Je me réveillais le matin, constatant bien souvent que durant la nuit, j’avais encore visionné le film de l’adultère de Charlène, ce fameux jour où elle avait cédé à un désir trop fort pour un inconnu, où elle avait été submergée par un plaisir qui l’avait fait jouir, bien plus que de coutume. J’avais tout gardé en mémoire, l’expression d...