L'auto-stoppeuse

Récit érotique écrit par Odan le 19-04-2022
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Catégorie Couple

Allez, encore une journée sur la route, en plein été... Lille-Bordeaux, ce n'est quand même pas la porte à côté ! Mais bon, il fallait bien que j'aide mon ex dans son déménagement. J'ai donc pris la route à la fraîche, en me disant que j'aurai le temps de m'arrêter faire une pause, et que je n'avais pas l'intention de battre des records de vitesse : cool... Au bout d'une heure de route, la tuile : la climatisation de la voiture en rade. Et le soleil commençait à taper. Je sors de l'autoroute et cherche un garage. Jusqu'ici, facile... "Mais, mon bon monsieur, j'ai pas les pièces, va falloir attendre, ou alors, vous pouvez rouler comme ça, mais moi, je peux rien faire de plus tout de suite"... Ok, tant pis pour moi, je vais fondre dans la voiture... Un peu dépité, mais après tout, ce n'est que la clim, c'est pas bien grave, on verra ça en rentrant, je reprends la direction de l'autoroute. Va quand même falloir m'arrêter avant pour acheter de l'eau, ça risque d'être utile, et comme j'ai une glacière dans le coffre, elle restera fraîche. Mes petites emplettes effectuées, et ayant déjà perdu deux bonnes heures dans cette histoire, je rejoins l'autoroute, avec un soleil de plomb déjà bien haut dans le ciel. C'est pas que j'aime pas le soleil, au contraire, j'irais bien faire bronzette intégrale sur une plage, mais pour faire de la route sans clim, vous avouerez que ce n'est pas idéal.

A l'entrée de l'autoroute, deux stoppeurs qui tendent le bras en cherchant de l'ombre... Un petit couple désargenté qui descend vers le sud. Bon, à défaut de clim, j'ai de la place, et ça me fera de la compagnie. Ils vont dans le pays basque, c'est ma route. Lui, petite trentaine, un peu dégarni, déjà écrasé de chaleur, avec un gros sac sur le dos et des vêtements, on croirait qu'il part au ski. Elle, un peu plus jeune, grand chapeau de paille - prévoyante ! - et longue et ample robe d'été en coton blanc. Je les préviens qu'il fera chaud dans la voiture... Je ne savais pas à quel point...

Elle monte devant, laissant son mec fatigué s'installer derrière. "Ne dors pas tout de suite", lui lance-t-elle en riant. Nous prenons la route, en discutant de tout et de rien, bientôt accompagnés des ronflements sonores de monsieur... "Il ne supporte pas le soleil, et il a un gros pull... Je l'ai prévenu, mais il ne veut rien entendre." Nous roulons toutes fenêtres ouvertes, mais la chaleur grimpe tout de même... Elle enlève ses sandales et remonte sa robe sur ses cuisses en s'exclamant : "je ne vous fais pas un strip-tease tout de suite, mais ça tape quand même !" Je lui propose de l'eau, et nous faisons un premier arrêt pour que j'aille la prendre dans le coffre. Monsieur ronfle toujours, il a l'air parti pour quelques heures. Quand elle voit que j'ai une réserve de bouteilles, elle me demande si elle peut gâcher. "Gâcher ? c'est-à-dire ? - Je peux m'en mettre sur le jambes ? - Oui, bien sûr, on a de quoi". En fait de s'en mettre sur les jambes, elle s'arrose généreusement les cuisses, et tant qu'à faire, elle s'en met aussi sur la tête, secouant sa lourde chevelure bouclée. La scène, je l'avoue, n'est pas pour me déplaire... Nous reprenons la route un peu rafraîchis. Enfin, elle est un peu rafraîchie... et moi un peu échauffé...

Comme elle est trempée, elle a remonté sa robe à mi-cuisses, et l'eau glisse le long de ses jambes bronzées. Elle goutte aussi de sa chevelure sur ses épaules. "Ah, je crois que j'en ai mis trop", dit-elle en essuyant ce qui coule sur sa poitrine, sans se rendre compte qu'en faisant cela, elle a défait un bouton de la robe et soulevé son décolleté, me laissant apercevoir le galbe d'un sein. Elle ne porte pas de soutien-gorge, je l'avais déjà remarqué, et l'eau sur elle lui a fait dresser les tétons. Bon, il faut que je me concentre un peu, on est sur l'autoroute...

"Pardon, mais avec cette chaleur, je risque de m'assoupir moi aussi. Vous ne m'en voulez pas trop ?" me demande-t-elle. Pas de souci, j'avais prévu de rouler seul, aucune importance. Elle recule un peu son siège, met ses pieds en hauteur contre le pare-brise ("Ah, comme ça, ça me fera de l'air !"), remonte sa robe et ferme les yeux. Elle le fait exprès ? J'ai ses longues jambes dénudées jusqu'à mi-cuisses, et même plus haut, et voilà qu'elle défait encore un bouton du haut pour avoir de l'air... Et c'est parti, elle dort. J'y crois pas. J'ai un mec vautré derrière qui ronfle, et une nana sublime qui me fout ses jambes sous le nez et la moitié de ses seins à portée de la main. Moi qui avais prévu de rouler tranquille, cool. Tu parles. Je commence à avoir une trique sévère, je pourrais confondre avec le levier de vitesse. Faut se calmer, je prends la bouteille d'eau pour faire descendre la température et... merde, qu'est-ce qu'il fout, ce camion... ah, putain, j'ai renversé de l'eau partout ! "Ah, qu'est-ce que c'est ?" Ben oui, c'est surtout elle qui a pris, le haut de la robe est trempé d'eau fraîche ! Je lui explique en m'excusant, et elle le prend plutôt bien. "C'est sympa de penser à me rafraîchir" dit-elle en éclatant de rire. Et l'autre qui ronfle encore... "Mais là, je suis vraiment trempée." Oui, elle est trempée, et le coton blanc, quand c'est trempé, c'est carrément collant et transparent... Impossible d'ignorer ses tétons dressés, impossible d'ignorer ses petits seins à croquer, impossible de ne pas avoir une trique quasi douloureuse. "Vous voulez qu'on s'arrête pour vous changer ? - Oh non, c'est pas la peine, ça va sécher, et puis c'est une bonne idée, après tout", et voilà qu'elle prend la bouteille, et se la verse carrément dessus, la poitrine, le ventre, les cuisses... Totalement trempée, et joyeuse... Totalement nue sous la robe, pas la trace du moindre string, la robe collée au corps, mais... fraîche. "Je ne vous gêne pas, j'espère ?" demande-t-elle l'air mutin. Je crois qu'elle a remarqué mon trouble, et que mes regards sur son corps font la paire avec ses regards sur mon short trop serré.

Elle jette un rapide coup d'oeil en arrière, pour s'assurer que son mec dort vraiment, elle le secoue un peu, mais il a sombré... "Vous savez quoi, comme je suis vraiment trempée, et que vraiment il fait trop chaud, je vous fais une proposition : j'enlève cette robe qui me colle, comme ça, je pourrai sécher. Ok ?" Je n'ai pas même le temps de répondre, qu'elle a déjà commencé à se désaper... Aussi simple que ça, elle est totalement nue à côté de moi, souriante comme si ça n'avait rien d'anormal, on roule sur l'autoroute fenêtres ouvertes, et elle plaisante. "Euh, pardon, mais vous n'allez pas réussir à conduire comme ça, faut enlever votre short..." Et ni une ni deux, elle prend la bouteille d'eau et me verse ce qui reste directement sur la bosse, dans un grand éclat de rire. Stop. Là, il faut sortir de l'autoroute, c'est pas possible. "Doucement, faudrait pas réveiller bonhomme..." Je prends une route de campagne, et on s'arrête à l'ombre d'un bosquet. Rien à faire, il pionce comme un bienheureux. Nous sortons de la voiture, elle nue et d'une liberté à couper le souffle, moi empêtré dans mon short trempé que je n'arrive pas à enlever... mais c'était compter sans son aide. Elle me pousse le dos contre un arbre, défait rapidement les boutons qui me gênent, dégageant adroitement ma bite dressée et dure, et avant même que j'aie eu le temps de respirer, à genoux devant moi, elle m'engloutit entre ses lèvres, comme s'il s'agissait d'une glace bien fraîche. C'est sûr, ce n'est pas la première fois qu'elle fait cela. Sa langue autour de moi, sa salive chaude, ses lèvres qu'elle sait serrer et desserrer, je suis pris dans le fourreau de sa bouche et déjà prêt à exploser. Elle le sait, elle en joue en ralentissant ou en accélérant. Bon sang, cette fille est de feu. Elle a glissé une main sur son ventre, et pendant qu'elle me pompe, elle se caresse. Elle redresse la tête, abandonnant un instant mon sexe tendu. "Fait chaud, hein ?" Tu parles ! Elle se redresse totalement, et pendant qu'elle me lance "Tu devrais tout enlever", elle va dans la voiture chercher une nouvelle bouteille d'eau. Ses cheveux ondulés sur son dos, son cul qui trône au-dessus de ses jambes bronzées, elle est aussi excitante de dos que de face ! J'enlève ma chemise et retire totalement mon short qui était resté aux chevilles. Elle revient vers moi, et vide la bouteille sur son corps et sur le mien, comme une douche fraîche. Décidément, cette fille aime l'eau ! Pas une marque de bronzage ni sur seins ni sur son ventre. Elle pratique le naturisme... J'avais déjà remarqué que de se mettre nue ne la gênait pas. Elle me fait face, et restant à environ un mètre de moi, elle reprend sa caresse, une main entre ses jambes, sur son sexe épilé avec un petit ticket de métro adorable. Elle recule un peu, écarte davantage les jambes, se doigte carrément en me regardant bien droit dans les yeux. Je n'en perds pas une miette, me caressant aussi devant elle, ma tige fièrement dressée. "Viens" me dit-elle en s'enfonçant un peu dans le bosquet. Elle s'appuie à un tronc, me tendant ses fesses sublimes. Je viens y frotter mon sexe, le faisant glisser entre ses globes charnus, prenant ses seins à pleines mains, elle ondule contre moi, monte et descend le long de mon sexe, s'écarte, revient. Je prend mon sexe et le guide vers sa fente trempée - et ce n'est pas que de l'eau - j'y entre doucement, mais elle se recule d'un coup, venant s'empaler totalement sur moi, et poussant comme un feulement. Commence alors la danse, son corps et le mien en fusion, la sueur venant se mêler à l'eau presque évaporée, sa mouille coulant le long de ses cuisses, mes mains collées à elle, à ses hanches, à son ventre, à ses seins, à son clito que j'attrape entre deux doigts, la faisant presque crier. Et elle n'est pas en reste, son cul montant et descendant sur moi, allant de droite et de gauche. Elle est experte, elle le sait. Je la sens défaillir une première fois, ses jambes comme se dérobant sous elle, mais je la retiens, et peu s'en faut que je ne jouisse en même temps. Reprenant ses esprits, elle se dégage et se retourne, me faisant maintenant face. Et elle vient de nouveau sur mon sexe, levant une jambe fort haut - danseuse ? - afin que je pénètre au plus profond. Je la laisse faire, j'adore ses initiatives, son sexe qu'elle sait serrer sur le mien, ses mains agrippées à mes épaules, son souffle maintenant animal, elle cherche un second orgasme, je sens qu'il vient, je la sens presque couler sur moi, c'est de plus en plus fort, elle glisse ses mains sur mes fesses, elle me presse en elle, elle me veut au plus profond de son sexe, je viens buter en elle, je vais exploser, elle le sait, elle cherche cette intensité, ses yeux sont fermés, sa respiration haletante sur mon cou, je la soulève presque, une main entre ses fesses, et lorsque j'effleure son anus, je la sens jouir une seconde fois, me serrant si fort que j'explose à mon tour en longs jets brûlants.

Nous restons ainsi, silencieux, presque sans souffle, de longues minutes, nos corps fusionnés, notre jouissance partagée.

Nous nous dégageons doucement, trempés et épuisés... "C'est maintenant qu'il nous faudrait une douche..." Une autre bouteille d'eau fera l'affaire.

Nous reprenons la route sans rien dire, avec les ronflements ininterrompus du siège arrière.

Arrivés vers Bordeaux, je les dépose à un péage, pour qu'ils continuent leur route. "Bonnes vacances ! - Oh, ça a bien commencé, me dite-elle".



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19-04-2022 1 2203

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