Mes rêves de moqueries féminines

Récit érotique écrit par jaimelesfemmesmoqueuses le 11-11-2025
Récit érotique lu 3 fois
Catégorie Sadomazo

Quand je me sens fortement attiré par une femme, j'éprouve une envie bizarre : je n’ai pas envie de susciter son admiration sur moi j'ai envie de me ridiculiser pour qu'elle se moque – beaucoup - de moi. Et l'idée de m'offrir à ses moqueries provoque alors l'érection de mon (tout petit) pénis.

Dans quelles conditions éprouve-je l'envie de me faire moquer de moi par une ou des femmes ? Je trouve ces femmes belles, d'une part et, d'autre part, leur manière de s'habiller et leur attitude provoquent mon trouble : elles sont habillées de pantalons très sombres, ou de jupes longues très sombres (noir, bleu marine, marron...), sont parfumées de façon un rien provoquante, leurs regards trahissent une propension à la dérision, un sourire fleurit sur leur visage, quand elles sont plusieurs elles rient en plaisantant, peut-être, sans doute, sur des hommes. Si on est en été et qu’il fait bien chaud, elles sont volontiers en débardeurs, chemisiers sans manches. Moi-même m’habille toujours de pantalons clairs, comme pour me mettre délibérément en position d’infériorité devant les femmes en général.

Qu'ai-je envie de faire, lorsque je croise des femmes aux moqueries desquelles j'ai envie de m'offrir ? A vrai dire, je suis dans une grande tension, partagé entre l’envie de vivre la surprise de la moquerie sublimant leurs beautés, et la crainte de cette même moquerie, moi-même devenant le jouet de ce qu’elles décideront pour s’amuser à mes dépens. Uniquement se foutre de moi, par des sourires amusés et des petits rires assez discrets, à quelques révélations que j’aurais pu lui faire après avoir déclenché son rire, en lui montrant une photo de moi ridicule ? Quelque chose de plus senti, odorant, mais au moins dans le secret d’une rencontre entre nous deux ? Si la femme abordée est dans un lieu où d’autres femmes sont à proximité, va-t-elle élever la voix pour faire profiter ses collègues, des clientes, de mon ridicule ?

J’aurais invité, sollicité par elle de façon autoritaire, entre deux éclats de rires et quelques plaisanteries, une seule femme devant laquelle je me serais ridiculisé, et dont je m’attendrais à ce qu’elle se moque de moi en venant chez moi ; sauf que là, outre cette première femme moqueuse, et meneuse pour la suite, je me trouverais envahi par plusieurs amies à elle, peut-être des sœurs ou cousines, collègues de travail, aussi, auprès desquelles elle avait déjà fait ma « publicité ». Comme par « hasard », elles sont toutes en jupes longues sombres ou pantalons sombres : en jupe longue noire pour l’une, en pantalon bleu marine pour une deuxième, en pantalon noir pour une troisième, en jupe longue bleu marine pour une quatrième, en jupe longue marron pour une cinquième, en pantalon marron pour une sixième. En fait, les nuances sont subtiles, tant les couleurs s’écartent peu du noir proprement dit.

M’imposant leur présence, ces femmes me rient au nez dès que j’ouvre la porte, pensant n’accueillir qu’une seule femme, et surpris par le nombre. Elles se débarrassent rapidement de leurs pardessus et pulls, qu’elles jettent sur moi pour que je les pose, délicatement, sur mon lit, déposant des plantes à fleurs fortement parfumées, en petits pots, qu’elles ont apporté, jusqu’à se montrer en hauts sans manches au-dessus de leurs jupes et pantalons. C’est alors que chacune se parfume abondamment, me regardant en rigolant.

Je les imagine se moquer alors ENORMEMENT de moi, tous mes sens étant sollicités.

- la vue, de leurs pantalons et jupes, de leurs chemisiers et débardeurs, dans la pièce chaude où elles se moqueraient de moi, à mon domicile. La vue, aussi, de leurs mouvements dansants ironiques, de leurs fous rires, de leurs doigts pointés sur moi.

- l'audition, bien entendu, avec les éclats de rire des moqueuses, leurs plaisanteries bien humiliantes sur mon compte, les ordres, de dominatrices qu’elles se révèlent être, de faire certains gestes qui me rendront chaque fois un peu plus ridicule

- le toucher, à travers le contact physique avec leurs pantalons et jupes, qu'elles s'amuseront, par provocation, à approcher des parties de mon corps, mais ou jambes, découvertes ou non, frôlées lors de petits pas de danse moqueurs, à travers aussi mes embrassades de leurs chaussures, imposées comme une marque de ma réduction à l'état de soumis.

- le goût, dans la mesure où il me sera exigé de nettoyer, avec la langue, leurs chaussures, à un moment ou un autre.

- l'odorat, élément très érogène chez moi s’agissant de moqueries féminines. Elles s'amusent, outre à me faire sentir les parfums puissants qu'elles portent sur elles, à harceler mes narines du parfum de fleurs particulièrement odorantes (ce serait plutôt en saison chaude, les fleurs étant abondamment produites à proximité), et de fromages puants comme la France sait en produire (lors d’une soirée raclette ou tartiflette, de pommes de terres coiffées au munster, en hiver, peut-être, qu’elle m’auront imposée), qu’elles m’auront fait la désagréable et odorante surprise d’apporter, dans des boîtes étanches aux parfums permettant un transport discret, chacune ayant apporté un morceau de fromage différent (munster, époisses, maroilles, livarot...).

J'aurais envie de fuir lorsque l’ouverture des boîtes à fromages à un effet explosif, pour commencer en tentant d’échapper aux senteurs fromagères, grâce à une respiration par la bouche au lieu du nez, alors que les eaux de toilettes sur les corps des femmes, leurs fleurs parfumées, m’étaient trop fortes, déjà imposées par dérision, mais pas désagréables au point que je les fuie. Elles s’en rendent vite compte, rient en me montrant du doigt parce que je souffre expressivement des parfums de fromages. Mon invitée me baîllonne la bouche pour que je sois contraint de subir ces mélanges d’odeurs, et se moque de moi, par des plaisanteries, constatant que je n’arrive, étrangement, plus à répondre. Mais mon regard grimaçant continue de trahir l’impression de désagrément, pour la plus grande joie de mes moqueuses.

Toute cette sollicitation des sens par les moqueries féminines se passent dans un contexte où, tourné en ridicule dès le début de la rencontre surprise avec ce groupe de femmes, je me vois imposer des épreuves, évidemment perdues, mon échec suscitant les quolibets et les applaudissements, le tout avec un fond olfactif obsédant : ça pue un mélange de parfums, de senteurs de fleurs et d’odeurs de fromages. En sanction, je perds peu à peu mes habits, chacune des femmes présentes va en cacher un à tour de rôle, sans qu’on me laisse même la suivre du regard, jusqu'à me retrouver en slip. Je perds ma dernière épreuve, obligé, du coup, de dévoiler ma nudité. On passe de la moquerie à la Moquerie..

Mon pénis étant très petit, si, je me suis déjà fait moquer de moi en ligne après avoir envoyé à quelques femmes des photos de mon pénis, j'imagine comme normal que, surprises, ces femmes aient une réaction de stupéfaction, avant de partir d'un fou rire collectif, avant de faire "sentir", à mon sexe les fleurs – plus encore pour la caresse ironique que pour le parfum – tandis que les fromages continuent à harceler mes narines, généreusement offerts par les gestes, moqueurs, des femmes aux superbes visages hilares. Bien sûr, pour profiter de moi nu, les femmes présentes rivalisent de plaisanteries et d'ordres donnés à moi, voire d'actes destinés à marquer extérieurement la moquerie subie, destinés à ma faire comprendre combien profond est le mépris qu'elles me portent : couettes faites avec mes cheveux un peu longs alors que je suis en partie chauve, par exemple. Chacune des femmes prend des photos, et elles se promettent de les partager, en statut public, sur des sites internet ! J’angoisse quant à la certitude de mon déshonneur public...

Moi, définitivement troublé par ces belles moqueuses et leurs énormes Moqueries, je bande devant elles depuis qu’elles me caressent le pénis avec les fleurs. Les femmes, triomphantes, se plantent à tour de rôle devant moi, et mon pénis en érection – restant petit malgré tout, suffisamment loin pour que je ne risque pas de toucher, avec mon pénis, leurs jupes ou pantalons ; mais assez près pour me narguer, senteurs des fromages et caresses des fleurs à l’appui, en faisant remarquer qu’un vrai homme arriverait à atteindre leurs jupes ou pantalons.

Moqué très intensément, en érection, je finis par éjaculer de façon incontrôlée devant une des femmes qui s’est placée devant moi, après d’autres, pour me narguer. Un tonnerre de rire collectif s’ensuit.

Ayant d'autres centres d'intérêt dans leurs vies que se moquer de moi, les femmes qui m'auront harcelé pendant des heures finissent par me quitter, mais pas sans avoir encore profité pour bien s’amuser à mes dépens. En effet, je dois m’habiller de nouveau. Celle qui a caché mon slip vient le chercher de la cachette où elle l’a planqué, l’exhibe devant moi. Je pense pouvoir l’attraper, mais elle esquive mon geste, au grand amusement de tout le groupe féminin, et elle le lance même à une amie, qui se livre à la même Moquerie avec moi : agitant le slip devant moi, elle « m’invite » à le prendre, tout en bougeant, avant de la lancer à une autre.

Arrivant en retard, je tombe littéralement dans ses bras, comme avec la première, et bien entendu mes jambes sont abondamment en contacts avec les pantalons et jupes des moqueuses, y compris, cette fois, mon pénis en érection, suscitant un commentaire de chacune des moqueuses dans les bras de laquelle j’atterris. Ce n’est que lorsque chacune des femmes s’est Moquée de moi que la meneuse ordonne la fin de l’amusement – pour elles – concernant mon slip. Néanmoins, la récupération de chaque habit va suivre le même processus. Les fleurs et les fromages sont un peu mis de côté, mais il y a toujours au moins une femme pour me fourguer sous le nez un morceau de fromage ou une fleur.

Comme si c’était fait exprès, pour pouvoir caresser mes jambes plus longtemps avec leurs jupes et pantalons, les moqueuses ne me rendent le mien qu’à la toute fin. Reprenant leurs pulls, vestes et manteaux – si elles viennent en hiver – elles font preuve de « générosité » en reprenant, chacune, son fromage. Elles m’imposent, par contre, de garder les fleurs fortement parfumées, et je sais que la puanteur régnant désormais chez moi sera difficile à faire partir. Sans compter que j’angoisse pour l’avenir de mon honneur !


Ces femmes qui se sont aussi énormément Moquées de moi ont pris des photos, et promis que l’on parlerait de moi par la suite. De fait, les jours suivants, j’imagine que des femmes, me reconnaissant dans la rue, surtout quand elles sont en jupes sombres ou en pantalons sombres, dévient de leur chemin, s’approchant de moi après m’avoir hélé, pour pouvoir me rire au nez en me pointant du doigt. L’une ou l’autre me sourit de façon appuyée, tout en se parfumant. Une autre me hèle, me demande de m’arrêter à ses côtés, disant qu’elle avait quelque chose à me faire sentir. Elle sort ce que je reconnais être un fromage. Elle me l’impose sous le nez, son odeur est puissante, devant ma réaction d’inconfort, la passante éclate de rire

Je ne sais pas si j'oserais vivre une telle humiliation, mais j'ai déjà éprouvé du plaisir à provoquer quelques moqueries chez des femmes, et mon fantasme est né après que j'ai vu une femme en jupe longue bleu marine plaisanter d'un élève ayant fait une bêtise en classe.


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11-11-2025 0 3

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