Le corps médical

Récit érotique écrit par Odan le 24-09-2023
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Catégorie Anal

Je souffre de priapisme. C’est-à-dire qu’il m’arrive, sans raison particulière, de me mettre à bander très fort. On pourrait croire que c’est une chance : c’est un calvaire. Non seulement cette érection est très violente, et donc rapidement douloureuse, mais encore elle ne cesse pas avant plusieurs heures. C’est donc à la fois très handicapant… et très douloureux. Evidemment, j’ai essayé de me branler en espérant que l’éjaculation allait me faire ramollir. Mais je n’ai pas réussi. Je veux dire que je n’ai pas éjaculé : en fait, j’avais trop mal, et j’ai dû arrêter de me branler, sans obtenir aucun résultat. J’ai essayé les poches de glace : mais ce n’est possible que pendant le week-end, chez moi. Vous imaginez, au bureau – je bosse dans une boîte de conseil juridique – me balader avec des poches de glace posées sur l’entrejambe…

Cela dure depuis des mois, et ça empire. Je me suis donc résolu à aller voir mon médecin généraliste à la prochaine crise, Mme Renault, qui doit avoir soixante-dix ans. Je suis un peu gêné, mais bon, elle me connaît depuis que je suis môme… Il a quand même fallu expliquer à sa secrétaire pourquoi je voulais qu’elle me reçoive en urgence… Je ne vous raconte pas le regard salace de la secrétaire quand je suis arrivé… Je suis allé m’asseoir dans un coin de la salle d’attente, mais elle n’arrêtait pas de me regarder, et en particulier la bosse qui déformait mon pantalon. Comme j’étais le dernier, elle est venue me voir une fois que tout le monde était parti pour me demander si ça allait, si je n’avais pas trop mal, dans quelles circonstances ça arrivait… Tu parles ! elle était chaude comme la braise, elle me foutait ses nibards sous le nez, et elle espérait sans doute que j’allais la sauter direct. Or en fait d’envie de baiser, alors franchement, pas du tout. C’est pas qu’elle soit dégueulasse, la secrétaire, elle serait même plutôt bandante, petite quarantaine, gros seins, soignée, jolis yeux verts… Mais là, non. Heureusement, le dernier patient est sorti et j’ai pu être reçu. Mais là, catastrophe : le docteur Renault vient de prendre sa retraite, bien méritée il est vrai, et c’est une jeune femme qui me reçoit. Des yeux très bleus, très clairs, une peau très blanche, des cheveux très noirs. Une blouse blanche, et impossible de savoir ce qu’il y a en-dessous. Et les blouses blanches, quand c’est fermé jusqu’en haut, ça ne laisse pas trop deviner ce que ça cache. A peine trente ans, un léger accent de je ne sais pas où, et un air très pro. Elle me pose donc des questions sur mon état de santé général, puis m’interroge sur le pourquoi de ma venue… La secrétaire ne lui a pas dit… Rouge jusqu’aux oreilles, je lui explique donc mon état. Pas un sourire, rien ; toujours pro, elle me demande de me déshabiller pour qu’elle m’examine. J’ai le cÅ“ur qui bat à se rompre, mais après tout, tout cela reste médical et très distant. Quand elle prend ma bite tendue dans ses mains aux ongles impeccablement rouges, quand elle tâte, quand elle soupèse mes bourses gonflées, rien d’excitant. Ce n’est que douloureux. Vous avez essayé de vous masturber ? Oui, euh, bien sûr, mais ça ne fait rien, c’est trop douloureux, je n’éjacule pas. Oui, mais vous avez essayé en étant excité ? Ben, en fait, docteur, c’est tellement douloureux que je vous avoue que rien ne m’excite. Vous avez essayé de faire l’amour ? Non, actuellement, je suis célibataire, et je ne vois pas bien à qui demander un truc comme ça… Oui, évidemment, mais il y a des professionnelles. Pardon, docteur, mais les clients sont susceptibles de poursuite, et je travaille dans le domaine juridique… Oui, évidemment… Et en regardant du porno, ça ne vous exciterait pas ? Non, j’ai essayé, sans succès. Pendant qu’elle m’interroge, elle me branle négligemment, presque sans y penser. Dans un autre contexte, une femme comme elle qui me caresserait le sexe, ça m’exciterait à mort, mais là, nada, rien, que dalle. Elle s’en rend bien compte et cesse donc cette tentative. C’est très embêtant, votre affaire, et ça doit être douloureux… Bon, je vais vous prescrire des anti-douleurs, ce sera déjà ça, mais ça ne me satisfait pas. Ecoutez, je vais consulter des collègues, revenez demain en fin d’après-midi, parce que de toute façon, la journée est déjà entièrement prise. Je vous prendrai en plus, comme aujourd’hui, et j’espère que j’aurai des solutions à vous proposer. Je remballe ma marchandise, et je rentre chez moi avec du Doliprane ! Super, comme si j’avais besoin d’elle pour ça. Et là, pour une crise, c’est une crise : mon sexe ne se ramollit qu’un peu le matin, à l’heure où en principe il durcit plutôt, et reprend de la raideur tout au long de la journée. A tel point que je suis obligé de quitter le boulot plus tôt. Arrivé chez le médecin, la secrétaire a l’air enchantée de me voir ; pas moi. Je plonge le nez dans un bouquin que je n’arrive pas du tout à lire… Enfin, la doctoresse peut me recevoir. Bon, où en êtes-vous ? Pire qu’hier, docteur… Je sors l’engin, violacé, tendu… Elle m’examine de nouveau, me palpe, mais pousse la palpation plus loin : les bourses, mais aussi la prostate, l’anus. Je ne sais pas si c’est médical ou si elle essaie de m’exciter, mais je reste de marbre, à tous égards : dur et froid. J’ai consulté des collègues, et tous font la même analyse que moi : il faut que vous éjaculiez, d’une façon ou d’une autre. C’est le seul moyen de vous calmer. Donc je vais vous demander de vous placer à quatre pattes, de façon à essayer de vous faire jouir. J’obéis, un peu intrigué, et la branlette qu’elle me prodigue, avec doigt dans le cul, lubrifiant, etc., c’est du grand art… inutile. J’ai mal, mais mon état reste identique. Elle semble interloquée. Vous n’êtes pas excité ? Non, désolé… Est-ce que vous pensez que vous le serez davantage si je me déshabille ? Je ne sais pas, peut-être, comment vous dire ? Toujours avec son air pro, elle retire sa blouse : elle ne porte dessous que des sous-vêtements très sexy. String et soutien-gorge en dentelle blanche. Des jambes fabuleuses, un cul… parfait, ferme, musclé, mais rond aussi… un ventre absolument plat, des seins pas très gros mais admirablement dessinés. Je ne suis pas certain qu’ils aient besoin d’un quelconque soutien… En temps normal, franchement, je me demande si je n’éjaculerai pas direct en la voyant comme ça… Elle reprend sa branlette, mais rien n’y fait. Je ne sais pas si elle est perplexe ou vexée… Un peu des deux sans doute. Bon, asseyez-vous sur ce fauteuil. Je m’assois, le sexe au garde-à-vous. Elle s’agenouille devant moi ! Pousser le professionnalisme jusque-là, la classe ! Elle prend délicatement le bout de mon sexe entre ses lèvres, elle me lèche je ne dirais pas tendrement, mais avec douceur, et ce visage, cette peau blanche, ces lèvres rouges, tout cela qui s’occupe de mon sexe tendu, c’est à n’y pas croire, et là encore, en temps normal, j’exploserais assez vite, mais là… mais là, tout de même, ça commence à m’exciter. La douleur est encore forte, intense, mais elle est concurrencée par un début timide de plaisir, de désir. Et je crois qu’elle le sait, jouant de ses cheveux, me pompant en me fixant bien droit dans les yeux… Je me concentre sur ses yeux, je me concentre sur ses lèvres autour de moi, je me concentre sur ce commencement de plaisir… Mais je sens que la douleur revient, et le mouvement de ses mains sur mes bourses n’y fait rien, l’application avec laquelle elle me délivre cette caresse de façon très professionnelle n’y fait rien, je recommence à grimacer de douleur. Ah non, là, ça commençait à venir, il faut vous concentrer un peu ! Ni une ni deux, elle se relève, m’enjambe, écarte son string et vient s’empaler d’un coup sur mon énorme érection. Ou bien elle est très large et humide naturellement, ou bien tout cela l’avait diablement excité, sans qu’elle n’en montre rien : parce que c’est très chaud, là-dedans, très humide, ça glisse tout seul. Et elle commence à me chevaucher comme une furie, retire son soutien-gorge pour que je puisse m’exciter sur ses seins, dont les pointes sont érigées au bout d’aréoles roses sur cette peau si blanche, ses seins que je prends à pleines mains, et je lui pince les bouts. Elle est très concentrée sur ce qu’elle fait, si concentrée qu’elle ne fait plus attention à ses gémissements, à ses cris, et maintenant c’est clair, elle prend un gros pied sur mon sexe si dur, si tendu, si gros ; je ne sais pas si elle cherche à m’exciter avec ses gémissements, mais ça marche : je n’ai plus mal, je commence moi aussi à prendre mon pied. Je la défonce carrément, sans retenue, j’enfonce ma bite au plus profond d’elle, et elle aime ça… Je glisse une main sous elle et je commence à lui doigter le cul en même temps, et elle semble apprécier. Elle monte et descend sur moi, et je crois qu’elle n’a jamais eu un sexe aussi dur – moi non plus, j’avoue – à sa disposition, un sexe aussi tendu et endurant. Elle est trempée de sueur, elle est trempée dedans et dehors, luisante, gluante, glissante, elle est échevelée et furieuse, joyeuse et déchaînée. Mais elle a un sens aigu de ce qui se passe : elle sait que ma jouissance monte, mais elle sait aussi que mon sexe est trop tendu pour se vider comme ça. Aussi s’arrête-t-elle soudain, à ma grande surprise. Levez-vous. Je me lève. Elle s’agenouille sur le fauteuil pour que je la prenne par derrière. Elle retire son string, et écarte ses fesses pour m’y inviter : c’est son cul qu’elle me donne, pas sa vulve. Son anus encore serré, que je mouille d’abord de ses secrétions avant de m’y insérer doucement. Je crois que je ne suis pas le premier : elle sait jouer des muscles de son sphincter… Elle m’aspire rapidement dans son antre, c’est serré et délicieux, cette nana est une vraie pro. Et je reprends un mouvement régulier, de plus en plus intense, encouragé par ses mots crus, pas toujours distincts, et la mouille qui lui coule le long des cuisses. Elle se pince le clito en même temps : après tout, il n’y a pas de raison qu’elle n’en profite pas ! Et soudain, elle explose dans un long tremblement de tout son corps, dans une contraction brutale de son cul sur moi, tant et si bien que je ne peux plus bouger, et qu’elle jouit, elle jouit, elle jouit… Excusez-moi, ce n’est pas très professionnel, j’aurais dû me retenir… me dit-elle en respirant à peine. Non, ne vous excusez pas, c’est normal, après tout, mon sexe est si anormalement gros et dur. Oui, comme vous dites… Ses muscles se relâchent ; j’en profite pour sortir et la reprendre en levrette dans la chatte. Et je reprends rapidement un rythme presque brutal. Je sens que son orgasme remonte, et j’aime la voir trembler, ça m’excite vraiment, j’aime l’entendre gémir, j’ai l’impression que ça va m’aider à jouir moi aussi. Je passe une main sous elle pour lui branler le clito, et je l’entends gémir dans une sorte de plainte longue et montante. Elle est terrassée si vite par un second orgasme que je dois la tenir pour qu’elle ne s’effondre pas sur le fauteuil. J’ai dans les bras un corps presque mou mais secoué de soubresauts intenses. Mais je ne cesse pas pour autant mes assauts, mon sexe va buter au fond de son vagin, je la remplis de toute ma fureur. Elle reprend peu à peu ses esprits et, toujours attentive malgré les orgasmes qui l’ont traversée, elle se dégage une nouvelle fois, se retourne, et reprend mon engin dans sa bouche, en l’avalant les yeux embués de plaisir et de désir. Ces yeux dans les miens, ces yeux cernés, plus clairs encore que d’ordinaire, et sa bouche qui me suce et me pompe, sa bouche autour de moi, sa dévoration de mon membre, et ses mains sur mon cul, dans mon cul, sur mes cuisses. Elle est phénoménale, incroyable. Jamais personne ne m’avait baisé comme elle me baise, jamais personne ne m’avait fait ressentir autant de sensations, de frissons, de plaisir, et je sens soudain comme un déclic, comme une douleur vaincue, dans l’explosion de semence qui monte, brûlante, traverse ma tige vers sa bouche, et alors que j’essaie de me dégager, elle m’attrape fermement pour tout avaler, pour sentir mon sperme au fond de sa gorge. En me regardant. En me regardant droit dans les yeux. Et je jouis à longs jets, en saccades interminables. Droit dans les yeux, ses yeux si clairs dans les miens. Quand enfin mon sexe se ramollit, elle desserre son étreinte, me regarde en souriant et me relâche. Bon, on y est parvenu. Elle se lève pour aller chercher une serviette humide. C’est la première fois que j’ai l’occasion d’observer son corps nu en mouvement, dans son ensemble. Elle est à tomber, cette nana est totalement canon. Après s’être essuyée, elle revient vers moi, commence à m’essuyer aussi… et voilà que mon sexe reprend vie… Oh non, pas déjà, dit-elle dans une moue on ne sait si dépitée ou gourmande… Euh, si, désolé, mais vous êtes très excitante, vous savez… Bon, si ce n’est que de l’excitation, ça partira tout seul, dit-elle en souriant, mais sans remettre sa blouse et en continuant à m’essuyer, et à me branler. Elle est agenouillée devant moi, ses seins à hauteur de mon sexe de nouveau vigoureux, de mon sexe qu’elle tient à pleine main, et me parle très tranquillement, en me branlant de plus en plus vite, de plus en plus fort, avec parfois de légers coups de langue… Elle a raison : cette fois, c’est elle qui contrôle, et je ne tarde pas à lui gicler de nouveau sur la poitrine, mais seulement deux ou trois jets de foutre chaud. Ah, ça y est, monsieur est calmé ? dit-elle en souriant. Elle se relève, s’essuie négligemment les seins et retourne à son bureau, pro et nue. Euh, docteur, c’est super, on y est arrivé mais… qu’est-ce que je fais si ça recommence ? Eh bien vous savez, il faut vous trouver une partenaire qui vous excite. Oui, je sais bien, mais ce n’est pas si facile… Est-ce que, enfin, si j’osais, ce serait possible de vous appeler en cas d’urgence, d’urgence médicale. Elle me regarde très sérieusement, elle réfléchit je crois. Bon, après tout, j’ai prêté serment d’assistance. Oui, en cas d’urgence… médicale… vous pouvez m’appeler, mais je crois que les visites à domicile seront préférables, ne venez pas au cabinet. Ok, merci docteur.

Le lendemain, en sortant du boulot, j’ai senti qu’une urgence se profilait. Le pire, ça a été le week-end : urgence absolue… Et franchement, le corps médical m’a montré un dévouement sans limite.



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