Comment protéger sa fille

Récit érotique écrit par mazaudier le 24-09-2022
Récit érotique lu 3954 fois
Catégorie Infidélité

Bonjour, je m’appelle Marlène, maman de Lori, âgée de dix sept ans. Quant à moi, j’en ai quarante. J’avoue être une mère protectrices en ce qui concerne les relations de ma fille. Mais une mère, reste une mère.

Je nouais ma la ceinture de ma sortie de bains en descendant les escalier

Mon mari était absent pour la semaine. J’en profitais pour me détendre, me faire belle, même si je n’avais pas prévu de sortir.

Soudain, j’entendais une voix provenant de la terrasse. C’était Lori qui téléphonait à Kevin, en omettant de fermer la porte.

« C’est bon Kevin, maman prend son bain. Je suis désolé d’appeler si tard...ouais, tu me manques aussi…»

Je sentis bouillir mon sang en entendant la conversation de ma fille. Kevin était son petit copain, et n’avait pas bonne réputation dans le quartier. Mais ma fille était sur un nuage depuis qu’elle le connaissait.

Quelques jours plus tôt, j’avais déjà surpris une conversation entre ma fille et l’une de ses amies. Apparemment, si ma fille hésitait à me présenter son petit copain, c’est parce que ce garçon était âgé de vingt quatre ans, et que Lori venait tout juste d’en avoir dix sept. J’avais immédiatement ordonné à ma fille, d’interrompre cette relation.

Et maintenant, elle lui parlait au téléphone.

« Je veux encore jouer avec ta queue...ouais….je suis prête Kevin, j’ai bien réfléchi., et je veux que tu me prenne la chatte avec ta grosse bite. »

Je ressentis un froid m’envahir, et ne fis qu’un bon jusqu’à la terrasse. Lori leva les yeux, et me vit debout devant elle. Je tendis la main.

- Donnes-moi ce téléphone, dis-je en lui arrachant des mains...écoutes-moi bien Kevin, si jamais je t’attrape à tourner autour de ma fille, je te les coupe, bien compris.

- Mais maman, moi je l’aime.

- Tu n’es qu’une...je sais ce qui te convient, va dans ta chambre. Tu es puni jusqu’au retour de ton père, on décidera en suite.

« Je te déteste maman, criais Lori en montant dans sa chambre en pleurant ».

Moi-même commençais à chialer de mon côté. Ce Kevin était la pire chose qu’il pouvait lui arriver. Lori avait toujours été une fille sage, dont j’étais fière.

Tomber sur un mauvais garçon, c'était une épreuve dont je me serais bien passée.

Depuis peu, ma fille portait un jean un peu trop ample, avec les ficelles de son string qui dépassaient. Ses polos étaient trop courts et moulants. Elle montrait son nombril. Ses seins gonflés et haut-perchés étaient moulés dans le fin tissu. Elle attirait les regards, et aucun garçon ne parvenait à la regarder dans les yeux.

Je soupirait, inquiète pour sa fille. Je regardais mon jus d'orange, et décidais qu'il avait besoin d'être un peu relevé. Je me dirigeais vers le bar, et versais une rasade de vodka Je l'avais dosé assez fort, mais ce soir, je n'allais pas conduire.

Je fermais la porte à clé et remontais l'escalier. J’arrivais juste à temps pour empêcher la baignoire de déborder. Je vidais un peu la baignoire et ajoutais les sels de bain.

Je dirigeais vers le miroir en me déshabillant. C'était mon habitude de m'examiner avant le bain. Personne ne me prendrait pour la mère de Lori. On avait toutes les deux les mêmes cheveux brun, et les mêmes yeux verts. La même taille, seuls mes hanches plus rondes et mes seins, nous différenciaient. Lori paraissait plus vieille que son âge, contrairement à moi, qui faisait plus jeune. Beaucoup de gens pouvaient penser que nous étions sœurs. Lori héritait de mon physique, les mêmes traits, les mêmes attitudes, les mêmes expressions. De loin, on pouvait nous confondre, même ceux qui nous connaissaient bien.

Je glissais lentement mon corps dans l'eau chaude. Je soupirais, pénétrant dans l'eau petit à petit en poussant des petits cris, puis me détendis pour prendre une gorgée de ma boisson. Je me dressais pour me laver. Je pris le savon parfumé au jasmin et fis mousser mes bras et mes épaules, avant de m'attaquer à sa poitrine. Mes bourgeons restaient hyper-sensibles et le simple contact les faisait palpiter. Mes bouts turgescents étaient durs et dressés. Ils étaient souvent érigés, et visibles. Je les cachais sous des vêtements épais, pour empêcher les hommes de les dévisager quand ils me parlaient.

Je passais le savon sur mon ventre et dans mon entrejambe. J’étais tentée de laisser ma main s'attarder entre mes jambes, car la boisson et le contact de mes bourgeons m’avaient excitée. Je devais attendre la fin de semaine et le retour de mon mari et, même à ce moment-là, je n'étais pas sûre d'obtenir son attention.

Je me ressaisis et me détendis pendant plusieurs minutes avant de retirer le bouchon de vidange. Je me levais et me séchais. La dernière étape consistait à appliquer de l'huile parfumée sur tout son corps, croyant que l'huile ralentissait le vieillissement de la peau. Je brossais longuement mes cheveux soyeux.

En passant devant la chambre de Lori, je m'arrêtais pour écouter à la porte. J’étais prête à partir, quand j’entendis ma fille rire. J’ouvris rapidement la porte. Lori était assise devant son ordinateur. La porte-fenêtre de sa chambre était grande ouverte.

- Que fais-tu? Lui demandais-je.

- Je discute avec Mimi, répondit-elle l'air anxieux.

Je regardais la fenêtre. A une époque, je considérais Lori comme un garçon manqué. Elle entrait et sortait de sa chambre en escaladant le grand chêne devant sa fenêtre.

Je dévisageais ma fille, les yeux dans les yeux, jusqu'à ce qu’elle détourne le regard.

Il faisait chaud et une brise rafraîchissante soufflait par la fenêtre ouverte. Pouvais-je faire confiance à ma fille? N'allait-elle pas profiter de la nuit pour rejoindre ce Kevin?

Je décidais instantanément... Une punition. Ce qui signifie, pas de téléphone, pas de télévision...et pas d'ordinateur.

- Ce soir, tu dors dans ma chambre, et moi dans la tienne, lui dis-je.

Lori croisait les bras en faisant la moue.

J’attrapais ma fille par le bras et l'entraînais vers la suite parentale.

- Je viendrais te réveiller pour l'école, lui dis-je en claquant la porte.

Je n'avait toujours pas confiance en elle. Méfiante, je verrouillais la porte à double tour, me dirigeais vers le placard pour prendre la rallonge électrique. J’enroulais le fil autour de la poignée de la porte et l'autre extrémité à la rampe.

Je pensais que la virginité de sa fille étaient en sécurité pour la nuit.

Partiellement tranquillisée, je redescendis pour me servir un autre vodka-orange bien tassé. J’envisageais d'appeler son mari, mais je craignait qu'il prenne peur et qu'il fasse demi-tour si je lui apprenais que son précieux ange voulait offrir sa fleur à un mauvais garçon de six ans son aîné.

Je remplis mon verre et montais me coucher dans la chambre de ma fille. J’éteignis l'ordinateur et m'assis sur le lit. C'était le lit d'une adolescente typique avec des draps roses et un ours en peluche calé entre les oreiller. J’inspectais la pièce. Les murs étaient couverts de poster d'acteurs et de chanteurs connus. Tous très jeunes, très beaux garçons. Sur le bureau, une photo encadrée de Lori avec ses amies, en bikini à la piscine.

En regardant la photo, j’étais réellement reconnaissante que Lori ait gardé sa virginité aussi longtemps. Maintenant, il fallait l'aider à se préserver encore un peu.

Le cahier d'écolière de ma fille était également sur le bureau. En couverture, il y avait des cœurs d’elle et Bob, un gentil garçon avec qui elle sortait avant. Le nom de Bob était barré. Je feuilletais le cahier jusqu'à découvrir un dessin que ma fille avait dessiné. Il représentait un grand pénis. Un petit bras tendait la main vers la monstrueux calibre, la main touchant le gland. La queue était plus grande que le bras. Lori avait mentionné avoir touché le truc du garçon dans la conversation téléphonique qu'elle avait entendue. Ce garçon était définitivement une mauvaise nouvelle.

Lori avait aussi un coffre à vêtements sous son lit. J’ouvris la boîte et sortis des dessous très minces. Les strings, c'était des cordelettes avec un petit triangle de tissu. Les soutiens-gorges étaient très transparents pour ne rien laisser à l'imagination. Je considérais que ces sous-vêtements étaient plutôt sordides, voire salope. Je sus instinctivement que ma fille les avait achetés pour Kevin.

J’avoue que j’étais un peu pompette à ce moment-là. L’atmosphère de la chambre me ramenait à mon adolescence. Je rigolais, même en étalant les sous-vêtements et me leva. ma main défit la ceinture de mon peignoir. C’est là, que par la fenêtre, j’aperçus Kevin, perché sur l’arbre. Il faillit tomber lorsque j’ôtais mon vêtement de soie.

Bon sang, devait-il se dire, comme elle est bonne, cette salope.

De la branche ou il se trouvait perché, il ne pouvait pas faire la différence entre Lori et moi, surtout avec la chambre plongée dans une demi-pénombre.

La vue de face devait être sympa avec mes seins bien fermes, mais quand je me retournais, et me baissais pour essayer les sous-vêtements, les fesses rebondies s'offraient à son regard avide. Mes fesses s’écartaient quand je glissais la cordelette dans ma raie.

Je m’imaginais la bite douloureuse de Kevin, raide à regarder mes seins loger dans un soutien-gorge trop petit.

Je n’avais plus besoin de m’inquiétais, m’allongeais et finit par m’assoupir.

Je ne savait pas combien de temps j’avais dormi et étais confuse quant à l'endroit où elle se trouvait. Puis je réalisais qu'un homme se collait contre moi. « Tu es en avance » dis-je, me réjouissant que son mari était rentré. Prends-moi. Je voulait surtout pas que son mari me laisse dans cet état de désir et s'endorme. Mon mari rampait pour s'agenouiller entre ses jambes écartées. Sa bouche a déposé un baiser humide sur mon nombril et sa langue s'est glissée à l'intérieur de mes jambes. Mon corps était si excité que même un simple baiser sur ma chatte me lui procurait des sensations très intenses. « Tu sais que je n'aime pas ça, soufflais-je à celui je prenait pour son mari. « Bien, peut-être juste pour cette nuit ». Ma voix se brisais tandis que les premiers baisers tombaient sur sa chatte. Une langue agile glissa rapidement entre mes grandes lèvres. Mes mains ont d'abord tenté de repousser l'intrusion, puis elles ont saisi fermement les épaules musclées. Je m'agrippais plus fort en sentant mon premier orgasme s'éveiller. Mes mains remontèrent sur sa nuque, dans ses cheveux. Ils étaient avait coupé courts, presque rasé. Je pressais plus fort son visage sur sa chatte, sentant sa langue creuser profondément. Ses cheveux étaient étranges, bouclés, presque frisés. Je faillis lui arracher la tête quand les mains de mon mari prirent possession de ma poitrine. Ses bras musclés avaient encerclé mes cuisses, ses mains tendues s'étaient emparées de ses seins. Mon mari pressait mes bouts dressés entre le pouce et l'index, les secouant beaucoup plus brutalement que d'habitude. Mon bassin devint incontrôlable je connu le plus terrible orgasme de ma vie. J’étais hors d'haleine et voyais des étoiles danser. La bouche a commencé une lente reptation sur son ventre, picorant de petits baiser pour s'arrêter sur son sein. Sa langue chaude jouait avec mon bourgeon.Mon corps se tordait de manière désordonnée en sentant cette bouche vicieuse jouer avec mes seins. Je connu mon deuxième orgasme, juste à cause de l'action de cette bouche. La chair de poule envahi tout son corps. Je ne tenais plus, il me fallait une bite bite en moi. Mes mains agrippèrent le dos de mon mari. Mais au lieu des chairs molles dans lesquelles j’enfonçais habituellement mes ongles, elles trouvèrent un dos musclé. « Baise-moi » suppliais-je. Oh, putain, ne me fais plus attendre! Baise-moi maintenant ». J’écartais mes jambes en repliant mes genoux. Mon mari positionnait ses hanches entre mes cuisses ouvertes. Avec une sorte de matraque rigide, il frappait ma chatte, le haut de ses cuisses. Il semblait avoir développé une énorme bite de cheval juste au moment où j’en avait le plus besoin. L'énorme bite cherchait dans mon entrejambe l'orifice où se loger. Le gland qui surmontait la bite de son mari était aussi gros qu’une balle de golf. Ma chatte s’ouvrait bien, même si j’avais l’impression qu’elle s’étirait plus large. Mes jambes s'enroulèrent autour d'une autre surprise, un cul ferme et musclé. Tout semblait hors de proportion. Bizarrement, mon lit semblait plus petit que d'habitude. Le sexe de son mari semblait plus gros. J’avais l'impression d'évoluer dans un monde étrange, où les proportions n'étaient plus respectées. Mon mari ondulait des hanches pour me besogner plus profondément avec son énorme bite. L'image de mon mari avalant une poignée de Viagra s'imposa à mon esprit. Quoi qu'il ait fait, sa queue était bien mieux. C'était presque trop. Le manche raclait la paroi, affolant les terminaisons nerveuses de ma chatte et en plus, il visitait des profondeurs inexplorées. Je pensais soudain que mon mari avait une réunion importante le lendemain et ne pouvait pas être à la maison. Je ne protestait pas car c'était la meilleure baise de ma vie. De plus, j’avais besoin de son aide pour punir Lori qui dormait dans la chambre parentale, et moi dans la chambre de sa fille. Comment mon mari avait-il deviné que je dormais dans le lit de sa fille? « Quelque chose ne va pas, pensai-je perplexe...ta queue est bien grosse » « Tu l'as touché l'autre jour, Lori...tu te rappelles comment c'était log, épais. La queue de l'homme heurtait le fond de ma chatte. « Maintenant ferme ta gueule ou ta salope de mère va nous entendre » « Kevin?» demandais-je. « Ne m'appelle plus comme ça. Appelle-moi Biroute. Tu te rappelles? » Mon dieu, c’était noir? Mon mari s'affolerait s'il apprenait que sa fille fréquentait un noir. Jésus-Marie-Joseph, il avait son mandrin à l'intérieur de ma chatte et ne pouvait même pas me souvenir avoir embrassé un noir avant. Je devais se débarrasser au plus vite de cette racaille. J’attrapais ses hanches pour le repousser. « Je vois que la vierge veut se faire bien baiser ? » Kevin avait confondu ma tentative de le repousser avec un désir de sexe plus sauvage. Il s'est soulevé et a commencé à ressortir sa queue. Je me suis senti vide à l'intérieur, quand il a retiré lentement sa queue. Un sentiment de tristesse m’envahit et mes yeux s'emplirent de larmes. La mélancolie était si grande que mes jambes autour de ses hanches le ramenèrent à l'intérieur. En dépit de son emprise serrée, Kevin a commencé à pomper avec son bassin. « Je te l'avais bien dit bébé, une fois que je t'aurais pris ta fleur, tu ne pourras plus t'en passer de cette grosse bite noire. Ta chatte s'élargit doucement, ma chérie. Ma queue se sent comme chez elle là dedans. Je vais te baiser à fond maintenant. D'accord?» « Oh oui!" gémis-je. sans réfléchir. Son énorme pénis titillait toutes les terminaisons nerveuses de ma chatte en coulissant à l'intérieur. Il passa le col, tapant au fond de mon ventre chaque fois qu'il poussait. « Tu n'as pas mis de préservatif! » criais-je en pensant que Kevin allait éjaculer dans mon ventre fertile. Je ne prenait plus la pilule, mon mari était si souvent absent. « J'en mets jamais. Et tu ne peux pas tomber enceinte la première fois.» « Menteur, pensais-je, alors riait de sa connerie. « Retires-toi avant d'éjaculer » « Tu vas tout avaler si je te le mets dans ta bouche? » « Oui, s'il te plaît, juste sortir à temps ». La pensée d'avaler son sperme me dégoûtait, mais c'était mieux que de se faire mettre enceinte d'un bébé métis. Survint une période où le calibre de Kevin avait un tel effet sur moi, que je ne pouvait plus parler. On ressemblaient à un vrai couple en rut, grognant, gémissant de plaisir. Je succombais à son désir et les orgasmes se sont enchaînés. La mère que j’étais, âgée de trente-neuf ans, vibrait sous les coups de boutoir du petit ami noir de sa fille. Mes ongles s'enfoncèrent dans la peau de son dos. Kevin grognait et soufflait fort. Ses poussées étaient irrégulières. Je construisais mon plus grand orgasme. Mes jambes le bloquèrent involontairement, le tirant au fond de moi, juste au moment où sa queue se purgeait. L'orgasme s'est brisé en sentant mon ventre se remplir de sperme. Les jets puissants se succédaient, remplissant mon ventre de la femme. « Oh! Non! Non!» incapable de faire une phrase, en proie à l'orgasme. « Retires-toi ». Kevin obéit, mais un jet de sperme a jaillit en se retirant. La longue traînée de sperme éclaboussa mon ventre du nombril jusqu'au petit trou. Le dernier jet me frappa sous le menton, arrosant mes seins, alors qu'il se mettait rapidement à cheval sur moi. Il plaça sa queue entre mes seins. « Pousse-les l'un contre l'autre », ordonna-t-il en tapant sa queue sous son menton. Je serrais mes seins ensemble en baissant sa tête. Le gland entra dans ma bouche juste à temps pour que l'ultime jet de sperme entre dans ma gorge, et s'enroule sur sa langue pour qu'elle soit forcée à l'avaler. « Putain, Lori, tes seins sont plus gros que je ne les imaginais! » La chatte en rémanence, je gémissais doucement en ondulant des hanches. À cheval sur moi, Kevin jouait avec mes seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts. Sa queue s'amollissant quitta ma bouche, mais il continua à la faire coulisser entre ses seins. Kevin s'est penché au-dessus de moi. Non, pensais-je en l'entendant tâtonner la lampe. Je fus aveuglée par la lumière. « Je veux voir ma bite noire calée entre tes seins blanc.... Hé, mais tu n'es pas Lori! Tu es sa chienne de mère! » J’avais compris qu'il était noir, mais n'imaginait pas une telle noirceur. Kevin était noir de jais. Sauf son gland circoncis qu'il utilisait pour me frapper le menton. Ce n'était pas un beau garçon, même si son jeune corps musclé était fantastique. Ses traits reflétaient la cruauté, même quand il souriait comme maintenant. « Je suis Marlène, la maman de Lori. » « Ta fille sait que sa mère est une salope ? « Je ne suis pas une salope" dis-je avant de laisser la queue entrer dans sa bouche » J’ai même léché le gland. Même sucer le gland me procurait une émotion. Je ne m'étais jamais sentie aussi épanouie sexuellement avec aucun de mes partenaires. Ni son mari, ni aucun de mes amants occasionnels. De plus, comme il jouait avec ses seins, je commençait à désirer le corps de Kevin. Mes mamelons étaient gonflés et douloureux, mais les attouchements de Kevin leur envoyaient des décharges d'excitation dans tout le corps. « T’es une petite chienne blanche salope.» « Tournes-toi, je veux te baiser en levrette ». Kevin s'accola au mon derrière. Ma chatte était encore en train d'évacuer la cyprine, et je tremblais d'excitation quand il présenta sa bite devant mon petit orifice. « Tu es toujours aussi excitée avec ton mari? » « Non, je ne me suis jamais sentie comme ça. Je ne sais pas ce qui m'a pris. » « Baiser avec un noir…C'est ça qui t'est arrivé. Ton mari n'a juste qu'une petite bite de blanc. Salope comme tu es, maintenant que tu y as goûté, tu pourras plus t'en passer ». « Il n'a même pas la moitié de ce que tu as à m’offrir ». J’étais déjà en train de perdre mon contrôle. Une autre série d'orgasmes commençait à se construire. Je n'avais jamais autant joui en quinze ans de mariage. Kevin me baisait avec toute la longueur de sa queue à un rythme rapide et implacable. Son rythme. Sans s'occuper de la femme qui se tordait de plaisir. Une série de petits orgasmes, occasionnellement un plus gros. Les mains de Kevin malaxaient mes fesses. Le pouce glissa dans ma raie pour masser mon petit trou. Je sentis la pression contre son cul. « Hé! Pas là. Mon cul n'a jamais servi. » « J'ai vu » , Kevin insista et mon cul s'ouvrit lorsque son pouce entra. Je me révélais brièvement inconfortable, mais ma chatte devint immédiatement déréglée. Les orgasmes sont devenus hallucinants. « Oh mon Dieu, baise-moi, baise-moi fort...Oh putain, c'est bon, chéri! ». Kevin enfonça son pouce dans mon petit trou, au même rythme que sa queue dans ma chatte. Un orgasme trop violent m’a provoqué une perte de connaissance, et me suis effondrée. Il a retiré son pouce et sa queue. « Non... Ne t'arrêtes pas. Encore s'il te plaît. Ne t'arrête jamais...encore plus... ». Ma voix était si faible qu'elle n'était pas sûre que Kevin ne puisse l'entendre. Maintenant qu'il m’avait desserré l’œillet, il a posé sa queue sur sa rosette bien serrée. « Putain, j'avais envie de baiser un cul et le tien est parfait. Un joli petit cul blanc comme j'aime. Je vais te casser le cul! ». Aucune des adolescentes qu'il avait baisées ne l'avait autorisé à passer par là. Même celles qui étaient accros aux drogues refusaient de prendre le monstre de ce côté-là. Dents serrées, Je restais silencieuse, Kevin présentait le monstre à l'orée de mon cul. Au début, j’étais contente, mon anus résistait à la pression. Mais il s'ouvrit beaucoup plus gros qu'avec un pouce. « Oh mon dieu," gémis-je quand l'énorme gland de Kevin entra dans mon petit trou. Les larmes coulaient sur mes joues. Mes jointures sont devenues blanches au fur et à mesure que je crispais ses doigts dans les draps. « Putain, t'es serrée », grogna Kevin. "Ça me plaît. Et toi, tu aimes ?» « Non. Ça me fait mal ... Tu es trop gros. » Mes yeux roulèrent dans tous les sens quand la grosse bite m’envahit profondément . « Si tu préfères, je peux le sortir et aller le coller dans le cul de ta fille? » « Non… ». J’espérais lui avoir dit non pour protéger ma fille, mais je me leurrais. J’étais jalouse. Je voulais Kevin pour moi toute seule. « Non, baise-moi le cul. Reste avec moi, Kevin. » Je me redressais sur les genoux. Ça faisait toujours mal, mais je commençait à pouvoir le prendre. « Maintenant, tu es une pute à black ». Kevin baisait mon cul en l'avilissant. Mon anus se desserrant, il pouvait entrer toute sa bite. « Est-ce que je suis réellement devenue une salope?" J’étais dubitative. J’étais allée me coucher comme une femme aimante et fidèle. Quelque chose avait réveillé la salope naturelle qui sommeillait au fond de mon ventre. Avant même que Kevin ait mis sa queue dans sa chatte. Maintenant, j’avais avalé le sperme d'un jeune noir, trompé mon mari et laissé entrer une bite dans mon petit trou. Sexuellement, je n'avais jamais été aussi satisfaite. Bientôt, il a déchargé une autre quantité impressionnante de sperme, inondant mon cul. Même en sortant, Kevin a giclé une bonne couche de sperme sur mes fesses et mes reins. Je m'effondrais à plat ventre sur le lit. Kevin se tourna et s'effondra sur le dos à côté de moi. On restait inertes pendant un long moment avant de reprendre nôtre souffle. J’ouvris les yeux. « Quel âge as-tu vraiment? » Demandais-je en caressant la queue de Kevin. « Vingt-trois ans ». « Tu ne baiseras pas ma fille, dis-je Mégane ravie de voir que sa queue répondait déjà à ma caresse. « Je vais la baiser, je vais lui prendre sa cerise et elle sera ma petite chienne blanche" dit-il d'un ton neutre. « Je veux bien attendre jusqu'à ses dix-huit ans, mais j'aurais besoin d'une petite compensation jusque-là.» « Je serais dans cette chambre tous les soirs jusqu'à la fin de la semaine ». Je rampais sur le lit et embrassais le gland décalotté. Avant de le reprendre en bouche, elle lui dit. « Après, on trouvera une solution...il n’est pas interdit de baiser la fille et la mère ».








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