Pendant une séance au cinéma

Récit érotique écrit par mazaudier le 17-11-2023
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Catégorie Infidélité

Bonjour, je m’appelle Marlène, vingt huit ans, mariée à Loïc de cinq ans mon aîné, et j’étais loin d’être la femme fidèle que mon mari espérait. Il était parfaitement au courant, de mes aventures nocturnes, avec des copines, ou là, je n’hésitais pas à m’offrir à des mâles avides de sexes.

Tous ça à provoquer une séparation entre nous, mon mari ne supportant pas mes coucheries extraconjugales. Mais après un break de six mois, je le suppliais de me reprendre. Mais pour ça, j’ai du faire pas mal de concession, comme lui jurer fidélité. Je regagnais donc le foyer conjugal, avec d’autres intentions. Je lui fis la promesse d’arrêter mes sorties coquines, pour ne me consacrer qu’à lui.

De son côté, il me promit de bien s’occuper de moi au lit. Et, sans atteindre les sommets, il y parvint, m’offrant de mon côté, à tous ses caprices. Je dois avouer je m’étais bien assagie, afin de respecter mon contrat de mariage. Mais…

Ce soir, nous avons prévus d’aller au restaurant, puis se faire une séance cinéma.

Il passait un film que je tenais à voir particulièrement.

Mais en rentrant du bureau, vers dix huit heures trente, il était de très mauvais poil, et nous sommes un peu disputer, comme cela arrive à pas mal de couples.

Je lui faisais la gueule, et comme à chaque fois, il tentait d’arranger les choses.

- Aller...on en parle plus. Fais toi belle, et on va aller le voir ton film.

Mais cette fois-ci, je n'étais pas d'humeur à me réconcilier aussi vite et s'il croyait que cela allait s'arranger sur l'oreiller, alors là, il se m'était le doigt dans l’œil.

J'étais bien décidé à profiter de la situation, j'allais l'allumé toute la soirée et puis arriver au moment venu je me refuserai à lui, cela le fera réfléchir et je vengerais mon égo.

Pour l’instant, il fallait que je me fasse « belle » comme il dit, comme si j’en avait réellement besoin, étant d’après pas mal d’amis, une superbe femme.

Sitôt dit, sitôt fais, petite douche, parfum délicat, dessous plus que provoquant, escarpins à talon haut, petite robe légère et vaporeuse agrémentée d'un décolleté plus que provocateur.

Le miroir reflétait de moi, une image très sexy et glamour. J’étais sûre d’atteindre mon but...l’exciter comme un fou.

Ce petit jeu m'avait un peu émoustillée malgré moi, imaginant ainsi son excitation finir par me chauffer légèrement le bas du ventre et me rendre un peut moite, mais j'étais néanmoins décidée à aller jusqu'au bout de mon stratagème.

En sortant de la salle de bain, j'ai aperçu son regard avec un léger sourire,il me confirmait que je lui faisais de l'effet, et qu'il croyait avoir réussi a m’apprivoiser et que sa soirée allait se passer comme il l'espérait.

Nous sommes donc aller au cinéma, il y avait du monde, dans la file d'attente, les regards des autres hommes me confirmaient l'attirance que je provoquai dans ma jolie robe.

La salle était déjà bien remplie, et l'ouvreuse à eu du mal à nous trouver deux places cotes à cotes, c'était dans les derniers rangs et je me suis retrouvée à coté d'un homme d'environ la cinquantaine, grisonnant, plutôt bel homme et qui me regardait de la tête au pieds, alors que je m'installai dans le confortable fauteuil.

Ce regard me mettait mal à l’aise, et faisais tout pour l’éviter.

Je doit avouer que son regard profond et insistant, parcourant lentement mon corps, m’a troublée, et malgré que cela n'ai duré que quelques secondes, cela à suffit à me faire rougir avec même une légère panique naissante.

A tel point que j'ai demandé a mon mari de me passer sa veste pour me couvrir les jambes que je trouvais trop exposées avec cette petite robe que je trouvais d’un seul coup trop courte a mes yeux.

- Tu as froid ? Me demanda mon mari.

- Pas encore, mais tu sais dans ces salles, il fait toujours un peu frisquet.

Soudain, la salle tomba dans la pénombre, pour laisser place au film, ce qui ma rendue encore plus mal a l'aise, j'avais l'impression que cela venait de créer une sorte d'intimité entre cet homme et moi alors qu'il n'en était qu’un inconnu.

Je cherchais à me donner une certaine contenance, en repensant a ce début de soirée et au plan que je m'étais fixé pour en quelque sorte punir mon mari, mais mon esprit se concentrait bien plus sur le regard que les hommes avaient porté sur moi alors que nous faisions la queue au guichet, des regards appuyés sur les formes de mon magnifique corps, mis en valeur par ma tenue sexy.

Ces pensées avaient, malgré moi, augmenté ma sensibilité et mon excitation, se sentir belle, ainsi désirée ne peut laisser aucune femme insensible et ne pensais déjà presque plus à mon désir de vengeance, mais je n'étais vraiment plus attirée par le film qui se déroulait sur l'écran.

Je repensais à mon voisin de fauteuil, son regard sur moi et à la promiscuité de nos corps, l'un à coté de l'autre, je ressentais un certain érotisme à cette situation tout en me sentant parfaitement en sécurité avec mon mari à coté de moi.

C'était finalement plaisant comme situation, de se laisser aller à ressentir le désir de tous ces inconnus, tout en ne courant aucun risque, c'était même très excitant, mon corps semblait apprécier, car une douce chaleur envahissait petit à petit mon ventre et mes mains étaient légèrement moites...des signes qui ne trompent pas.

C'est bien pour cela que je n'ai même pas réagi lorsque le bras de mon voisin est venu doucement s'appuyer contre le mien en se posant sur l'accoudoir qui nous séparait. Je me sentais bien et j'ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation, également lorsque j'ai aussi senti son pied venir contre le mien.

Je comprenais très bien que mon manque de réaction, pouvait laisser penser à cet homme, des intentions qui n'était pas les miennes, mon corps lui, ne me permit pas de réagir, comme s'il voulait laisser l'excitation m'envahir.

Mon cœur battait plus fort et plus vite, je ne pouvais plus bouger, faisant semblant d'être concentré sur le film, alors que tous mes sens étaient en ébullition.

Mon mari, lui, ne s'apercevait de rien, pris par le film, trop sur de lui, se délectant peut être par avance des suites qu'il envisageait pour la soirée comme un petit égoïste, du moins c'est les pensées qui m'ont traversé l'esprit à ce moment là comme pour me déculpabilisé de l'excitation qui me submergeait.

J'ai compris que j'étais prête à subir des choses, comme si je ne pouvais rien y faire, laissant le destin se faire et peut être même désirant que cela ce fasse.

Comme si les intentions de mon voisin étaient claires et précises alors que peut être il n'en était rien, d'ailleurs que pouvait-il faire ? Là, à coté de mon mari et des autres gens, c'est sûrement cette douce situation qui me faisait divaguer tel un fantasme qui ne peut et ne doit pas se réaliser mais qui nous fait rêver.

Mais cette forme d'acceptation du contact, lui a libéré toute retenue, comme je le craignais et l'espérais à la fois, j'ai senti sa main se faufiler lentement sous la veste de mon mari qui me cachait les jambes, très lentement comme s’il voulait vérifier à chaque centimètre mon consentement et mon abandon.

Il remonta tout aussi doucement, du bout des doigts les pans de ma robe afin de pouvoir découvrir la chaleur de ma peau, comme si de rien était, sans aucun mot, ni aucun regard. Une fois sur ma cuisse, il marqua une pause.

Ce contact ma complètement électrisée et fait tomber les ultimes pensées raisonnables que se doit d'avoir toute femme mariée devenue sérieuse.

Il a commencé à caresser tendrement ma cuisse, remontant à chaque fois un peut plus jusqu'à venir frôler le fin tissu de ma lingerie intime, ultime rempart pouvant protéger mon intimité.

Mes sentiments s'affolaient, envie de le laisser faire, laisser le plaisir me submerger mais aussi peur des conséquences.

Et si mon mari ou quelqu'un d'autre s'apercevait de ce qui se passait là sous cette veste, que pouvait bien avoir en tête cet homme qui abusait de moi, jusqu'où

allait-il aller, j'avais honte, mais malgré moi je ne pouvais réagir.

Puis j'ai senti ses doigts s'immiscer sous la fine dentelle de mon minuscule string ouvrant au passage les lèvres de ma chatte qui transpirait de plaisir, je dois l'avouer je mouillais bien malgré moi, quelle sensation extraordinaire de se faire ainsi doigter avec ce mélange de peur et de plaisir intense, mon mari juste à coté, ne se doutant de rien.

Mais là, je crois qu'à ce stade des choses, je ne contrôlais plus rien, je ne pensais qu'a m'offrir encore plus à ses caresses indécentes, je me surprenais à avancer mon bassin plus en avant dans le fauteuil et à écarter encore plus mes cuisses,

offrant la totalité de ma chatte à ses doigts qui me fouillaient savamment.

Mon inconnu a semblé apprécier cette initiative car il froisser mes lèvres a pleine main, comme pour tâter une marchandise dont il devenait petit à petit propriétaire.

Je restais là, offerte, les yeux mi-clos, dans l'attente de la moindre initiatives de sa part, tout en espérant quelles soit encore plus osées.

Comme s'il avait compris mes plus profonds désirs, d'un geste expert il appuya son pouce fermement sur mon clitoris, puis il me pénétra profondément avec son index et son majeur avec une facilité déconcertante, tellement je dégoulinais de mouille.

Ensuite, il vint me titiller le petit trou, jusque là inviolé, avec les deux doigts encore disponibles, je ne sais pas comment expliquer la perversité de la scène, il faisais cela avec une lenteur de félin tout en appuyant fortement le moindre de ses mouvements pour me prodiguer le maximum de plaisir.

Cette discrétion me rassurais, il ne comptait pas affronter mon mari, mais juste profiter de mon corps sans aucune permission.

Ses deux derniers doigts venaient de me pénétrer tout aussi facilement. J’avais deux doigts dans la chatte et deux dans mon petit orifice, le tout en présence de mon mari, avec en prime une pression du pouce sur mon clitoris.

Il n'en fallait pas beaucoup plus pour faire monter en moi l’orgasme..

Je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier, j'ai crispé tout mon corps pour ne pas laisser la jouissance transparaître, mais elle était là, elle explosait en moi, puissante et dévastatrice, je me suis laisser aller à jouir sous les doigts de cet inconnu, devant mon mari, avec juste sa veste, cachant à peine ma dépravation la plus intime.

Les doigts de mon inconnu sont rester un moment en moi comme pour libérer les moindres gouttes de plaisir qui pouvaient encore circuler en moi.

Ma chatte était une vrai fontaine, ma cyprine i maculait tout mon sexe et les doigts de mon inconnu prenait plaisir a me fouiller les deux orifices tendrement, et avec une certaine habilitée. Lentement, il retira enfin ses doigts, tandis que son autre main faisait pression sur mon épaule.

Je me penchais sur mon mari, le prenant par le bras, offrant ainsi ma croupe, toujours à l’abri sous la veste. Je sentis une main la remonter, et je ne sais par quelle habileté, son sexe se trouva au contact de ma chatte. Dans cette position, sa queue ne pu me pénétrer totalement, mais suffisamment, pour en deviner le grosseur. Toujours du fait de nôtre position, les va et vient étaient lents, mais suffisant pour me donner du plaisir, et faisait mon corps se cambrer au rythme des vagues de jets de sperme qui envahissaient mon ventre. Je mordais dans la veste de mon mari, pour étouffer mon deuxième orgasme.

Quand il se retirait, j’essayais tant bien que mal, de rajuster mes vêtements.

Je réalisais alors, que je venais de faillir à ma promesse, et venait de tromper mon mari. J’espérais tout simplement, qu’avec l’obscurité, il ne s’était aperçu de rien.

Mon esprit fut réveillé par mon mari, qui me prenant la main me souffla à l'oreille

- Alors, ça ta plu...

Cela ma complètement paniqué, avait il tout vu ? un bref instant je me suis cru perdu

- Beau film, n'est ce pas ?

Ouf, il n'en était rien, j'étais rouge de honte et d'une voie enroué de tant de plaisir je lui ai dit.

- Vraiment, très beau film, je n'aurai pas souhaité le rater, pour rien au monde...

Entre temps, j'ai senti les doigts inquisiteurs se retirer lentement, sans aucun bruit, tout en douceur avec néanmoins une dernière pression sur mon clitoris qui a subi encore un soubresaut de plaisir, comme pour me laisser le meilleur des souvenirs, puis glissant entre mes lèvres intimes il a caresser ma cuisse jusqu'au dernier petit bout de peau encore sur son chemin.

Je n'avais pas subi autant de jouissance et de tendresse mélangé depuis des lustres et j'ai eu beaucoup de mal a accepter de nouveau l'éclairage de la salle qui ma ramener brutalement a la réalité.

Prenant mon mari par la main, nous sommes sortie du cinéma, j'ai recherché vainement mon inconnu du regard, il avait disparu dans la foule qui se dispersait.

J'étais emplie de gratitude pour cet homme qui m'a fait jouir comme jamais, aucun homme de toute ma vie ne s'était préoccupé de mon seul plaisir, même pas mon mari qui me baisait que pour satisfaire sa propre jouissance.

Nous somme rentrés à la maison et comme je m'y attendais, mon mari ma plaqué sur le coin de la table du salon, jambes écartés, il a relevé ma robe, écarté mon string et a glissé plusieurs doigts dans ma chatte.

- Hum.. tu vois que tu aime çà, tu mouille déjà ma salope...çà te manque un bon coup de queue .

S’il savait... sa bite était déjà dure, et il ma pénétré facilement tellement mon inconnu m'avait fait mouiller, j'ai fermé les yeux et imaginé que c'était lui qui me baisait, ce qui a décuplé mon plaisir, ondulant les fesses et cambrant les reins pour qu'il me baise plus profond, cela devenait bestial, jamais je n'avais ressenti un tel désir de me faire prendre.

J'ai tellement exprimé mon plaisir que mon mari n'a pu se retenir et a jouit très rapidement.

- Et bien, t’étais en manque, t’as jamais joui comme ça, c'est le film qui ta exciter ? - Soit pas bête, je savais bien ce que tu avais derrière la tête et cela ma excitée toute la soirée.

Nous en sommes resté là, nous couchant épuisés pour reprendre la routine de la vie. Ce n'est que le lendemain, en rangeant la veste de mon mari sur un cintre dans la penderie, que j'ai découvert dans l’une de ses poches, une carte de visite sans nom, avec juste un numéro de téléphone et le mot suivant.

« Appelles moi, je tiens à te revoir...»

Chance que se soit moi qui ai eu le message.









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17-11-2023 0 1967

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