Mon mari me mate quand je me fait baiser par des inconnus

Récit érotique écrit par admin le 17-01-2010
Récit érotique lu 29840 fois
Catégorie Couple

Le petit vice de mon mari, Jean-Yves, c’est de me voir en train de me faire baiser par des inconnus. Il est très voyeur et, d’ailleurs, il lui arrive de me prendre en photos alors que je me fais prendre comme une vraie chienne par des types vicieux et sans retenue. Il aime me voir dans les bras d’hommes très virils, grossiers, crus et, si possible, fortement membrés. De mon côté, je suis une femme soumise, exhibitionniste, et je dois vous avouer que je retire toujours un immense plaisir dans ce type de relations obscènes et perverses. Moi qui suis très bon chic, bon genre, je jouis sans commune mesure avec des brutes épaisses qui ne voient en moi que ma bouche pour les sucer, mes mains pour les branler, mes seins pour les pétrir durement ainsi que ma chatte et mon petit trou pour les limer sans ménagement. Je jouis comme une folle dans ces rapports dénudés de toute tendresse et de tous sentiments. J’ai eu des aventures avec des hommes de couleur, des maçons, un bûcheron croisé dans une forêt des Vosges et qui m’a pris bestialement contre un arbre. Chaque fois, c’est une jouissance trouble et violente d’être offerte devant mon mari. Dans ce jeu de voyeurisme et d’exhibition, nous sommes très complices. Ces hommes qui me baisent ne comptent pas pour moi. Ou si peu. Ce ne sont que des objets, des jouets pour notre jouissance commune. C’est uniquement la relation qui me lie à Jean-Yves qui a de l’importance. Je suis à lui, toute à lui et en même temps, très amoureuse même s’il y a une grande différence d’âge entre nous et que mon mari est beaucoup plus âgé que moi. Mais c’est lui qui m’a fait découvrir le plaisir et qui m’a totalement libérée sur le plan du sexe. Pour trouver des partenaires qui correspondent à ce que nous recherchons, mon mari et moi, nous avons plusieurs solutions. Il y a le Minitel, Internet depuis peu, les revues d’annonces, les messageries téléphoniques et la C.B. de notre voiture. C’est de cette dernière manière que nous avons contacté Titus, alors que nous roulions sur une petite route de campagne. Titus était chauffeur de camion. Il y a d’abord eu une discussion très chaude entre nous par l’intermédiaire d’un des canaux de la C.B. C’était même assez hard. Il parlait déjà de me baiser comme une garce, de m’en mettre dans tous les trous. Mon mari, et pour l’exciter encore plus, lui répondait sur un ton aussi vulgaire et disait que j’étais une bonne salope à tout faire, que j’adorais les bites. J’étais toute mouillée en écoutant cette conversation. Titus nous a donné sa direction. Il nous a juste fallu faire un petit détour pour le retrouver, moins d’une demi-heure plus tard. Il connaissait un coin tranquille où personne ne nous dérangerait. Ce fut facile de reconnaître le poids lourd qu’il conduisait. Je suis toujours un peu émue et anxieuse dans ces cas particulier mais j’étais toujours aussi excitée en m’avançant vers la cabine. J’avais l’impression d’avoir fait pipi dans ma culotte, tellement elle était mouillée. Il n’y a pas eu de temps mort avec Titus. Je venais à peine d’entrer dans la cabine qu’il me disait : -”Alors, c’est toi la petite salope qui veut se prendre dans tous les trous ?” Il n’était pas contre le fait que mon mari prenne quelques photos et Titus a tout de suite pris ma main pour la diriger entre ses cuisses en ajoutant : -”Touche un peu le morceau ! Il est assez gros pour ton cul ?” J’ai senti une bite déjà dure sous sa braguette, volumineuse, longue et épaisse. Titus l’a dégagée et m’a présenté sa queue en tirant sur la peau du prépuce pour faire saillir le gland. Il semblait fier de m’exhiber son engin bien raide et il m’a tout de suite ordonné de la sucer. Docile, j’ai empoigné sa tige et tout en la branlant dans mes doigts, j’ai commencé par lécher le bout puis la hampe pour les mouiller de salive. Titus grognait de satisfaction pendant que ma langue glissait sur son sexe et ses bourses. Il caressait ma nuque en me disant : “Oui, c’est ça ! Montre-moi que tu es une bonne suceuse. J’aime les femmes qui savent se servir de leur bouche.” Sa queue dégageait une odeur épicée, une forte odeur de mâle et j’ai fini par l’avaler et par la faire glisser entre mes lèvres

J'aime 22
17-01-2010 1 29840

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par admin

Settings