Mon Dépucelage par Trans Sarah

Bonjour à vous cher(e) lectrice/lecteur. Tout d’abord je me présente brièvement : je m’appelle Aurélien, un petit nouveau, je suis du département des Pyrénées-Atlantiques et plus particulièrement dans la ville de Pau, j’ai 37 ans. 

Je tiens à préciser que l’histoire que je vais vous raconter est fictive, c’est le fruit d’un fantasme qui, depuis de nombreuses années, a mûri dans mon esprit. Aujourd’hui je le retranscrit avec des mots pour le partager avec vous. 

Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence :)

Je suis attiré par les transgenres depuis une bonne dizaine d’années maintenant, mais c’est un désir secret, désir profondément enfoui, caché, qui ne laisse rien transparaître. Car le monde d’aujourd’hui est sans pitié, chaque écart est considéré comme une faiblesse. Forcément nous vivons dans une société régie par les codes, les règles, la norme. S’écarter du Chemin c’est devenir une brebis galeuse sur une route parsemée de loups.

Je ne me sens pas gay, les hommes ne m’attirent aucunement, mais la féminité d’un être couplée à la masculinité du sexe sont ce qui m’attirent et me plaisent chez une transgenre.

J’ai une forte personnalité, avec un caractère assez complexe, pourtant sexuellement j’ai tendance à être soumis aux plaisirs féminins, j’aime être dominé. Mon rapport au sexe avec les transgenres est assez similaire, je les aime dominatrices et actives. 

Alors cette histoire exprime mon fantasme d’inversion des rôles, celle où ce n’est pas moi, l’actif, qui fait l’amour mais le contraire, le passif qui rêve que le l’on lui fasse.

Évidemment j’ai toujours été réfractaire au mélange du sexe et de l’argent, ce récit est dans l’idée d’une rencontre consentie, sur une base passionnée et dans l’attirance mutuelle. Je précise que je ne parle pas de préservatif dans cette histoire, parce que je pars du principe que cette partenaire est clean ainsi que moi-même. 

Mais sortez couvert quand même ! 

Bonne lecture à vous !

Il est 14H, et dans une heure j’ai mon rencard avec Sarah. 

Sarah est une fille spéciale avec qui j’ai eu un bon feeling lors d’une soirée un peu trop arrosée. On avait fini par s’éclipser pour discuter de tout et de rien, sans jugement, sans bêtise, j’avais appris à ce moment là qu’elle était transgenre, et tellement soucieuse du regard que lui renvoyaient les autres.

Pour moi c’était une fille comme les autres, avec un petit truc en plus qui sublimait sa personne. J’étais au contraire captivé et sous le charme. 

Elle était belle, sa longue chevelure était d’un brun cendré profond, ses lèvres pulpeuses rouge grenat ne demandaient qu’à être embrassées, j’avais envie d’explorer son cou parfumé, orné d’or et de cuivre, avec la pulpe de mes lèvres. Elle ne me laissait pas indifférent ! Ses yeux ténébreux ne me laissait pas indifférent ! Notre conversation dériva sur nos sexualités et nos envies personnelles, je lui avoua à ce moment là que j’étais très excité par les transgenres, mais que je n’avais jamais osé sauté le pas avec l’une d’elles. Un sourire s’esquissa sur ses joues, malicieux : je sus à ce moment-là que j’étais carrément son genre de mec et que je ne devais pas hésiter si les sentiments étaient réciproques, ce que je m’empressa de confirmer.

Elle m’a demandé ce que j’aimais, et de ce qu’on fera si éventuellement on allait un peu plus loin, et elle m’a dit: 

« Ok, pas de soucis! Demain je bosse tôt, mais ce week-end je suis disponible si tu veux toujours allez au bout de ton idée. Prends mon numéro et nous verrons bien Â»

Et après plusieurs échanges de textes, de photos, de dragues durant la semaine, j’étais sur de moi: Je voulais que se soit Elle, ma première.

Et nous en sommes là, elle m’a donné son adresse et je suis en bas de chez elle avec 15 minutes d’avance à me demander si je ne vais pas me dégonfler à la dernière seconde. Mais cette fille me rend tellement désireux que chaque barrière tombe une à une, au fur et à mesure que les marches se grimpent deux par deux. 

J’arrive enfin sur le seuil de sa porte, tremblant d’inquiétude et d’excitation à la fois, je presse fortement la sonnette en attendant une réponse positive, en vain.

Je réessaye une nouvelle fois en insistant un peu plus sur la sonnette, en vain.

Je commence à tourner les talons pour me diriger vers les escaliers quand subitement mon téléphone se met à vibrer, un message disant : « c’est ouvert, ne fais pas ton timide Â».

J’actionne la poignée de la porte d’entrée qui en effet n’est pas verrouillée, et me faufile à l’intérieur de l’appartement. 

Face à moi, à environ cinq-six mètres, se tient Sarah. Elle est assise sur un large fauteuil, toute âpreté de lingerie fine et de qualité, les jambes croisées, le regard braise, attendant patiemment son menu. 

J’ouvre la bouche pour la saluer quand elle mime le silence sur ses lèvres et m’ordonne de me déshabiller intégralement, je m’exécute. 

« Maintenant tu as carte blanche pour me montrer à quel point tu aimes les trans, viens ici et montre moi » dit-elle en décroisant ses jambes, laissant apparaître un joli string noir bien rempli décoré d’une cerise croqué en pierres scintillantes rouges et vertes. 

Je m’avance timidement, gêné de m’exposer devant elle, nu, avec mon petit sexe. Arrivé au seuil de ses genoux elle mis sa main dans mon cou, glissant jusqu’a mes cheveux courts pour incliner ma tête et m’embrasser tendrement. Au fil de nos échanges le baiser devient de plus en plus fougueux, nos langues s’entremêlent dans un savoureux cocktail de mélange de fluides. Puis, lassée des baisers, elle agrippe mes cheveux fortement et guide fermement ma tête au niveau de ses haut talons rouge intense. 

Je bande dur, cette mise en bouche m’a ouvert grandement l’appétit, et j’ai très faim. Mon cerveau est submergé d’informations, de sensations, je sens mon corps s’abandonner à la situation et j’ai très envie de le laisser faire. 

Et pis merde…on n’a qu’une vie ! 

Je commence par embrasser ses jolies talons, caressant avec mes lèvres la partie visible de ses pieds, je remonte le long de sa jambe en prenant soin de baiser chaque centimètre de sa peau douce, je lui mordille l’intérieur des cuisses à mon passage vers l’aine. Mes mains explore la partie supérieure de son corps, ses courbes sont tellement pures, elle est si somptueuse que j’ai envie de réussir à lui donner du plaisir. Ma main descend vers son entrejambe, je lui saisi les hanches pour l’approcher un peu plus près de mon visage. J’effleure son string, doucement, tendrement, approximatif, intimidé. Elle me bloque la main, soulève ses jolies fesses du fauteuil et fais glisser son string jusqu’à sa cheville. Je suis à quelques centimètre de son sexe, il est à demi réveillé, il est beau, il en impose. Je déglutis difficilement, partagé entre l’appréhension et l’ébullition, je décide à ce moment précis d’être moi même: après quelques secondes qui m’ont paru des minutes, j’entoure son membre avec mes doigts.

Son odeur est si étonnante, elle m’excite, je fais glisser mes doigts vers le bas pour décalotter son prépuce et faire apparaître son gland, l’odeur y est encore plus intense. J’approche mon nez pour renifler son parfum de séduction, et le fait coulisser le long de sa verge en donnant de petit baiser attentionné, j’adore son odeur, je descends sur ses testicules pour renifler chaque centimètre carré des atomes de sa peau, j’adule son odeur. Pendant que je m’enivre de ses effluves obsédantes, je sens son membre gonfler dans ma main et devenir de plus en plus dur: je crois que le fait que je sente sa bite, l’excite. A vrai dire, moi aussi. 

Maintenant que je me suis bien imprégné de son arôme, j’ai envie de savoir quel goût a cette fille. Certes, je ne suis pas un initié, mais je sais ce que j’aime que l’on me fasse, alors je me lance. Sa queue est maintenant dressée fièrement comme un roi sur son trône, ma langue la parcourt de bas en haut en serpentant lentement pour s’attarder sur son frein, ma lèvre inférieure caresse sa chair pendant que mes petites léchouilles répétés font gonfler son large champignon. Après l’avoir embrassé, j’entrouvre mes lèvres pour l’accueillir dans ma bouche. Quel sensation étrange, cette douceur si dure, cette chaleur si humide, ce goût curieux mais séduisant. J’esquisse des vas et vient maladroit, au début, avant de trouver un bon rythme qui lui plaît, je sens les spasmes de son corps s’intensifier quand le chapeau de son gland rencontre la commissure de mes lèvres. Son sexe est large, j’essaie de le prendre de plus en plus loin, à la limite de ma gorge que j’en suis presque écœuré. Mais j’aime ça, j’aime la voir se tortiller de plaisir, et j’aime me savoir imbibé de bave et de mouille avec le sentiment de bien faire mon devoir.

Elle me soulève la tête en m’attrapant par les cheveux, pour prendre sa queue dans sa main et la frotter sur mon nez et mes lèvres. Elle me domine comme ça une petite dizaine de minutes, au bout d’un moment je remonte ses cuisses pour faire apparaître ses belles fesses, j’embrasse ses bourses avant de descendre embrasser son ouverture, ma langue voulant explorer son petit trou. Ma main caresse sa bite bien dure pendant que ma langue fait des cercles dans son fondement. J’aime le goût de cette fille. Pendant qu’elle se tortille et apprécie mes caresses buccales, elle me dit d’une voie calme et douce: « tu as envie que je te fasse l’amour? Â».

Sans hésitations ma réponse est oui, même si je n’ai jamais pris un vrai sexe en moi, je ne suis pas débutant pour autant dans le plaisir anal, je me sens prêt et j’ai envie de la sentir en moi. Je fais oui de la tête !

Elle se lève du fauteuil pour que je m’installe à sa place, se met a genou, relève mes cuisses et commence à me pénétrer avec son index. Après plusieurs caresses internes, je sens mon petit trou s’étirer un peu plus, un deuxième puis un troisième doigts viennent s’ajouter à la fête. Je tremble d’excitation et ma respiration est haletante, Sarah le remarque et accélère le rythme. Après un doigtage plein de doigté , elle se relève, applique une noisette de lubrifiant en l’étalant sur l’intégralité de son phallus, et vient le positionner face à sa cible. Je ressens la fraîcheur du lubrifiant qu’elle répand entre mes fesses, avant de sentir la caresse chaude et douce de son gland sur mon œillet.

Doucement, tendrement, je sens mon anus s’ouvrir pour l’accueillir, elle ne va pas plus loin, elle ressort aussitôt. Les sensations sont bizarres, le plaisir est là, encore plus jouissif que ce que j’avais imaginé, mais accompagné d’une douleur que l’on ne peut pas ignorer, et dérangeante. Elle me rassure en me disant que tout va bien se passer et qu’il faut que je me détende, alors j’ouvre les cuisses au maximum de ma souplesse et lui sourit. Elle replonge en moi, toujours que le gland, et commence à faire un mouvement de va et vient doux et affectueux. Petit à petit elle va de plus en plus loin, son sexe n’est pas trop grand mais en revanche le bougre est très large, je le sens de plus en plus, mon muscle se referme sur lui à chaque exploration qu’il entreprend. 

J’ai la sensation que mon orifice brûle, je suis dilaté mais pas encore prêt à ce que ce soit elle qui mène la danse. Alors je pose ma main sur sa hanche pour lui signifier d’arrêter, elle a l’air déçu, mais je la rassure rapidement quand je l’aide à s’installer sur le fauteuil, et que je l’enjambe pour la chevaucher. Je saisi sa verge huileuse pour la guider vers mon anus, avant de m’assoir dessus. Maintenant j’ai le contrôle, je rythme la cadence pour éprouver plus de plaisir que de douleur. Sa bite est bien dure, je sens les nervures de ses veines épouser les parois de mon rectum, je la prends de plus en plus loin, et de plus en plus vigoureusement. J’embrasse ses lèvres, ses joues, son cou, pendant que je m’empale sur son outil de plaisir, le bout de ses seins effleures mon torse et j’en ai la chaire de poule. La douleur a disparu, je n’éprouve que de la jouissance, mes fesses claquent sur son pubis car mon cul avale maintenant la totalité de son membre. 

A chaque pénétration profonde, j’ai l’impression que je vais exploser, mais il n’en est rien. Mon sexe est dur, je ne l’ai jamais senti aussi dur, je crois que ça me plaît que l’on me baise. 

Après de longues minutes de chevauchée torride, elle me retourne, me change de position pour profiter de la vue de mon joli cul. Je me retrouve à quatre patte sur le fauteuil, les fesses bien cambrées, prêt à me faire prendre en levrette.

Je sens son sexe entier entrer d’un coup, sans sommation. Sarah a changé, sa personnalité dominante prend le dessus. Elle me donne des coups de reins qui montent en intensité à chaque passage, elle me démonte littéralement. L’odeur de sa queue a parfumé ma lèvre inférieure, je prend beaucoup de plaisir à sentir son bouquet pendant qu’elle enflamme mon étoile. Ses mouvements sont tellement fluides et efficaces qu’il ne lui faut que quelques minutes pour que ma verge crache son nectar le plus épais. Elle m’a fait jouir sans me toucher, juste en me prenant. Sarah continue sa domination, avec pour mélodie le claquement de son corps contre le mien. Elle me baise avec élan pendant de longue minute, mon trou est trempé, je sens sa queue y glisser confortablement. Subitement elle pousse des petits gémissements, son rythme s’accélère, et je discerne de petites contractions au fond de mon être. Dans une jouissance à peine voilée, Sarah a jouit en moi, elle termine par des petits vas et vient avant de se retirer complètement. J’en ai le souffle coupé, je ne pensais pas prendre autant de plaisir en me faisant baiser. Pour la remercier de ce cadeau qu’elle m’a offert, je m’agenouille à ses pieds pour embrasser et avaler son membre imbibé de mouille, je le nettoie avec minutie, je prend soin de le rendre le plus propre possible tout en m’amusant avec. 

Elle me tend les mains pour me relever et m’embrasse furieusement, je lui rend son baiser avec l’envie de rester comme cela pour toujours. 

Merci à toi, Sarah. 

(J’espère qu’un jour je te rencontrerai)