Exhib caresses et orgasme mutuel au resto

Récit érotique écrit par nimphia le 22-12-2009
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Catégorie Couple

Souvent, le dimanche midi, nous avions l’habitude d’aller au resto. Cette fois-ci nous avions opété pour une auberge située à la campagne. Ambiance détendue et bonne franquette. On était en été. Il faisait chaud. Les gens étaient habillés léger. On était tous assis à des tables d’auberge, en bois massif. Mes mais et moi arrivâmes à l’heure du second service. Bon nombre de tables avaient été déjà désertées entre le plat de résistance et le dessert pour profiter des jardins situés autour, ouvrant sur un paysage reposant. En face de moi un couple de quinquagénaires et une jolie jeune femme brune – assurément leur fille – étaient assis. Elle devait avoir la vingtaine. Nos regards se croisèrent à plusieurs reprises, accompagnés de sourires discrets et gênés. Alors que ses parents discutaient, elle se leva de table et se dirigea vers les toilettes, tirant sur sa robe verte assez courte qui dansait et lui moulait ses jolies fesses rondes en marchant. Après quelques minutes, elle revint à sa table, parcourant la salle relativement désertée. J’attendais son retour avec impatience. En effet, j’avais remarqué cette jolie brunette, mais n’avais pas fait attention à sa tenue. Revenant donc à sa table, je me rendis compte à quel point sa robe était courte. Si courte qu’il me sembla voir sa minette. Arrivant à la hauteur de sa table, la jolie brunette saisit le bord de sa robe je crus pour tirer encore dessus, mais la saisissant, l’espace d’une seconde, elle la releva. J’eus alors un coup de sang dans le cœur lorsque je vis effectivement qu’elle ne portait pas de culotte. Je vis distinctement les lèvres de sa chatte dépourvue de poil, et même les petites lèvres qui en ressortaient. Je dus faire de sacrés yeux ronds. Je sentis dès lors mon cœur se mettre à battre fort et mon sexe gonfler dans mon short. Je croyais pourtant avoir halluciné ou avoir abusé sur l’alcool… La jolie brunette se rassit donc à la table de ses parents, mais se décala d’eux de façon à être dans mon axe, assise en face de moi. j’étais gêné entre suivre les discussions de mes amis et cette jeune femme brune aux charmes accessibles. Je n’eux plus une seule hésitation lorsque cette dernière, sourire aux lèvres, se mit à écarter les cuisses lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à les avoir amplement ouvertes, m’offrant sa joli fente dénudée. Je sentis ma queue réclamer sa liberté à cet instant précis, alors que mon cœur allait exploser. Discrètement la jolie brunette passa sa main gauche sous la table. Je vis sa main glisser jusque l’intérieur de sa cuisse, puis le bout de ses doigts se poser sur sa fente. Etais-je en train de rêver ?! Ne pouvant plus résister, j’en fis autant, sortant ma queue et mes boules par la jambe droite – très courte – de mon short. Nous nous présentions tous deux nos sexes en fusion. Très discrètement, ma jolie brune se mit à se caresser la fente, s’attardant sur son clitoris. Elle avait le majeur et l’index sur les lèvres de sa jolie minette, puis les remontant tout doucement, plissant ses chairs, finissait par son bouton d’amour. Elle se caressa ainsi jusqu’au moment où elle resserra les cuisses et retira sur sa jupe lorsque le garçon vint leur apporter l’addition. Bordel ! pourquoi n’étais-je pas arrivé plus tôt ! ils allaient bientôt partir ! heureusement, ses parents semblaient ne pas avoir vu le garçon, poursuivant leur discussion comme si de rien n’était. Un espoir de poursuivre notre petit jeu ?! J’avais les yeux rivés sur les jambes dénudées et l’entrecuisses de ma brunette. Je devais être rouge d’excitation. Afin de ne pas être remarqué par mes amis, j’avais ma main gauche sur ma joue, me tenant la tête ainsi. De l’autre main, je me mis à imiter ma diablesse : écartant les cuisses, je me saisis de mon sexe gonflé à bloc d’excitation et décalottai mon gland en fusion, déjà très humide. Je vis les yeux de la brunette se river sur mon sexe que je dévoilais. Elle s’en mordit les lèvres en sourire. Sa mère lui adressa quelques mots. Elle réussit à lui répondre alors que le bout de ses doigts revenaient caresser sa jolie chatte. Elle dût rabattre sa robe à plusieurs reprises, sûrement à cause des passages dans l’allée située derrière moi. cette coquine prit alors son appareil photo et n’hésita pas à se prendre en photo et moi ensuite. Elle feignait regarder les photos en mémoire dans l’appareil alors qu’elle restait les cuisses amplement écartées pour moi. Moi, j’en étais là. Je me paluchais discrètement à pleine main. Elle les resserra de nouveau. Suivant son regard, je compris que les serveurs situés derrière moi avaient remarqué quelquechose. Elle avait retroussé sa robe et restait les cuisses serrées. Moi, j’avais le gland en feu. J’en profitai pour marquer une pause à mon tour et boire un coup en discutant rapidement avec les convives situés à côté de moi. j’avais toujours ma belle queue à l’air. Ma brunette la reluquait et se mit à souffler en regardant derrière moi. des coquins l’avaient sûrement remarquée ; il faut dire qu’elle était habillée très très court. Du coup, elle jouait avec son appareil photo. Sûrement regardait-elles les photos de mon sexe en érection totale rien que pour elle afin de ne pas me quitter des yeux, tout du moins ne pas faire retomber l’excitation. Elle avait maintenant les jambes croisées. Ça ne sentait pas bon. Puis, telle une éclaircie dans le ciel, elle les décroisa et rouvrit les cuisses discrètement, tendant sa robe et la faisant remonter jusqu’en haut de ses cuisses. Cette coquine passa alors son appareil photo numérique sous la table et prit sa jolie chatte en photo ! quelle reporter ! moi, d’où j’étais, je constatais une chose : elle avait le clitoris gonflé d’excitation. Moi, mon sexe à ma main, j’avais terriblement envie de lui mettre dans la fente ; de la prendre en levrette dans les toilettes. Je n’en pouvais plus. Je bandais comme un âne. Le plaisir procuré par mon gros gland en fusion devenait presque insupportable. Les serveurs avaient visiblement quitté leur poste d’observation car voilà que ma brunette écartait amplement les cuisses pour ne pas rater ses clichés. Posant son appareil, elle se mit à ouvrir sa fente avec ses doigts, me présentant ainsi sa vulve. Elle avait le pied gauche posé sur la barre de bois joignant les pieds de la table, relevant sa cuisse. Elle m’offrait tout. Moi, je me paluchait discrètement. Je sentais ma sève couler le long de mon frein tellement elle me faisait mouiller. Je devais être rouge écarlate. J’avais ma queue toute dehors, dressée entre mes cuisses. Impossible de la ranger, même en cas d’urgence. Ce qui me faisait le plus peur était que tel que c’était parti, j’allais éjaculer d’une minute à l’autre. nul choix que je jouir sous la table ! la honte. Je n’osais y penser. Son père lui adressa la parole. Elle tourna la tête vers lui, restant les cuisses écartées pour moi. chapeau ! quel sang froid, et surtout quel toupet ! si seulement sa mère ou son père savait ce qu’elle osait faire sous la table ! elle serra et desserra les cuisses, sentant sûrement sa jolie petite chatte fondre, avant de passer de nouveau sa main vers l’intérieur de sa cuisse pour s’emparer cette fois-ci à trois doigts de sa jolie minette qui devait être en feu. Autant que lui offrait mon gland rose et tendre, autant elle m’offrait sa vulve en écartant les lèvres lisses de sa chatte avec les doigts. Tirant vers le haut, je vis l’intérieur de sa fente. Un liquide y luisait. Qui sait, peut être était-elle aussi à deux doigts de jouir ! son clitoris était en tout cas tout dehors. Un doigt à sa droite, un doigt à sa gauche, elle se mit à le masser en faisant monter et descendre ses doigts, jusqu’au moment où elle s’enfonça un doigt dans la chatte pour en prendre la photo. Face à un tel spectacle, j’étais au bord de l’orgasme. Elle aussi, tant ses pommettes étaient rouges. Ce doigt dans la minette avait sacrément dû l’affecter, tout spécialement à le faire en pareil lieu, entouré de personne pouvant voir son petit jeu si elle ne faisait pas attention. Son père se leva pour aller régler. Sa mère, elle quitta la table sans mot dire et partit au jardin. La jolie brunette était maintenant seule à sa table. Allait-elle oser quelque chose de plus ? Elle fixait mon gros dard et se mit à se caresser la vulve du bout du majeur et de l’index, avant de se les enfourner dans la minette et faire des va et viens jusqu’à être prise de micro spasmes. Elle se titilla encore le clitoris, dessina des ronds avec ses doigts. Elle se faisait tout en fixant sans relâche ma belle queue qui allait exploser d’une seconde à l’autre. elle le sentait très bien. Elle se mit à redessiner des ronds sur son clitoris qui était plus gonflé que jamais. Il en écartait les lèvres de sa chatte. Moi je n’en pouvais plus. Ses doigts s’activèrent de plus en plus vite sur sa petite chatte. Son majeur glissait de bas en haut maintenant sur son clito. Elle était cuisses toutes écartées. Ne pouvant plus me retenir, je me mis à éjaculer sous la table. Je ne pus voir, mais sentant la force de mon orgasme, je devinais les puissants et longs jets de sperme gicler devant moi, incessants. Je me mordis l’intérieur de la bouche pour ne pas crier. A la vue de mon sperme giclant de ma grosse queue, la brunette ne put se retenir non plus. Je la vis fermer les yeux, puis serrer fortement ses paupières, bien que cherchant à cacher son visage. Sa chatte était gonflée à exploser. Elle la caressa de façon saccadée, avant de reprendre rapidement ses esprits. Elle recroisa les cuisses et tira sur sa robe. Quelques secondes plus tard, son père, passant non loin de moi, vint jusqu’à elle. Elle prit son sac et partit avec lui. J’eus le droit à plusieurs commentaires du genre : « ben pourquoi t’es tout rouge ? eh oh ? t’es avec nous ?! » à la suite de mon terrible orgasme. J’eus peur jusque la fin du repas que quelqu’un ne regarde les longues traînées de sperme. Je crois que l’un des serveurs le vit car il me fit un sourire mi moqueur mi amical. Merci en tout cas pour ce spectacle très osé... nous les hommes nous en demandons pas tant, mais les cuisses entrouvertes procurent toujours une émotion très profonde et troublante...

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22-12-2009 0 17142

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