La mère et la fille

Récit érotique écrit par Odan le 17-01-2024
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Catégorie Inceste

« Ce matin, deux femmes, une mère et sa fille d’une vingtaine d’années, sont parties faire de la randonnée : elles ne sont pas revenues, et la tempête s’approche : elles envisageaient de passer par là, il faut que tu ailles voir Â», me dit mon chef en me montrant la carte. « Je vais prendre une moto-neige, et préparer des provisions et le nécessaire en cas d’accident. Mais vue l’heure, je risque d’être coincé aussi. Je vais aller vers le refuge de la Mortagne, et j’y passerai sans doute la nuit. Â»

On a fait comme ça. Je suis parti aussi vite que possible, j’ai pris les chemins qu’elles ont dû prendre, j’ai cherché des signes, des traces. Vers 17 heures, avec la tombée de la nuit, je me suis dirigé vers le refuge, espérant qu’elles y seraient. Coup de bol, elles avaient pensé à s’y réfugier, mais n’avaient plus de batteries, plus de moyens de joindre quiconque, et n’avaient aucune provision. Autant dire qu’elles m’ont considéré comme le sauveur. On s’est rapidement abrité, le temps pour moi d’aller chercher suffisamment de bois et de mettre la moto-neige à l’abri. Elles étaient gelées et affamées. Un bon feu et un repas chaud plus tard, les choses allaient mieux. Alyson et sa fille Kendra sont américaines. Elles ne parlent pas français, mais elles le langage du repas chaud est universel ! Problème que je n’avais pas anticipé, le refuge est très petit, et il n’y a qu’un lit double. Avec la tempête qui souffle, je n’ai pas pensé à prendre des couvertures supplémentaires, ce qui fait que dormir par terre serait non seulement très inconfortable, mais même dangereux tant il fait froid. J’ai poussé le feu autant que je pouvais, mais il va falloir se serrer sous les couvertures, dans le même lit. La chaleur humaine, il n’y a que ça. Elles m’ont regardé d’un drôle d’air quand elles ont compris ce que je leur disais, d’autant que comme elles n’avaient pas prévu une nuit en montagne, elles n’avaient pas non plus prévu les vêtements qui vont avec… Je leur ai expliqué qu’il ne fallait pas garder les pulls ou pantalons, il fallait absolument les faire sécher, et on s’est donc retrouvés, tous les trois, en petite tenue, à se serrer sous les couvertures. Alyson, voulant sans doute protéger sa fille Kendra du risque que doit représenter à ses yeux tout mâle français, a décidé qu’elle dormirait au milieu : elle a raison, c’est là aussi qu’il fait le plus chaud ! Et la fatigue et le froid aidant, on s’est rapidement endormis.

Mais les couvertures, vous savez comment c’est : il y en a toujours un qui tire dessus… Là, c’était Kendra. Ce qui fait que je me suis rapidement retrouvé découvert, et que le froid m’a réveillé. Kendra était pelotonnée sous un amoncellement de couvertures, sa mère, qui me tournait le dos, était à moitié découverte, et moi totalement. J’ai pris le temps d’admirer les courbes d’Alyson : jolies jambes musclées, fesses rondes, une vraie invitation, joli string qui ne me cachait presque rien de sa fente, puis le dos couvert d’un débardeur. Très joli, mais j’avais froid. J’entrepris donc d’aller récupérer quelques couvertures, pour nous couvrir tous les deux. Ce faisant, et alors que je ne m’étais pas rendu compte que les quelques instants de contemplation que je m’étais accordés avaient provoqué une certaine tension dans mon bas-ventre, en reprenant des couvertures pour couvrir Alyson et moi, je la réveillai maladroitement. Elle avait froid elle aussi, et à moitié endormie, elle se blottit contre moi pour se réchauffer, sans doute sans bien savoir où elle était ni avec qui. Autant dire que sentir son corps chaud blotti ainsi, ses seins aux pointes dressées par le froid écrasés contre mon torse, à travers le tissu de son caraco, sa jambe par-dessus la mienne et à moitié contre mon sexe, tout cela ne me laissa pas du tout de marbre. Je tentai de bouger pour me dégager un peu mais elle posa sa main sur mon sexe : était-ce volontaire, dormait-elle, je ne savais pas… Je sentais son souffle contre moi, sa chaleur, et mon sexe ne cessait de grossir, tendu, brûlant. Elle leva mes interrogations en murmurant : « Mmmh, I like hard cocks like yours Â» et en commençant à me branler doucement… Je posai une main sur sa fesse, la pressant contre moi et tentant d’atteindre son entrejambe. Elle se dégagea, bougea afin de venir carrément s’asseoir sur moi, sa vulve écrasée contre ma bite tendue. Je lui retirai son caraco, devinant dans la pénombre sa poitrine menue et ferme, aux pointes érigées davantage par l’excitation que par le froid. Ses mouvements sur moi étaient incroyablement excitants, et le tissu de son string suffisamment trempé pour m’indiquer que cette excitation était partagée. Mais elle craignait de réveiller sa fille, et eut un mouvement de recul ou de regret, pour finalement préférer de nouveau s’allonger, me tournant le dos. Je n’avais pas l’intention d’en rester là : je collai ma bite tendue contre ses fesses, la forçant à se cambrer pour venir à ma rencontre. Elle se mordait pour ne pas gémir, mais je sentais bien son excitation monter encore. Je fis glisser son string sur ses jambes, découvrant sa fente dégoulinante de mouille, et je n’eus aucun mal à la pénétrer, presque d’un coup, tant elle désirait mon sexe en elle. Nous restâmes un long moment ainsi, moi en elle, au fond, sans bouger, à simplement ressentir les pulsations de son sexe, elle ainsi cambrée, emplie par mon membre brûlant, à simplement ressentir les battements de mon cÅ“ur dans mon sexe. Puis je commençai à bouger, lui doigtant en même temps le cul, et elle prit son oreiller pour étouffer ses gémissements de plus en plus audibles. Je la tenais par les hanches, et je la labourai maintenant joyeusement, sans retenue, mon sexe venant buter au fond du sien, mes couilles claquant contre ses fesses dans un bruit de mouille et une odeur de sexe. La tempête au dehors faisait assez de bruit pour couvrir en partie nos ébats, et nous n’avions plus besoin d’aucune couverture tant la chaleur qui émanait de nos corps nous brûlait de l’intérieur. Elle se doigtait le clitoris pendant qu’un de mes doigts tournait dans son délicieux anus et je sentais monter l’orgasme en elle, dans ses cuisses tendues et vibrantes, dans son ventre haletant, dans son sexe qui se refermait sur le mien en spasmes compulsifs. Je ne savais s’il me fallait gicler en elle ou sortir, mais elle ne me laissa guère le choix, cambrant brutalement son cul contre moi au moment de son orgasme, déclenchant ainsi le mien en longs jets de foutre gluant. Nous restâmes ainsi collés, avant qu’elle ne se dégage, se retourne pour venir m’embrasser, puis remette son caraco en oubliant son string. Elle se rendormit très vite ; pas moi. Ce moment avait été intense, fulgurant, inattendu. Je sentais encore la chaleur de son sexe, la douceur de sa peau.

Je rêvais ainsi longtemps quand, la tempête se calmant au dehors, je me rendis compte que Kendra, sa fille, était en train de se masturber. C’était discret, imperceptible, mais certain. Sa respiration avait changé de rythme, et si je ne pouvais voir dans la pénombre ses mouvements sous les couvertures, le lit, vieux meuble de chalet de montagne, grinçait assez pour m’indiquer que je ne me trompais pas ; mais je me rendis compte aussi que s’il grinçait ainsi avec d’aussi simples mouvements, qu’avait-il dû faire quand je baisais sa mère sans retenue ? Nous avait-elle entendus ? Savait-elle ce moment de sexe que nous avions partagés ? A l’écouter ainsi se caresser, mon sexe reprit sans tarder une tenue de compétition. J’avais très chaud et j’écartai les couvertures pour me rafraîchir un peu. Elle cessa tout mouvement, se doutant sans doute que j’étais éveillé. Personne ne bougeait : Alyson dormait profondément, avec la respiration lourde d’une femme à la fois épuisée et satisfaite ; Kendra et moi, chacun éveillé, tendions l’oreille en essayant de ne pas faire de bruit. La tension était palpable, épaisse, lourde. Je murmurai finalement : « Kendra, are you awake ? Â» Elle ne répondit pas, mais je l’entendis sans la distinguer tant il faisait maintenant noir se lever. Elle fit le tour du lit et vint de mon côté, s’assit prêt de moi et se saisit sans autre façon de mon sexe tendu : « May I ? Â» Comment lui dire non, comment refuser ce que tout mon corps appelait sans détour ? Je me saisis d’elle : elle était nue. Elle avait un corps assez différent de celui de sa mère : des seins beaucoup plus lourds, pleins, des rondeurs plus souples, des mains plus fines aussi. Très vite, c’est dans sa bouche qu’elle goba mon sexe, m’offrant l’accès à sa vulve trempée, dégoulinante, préparée depuis un moment par sa longue masturbation. Elle ne tarda pas à jouir, sans bruit, sur mes doigts, en tremblant, lâchant mon sexe pour ne pas le mordre, mais le reprenant sans tarder comme pour s’assurer qu’il était encore là. Puis elle vint me chevaucher, me tournant le dos, et s’empalant sur mon membre doucement mais résolument. Elle était plus serrée que sa mère sur moi, plus fougueuse aussi, plus énergique. Je me redressai pour prendre ses magnifiques seins à pleines mains, les palper, les soupeser, les caresser, en froisser les aréoles érigées entre mes doigts. Et soudain, secouée par le nouvel orgasme qui la traversa, elle n’eut pas le temps de se mordre et cria violemment sa joie et son extase, se tournant en même temps, inquiète de réveiller sa mère. Puis elle reprit un gémissement sourd, son sexe dégoulinant autour du mien en spasmes intenses. Alyson n’avait pas bougé, ou si imperceptiblement que sa fille ne s’en était pas rendu compte. Mais je savais qu’elle ne dormait plus, et aux légers mouvements qu’elle faisait, qu’elle se doigtait à son tour, comme sa fille l’avait fait auparavant. Kendra se releva, puis se retournant, elle prit de nouveau mon sexe dans sa bouche pour me faire jouir ; quelle ne fut pas sa surprise d’être rapidement concurrencée dans cette entreprise par sa mère, maintenant retournée, qui lui disputa mon membre turgescent. Coincé entre ces deux bouches avides, coincé entre la mère et la fille, coincé entre les senteurs sexuelles que nous dégagions tous, je ne tardais pas à jouir une seconde fois, maculant leurs visages de mon sperme épais.

Le lendemain, nous rentrions tranquillement à la station, la tempête passée. Mais elle avait laissé sur nos visages les marques du plaisir et de l’extase.



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17-01-2024 0 3151

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