Une soirée de partage.

Récit érotique écrit par mazaudier le 17-04-2024
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Catégorie Partouzes-Orgies

Nous étions tous essoufflés et c’est avec un mélange de satisfaction et de gêne que nous avons ramassé nos vêtements. L’après fut un peu plus étrange, et nous ne nous sommes pas éternisés, car il n’est pas simple de discuter avec des inconnus après avoir couché ensemble.

Le soir, dans mon lit, je ressassais cette première expérience de partage…

Le jour venu, nous étions un peu stressé. Mon mari a essayé plusieurs habits, avant d’opter pour une tenue chemise blanche, jean’ classique. De mon côté, j’ai osé une courte jupe noire et d’un chemiser blanc. D’après mon mari, j’étais un peu trop sexy.

Dans la voiture, la tension était palpable, entre excitation, questionnement et un certain stress, mais l’objectif était clair, nous avions tous les deux envies de profiter de cette expérience à fond.

A notre arrivée, nôtre hôte, Gino, nous accueilli et nous a fit entrer. Le charisme naturel de ce bel italien me plu, dès le premier regard. Sa femme Lisa, nous attendait au salon.

Le décor douillet, ne laissait présager de rien. Je m’étais imaginée une atmosphère avec lampes tamisées, mais non, seul une table basse de salon, ses petits fours et son vin.

Lisa était ravissante, très sexy avec un haut noir transparent, et une jupe assez courte, qui laissait apparaître de longues et belles jambes. J’ai vu que mon mari avait du mal à ne pas regarder, tandis que Gino me dévisageait en souriant.

L’ambiance était étonnamment détendue, malgré ma petite crainte des événements qui allaient suivre, mais nous trinquions et grignotions en toute décontraction.

Environ une demi-heure plus tard, Lisa est venue s’asseoir près de moi sur le canapé, très près de moi. Elle a passé un bras autour de mon épaule, et posé sa main sur ma cuisse, tout naturellement. Elle m’a tourné la tête, et m’a donné un tendre baiser sur les lèvres. Je me laissais aller, tandis que Lisa remontait ma courte jupe. Elle a commencé à m’embrasser le cou, puis est descendu vers mes seins, avant de s’agenouiller devant moi, enfouit son visage entre mes cuisses.

Son mari, face à nous se délectait de la scène, et semblait apprécier de voir la langue de sa femme jouait avec ma fente et mon clitoris, pour mon plus grand plaisir.

Soudain, Gino s’est levé, et a fait signe à Lisa de s’occuper de mon mari, alors que lui s’asseyait près moi. Comme sa femme, il ma caresser les seins, comme sa femme, il a enfoui son visage sous ma robe. Sans faire offense à mon mari, les caresses de Gino étaient divines. Il avait des doigts de fée et une langue...de la soie.

Les choses sérieuses commençaient.

Je dois avouer avoir eu une pointe de jalousie en voyant Lisa ouvrir le pantalon de mon mari, et entamer une lente fellation. Lui évitait mon regard au début, mais il a fini par me jeter un coup d’œil, qui voulait dire « c’est bon, ça va ? ».

J’acquiesçais, en pensant que lui aussi devait trouver ça étrange, qu’un autre homme approche son sexe de moi de la sorte. En effet, Gino s’était déshabillé, et je dois avouer qu’il a d’autres atouts que mon mari.

Copiant les gestes de Lisa avec mon mari, je commençais par me saisir de sa queue, avant de la prendre bouche. Deux femmes occupées à sucer deux hommes qui n’étaient pas leurs mari, je trouvais ça très excitant. C’est à ce moment que je réalisais vraiment que je vivais ma première expérience échangiste.

Puis, les choses se sont accélérées, et cherchais moins l’approbation de mon mari. J’avais l’impression d’être déjà plus à l’aise, comme dans mon élément. Sur ce canapé ou les corps se mélangeaient., j’espérais que ça lui plaisait aussi, mais je pense que oui, car Lisa était une fille sublime.

J’ai vu cette très jolie femme retirer son haut, relever sa jupe pour monter à califourchon sur mon homme, et s’empaler sur sa queue. De notre côté, Gino m’a délicatement demandé de me retourner, pour me prendre en levrette. Il s’en est suivi une longue série de va et vient et de caresses de la part des deux hommes, chacun semblant apprécier le moment.

A ce stade, mes souvenirs sont presque troubles, entre la montée du plaisir et l’excitation de me savoir prise sous les yeux de mon mari. Nous avons enchaîné par une ou deux positions supplémentaires. A la fin, Gino a jouit alors que j’étais en amazone sur lui, et il me semble avoir vu Léa, allongée sur le sofa, accélérer ses mouvements du bassins, pour faire atteindre l’orgasme à mon mari.

Gino, assis sur un fauteuil, tenait en main sa bite en érection. Le signe qu’il me fit était sans équivoque. Il voulait que je lui taille une pipe, ce qui je l’avoue ne me déplaisait pas, malgré le regard dissuasif de mon mari.

Je tombais à genoux, et pris sa queue en bouche. Je sentais les parois de ma bouche se déformer, tellement la bite était imposante. Mon mari suivait cette fellation qu’il espérait depuis nôtre mariage. Le pire, c’est quand il vit mes joues se creuser, et déglutir. J’étais en train d’avaler le sperme d’un inconnu. Malgré les souillures de sperme sur mes lèvres, Gino me donna un tendre baiser.

Puis Gino me positionna à nouveau en levrette. Il approcha son calibre, taquina mon petit bouton, puis dévia sa course. C’était mon petit trou qui l’intéressait maintenant. J’avais un regard vers mon mari, il devait penser que sa femme allait brûler tout les interdit ce soir. Ce qui n’empêchait pas Gino d’atteindre son but. Quelle queue mon Dieu...Il me pénétra, lentement, prit soin du mon diamant qu’il lui était offert. Je n’en pouvait plus de jouir, de sa bite en moi.

Je me retournais en entendant Lisa gémir son deuxième orgasme, alors que son mari me déclenchait le quatrième.

Le couple marqua une pause, tandis que Gino et moi prenions du plaisir à même la moquette. Ce coquin jouait avec moi, reculait à petit pas, tandis que moi, à quatre pattes, devais lui attraper la queue avec la bouche. Je devenais un jeu, je devenais sa soumise

Lisa et mon mari devenait spectateurs de nos fougueux ébats. Gino passait indifféremment de ma chatte, à mon petit trou, pour finir dans ma bouche. Je me tournais vers mon mari quand j’atteins mon cinquième orgasme, et lisais la déception sur son visage, d’avoir laissé sa partenaire insatisfaite.

Enlacé dans les bras l’un de l’autre, Gino me murmura à l’oreille. Je souris

Je me levais, et l’emmener à la salle de bains en le tirant par la queue.

Lisa, nous suivait du regard avec un large sourire. Elle prit les lèvres de mon mari, afin de le détourner de l’orgasme qui allait suivre sous la douche.

Avant de sortir de la douche, j’évoquais une double pénétration avec Gino et un autre partenaire, mais qui ne serais pas mon mari. Mon partenaire trouva ça bizarre d’exclure ainsi mon mari. Je lui sis que je voulais du sensationnel.

Quand nous sortîmes, Léa et mon mari y entraient, on put entendre quelques gémissements, sans plus. Sur la canapé, Gino me couvrait de baiser, caressait ma chatte, mon clito pourtant assouvi.

Nous étions tous essoufflés et c’est avec un mélange de satisfaction et de gêne que nous avons ramassé nos vêtements. L’après fut un peu plus étrange, et nous ne nous sommes pas éternisés, car il n’est pas simple de discuter avec des inconnus après avoir couché ensemble, mais nous sommes depuis restés en excellent termes.

Sur le chemin du retour, nous avons débriefé la soirée, nos expériences et notre bilan était un peu différent. Est-ce une bonne chose. Nous avons tous deux pris du plaisir et trouvé très excitant ce moment de partage. Le choix de ce couple fut une excellente idée, car ils ont su nous guider délicatement, sans jamais nous brusquer. Je pense qu’il est important, pour une première expérience échangiste, de choisir des pratiquants ouverts et pédagogues.

Il est capital d’être prêt mentalement à voir l’autre avec un partenaire qui n’est pas vous. Nous en avions beaucoup parlé avant et ça a certainement aidé.

Puis vint le temps des reproches. Mon mari me reprochait de m’être offerte sans retenue, d’avoir offert à Gino, ce à quoi il n’avait jamais eu droit. Il me dis ne m’avoir jamais vu me donner comme çà avec lui. Il m’a avoué que lorsqu’il m’a vu sucer un autre homme, et avaler son sperme, son estomac s’est noué pendant un instant, de même quand il a vu Gino me sodomiser. Je me doutais que c’était une éventualité, à laquelle il ne s’était pas préparé.

Mais rapidement, il a réalisé qu’il était dans la même position que cet homme et que je devais éprouver un sentiment similaire. Ce fut le cas, avec cette pointe de jalousie initiale. Je reconnaissait m’être peut-être trop investie dans cette relation, mais Gino a su me parler, éveiller mon corps, me convertir en femme de partage, m’a fait découvrir ce qu’était vraiment l’amour, recevoir du plaisir, mais aussi en donner. Tandis que mon mari n’a pas été à la hauteur, laissant Lisa sur sa faim.

Au final, cette expérience libertine restera inoubliable, car c’est la première, bien sûr, mais aussi uniquement pour ces sensations nouvelles, que mon amant a su exploiter. Une grande sensualité, une excitation inconnue, et le plaisir de l’interdit que je ne connaissais pas.

Et si c’était à refaire alors ?

Je le referais sans hésiter Dès qu’une occasion sérieuse se présente, il y a fort à parier que je retenterais cette expérience sous peu...

Et pour tout vous dire, si je devais revire cette première expérience échangiste, je changerais quelques petites choses. Je serais plus avenante, plus audacieuse, plus vicieuse et je n’hésiterais pas à jouer avec les deux hommes à la fois, mais sans mon mari, car c’est ce qui m’a manqué cette fois-ci.

Pour le reste, j’ai compris que le libertinage me correspondait plutôt bien. J’aime le sexe, j’aime mon mari, mais j’aime également pouvoir le voir prendre du plaisir ailleurs, sous mon contrôle. Je vais donc poursuivre mes aventures libertines pour découvrir ce monde mystérieux plus en profondeur.

Dans la semaine, à l’insu de mon mari, j’appelais Gino, lui exposais mon envie d’être prise par deux hommes. Une double pénétration en quelque sorte.

Il me répondit qu’il n’y avait pas de problème, qu’il faudrait y penser la prochaine fois, si mon mari était d’accord, bien sur.

Je lui dis qu’il n’avait pas compris ma démarche, qu’il était hors de question que mon mari participe. Il fut surpris.

Il me contacta quelques jours plus tard, pour me dire qu’il avait trouvé un pote friand de ce genre d’activité sexuelle, et qu’ils avaient loués une chambre d’hôtel dans le village à côté, pour mardi après-midi.

C’est moi qui avais choisi l’après-midi. Les heures ou mon mari était au bureau.






















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17-04-2024 0 87

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