Visite du vignoble

Récit érotique écrit par mazaudier le 09-10-2023
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Catégorie Infidélité

C’est ce samedi que se termine nôtre lune de miel.

Nous avions pour l’occasion, loué un studio en bord de mer, mais devions le libérer avant dix heures. Cette semaine fut riche en aventure, et le fait d’être nouvelle marié ne s’affichant pas sur le nez, je fus bien souvent accostée par de jeunes touristes, en boite, ou même carrément au marché, et cela ouvertement devant mon mari.

- Ben dis dont Audrey, t’as vu comme on te reluque.

- Tu crois…

- Tu es si belle, ma chérie, je suis si fier de t’avoir à mon bras.

- T’es pas jaloux j’espère.

- Pas du tout ma chérie, je suis tellement fier de te sentir à mon bras.

- Pourtant tu as accouru hier, quand ce jeune m’entraînait sur la terrasse.

- C’est vrai...mais que te voulait-il au fait.

- Que le lui taille une pipe.

- Et tu l’aurais fait ?

- Je sais pas...peut-être. Tu sais, tu as été avare de ta queue cette semaine.

Ce que Renaud, mon époux, ignore, c’est que quand il est monté se coucher, ce jeune homme m’a relancée, et sa pipe, il l’a eu, même d’avantage, puis qu’il ma pris en levrette contre la balustrade de la terrasse. J’y ai vraiment pris du plaisir.

Bref, aujourd’hui, c’est le départ.

Nous nous arrêtons en route dans un petit restaurant sympa, afin de couper le trajet. Sur la table, une carte vante ses sites de la région à visiter. Le gérant nous conseille un petit producteur de vin, tout près d’ici.

Nous décidons d’aller visiter ce vignoble, mon mari étant très amateur de vin. Manque de chance, aujourd’hui, c’est fermeture.

Mais nous apercevons, un jeune homme, très séduisant, se dirigeait vers nous.

Nous lui demandons s’il pouvait nous faire visiter ses caves, que nous n’étions que de passage, et que le patron du restaurant nous avant conseiller son vin.

Gentiment, il nous demande de le suivre.

Il ouvre une petite porte, et nous engouffrons dans la cave. Il fait frais, très frais, et ne suis vêtue que d’une courte jupe d’été, et d’un débardeur. Rien dessous.

En fait, si je ne porte rien, c’est qu’il arrive à Renaud de glisser une main entre mes jambes, caresse ma petite chatte, doigter mon clitoris. Cela m’excite de me faire branler et doigter en voiture, il m’arrive d’atteindre plusieurs orgasme.

Là, dans cette cave, je sens la fraîcheur caresser ma chatte, mes bourgeons se durcir. Je croise le regard du jeune viticulteur, qui s’aperçoit de mon trouble, provoqué par cette situation, et j’ai l’impression qu’il n’est pas insensible à mes charmes.

Soudain, le téléphone de mon mari se met à vibrer.

Dans cette cave, pas de réseau, ce qui oblige Renaud à sortir, me laissant seule avec nôtre jeune guide.

En attendant que mon mari revienne, le jeune homme m’invite à m’asseoir sur un petit tonneau. Ce geste a pour effet de faire involontairement remonter ma courte jupe sur mes cuisses.

Je vois ses yeux s’écarquiller, remarquant certainement l’absence de culotte.

Il me fixe longuement. Il me semble voir une bosse de former sur son pantalon. Sur de lui, il ouvre sa braguette, et libère une queue énorme, encore jamais vu par mes yeux de jeune mariée. Je me surprend à passer ma langue, tandis qu’il s’approche de moi. Le gland décalotté frôle mes lèvres. Fortement attirée par ce mandrin, j’y enroule ma langue, le prend en bouche. Je l’aspire, le lèche, ma langue tournoie autour de son gland. Aussitôt, ses mains se referment sur ma nuque. J’entame une rapide fellation, voulant le faire jouir avant l’arrivée de mon mari. Il souffle, je le sens prêt à venir, je ralentis, je le tète doucement, il pénètre profondément ma gorge, mes lèvres montent et redescendent régulièrement. Du sperme s’écoule du méat. Je le suce. Sa queue me semble énorme. Il me relève, je quitte à regret l’objet de ma convoitise.

Renaud arriva juste qu’en je finissais d’avaler le sperme du jeune viticulteur.

- OH mon dieu, qu’est-ce qu’il tombe.

- Il n’est pas rare qu’à cette période, éclate de violent orage.

Mon mari propose de partir avant que les routes ne soient inondées.

Les essuies glaces tournent en mode rapide. Nous avons juste le temps de voir le pont de bois, donnant accès au vignoble, emporté par la montée des eaux.

Nous faisons demi-tour. Le jeune viticole nous propose alors de nous héberger pour la nuit, qu’une chambre d’amis est disponible.

Le soir, il nous invite à sa table. Son père et son frère nous ont rejoint.

Pendant le dîner, mon mari pousse un peu trop sur le vin, et monte très tôt se coucher, suivi de près par le père et le frère d’Yvan, le prénom de nôtre hôte. Je poursuit la soirée avec lui. Je suis moi aussi, dans un état délabré, et le jeune garçon profite de mon état second.

Il fait le tour de la table, se penche, m’embrasse dans le cou. Des frissons me parcourent l’échine de haut en bas. Une main se faufile sous mon débardeur, caresse mes seins déjà en alerte. L’autre main descend sur mon ventre, soulève ma jupe, flatte ma chatte, innocemment dépourvu de toutes protections. Elle est déjà humide, prête à s’offrir aux doigts conquérants d’Yvan.

Il ouvre mes lèvres intimes, les pénètre. Je goûtes aux caresses odieuses, gémis quand un doigt joue avec mon clitoris. Je me lève, lui demande de me prendre en levrette sur la table.

Il se dégage et me retourne, sa bite est toujours dressée. Il m’écarte les cuisses et pénètre au fond de mon intimité. Il recommence ses va-et-vient. Je sens de nouveau le plaisir monter en moi. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Ses couilles battent sur mon cul. Son pouce malaxe mon clitoris saillant. Je réagis j’ai l’impression que mon sexe s’ouvre encore plus. Je ne le croyais pas possible mais c’est un véritable gouffre qui se présente à son membre dressé. Il se dégage. Il présente sa queue à l’entrée du petit trou. Je m’ouvre d’avantage, cambre mes fesses, prends appui sur mes avant-bras. Doucement mon petit orifice se dilate, lubrifié par ma liqueur qui coule. Il s’enfonce. Il me pénètre totalement. Sa bite frotte sur mes grandes lèvres. Cela m’excite, me rend folle … de plaisir.

On change de position, il s’assoit sur la chaise.

Sa queue en érection me provoque. Je m’avance, écarte mes jambes pour éviter ses genoux. Je saisit l’énorme bite d’une main, la guide vers ma chatte, et m’y empale dessus. Je ne peux m’empêcher de glousser de plaisir. Il me regarde d’un regard coquin, tandis que j’envoie des coups de reins sur son membre. Il sourit, impassible quand j’atteins l’orgasme. Il me saisit par les hanches, et inversons encore nos place. Je suis assise, sa queue à porté de ma bouche. Je comprends son désir, celui de se faire tailler une pipe, et vider ses couilles dans ma bouche. Il me maintient de ses mains encrées dans mes cheveux, se tend en avant, et jouit dans ma bouche, à grands coups de reins.

Je sens les jets de sperme gicler au fond de ma gorge, tapissaient mon palais, et finir en petites gouttes sur ma langue. Il se retire, me prend le menton, attend que j’avale.

Il est vingt trois heures, et ce n’est que le début d’une nuit qui s’annonce torride.

Le jeune homme connaît les femmes, et s’avère être un merveilleux amant. C’est à lui que j’ai fait ma première pipe, lui aussi qui a eu la faveur de ma première sodomie.

A la première éclaircie, nous décidons d’emprunter un pont noyer, pour quitter le vignoble. Renaud salut l’hospitalisation du viticulteur. S’il savait...

Je prends le risque, devant mon mari, de donner un tendre baiser sur les lèvres de Yvan, sachant très bien qu’on ne se reverra plus.


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09-10-2023 1 946

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