Humiliation au camp de vacances 2

Après une nuit passée à me remémorer, l’humiliation de la veille, j’ai retrouvé mon groupe de jeunes.

les trois jours suivant à camping en forêt, était prévue.

Aucun des garçons et des filles n’ont fait allusion aux évènements de la veille, j’ai donc pensé que cette histoire était close.

Nous sommes donc parti avec notre équipement de camping sur le dos. Direction la forêt.

le but était de sortir ces jeunes de leurs zone, de confort.

arrivée sur place, nous avons monté le camp, et sommes partis à la recherche d’un point d’eau et de bois pour faire du feu.

Tout se déroulait très bien et sans encombre jusqu’à la première soirée.

Nicolas est venu me voir, il m’a dit si tu n’obéis pas à nos ordres, je montre la vidéo à tout le monde.

À ce moment-là, tout mon monde s’est écoulé. Je n’avais aucune idée de ce qu’ils avaient derrière la tête

Mais une seule chose était sûre, je me retrouvais, obligé de leur obéir sous peine de voir la vidéo divulguée.

la soirée s’est déroulée normalement nous avons fait du feu manger, puis sommes tous allés nous coucher car la marche avait été fatigante.

Aurelie et Nicolas ons débouler dans ma tante à 5h du matin.

Je me suis réveillé et c’est là que j’ai compris que j’allais passer un sale quart d’heure.

Aurelie me dit si tu ne veux pas que la vidéo fasse le tour du camp, tu vas devoir nous obéir.

On sorti tous les trois de la tente, nicolas attacha mes mains, fit passer la corde au-dessus d’une branche pour m’attacher.

Pendant ce temps, Aurelie, en profitant pour découper méticuleusement mon short, et mon T-shirt me laissant uniquement mon caleçon pour cacher ma nudité.

aurélie m’a bandé les yeux et ils sont tous deux repartis dans leur tentes respective me laissant en plan, attaché à cet arbre.

trois heures plus tard, tout le monde commençait à se réveiller et à sortir des tentes.

il eurent une sacrée surprise en me voyant attaché de la sorte, et si peu vêtu.

Nicolas, déclara au groupe, vous pouvez faire ce que vous voulez avec lui, de toute façon il ne pourra rien dire sous peine de se faire virer du camp.

Je sentis alors de nombreuses mains, parcourir mon corps, et même une langue s’introduire dans ma bouche.

C’est là que j’ai entendu Aurelie dire : regarder la bosse sur son caleçon.

ni une ni deux, j’ai senti des mains agripper mon caleçon et me le descendre jusqu’aux chevilles.

un va et viens à commancé sur ma bite et j’ai ejaculé en moin d’une minute. On a continué à me branler et ma bite étais en feux.

Nicolas dit on va le détacher et l’installer par terre.

Je fus allongé sur un sac de couchage sur le dos, toujours aussi nu.

on me pinça le nez pour me faire ouvrir la bouche, et là j’ai senti quelque chose de chaud et humide se poser sur mon visage.

Aurelie avait enlevé sa culotte et posé sa chatte trempée par l’excitation sur mon visage.

c’était la première fois pour moi que je me retrouvais en contact avec un sexe féminin.

Elle me dit lèche et fais ça bien.

Je me remets immédiatement à bander.

je me suis alors mis à lécher précautionneusement, c’était à la fois chaud et mouillé, cela me procura une sensation encore inconnue.

D’un coup j’ai senti sa chatte se contracter et un liquide chaud est venu inondé mon visage.

Rapidement, la sensation a changé.

Une bite raide est venue se loger dans ma bouche, j’étais à deux doigts de m’étouffer.

Après deux minutes de va-et-vient, j’ai senti plusieurs giclée de sperme chaud couler au fond de ma gorge.

c’était là une humiliation ultime, j’imaginais tous les regards pointés sur moi.

Je me disais que je ne pouvais pas tomber plus bas.

C’est alors qu’on m’a saisit les bras et les jambes pour me positionner à quatre pattes.

je sentis alors quelque chose pénétrer mon petit trou vierge. La douleur fut intense et je n’arrivais pas à identifier l’objet effectuant des va-et-vient de mon anus.

Pendant ce temps, quelqu’un entrepris de me malaxer les couilles tout en me masturbant.

J’ai encore une fois éjaculé, mais cette fois-ci, j’ai senti une main m’étaler le liquide visqueux sur le visage.

L’objet qui me pénétrai l’anus fut enfoncé plus profond et me fit retombées sur le dos.

C’est là que j’ai senti un liquide chaud me couler partout sur le corps.

j’ai alors senti une odeur d’urine, les garçons étaient en train de me pisser dessus.

on m’a enlevé mon bandeaux et abandonné nu par terre, toujours les mains attachés recouverts d’urine et avec mon propre sperme sur le visage