Voyage de noces tantrique

Récit érotique écrit par Odan le 28-08-2023
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Catégorie Partouzes-Orgies

Lucie et moi venons de nous marier. Nous nous connaissons depuis longtemps, sommes sortis ensemble au lycée et ne nous sommes jamais quittés. C’est dire que nous n’avons, ni l’un ni l’autre, jamais eu d’autres partenaires, et que notre expérience sexuelle et limitée. C’est pour cela que nous avons décidé, d’un commun accord, de faire notre voyage de noces en Inde : nous avons vu un voyage qui parlait d’expérience tantrique, et nous nous sommes dit que, d’une part, les palais du Rajasthan, ça nous disait bien, et que d’autre part, si ce qui était dit de l’expérience tantrique était vrai, ça nous disait aussi.

Arrivés sur place, on a surtout été frappé par la chaleur moite, la puanteur, la misère. Mais quand on monte vers le Rajasthan, les choses changent. Il fait moins chaud, les paysages sont plus austères et plus désertiques, et surtout, il y a moins de monde. Le premier palais était une merveille. Mais point de tantrisme là, juste une chambre à couper le souffle où nous fîmes l’amour comme souvent, c’est-à-dire avec joie et en missionnaire. Je savais bien que je n’avais fait monter Lucie aux rideaux, je me doutais bien qu’elle pouvait jouir autrement ; et à vrai dire, moi aussi, je trouvais cela un peu… répétitif, ennuyeux… et elle le savait. L’expérience était prévue à la fin de la semaine, dans le second palais. Nous y fûmes accueillis par une femme de taille moyenne, en sari de couleur brique, qui nous indiqua nos chambres. Oui, nos chambres : il n’était pas question de dormir dans la même chambre ! Nous étions un peu perplexes. Pendant trois jours, nous fûmes absolument séparés : on se voyait de loin, menés au bain ou au massage – et des massages très agréables, mais si le tantra c’est ça, alors je suis un maître yoda – par des femmes (pour moi) ou des hommes (pour Lucie) muets. Je commençais à trouver cela long, pénible, et surtout parfaitement mensonger. Le quatrième matin, je fus mené dans une sorte de temple, où l’on me demanda de revêtir une sorte de toge en coton de couleur crème, avec rien en dessous, puis de m’installer en lotus sur un coussin, et d’attendre. Au bout d’un quart d’heure, on amena Lucie, vêtue d’une toge identique, mais tirant davantage vers le jaune. On nous précisa bien que nous ne devions ni parler, ni nous toucher. L’atmosphère était surchargée d’odeurs d’encens et d’autres plantes ou épices que je ne connaissais pas. C’était assez envoûtant, mais surtout très long. Un quart d’heure passa de nouveau, quand la femme en sari qui nous avait accueillis apparut. Elle nous expliqua que l’expérience tantrique allait commencer, que nous devions oublier tout ce que nous savions, relâcher nos résistances – elle ne le dit pas comme ça, c’était plutôt du genre « ouvrir nos chakras Â» –, et bien sûr fermer les yeux. Elle mit une musique douce, un peu planante. Tout cela ressemblait à un très mauvais film. Puis elle découvrit mon torse, se plaça derrière moi, et commença par un massage des épaules, en descendant jusqu’au plexus et en remontant, en insistant sur la nuque, avec des mouvements circulaires. Là encore, très agréable, très relaxant, mieux même que les massages des jours précédents, mais… pas tantrique pour deux sous. Elle me demanda d’ouvrir les yeux, et de me tourner vers Lucie. Puis elle dénuda le torse de Lucie, et fit de même, insistant davantage sur ses seins – Lucie a des petits seins très fermes – en faisant rouler entre ses doigts les pointes très vites tendues. A la respiration de Lucie, je voyais bien que le massage était plus excitant que le mien. Il ne tarda d’ailleurs pas à me faire légèrement bander. Elle demanda à Lucie de faire de même, ouvrir les yeux et se tourner vers moi. Nous étions donc torses nus, en lotus, tournés l’un vers l’autre. La femme – Chandra – repassa derrière moi, en me demandant de me lever. Elle défit totalement ma toge, et me demanda de me rasseoir. En lotus donc, nu cette fois, devant Lucie. Elle reprit son massage depuis les épaules, mais descendit cette fois jusqu’à mon sexe, qu’elle branla doucement, devant Lucie qui regardait ma verge grossir dans les mains de Chandra. Je voyais bien, à son regard, combien cela l’excitait. Puis Chandra fit de même avec Lucie, elle la dénuda complètement, et massa non plus seulement ses seins, mais aussi, avec une nette insistance, son clitoris. Jamais je n’avais vu Lucie ainsi. Son clitoris était complètement décalotté, entre les doigts de Chandra. Chandra me demanda alors de me lever, et de m’approcher de Lucie. Comme mon sexe était tendu, et Lucie assise en lotus, il se trouvait évidemment à hauteur de sa bouche. Chandra, derrière Lucie, reprit mon sexe dans ses mains, et me branla exactement sous le nez de Lucie, qui avait les yeux ouverts sur mon membre tendu. Puis Chandra me fit rasseoir, et le mouvement fut inverse : elle était restée derrière Lucie, placée debout devant moi, et lui branlait le clitoris d’une main, l’autre glissée entre ses jambes légèrement écartées, et avait glissé un puis deux doigts dans sa vulve. J’avais sous les yeux, et je sentais, l’excitation de Lucie, son sexe de plus en plus mouillé. Son excitation était d’autant plus forte que, d’une part, elle était branlée par des mains plus expertes que les miennes, à n’en pas douter, d’autre part, et pour la première fois de sa vie, par quelqu’un d’autre que moi, qui plus est une femme, et enfin parce que cela se passait devant mes yeux grands ouverts. Chandra nous fit rasseoir, toujours face à face. Elle ôta alors son Sari, découvrant sa nudité. Je ne saurais donner un âge à cette femme. Elle avait une peau très brune, lisse, odorante, une musculature entretenue par des années de yoga, des seins lourds aux aréoles presque violettes, une toison très noire, soigneusement entretenue. Elle revint vers nous avec des fioles variées, et demanda à Lucie, après nous avoir fait lever, de m’enduire le corps d’une huile parfumée. Elle guidait ses gestes, l’encourageait à insister là où Lucie hésitait, entre mes fesses, sur mes testicules, partout. Je ne débandais pas. Puis ce fut mon tour d’enduire Lucie, d’une huile différente, et je m’enhardis à glisser la main presque en elle, à masser les pointes durcies de ses seins. Puis Chandra nous fit nous allonger, tête-bêche, plaçant mon sexe à hauteur de la bouche de Lucie et le sien de la mienne. Elle demanda à Lucie de commencer sur moi une fellation, puis s’allongea à son tour, derrière Lucie, sa bouche à hauteur des fesses de Lucie, et elle m’invita à venir lécher la vulve de Lucie, tandis qu’elle écartait ses fesses et lui léchait l’anus. A la contraction de la bouche de Lucie sur moi, je sentis sa surprise, mais bien vite cette crispation céda au profit de gémissements de plus en plus forts. Lucie avait lâché mon sexe, tandis que la langue de Chandra et la mienne, qui se joignaient parfois, fouillaient son intimité. Chandra la mena ainsi au-delà de ce que j’avais jamais obtenu, mais elle évita volontairement l’orgasme. Se plaçant maintenant derrière moi, elle demanda à Lucie de reprendre mon sexe en bouche, tandis qu’elle venait lécher mon cul. Cette double caresse buccale était incroyable, mais Chandra savait parfaitement comprimer ma verge quand nécessaire, afin que je ne jouisse pas non plus. Tout cela était très lent, très doux, mais en même temps d’une force incroyable : jamais je crois je n’avais bandé aussi fort, à en avoir le sexe douloureux dans le plaisir, jamais je crois Lucie n’avait mouillé autant. Chandra nous fit alors lever, et nous passâmes dans la pièce contiguë. Il y faisait plus sombre. Elle me fit m’allonger sur le dos, sur une natte. Elle plaça Lucie au-dessus de moi, en la maintenant fortement de sorte que sa vulve béante était juste au-dessus de mon sexe, mais sans la laisser s’y reposer. Le bout de mon sexe effleurait l’entrée du sien, et Chandra guidait le mouvement, sans jamais me laisser entrer, sans jamais la laisser descendre sur moi. J’étais tenté par des mouvements de rein de relever mon sexe plus haut, mais chaque fois, Chandra soulevait alors Lucie. Ce jeu dura de longues minutes, horriblement excitant ; je sentais la mouille de Lucie dégouliner sur ma verge tendue. Puis Chandra modifia la position de Lucie, et cette fois c’est devant l’entrée de son anus – lui aussi ouvert comme jamais il n’avait été – que venait buter ma tige. Elle ne nous laissait pas nous pénétrer, elle augmentait notre excitation au-delà de notre imagination. Au bout d’un temps infini, elle fit s’asseoir Lucie sur ma bouche, et ma langue en elle la fit frémir jusqu’au vertige, tant elle attendait depuis longtemps d’être pénétrée : même ma langue, ma seule langue, lui procurait un plaisir inconnu d’elle. Et Chandra, que je voyais plus, vint tranquillement enfiler son sexe sur le mien, tout en maintenant mes testicules comprimés pour que je ne jouisse pas. Lucie voyait une autre femme me chevaucher, elle voyait les contractions du ventre de Chandra – son incroyable musculature me prodiguait une sorte de massage intime, je sentais ma verge comme léchée de l’intérieur, successivement comprimée dans ses points les plus sensibles, que je ne connaissais même pas – et elle sentait aussi ma langue en elle, et bientôt la bouche de Chandra vint prendre la bouche de Lucie, dans un baiser que je ne voyais pas, mais qui devait être d’une redoutable intensité. Lucie commençait à trembler de tout son corps. Mes mains lui prirent les seins, tandis que ma langue la fouillait, et je sentis qu’une main de Chandra était venue prendre son clitoris. La respiration de Lucie était devenue irrégulière, elle cherchait un air dont elle ne disposait pas, sa bouche prise par la bouche de Chandra. Elle se tortillait sur moi, sur les doigts de Chandra, comme si son sexe avait pu respirer lui aussi, elle frémissait et soudain je sentis qu’elle lâchait complètement prise. Elle se serait effondrée si Chandra ne la tenait pas fermement. Ses jambes étaient devenues molles, son sexe fondait littéralement, et je fus inondé d’un jet de cyprine si abondant que j’avais du mal à respirer à mon tour. Chandra la maintenait ainsi, tout en continuant de me masser le sexe avec le sien. Mais l’orgasme de Lucie fut si intense que Chandra jugea utile de se dégager de moi, pour mieux soutenir Lucie. Je crois qu’elle trembla plus de cinq minutes, sans un son, comme en apnée, et Chandra la fit ensuite s’étendre doucement, aussi délicatement qu’elle avait été ferme auparavant. Elle reprit un onguent dont elle enduisit le corps trempé et las de Lucie. Je les regardais avec étonnement. Comment cette femme nous avait-elle menés là, comment s’y était-elle pris ? Puis elle se tourna vers moi, enduisit mon sexe toujours tendu, toujours douloureux, de ce même onguent, apaisant. Mais à cette première impression d’apaisement succéda une seconde impression, de chaleur. Je ne débandais pas, je bandais davantage encore, j’avais l’impression qu’elle m’avait drogué et que je m’imaginais mon sexe plus grand, plus gros, plus long, plus dur, qu’il n’avait jamais été. Elle me fit asseoir en lotus de nouveau, et me positionna devant les jambes de Lucie qu’elle releva. Elle approcha alors le bassin de Lucie de mon sexe dressé, et c’est dans son anus qu’elle m’introduisit, sans difficulté aucune, Lucie totalement ouverte, totalement relâchée, moi tendu comme jamais, énorme, mais surpris aussi de la facilité avec laquelle mon membre disproportionné entrait aisément dans le petit cul de Lucie que je n’avais jamais possédé. Puis elle redressa Lucie, totalement empalée sur moi, se plaça derrière elle, et l’aida – car elle était encore faible – à entamer un mouvement du haut vers le bas, comme si à chaque fois mon sexe allait aller plus loin, allait la prendre davantage. Dans cette position, Chandra avait aussi accès, sous les fesses de Lucie, à mes couilles et à mon anus. Elle ne se priva pas de me caresser en me comprimant, m’empêchant toujours de jouir. Puis elle glissa entre mes fesses non plus un doigt mais un long godemiché courbe en bois, qu’elle introduisit sans difficulté aucune dans mon anus. Je n’en revenais pas, mais la jouissance était infinie. Et soudain, elle lâcha mes couilles, enfonça le gode un peu plus et je fus traversé d’une décharge électrique qui me fit instantanément jouir en longs jets de foutre à l’intérieur de l’anus de Lucie, qui tremblait à nouveau et inondait mes jambes et mon ventre de sa jouissance.

Chandra se retira, nous laissant seuls dans la jouissance inconnue que nous venions de vivre, nous laissant nous retrouver doucement, tendrement, amoureusement. Nous nous allongeâmes l’un à côté de l’autre, échangeant un long baiser passionné. Puis Chandra revint, nous lava en nous demandant de rester allongé, de nous laisser faire, et nous expliqua que nous venions d’atteindre le premier stade du tantra. Lucie la regardait avec stupéfaction : le premier stade ? Il y en avait d’autres ? Oui, mais nous devions d’abord nous reposer, manger un peu et dormir.

Le lendemain, quand de nouveau on nous amena au temple, Chandra nous demanda de nous dévêtir immédiatement, et de nous enduire réciproquement d’huile, puis d’attendre, l’un en face de l’autre, en position du lotus. Elle revint accompagnée d’un homme d’une quarantaine d’années, pas spécialement beau, mais d’une force évidente. Son corps nu était luisant d’huile parfumé. Il se plaça derrière Lucie, tandis que Chandra, nue elle aussi, se plaçait derrière moi. Ils commencèrent ainsi des caresses à peu près semblables à celles de la veille, sinon que je voyais donc un homme commencer à donner du plaisir à Lucie, comme Lucie m’avait déjà vu la veille, avec Chandra. Ces préliminaires durèrent plus longtemps, avant que Chandra ne me fasse me lever, et me placer à côté de l’homme, qui se prénommait Sanjay. Nos sexes étaient tous deux tendus, mais le sien devait faire le double du mien. Il était incroyablement lisse. Chandra vint me prendre dans sa bouche, invitant Lucie à faire de même avec Sanjay. Elle hésita un peu, à la fois parce que c’était le premier sexe d’homme, hormis le mien, qu’elle voyait, et surtout parce qu’il était d’une taille si imposante qu’elle n’imaginait pas pouvoir le prendre. Chandra lui indiquait les mouvements à faire, qu’elle appliquait sur moi. Comment prendre et masser les couilles, comment les comprimer pour que la jouissance ne vienne pas ; comment et où lécher la tige, où insister, la veine, le méat, comment fermer les lèvres, les rouvrir, comment se placer pour la verge aille plus loin, en laissant la salive couler. Voir la bouche de Lucie sur ce gland monstrueux était extrêmement excitant, voir ses yeux me chercher, puis observer mon sexe dans la bouche d’une autre, puis le sexe qu’elle avalait de plus en plus, tout cela me faisait infiniment bander, et manifestement l’excitait elle aussi énormément. Chandra nous fit alors changer de position : nous nous allongeâmes tous deux, Lucie et moi, et Chandra vint se placer en 69 au-dessus de Lucie, invitant Sanjay à faire de même avec moi. Nous étions à la fois surpris et un peu rétifs, mais le ton de Chandra ne laissait guère de place à la discussion. La bouche de Sanjay sur mon sexe comme celle de Chandra sur celui de Lucie nous saisirent instantanément. Mais Chandra imposa le sexe de Sanjay dans ma bouche, et le sien dans celle de Lucie. C’était très surprenant, mais le plaisir qu’ils nous donnaient nous invitait à le leur rendre, et je m’appliquai donc à sucer – pour la première fois, évidemment – ce sexe d’homme, si gros, si lisse, mais curieusement si tendre en même temps que dur, tandis que Lucie aspirait celui de Chandra, le fouillait, le découvrait. Nos limites tombaient les unes après les autres. Je crus dix fois exploser, mais dix fois la main de Sanjay me comprima les couilles pour m’en empêcher ; je crus dix fois le faire jouir, mais manifestement son expérience et son contrôle étaient supérieurs aux miens. Dix fois, Lucie crut qu’elle allait faire jouir Chandra, et jouir elle-même, et dix fois, tout fut retenu. Chandra nous fit de nouveau nous asseoir, en lotus, et Sanjay, debout, la saisit, la souleva, et l’empala sur son sexe dressé, devant nous. Il la maintenait par les fesses, elle fermement agrippée à ses épaules, et leurs mouvements coordonnés étaient puissants et intenses. Le corps de Sanjay était trempé de sueur, celui de Chandra dégoulinait, et nous assistions à cet assaut animal, à cet assaut de deux bêtes de sexe en rut, qui provoquait en nous, après ce que nous venions déjà de vivre, un degré supplémentaire d’excitation. Sanjay se déplaça, pour coller le dos de Chandra contre le mur, afin de fournir moins d’efforts, et il concentra alors toute sa force dans les mouvements de son bassin, qui venaient déchirer les entrailles de Chandra. Celle-ci, les jambes serrées autour des fesses de Sanjay, les bras fermement attachés à ses épaules, accompagnait chaque mouvement du bassin de Sanjay, et de son sexe s’écoulait une mouille incessante, abondante, odorante. Nous avions l’impression d’un combat féroce, dont il nous était impossible de dire qui sortirait vainqueur, lequel des deux ferait jouir l’autre, jusqu’où iraient-ils dans cet accouplement ? Lucie, fascinée, s’était mise presque inconsciemment à se caresser : elle frottait sa vulve et son clitoris d’une main, et pinçait un de ses tétons de l’autre ; j’avais quant à moi le sexe dressé, tendu, et chaque assaut de Sanjay, chaque réplique de Chandra, me faisaient bander davantage encore. Lucie me regarda, et délaissant son sein, elle prit le mien dans sa main, me branlant avec force, tandis qu’elle accentuait encore sa propre caresse. Soudain, Chandra resserra l’étreinte de ses jambes autour de Sanjay, l’étouffant presque tant sa musculature était puissante : cet homme, qui la soulevait comme un fétu de paille, était brisé par l’étreinte, et il ne put alors retenir sa puissante jouissance, éclaboussant Chandra au fond du ventre, par saccades nombreuses. Puis il la déposa à terre, celle-ci ayant relâché la pression de ses cuisses, et elle s’empressa de venir nettoyer son long sexe détendu, puis elle nous regarda, et m’invita à m’allonger. Elle vint finir sa jouissance inaboutie sur mon sexe, sans rien me demander, comme si elle savait quoi faire seule, et quand elle râla de plaisir, nous crûmes entendre le feulement d’un fauve. Lucie avait cessé de se toucher, elle était fascinée par cette femme si maîtresse d’elle-même. Sanjay s’était placé derrière elle et lui caressait les fesses, qu’elle avait relevées en lui tendant sa croupe. Une fois satisfaite, et sans prendre le temps de se remettre, Chandra vint placer Lucie sur mon sexe, de dos, faisant glisser ma verge dans son anus, tandis qu’elle écartait les jambes de Lucie plus haut, pour laisser Sanjay prendre sa vulve. Lucie se laissa prendre dans ce double assaut, inquiète sans doute non pas de mon sexe en elle, mais de celui monstrueux de Sanjay. Mais il la pénétra sans difficulté, et je sentais toute sa puissance revenue frotter contre mon sexe, à travers la fine paroi de chair. Chandra nous caressait les couilles, glissant parfois de l’anus de Sanjay au mien, tandis que Lucie, profondément emplie de nos sexes, fermement maintenue par les deux hommes qui l’assaillaient, était dans sa phase d’apnée. Je savais qu’elle allait bientôt manquer d’air, et jouir violemment. Mais ma jouissance précéda la sienne, le jet de mon foutre dans son cul la fit décoller, et le tremblement de tout son corps eut raison à son tour de Sanjay, dont le sexe, sorti de celui de Lucie dans la force du mouvement, fut à la fois copieusement arrosé de la cyprine de Lucie, et fit jaillir sur son ventre et ses seins une impressionnante quantité d’un foutre épais et chaud. Nous étions épuisés, repus, heureux. Cette fois, c’est Lucie et moi qui vînmes faire la toilette de Chandra et Sanjay, puis la nôtre. Deuxième stade.

La journée du lendemain fut chaste et reposante. Lucie avait mal aux cuisses et son anus se ressentait des assauts reçus. Mes couilles étaient vides et flasques. Nous ne nous touchâmes pas de la journée.

Puis nous retournâmes au temple. Chandra nous y attendait : elle nous dévêtit, nous posa un bandeau sur le visage, s’assurant que nous ne pouvions plus voir, puis nous mena par la main à travers divers pièces. Je ne savais ce qu’elle faisait, j’entendais des bruits, des chuchotements, mais je ne voyais rien. Elle enserra mon sexe dans une sorte de cage, je ne savais trop ce que c’était. Puis elle retira mon bandeau. Mon sexe était donc bien pris, au repos, dans une petite cage de métal, assez grande pour qu’il y tienne, mais qui risquait évidemment de s’avérer trop petite, et douloureuse, s’il venait à être excité. Chandra m’expliqua qu’il fallait que j’apprenne à me contrôler, à ne pas être excité, et que cette simple cage m’y aiderait : méthode un peu radicale et dont je craignais l’efficacité. Elle me mena alors dans la salle adjacente où se trouvait Lucie. Celle-ci était attachée en croix, jambes écartées et maintenues au sol, bras écartés vers le haut attachés à une sorte de croix en bois, ceinture qui la maintenait aussi à cette croix. Elle n’avait plus de bandeau sur les yeux, mais une sorte de boule dans sa bouche l’empêchait de parler. Je crois, à ses yeux, qu’elle avait peur. Toutes sortes d’instrument, j’aurais dit de torture, étaient disposés là. Chandra prit doucement la parole. Je devais faire jouir Lucie par tous les moyens mis à ma disposition, mais avec interdiction de la toucher avec mes mains ou ma langue, et interdiction bien sûr de la détacher. Il y avait là des objets en bois ou en métal, des pinces, des lanières, des fouets, des plumeaux, plusieurs godemichés de tailles ou de formes diverses, durs ou souples. Chandra allait d’abord s’installer, et ne dirait parlerait durant la séance que si elle voyait que c’était nécessaire. La séance ne serait terminée que quand Lucie aurait joui cinq fois ! Outre que je devais apprendre à me contrôler, l’objet était aussi que j’apprenne à contrôler la jouissance de Lucie. Chandra se dévêtit à son tour, pris un énorme godemiché double en bois, le posa à terre, et se l’introduisit doucement dans les deux orifices ; puis elle se plaça ainsi pénétrée en lotus, me montrant par sa maîtrise combien elle-même contrôlait sa propre jouissance. Je savais que, par le simple jeu de ses muscles, elle pouvait également comprimer ses parois et faire venir sa jouissance, comme elle l’avait fait sur mon propre sexe. Cette simple mise en place me fut atrocement douloureuse : je ne pus regarder Chandra s’installer, tant cela déclencha une immédiate érection, qui me fit me plier en deux. Mon sexe redevenu mou, mais douloureux aussi, il fallait que je pense à le contrôler, il fallait ne pas bander. Chandra m’invita à commencer, précisant pour finir que cinq fois, c’était beaucoup, mais que nous ne boirions ni ne mangerions avant que ce soit fini. Je choisis de commencer par exciter le clitoris de Lucie, avec une sorte de manche en bois. Mais ce n’était pas approprié, le bois n’étant ni assez lisse ni assez doux. Je changeai plusieurs fois d’instrument sans trouver ce qui convenait. Et Lucie n’était pas excitée du tout par la situation, ce qui fait que lui introduire l’un des godes eût été douloureux. Je lui caressai les seins avec un plumeau, mais cela la faisait plutôt rire, dans une position qui n’avait rien de confortable. Et toutes les cinq minutes, il me fallait m’arrêter pour débander. Au bout d’une heure, je n’avais pas avancé, j’avais mal, Lucie était énervée mais pas excitée, et Chandra n’avait pas bougé d’un pouce. Elle parla alors, en me disant que Lucie était comme moi, et que parfois la douleur menait au plaisir. Quoi ? elle voulait que je me serve des lanières pour la fouetter ? des pinces sur ses seins ? Elle ne me répondit pas, retournant à son mutisme. Mais le regard de Lucie quand je parlais des pinces me troubla. Elle semblait en être curieuse. Je pris donc l’une d’elle et m’approchait de Lucie, en la regardant d’un air interrogateur. Mais il était inutile de guetter ses yeux ; ses tétons disaient assez que cela l’excitait. Je plaçai donc l’une des pinces sur un téton, et comme Lucie avait l’air d’apprécier, je fis de même avec l’autre. Puis je repris l’un des plumeaux et le fis passer sur ses seins ainsi érigés, provoquant des frissons que je désespérais d’obtenir quelques minutes plus tôt. Le même plumeau passa entre ses fesses, entre ses jambes, mais avec moins d’effet visible. J’avançai doucement, j’avais peur de lui faire mal, j’avais peur de ne pas faire comme il fallait mais, heureusement, je ne bandais pas du tout. Je pris donc une sorte de martinet en cuir souple, à plusieurs lanières, et de nouveau, je lui caressai le ventre et l’entre-jambes. Bien que maintenue, elle eut un mouvement instinctif, non pas de recul, comme je le pensais, mais pour s’avancer. Je repris donc le martinet pour la fouetter très légèrement, sur le ventre d’abord, et sur les seins, puis sur l’entre-jambes. Je voyais à ses yeux que non seulement je ne lui faisais pas mal, mais au contraire que son excitation grandissait. Je m’y repris à plusieurs fois, plus fort, ses seins rougis maintenant, ses cuisses également, mais sans oser toutefois aller plus loin, d’autant que cela m’excitait moi aussi, avec le résultat immédiat que j’ai déjà décrit. Je voyais bien que je n’y arriverais pas ainsi, même si j’avais progressé. Lui introduire des objets, elle n’était pas assez lubrifiée, la toucher, pas le droit : j’étais dans une impasse. Et chaque moment de pause, pour que mon sexe reprenne sa taille normale, avait pour effet de faire redescendre le peu d’excitation que j’avais obtenu chez Lucie. Chandra ne bougeait pas, je voyais à son ventre qu’elle contractait parfois certains de ses muscles, mais je crois qu’elle aurait pu rester ainsi une semaine sans bouger. J’enlevai les pinces des seins endoloris de Lucie – je les aurais volontiers embrassés pour calmer leur irritation – et je repris un martinet à lanières plus longues pour voir si je pouvais l’exciter davantage par derrière ; la croix à laquelle elle était attachée laissait ses fesses nues écartées. Je la fouettais doucement sur les fesses et l’arrière des jambes, espérant, à défaut de l’exciter, l’échauffer au moins. Le résultat fut très inattendu : un léger filet de mouille se mit à couler sur une cuisse. Je frappai plus fort, le filet se fit ruisseau… je repassai devant pour regarder Lucie, stupéfait. Je repris le petit martinet pour fouetter son clitoris : ses mouvements d’avant en arrière ne laissaient aucun doute, elle allait chercher la caresse du cuir. Je la fouettai donc plus vite, un peu plus sèchement, et je vis son sexe commencer à couler d’excitation, alors même que ses cuisses et son ventre étaient zébrés de rouge. Je dus soudain me plier en deux sous l’érection… Comment faire ? Comment la faire jouir sans en être excité ? Mais si Lucie pouvait jouir dans une forme de douleur, ne devait-ce pas être ainsi également pour moi ? Je regardai Chandra. Pas un signe, une statue immuable, sinon les contractions régulières, comme un rituel, de son ventre. Je revins donc vers Lucie, dont l’excitation avait légèrement décru, mais dont la mouille permettait sans doute que je lui introduise l’un des godemichés dans la vulve. J’en pris d’abord un souple, mais son regard suppliait pour autre chose, et je m’arrêtais finalement à un gros objet en bois oblong et granuleux. Je la pénétrais donc lentement, mais la chaleur produite par les coups de fouet, comme la douleur, faisaient que cette intromission ne lui parut pas douloureuse. Elle se tortillait sur cet énorme sexe granulé, et chaque mouvement obtenu semblait faire monter sa jouissance. J’imprimais un mouvement de bas en haut, et obtins son premier orgasme en tournant l’objet en elle, de façon que les grains excitent chaque centimètre de la paroi de son vagin. Elle gicla, moins abondamment qu’elle ne l’avait déjà fait, mais c’était une première victoire.

Chandra manifesta sa satisfaction dans un mouvement du ventre par lequel je devinais qu’elle se faisait jouir elle aussi. Mais quant à moi, j’avais le sexe mou tant j’avais eu mal en bandant… je retirai le gode de bois du sexe de Lucie, et en choisit un plus long et plus fin, que j’introduisis en elle pour récupérer sa mouille ; puis je le glissais entre ses fesses. Mais son anus était encore bien contracté, et cette pénétration n’était pas possible. Par ailleurs, Lucie avait besoin d’un temps de repos, elle tenait à peine en appui sur sa croix, et ses jambes flageolaient. Je me contentais donc, pendant plusieurs minutes, de lui caresser les seins avec le plumeau, mais sans effet. Elle avait besoin maintenant de choses plus fortes, et les pinces réveillèrent bien davantage sa sensibilité. Je repris le petit martinet sur ses fesses, entre les jambes, et ce n’est quand son cul fut rouge et brûlant que je repris le gode et que je l’enculais avec, cette fois plus facilement. Il était long, et plus j’avançais en elle, plus je la sentais se relâcher, accompagner mon mouvement en elle, et sa respiration devenir plus forte, plus bruyante. Je continuai à la fouetter doucement en même temps que je la pénétrai, et quand de nouveau ses jambes s’affaissèrent, sans giclée de cyprine cette fois, je sus qu’elle avait pourtant joui une seconde fois. Second orgasme, seconde victoire, second repos. Mon sexe était douloureux, j’avais bandé presque sans m’en rendre compte, mes couilles étaient bleuies d’avoir été si comprimées.

Je retirai lentement le gode de son anus, la sentant frémir au fur et à mesure de ce mouvement, en même temps que le plumeau lui caressait les fesses. Puis je revins à la table aux tortures, me demandant quel objet allait me permettre de la faire jouir encore, et trois fois. J’étais perplexe, et souvent me tournais vers elle pour qu’elle me guide, mais son regard était perdu, encore embrumé par ses deux orgasmes successifs. Et je savais ne pas devoir compter sur Chandra. J’observais les objets en m’interrogeant : à quoi pouvait servir cette barre de métal, sinon à torturer des gens, à quoi cette énorme pince qui m’avait permis de me défaire de ma cage ? Une lanière de cuir servait sans doute à attacher, mais Lucie était déjà attachée, et je ne voyais pas quelle contrainte supplémentaire lui serait jouissive. Il y avait une sorte de cage pour la tête, avec des piquants tournés à l’intérieur, des sandales de fakir, il y avait des boules attachées les unes aux autres, des boulets pour les pieds, des chaînes… des boules attachées les unes aux autres ? Pourquoi n’y avais-je pas pensé, oui, c’étaient, assez grosses je crois, des boules de geishas. Je revins vers Lucie, et introduisit la première boule dans son vagin : aucun effet ; puis la dernière dans son anus : aucun effet ; puis la seconde de nouveau dans son vagin : elle se redressa un peu ; l’avant dernière dans son anus : elle contracta les fesses pour la faire pénétrer plus avant, une troisième dans la vagin : il y en avait six en tout ; j’hésitais pour la dernière et choisit de nouveau son anus, mais il était contracté ; je revins à sa vulve et poussait cette dernière boule en elle. Puis je jouais avec le fil qui dépassait, faisant sortir puis entrer de nouveau cette boule, et la dernière introduite dans son anus. Ces mouvements successifs commençaient à produire de l’effet : de nouveau, une mouille abondante lui coulait le long des cuisses ; comment pouvait-elle en produire autant ? Mais je voyais bien que tout cela était répétitif, et que je ne la mènerais pas ainsi à un troisième orgasme. Je repris l’un des martinets, mais son regard m’indiqua assez qu’elle avait eu assez mal. Je ne savais pas quoi inventer. Je m’apprêtais donc à retirer une à une les boules, espérant encore vaguement qu’elle en jouirait peut-être, quand je vis ses yeux fixés sur mon sexe atrocement comprimé dans sa cage. Je n’avais pas le droit de m’en servir, pas le droit de la toucher, mais c’est un sexe – ou un objet oblong – qu’elle désirait en elle. J’allais donc chercher un objet encore inutilisé, une sorte de pénis en bois noir, très gros, très lisse, très réaliste, veiné, et revint vers elle avec ma trouvaille. Je retirais lentement les boules de son vagin, et chaque boule sortait dans un bruit de liquide libéré, mais j’en introduisis une de plus dans son anus, puis je la pénétrais sans ménagement avec le sexe en ébène, et elle se crispa d’un coup, émettant un son qu’elle n’avait jamais émis, venu du ventre, assez rauque, tandis que sa chatte dégoulinait de nouveau et que tous ses muscles s’étaient tendus sous l’assaut. Ce troisième orgasme ne ressemblait pas aux précédents, elle avait joui autrement, de je ne savais quelle partie de son corps. Elle avait joui et j’avais oublié ma douleur, non pas que mon sexe ne fût pas tendu, mais parce que cette tension, aussi comprimée et rendue impossible qu’elle le fût, me procurait davantage de plaisir que de douleur.

Chandra, que j’avais oubliée, prit la parole, en me demandant de retirer à Lucie son baillon. Elle n’était pas autorisée à me parler, mais il fallait qu’elle puisse mieux respirer. En me tournant vers Chandra, je vis qu’elle s’était dégagée de son double gode, et qu’elle était toujours assise en lotus, mais sur une large flaque de sa jouissance. Elle avait joui aussi, sans émettre un son, presque sans mouvement. J’en bandais et cela me fit atrocement mal. Elle regarda mon sexe comprimé, douloureux, mon désir exacerbé et frustré, et ses yeux sur ma verge me firent l’effet d’un feu, d’un liquide brûlant qu’on aurait versé. Il me fallait encore faire jouir Lucie deux fois, et je ne savais si j’allais y parvenir. Mais l’impression liquide que je venais d’avoir me donna une idée. J’allais chercher de l’eau, un plein seau d’eau fraîche, que je déversais sur Lucie pour la rafraîchir : elle ouvrit la bouche au passage pour se désaltérer. Son corps se détendit : elle était épuisée, rouge et zébrée, ses yeux étaient marqués par ces douleurs et ces orgasmes successifs. Et Chandra voulait que je continue ? Où voulait-elle nous mener ? Avec la tige du martinet, je commençais à caresser le clitoris de Lucie, dont je ne m’étais guère occupée. Son regard me montre sa reconnaissance : la caresse était douce, Lucie était si trempée que le frottement n’était pas irritant, et son clitoris décalotté grossit rapidement. L’un des godes possédait une sorte de pouce, et je l’utilisais pour accentuer ma caresse, puis je la pénétrais de nouveau, tout en écrasant son clitoris avec cette sorte de pouce. Lucie pleurait. Je savais que ce n’était pas de douleur. Son corps se liquéfiait maintenant dans ses yeux, elle n’avait plus contrôle sur rien, et ses larmes se mêlaient à sa sueur, mélangée à sa cyprine. Lucie était liquide, les muscles de nouveau tendus, à la fois rigide, et son clitoris tel un pénis érigé, et liquide. J’insistais davantage encore, jusqu’à entendre de nouveau ce râle du ventre, ce râle de la bête que j’avais libéré en elle, ce râle d’un plaisir inattendu et profond, d’un plaisir primitif et violent. Et quand son corps se tendit comme un arc, expulsant presque le gode du fond de son vagin, quand elle atteignit son quatrième orgasme, je sentis la main de Chandra se fermer comme un fer sur mon sexe, qu’elle avait libéré sans même que je m’en rendisse compte, tant j’étais concentré sur la plaisir de Lucie.

Que faisait-elle ? Elle détacha Lucie, la portant comme un vêtement mou et sans force sur une natte. Elle la lava, puis nous expliqua. Maintenant, Lucie, ce cinquième orgasme, tu l’auras seule. Tu l’auras par la seule force de ta pensée, sans te toucher, pendant que je vais délivrer ton mari, et le faire jouir, car il l’a aussi bien mérité. Lucie acquiesça, nous regardant en même temps qu’elle entrait en elle, qu’elle se concentrait sur les sensations ressenties, sur l’évocation en elle de ces sensations, sur le moyen de les revivre par la mémoire et l’évocation, et d’en jouir ainsi, sans contact. Le dernier niveau du tantra. Chandra m’attacha les bras à la croix, se mit à genoux devant moi et me prit dans sa bouche. Mais ce n’était pas une bouche qui me prenait là, c’était un serpent qui s’enroulait sur ma verge, une ventouse qui l’avalait, c’était une aspiration et une succion. Et devant moi, je vis Lucie se mettre à trembler, Lucie allongée qui tremblait de tous ses membres, Lucie dont le râle donnait l’impression qu’elle était possédée, et en même temps qu’elle râlait de nouveau dans l’orgasme, elle gicla puissamment plusieurs jets de cyprine. Il n’en fallait pas davantage pour qu’à mon tour je jouisse, et Chandra ne fit rien pour me retenir ou m’arrêter, au contraire, elle m’aspira littéralement et me but, me nettoya et me relâcha enfin.

Il fallut à Lucie deux jours pour se remettre, deux jours d’onguent sur sa peau douloureuse, deux jours de caresses de Chandra, et la redescente fut longue : la première nuit, alors que nous étions endormis, Lucie jouit brutalement dans un rêve…

La semaine touchait à sa fin. Le dernier soir, Chandra vint nous voir. Voilà, Lucie a atteint le dernier stade du tantra, mais toi, mon ami, pas encore. C’est donc ton soir. Elle nous mena à une sorte de vaste bassin, nous invitant à venir nous y baigner avec elle. Puis elle claqua des mains et Sanjay, accompagné de deux femmes jeunes et nues, vinrent nous rejoindre dans l’eau. Lucie était au spectacle. J’étais quant à moi un peu inquiet de la suite. L’une des jeunes femmes plongea sous l’eau et sa bouche se referma sur mon sexe mou, comme sur un tuba qu’elle n’avait pas. Elle me suça ainsi trois longues minutes, avant de remonter respirer. Et l’autre plongea à sa place. Pendant ce temps, Lucie avait pris, sans que personne ne lui indique quoi que ce soit, le sexe de Sanjay dans sa bouche, et elle lui prodiguait une caresse qui le fit rapidement atteindre l’impressionnante taille que nous lui connaissions ? Chandra observait en souriant. J’étais tellement inquiet de ne pas voir la fille remonter que mon sexe tendu n’était pas du tout prêt à jouir. Elle remonta enfin, et alors que je m’attendais à ce que la première replonge à nouveau, c’est Sanjay qui disparut sous l’eau. Il se plaça presque la tête en bas, de sorte que son sexe émergeait à la surface, et que Lucie le suçait encore en me regardant. Puis il remonta, moins habile sous l’eau que les deux jeunes femmes, et souleva Lucie pour la placer au bord du bassin. Il vint alors la prendre avec sa bouche, tandis que l’une des femmes l’embrassait à pleine langue. L’autre femme vint me cherche, et elle dirigea mon sexe vers les fesses tendues de Sanjay. Voilà qui était inattendu : ces fesses d’homme si musclées, si fermes, mais Chandra derrière moi imprima une mouvement ferme de mon bassin, si bien que mon sexe se colla à ces fesses, et la jeune femme qui m’avait dirigé avait déjà plongé pour organiser le mouvement. L’anus de Sanjay, qui semblait être familier de la chose, s’ouvrit sans difficulté. Il était chaud et profond, ses muscles incroyablement puissants se fermaient sur moi avec vigueur, et il savait exactement quels mouvements il opérait. Chandra, derrière moi, me caressait les fesses et dilatait mon anus avec… je ne savais pas exactement avec quoi, deux doigts, trois doigts ? Non, ce n’était pas des doigts, que faisait-elle, qu’était-ce ? Elle m’empêchait de me retourner, et tandis que j’enculais Sanjay, elle m’enculait, ou plus exactement on m’enculait, puisque je ne voyais rien. C’était l’une des femmes qui était allé chercher un gode à sangle, et me prenait ainsi. Lucie n’en perdait pas une miette, et je la voyais jouir de me voir ainsi pris, je voyais son bonheur sous la langue de Sanjay, et son bonheur de notre liberté acquise. Je me laissai aller, bourrant Sanjay plus franchement, sentant ses muscles m’emprisonner et me relâcher, et sentant en même temps ce fin sexe de bois me prendre le fondement. Claquement de mains : Chandra indiquait la suite du ballet. Je ne savais trop quoi faire, dégagé de Sanjay comme de la fille, mais Lucie vint vers moi, et elle me tendit ses fesses en me demandant de la prendre en levrette. J’étais trop heureux de ce simple accouplement avec la femme que j’aimais, heureux de la faire jouir encore, et je savais maintenant où et comment l’y mener. Mais c’est alors que je sentis les mains de Sanjay sur mon cul, et que je compris l’objectif de Lucie et Chandra : c’était le monstrueux sexe de Sanjay qui allait me défoncer le cul. J’eus un mouvement de recul, c’est-à-dire que je m’enfonçais davantage en Lucie, mais je n’échappai pas à la force de Sanjay, et mon anus était déjà bien dilaté. Il entra en moi lentement, m’écartant, me déchirant, me dilatant encore, mais dans une poussée continue dont je ne voyais pas la fin, et plus il entrait, plus je sentais son énorme sexe dans mes entrailles, plus je sentais le mien grossir en Lucie. Chandra était sortie de l’eau ainsi que les deux jeunes femmes, qui s’occupaient l’une de l’autre allongées sur une large natte. Je ne parvenais pas à me concentrer sur le plaisir de Lucie, tant l’énorme sexe de Sanjay m’était à la fois doux et douloureux. La dilatation de mon anus me procurait un plaisir infini, auquel la douleur participait sans doute. Sanjay me labourait maintenant sans retenue, et chacun de ses mouvements provoquait un mouvement en chaîne de mon sexe dans celui de Lucie. Elle me regardait intensément, cherchant à capter mon regard perdu, et je sentais que son sexe attrapait le mien davantage que le mien pénétrait le sien. J’avais le souffle coupé, et les assauts de Sanjay me semblaient perforer mon ventre de part en part, je ne savais où s’arrêtait son énorme verge, je ne savais même pas s’il m’avait entièrement pénétré. Chandra lui fit un signe imperceptible et il ralentit son rythme, puis se retira. L’une des filles plongea pour s’occuper de lui, tandis que je sentais mon cul se refermer doucement, la douleur vive encore. Mais je m’aperçus alors à quel point la vulve de Lucie était serrée sur moi : je ne comprenais pas. En fait, non seulement Lucie avait appris à magnifiquement contrôler ses muscles, et elle les faisait jouer autour de moi à la manière de Chandra, sans avoir encore atteint une telle technique, mais encore mon sexe avait réellement grossi : il était gonflé comme jamais il n’avait été et de ma retenue et de ma douleur. Je compris mieux ce que Chandra m’avait dit quelques jours plus tôt, je compris mieux combien atteindre le dernier stade du tantra demandait d’efforts, de sacrifices, mais aussi à quoi il menait. Et quand je commençais, libéré de l’étreinte de Sanjay, à laisser aller mon sexe, aussi vigoureusement que possible, dans la chatte de Lucie, je compris que nous contrôlions tous deux chaque mouvement, chaque frottement, chaque étreinte, et cela nous mena à un orgasme simultané comme nous n’en avions jamais connu. J’explosais en elle dans une libération de foutre peu commune, et chaque jet de ma semence provoquait une secousse de son corps, chaque tension de mon sexe une réaction du sien. Nous pleurions tous les deux dans l’eau, et quand enfin cette incroyable tension retomba, Chandra applaudit. Voilà, maintenant, je crois que tu es prêt, et tu vas devoir honorer ces deux jeunes femmes. Lucie sortit de l’eau et laissa Sanjay la laver ; je sortis à mon tour, mon sexe encore tendu malgré la jouissance, mon sexe encore sous contrôle malgré le relâchement complet de l’orgasme, et je pris chacune des femmes à tour de rôle, simplement, en sachant comme intuitivement ce qu’il fallait faire, en sentant leurs réactions, et en les menant rapidement, tant j’étais moi-même excité et sensible, à la jouissance. L’une en la pénétrant et en massant son clitoris, extrêmement sensible, l’autre en jouant davantage de ses seins et des positions des jambes, afin que chaque paroi de son vagin sentît les assauts de mon sexe.

Notre voyage, notre expérience, notre initiation, s’arrêta là. Le lendemain soir, nous atterrissions à Paris, terrassés de fatigue, l’esprit empli de rêves et de récits inavouables. Nous ne fîmes pas l’amour durant plus de dix jours, à la fois très occupés par des aléas professionnels, et tellement pleins de nos expériences que nous avions peur, je crois, que l’amour à deux soit décevant. Mais le rejoignis un matin Lucie sous la douche : je la trouvais infiniment belle, attendrissante, émouvante. L’eau glissait sur son corps fin et musclé, et en m’approchant d’elle, j’eus une érection monumentale qui la surprit. Nous avions du temps, il était tôt, nous étions reposés. Elle s’agenouilla devant moi pour me prendre dans sa bouche, et sa langue et ses doigts glissaient fréquemment de ma tige à mes bourses, de mes bourses à mon anus, et retour. Elle sut en peu de temps me faire grossir encore. Je la relevais, relevais une de ses jambes, et frottait mon sexe tendu contre son clitoris. En même temps, la main qui retenait sa jambe glissa vers son petit trou déjà dilaté. Elle se retourna lentement, écartant les jambes et se penchant en avant, m’offrant son cul divin. Je l’enculais doucement, mais très profondément. L’eau continuait de glisser sur nos corps, brûlante, et cette brûlure – que Lucie avait sciemment provoquée en diminuant le volume d’eau froide – accroissait notre plaisir, réveillant des zones endormies. Je pris Lucie par les jambes, la soulevant tandis qu’elle s’accrochait à la barre fixée dans le mur de la douche. De la sorte, mon sexe la pénétrait totalement, mes couilles venaient battre ses jolies fesses blanches, et ses jambes se refermèrent derrière moi par je ne sais quel exercice de yoga qui m’était inconnu. Je la pilonnais ainsi longuement, avant de la relâcher ; elle se retourna alors, s’agrippant à mes épaules et restant fichée sur ma verge tendue. Mes mains libérées vinrent pincer ses tétons et son clitoris, et tandis que je sentais grossir mon sexe, venir mon plaisir, j’entendis aussi, vaste remous des mers, vague rauque de son ventre, rugir le félin que nous avions abandonné en Inde. Ma Lucie n’avait rien perdu des leçons de Chandra, et sa jouissance éclatante et brutale venait couronner nos ébats, préparant le déferlement de la mienne. Elle voulut m’avaler, et je sus, leçon de Chandra également, me retenir le temps nécessaire.

Le soir, nous recevions à dîner nos meilleurs amis, Florence et Alexis, témoins de notre mariage. Ils voulaient absolument que nous leur fassions le récit de notre voyage, et en particulier de l’expérience tantrique vantée par le prospectus et qui nous avait beaucoup fait rire avant de partir. Lucie leur répondit de façon si sérieuse, si rêveuse en même temps, qu’ils restèrent muets et gênés. Mais Alexis y revint au moment du dessert, fusillé du regard par Florence, qui rougit beaucoup. J’écartai le sujet d’une boutade, dont Florence me remercia. Quand ils partirent, Lucie m’avoua que Florence lui avait fait des confidences sur la tristesse de sa vie sexuelle ; elle se demandait si nous ne pouvions pas faire quelque chose… mais c’est une autre histoire !



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28-08-2023 0 1424

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