentais s’élargir de secondes en secondes, jusqu’à présent seul mon mari m’avait enculée, et peu membré comme lui, jamais mon trou ne s’était évasé, il y allait tellement fort que son bassin faisait des "clac" énormes lorsqu’il buttait dans mes fesses.

- Oh oui défonces moi encore plus fort, encules moi toute la nuit, c’est bon je sens tes couilles frapper ma chatte, je veux que tu me casses le cul toute la nuit, tu ne me troncheras que demain au réveil après que je t’ai sucé.

- Ha tu en veux au fond de ton ventre...prends ça pute que tu es.

- Oui je suis une pute, ce soir je suis ta pute, et ramone mon cul.

Il m’a ramoné le cul cassé la rondelle il a élargi mon trou et dans un râle s’est déversé dans mon boyau. Lorsque j’ai senti sa bite se détendre un peu il s’est retiré et m’a dit.

- Je vais me nettoyer.

- Non laisse, je vais le faire avec ma bouche.

J’ai pris sa queue molle dans ma bouche, elle sentait fort, elle avait un goût d’excréments, car dans la pénombre je ne pouvais deviner s’il y en avait dessus, mais qu’importe j’avais envie de ça, il m’avait comblée au cul je voulais l’épuiser, le vider complètement. Je l’ai donc consciencieusement nettoyé et j’ai senti qu’il recommençait à prendre vigueur.

- La salope, tu me fais encore bander, tu en veux encore je vais t’en donner.

Et entre deux mouvements de pompes.

- Oui donnes m’en encore dans le cul, la chatte c’est pour demain.

- Tu veux encore te faire défoncer ton joli petit cul rose. Tu est une vraie pute déchaînée, tu fait pareil avec ton cocu de mari.

- Non avec mon mari ça dure cinq minutes lorsqu’il me baise la chatte ou que je le suce, et encore moins longtemps quand il m’encule.

- Mets toi en position sur le dos, c’est comme ça que je vais t’élargir encore ton petit trou.

Je me suis mise sur le dos il a prit mes jambes les a relevées, coincées dans ses épaules et à présenté sa bite devant mon cul. Cette fois-ci il est rentré d’une seule poussée, je ne peux pas dire que je n’ai rien senti, mais la douleur n’a pas été la même. La première fois c’était une douleur de déchirement, quant à celle-ci c’était une douleur due à l’irritation après une sodomie puissante et prolongée. Mais j’ai quand même appréciée une nouvelle fois. Il m’a limé le cul pendant vingt bonne minutes encore, avant de décharger une nouvelle fois dans mon ventre, mais moins puissamment que la fois précédente, après quoi je l’ai encore sucé pour le nettoyer, et bien qu’il se mît à rebander nos ébats se sont arrêtés là. Quelques bisous après nous dormions comme des ….bienheureux. Le lendemain matin au réveil, j’ai laissée glisser ma main vers sa queue et après quelques caresses il s’est mis à bander comme un taureau. Cette fois il m’a baisé la chatte et j’ai éprouvé un immense bonheur lorsque j’ai senti sa liqueur inonder mon ventre. Les quinze et seize octobre, nous avons continué nos ébats tant et si bien que le lorsque il a fallu se résoudre à rentrer, j’étais toute triste. Nous avons pris le train, et pendant le trajet, je n’ai pu m’empêcher de prendre sa main, de la passer sous ma jupe, et de l’aider à enfoncer un doigt au fond de ma chatte toute humide. Depuis nous poursuivons notre relation. Cette histoire de sexe s’est transformée en histoire d’amour. Il m’a avoué m’aimer, et je lui ai dit que c’est réciproque. Il m’a demandé de quitter mon mari en me disant qu’il est prêt de son côté à quitter sa femme. J’ai dit non, par respect pour la famille, par peur de peiner mon mari et par goût de ’argent qu’il apporte au sein de notre foyer.

C’est dur et injuste pour Hervé qui m’adore, et que j’aime d’un amour très fort.

Mais si jamais il me redemande de venir vivre à ses cotés, oui, je dirai oui, je l’aime, je t’aime Hervé, j’aime quand tu me baise mon amour.
















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23-03-2022 2 21878

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