Mon mari vit rouge en voyant Rachid, nôtre fils adoptif se présentait à la fête de quartier.Je dois d’abord avouer que mon mari n’a pas été avantagé par la nature.Il est doté de ridicule attributs, ce qui explique l’adoption.
Georges, mon mari, a toujours détesté Rachid, pas du tout par racisme, mais pour son air arrogant. Pour éviter l’affrontement, je tenais mon mari avec nos amis au bar, un peu trop peut-être. A tel point que j’étais obligé de demander à Rachid de m’aider à monter le coucher. Je vis sur son visage que ça ne l’enchantait pas.
Une fois Georges allongé sur le lit, j’allais à la salle de bains récupérer des serviettes, au ou il vomirait. Quand je revint, je resta figée sur le pas de la porte par ce que je voyais. Rachid, le bermuda au cheville, sa queue coulissant entre les lèvres de son père adoptif.
Surprise par la scène, je restais là, attendant le suite. Et soudain, Rachid éjacula, vidant ses couilles dans la bouche de mon mari.
Cela ne me semblait pas réel. Georges n’est pas du genre à se soumettre. Mais j’ai vraiment aimé la façon dont il a accepté de le faire. Tout ce qu'il faut savoir, c’est qu mon mari déteste déteste nôtre fils adopté. Il sait que c'est un sale adolescent qui ne pense qu'à baiser les filles, et parfois moi, sa mère adoptive. Il le trouve arrogant dans tous les sens du terme.
Je ne comprends pas encore comment les choses ont commencé. Ce soir là à commence de façon glaciale entre Rachid et mon mari. Celui-ci reste admiratif, alors que la queue de Rachid s’enfonce profondément dans son petit trou. Il y avait plus que de douleur comme c'est souvent le cas lors d’une première sodomie. Mais pas assez pour arrêter complètement l'action, juste assez pour lui rappeler qu'il est complètement baisé de la manière la plus odieuse qui soit par son fils adopté, qu’il déteste plus que tout.
Rachid lui a demandé de se mettre à quatre pattes. Les doigts ont lubrifié l'entrée de son œillet, et moi, fascinée, j'ai regardé ces doigts se glissaient dans son intimité et en ressortaient. Cette pénétration de doigts qui entrait et sortait de manière sexuelle donnait naissance aux premiers gémissements de plaisir de Georges. Le voir se détendre physiquement dans l'instant, et voir son corps se cambrer pour que le gamin qu’il déteste le plus, puisse le sodomiser. Le visage déjà crispé, les yeux fermés, Dieu sait ce qui devait lui passe par la tête, à part qu’il va se faire baiser maintenant.
Rachid a décidé que mon mari était assez prêt. Je l'ai regardé se voûté, retenant mon souffle, alors qu'il raidissait sa bite d'une main experte pour son âge. Son autre main, la main reposait sur la fesse de Georges. Il le tenait, prêt, prêt à monter son père adoptif.
Le bout de son énorme queue, d'une dureté impressionnante, était maintenant exposé, entièrement décalotté, le gland brillant après une rapide traction. Les deux mains se tenaient fermement sur les hanches de mon mari, car il restait là, en position de levrette, se préparant sans aucun doute à la prise de son intimité.
Les mains de Rachid écartaient légèrement les fesses, lui permettant de positionner le bout de sa bite sur cette entrée plissée et lubrifiée. Georges a poussé, poussé encore. Pas un forage rapide, profond, soudain, juste un petit coup de pouce pour faire entrer le bout de sa bite dans mon mari. C'est alors que je l'ai entendu crier pour la première, mais certainement pas la dernière fois cette nuit-là. Un cri étouffé, combinant toute la douleur, l'horreur et l'angoisse, avec tout le doux plaisir, la satisfaction et l’envie que ça ne s'arrête pas. Rachid sourit. Le sourire méchant et malfaisant de quelqu’un qui sait qu'il a sa proie juste là où il la veut, qu'il va l’enculer et profiter de chaque once de plaisir pervers.
Il en a poussé d'autres. J'ai vu les mains de mon mari, l'éclair de peau quand ses ongles s'agrippaient à l'oreiller, qu'il a également utilisé pour étouffer son deuxième cri. Mais son corps l'a trahi. Des gémissements s'échappèrent de ses lèvres, plus fort maintenant, car il ne put s'empêcher de jeter sa tête en arrière alors que la lente sodomie de son petit orifice continuait. Ses doigts étaient toujours enroulés autour de l'oreiller, mais son dos était courbé.
Des respirations rauques et audibles s'intercalaient entre les gémissements et il repoussait sa croupe sur cette bite qui le pénétrait. Soudain, la sodomie est devenue plus douce, moins de mouvements douloureux et plus de fluidité dans le sexe. La prise sur l'oreiller s'est relâchée et les yeux de mon mari se sont ouverts par moments, pour se refermer sur moi dans une course de plus en plus profonde.
Je pouvais presque voir, à travers les corps en action, la bite incroyablement raide de Georges, rebondir sous lui. Le bout sensible de sa petite queue frottait contre la couette, tandis que son œillet était de plus en plus défoncé, ce qui ne faisait que renforcer son besoin croissant. Incapable de résister davantage, une de ses mains se déplaça vers le bas. Il avait manifestement l'intention de se branler pendant qu'il profitait de l’énorme queue de Rachid qui le défonçait, prenant sa virginité.
Nôtre fils adopté n'avait rien à faire de tout cela. Il s'est penché plus près, faisant en sorte que sa bite envahisse le petit trou de mon mari au plus profond, tout en se retournant pour lui donner une bonne gifle. Au lieu de ça, il s'est emparé de la bite de Georges, la décalottait, et a commencé à le branler. Ses doigts glissent de haut en bas de cette tige pré-lubrifiée au même rythme que sa bite à lui le pénétrait.
Tout cela devenait un délicieux moments. Je me souviens de leurs visages, déformés par le plaisir et la pure satisfaction de leur relation. Je me souviens de la chaleur qui se dégageait, et de ma joie de les voir eux deux ensemble, dont l’un, dominateur, enculait l’autre.
Ma chatte, qui avait envie d’être caressée, se mit à mouiller abondamment, juste au moment où je regardais mon mari être utilisé et sodomisé. Mon clitoris et le bout de mes seins me criaient dessus pour attirer l'attention aussi.
Puis l'apogée. Rachid ne peut plus se passer de son envie. Il a alors grogné, en se retournant en fermant les yeux, et il a lancé sa charge dans le ventre de mon mari. Sa main a lâchée la bite de Georges. En se retirant, il saisit les petites couilles de mon mari, la fierté de l’homme, les fit rouler entre ses doigts, pour l’humilier et lui montrer sa suprématie. Georges le suppliait de ne pas serrer. A ce moment, les deux mains serraient la taille de mon mari pour se stabiliser alors qu'il s'avançait vers l'orgasme.
Georges se fit saillir à trois reprises, à trente secondes d’intervalle. Nôtre fils adopté le baisait toujours avec la même passion, la même humiliation. Il se retira, fit le tour du lit. Il força Georges à prendre sa queue en bouche, et de tout avaler. Soumis, mon mari déglutit et avala la semence de l’adolescent qu’il déteste le plus. Pire, il enroula sa langue autour du gland, et le nettoya jusqu’à la dernière goutte.
La pièce est restée silencieuse, à l'exception de nos respirations à tous les trois. Avec le temps, ils ont tous les deux retrouvé un certain calme, Rachid étant toujours dans sa position de mâle dominant, même si sa bite était sans doute en train de flétrir après ses trois orgasmes et de sortir de sa position. Il s'est approché de mon époux, lui donna une fessée jusqu’à ce que ses fesses soient toute rouge, le jeta hors du lit pour que je puisse prendre sa place.
Depuis, Georges est devenu le jouet de son fils adopté. Tous les matins, sont petit déjeuner consiste à tailler une ou deux pipes à Rachid, et à tout avaler. Georges se soumet sans concession aux caprices du jeune homme qu’il déteste plus que tout.
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