Après avoir connu de nombreuses filles je rêvais

Récit érotique écrit le 17-08-2009
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Catégorie Sadomazo


Après avoir connu de nombreuses filles, je rêvais de rencontrer celle qui me ferait flasher, et avec laquelle je voudrais finir ma vie. Le jour où j’ai rencontré Inyael, je ne pensais pas du tout que ce serait elle.

Elle venait régulièrement dans l’entreprise où j’étais concierge, standardiste, dépanneur, en fait homme à tout faire. Elle travaillait comme coursière et livrait régulièrement courrier ou colis pour nos différents services. A force de nous voir, nous avions sympathisé, puis étions devenus amis, un peu plus tard intimes et pour finir amants. Nous vivions ensemble depuis quelque temps, lorsqu’elle fut licenciée. Mais Inyael n’était pas fille à se démoraliser, et avait rapidement trouvé un job de secrétaire dans une PME. Elle ne me parlait que rarement de son travail, mais je voyais qu’elle y était heureuse.

Deux ou trois semaines plus tard, elle m’annonça que sa chef viendrait passer le week-end avec nous, ce qui me surprit beaucoup, car avec son caractère assez singulier, je ne lui connaissais aucune amie. Le vendredi suivant, elle revint du travail accompagnée d’une très belle femme avec beaucoup de distinction.

- Je te présente Marie-Sophie, ma supérieure hiérarchique.

Marie-Sophie était aussi blonde qu’Inyael était brune. De même taille et de même stature l’une que l’autre, elles n’avaient rien à se jalouser physiquement. Toutes deux avaient de très captivants appâts, et attiraient le regard de tous les hommes sur leur passage.

La soirée, très conviviale, se passa agréablement, toutes deux devisant comme de vieilles amies, même si Marie-Sophie faisait assez vieille France, à l’opposé du caractère d’Inyael. Lorsque j’abordai les visites que nous pourrions proposer à notre convive le lendemain, mon amie me coupa rapidement.

- A chaque jour suffit sa peine, nous verrons cela demain, maintenant il est l’heure de se coucher.

Il est vrai que. pris par notre conversation, nous n’avions pas vu le temps passer. Marie-Sophie se rendit rapidement dans la chambre d’invités, que nous avions spécialement préparée pour elle. Exténués par une dure semaine, nous nous endormîmes rapidement.

Le lendemain en me réveillant, je trouvai un petit mot sur la table : « Nous sommes parties faire des emplettes pour le repas et serons de retour pour le déjeuner. » N’ayant pas grand-chose à faire, je passai la matinée à écouter de vieux tubes, en attendant leur retour.

Elles revinrent un peu avant midi, Marie-Sophie se rendit directement à la salle de bain, où elle resta un assez long moment. Elle retrouva enfin Inyael et elles se mirent rapidement à la préparation du repas.

Marie-Sophie vint m’apporter un bourbon pour me faire patienter. Une fois à table, je fus surpris qu’à chaque plat elles se rendent toutes deux à la cuisine. Il n’était point besoin d’y aller à deux pour apporter le pain ou une carafe d’eau. Ce ne fut qu’après trois ou quatre allers et retours que je m’aperçus du changement. Au moment du plat principal, Marie-Sophie était pieds nus et en soutien-gorge. C’est vrai que nous étions au mois de juillet et qu’il faisait une chaleur torride, mais Inyael avait gardé elle sa tenue d’origine. Après avoir débarrassé la table, Marie-Sophie apporta le fromage , sans sa jupe. Voyant mon air dubitatif, Inyael éclaira ma lanterne.

- C’est très simple, nous avons fait un pari, et Marie-Sophie a perdu.

C’est vrai qu’Inyael était très joueuse, mais je ne voyais pas trop le rapport. Elle me donna de nouveaux éclaircissements :

- Celle qui perdait s’engageait à faire tout ce que l’autre lui demandait; comme elle a perdu, elle doit exécuter tout ce que je désire. A chaque voyage dans la cuisine, elle doit retirer le vêtement que je lui ordonne, tu vas voir.

- Marie-Sophie, retire ton soutien-gorge pour nous servir.

A peine quelques secondes plus tard, une magnifique poitrine, un peu voilée, s’offrait à notre vue, même si sa propriétaire semblait assez gênée.

- Retire tes mains, de toute façon tu n’as pas le choix, c’est le jeu.

Cette fois, les seins nous apparurent sans aucune retenue, ils étaient vraiment splendides, je ne sais vraiment pas ce qui la poussait à obéir ainsi. Après le passage suivant dans la cuisine, c’est en tenue d’Eve que Marie-Sophie vint finir de nettoyer la table. Les deux filles se rendirent ensuite à la cuisine. Au bruit qui ressortait, elles devaient commencer de mettre les plats dans le lave-vaisselle. Après un certain temps, je m’inquiétai de ne pas les voir reparaître:

- Vous avez un souci, vous voulez que je vous aide ?

La voix d’Inyael me parvint rapidement.

- Non, non, c’est gentil, nous préparons le dessert.

L’instant d’après, elle me demanda de les rejoindre, une magnifique surprise m’attendait. Marie-Sophie était allongée sur la table, avec pour unique parure une multitude de fruits et nombre d’autres choses exquises, qui n’attendaient qu’à être dégustées. Inyael m’annonça :

- Voici ton dessert, mon chéri, j’espère qu’il sera à ton goût. Moi je ne peux plus attendre.

Et elle se précipita pour prendre une cerise qui était entre les seins de son amie, mais je l’arrêtai rapidement :

- Attends, un plaisir tel que celui là, je n’en vois pas tous les jours, je vais le prendre en photo. Je sentis une légère tension de la part de Marie-Sophie, mais telle qu’elle était, elle ne pouvait pas bouger.

Après avoir pris plusieurs clichés, je ne pouvais plus résister à l’envie de goûter ce merveilleux dessert. Inyael m’imita rapidement et croqua la cerise qui lui faisait tant envie. Pour ma part, je commençai par lécher la crème chantilly qui masquait la poitrine de notre invitée. Inyael fit de même en s’occupant de l’autre sein. La rondelle d’ananas posée sur le mamelon fut dégustée avec application, je pris également un soin méticuleux à bien suçoter le petit dard pointé, pour lui enlever toute trace de crème. Notre « dessert » semblait apprécier cette dégustation. Je me dirigeai ensuite vers le miel qui recouvrait le nombril, tout en donnant quelques petits coups de langue par ci et par là. Là encore, il fallut bien lécher pour ne rien laisser. Pendant ce temps, Inyael était déjà plongée dans la fourche des cuisses, et avait presque tout grignoté.

Elle n’avait jamais fait l’amour à une fille, mais m’avait avoué que si l’occasion se présentait, elle ne serait pas contre. Ce jour-là était arrivé, et elle y mettait tout son cœur, au grand ravissement de notre convive. Bien qu’ayant une furieuse envie de la posséder, je me contentai d’admirer le spectacle qu’elles m’offraient. Lorsque la langue d’Inyael fut enfouie au plus profond, Marie-Sophie s’arc-bouta dans un grand râle. Inyael proposa ensuite à son amie de prendre également un dessert.

- Je sais que tu adores la crème chantilly, tu vas être gâtée, lui annonça- t-elle en m’enduisant entièrement l’extrémité du sexe.

Marie-Sophie n’eut pas d’autre choix que de se mettre à genoux pour apprécier son mets. D’abord sa langue fut assez timide, elle ne devait guère goûter à ce type de caresse. Encouragée par Inyael, elle se fit de plus en plus entreprenante, jusqu’à me prendre entièrement en bouche. Sa douceur eut tôt fait de ma résistance, Inyael étant juste derrière elle, elle ne put faire autrement que de me boire totalement. Inyael réclama à son tour sa part de bonheur, et apostropha Marie-Sophie dès qu’elle en eut terminé avec moi :

- Allons dans la chambre à présent, tu vas me faire un tendre massage.

Les deux filles se dirigèrent sans un mot dans la pièce qui abritait régulièrement nos ébats. Inyael se dévêtit rapidement et s’allongea sur le ventre. Marie-Sophie se mit en position, à genoux, une jambe de chaque côté du corps de mon amie. Je m’étais mis face à Inyael pour bien profiter du spectacle, je ne regrettai pas mon choix, j’avais une vue directe sur le minou et les seins de Marie-Sophie. Chaque fois qu’elle se penchait pour masser Inyael, je les voyais tressaillir, ce qui me mit rapidement à nouveau en pleine forme. Elle ne s’économisait pas à la peine, et semblait beaucoup plus dans son élément que lorsqu’elle s’était occupée de moi.

Marie-Sophie s’allongea ensuite et caressa tout le corps de mon amie avec ses seins. Lorsque son visage arriva au niveau des fesses d’Inyael, elle lança une langue furtive entre ces dernières. Inyael souleva légèrement son bassin, pour apprécier davantage la caresse. Mais Marie-Sophie ne s’y attarda guère et invita sa subalterne à se retourner. Sentant que cette dernière était déjà bien excitée, Marie-Sophie plongea directement ses lèvres dans le ventre d’Inyael. Mais elle voulait faire durer le plaisir, et chaque fois qu’Inyael était proche de l’orgasme, Marie-Sophie délaissait le minou pour cajoler les seins. Après plusieurs minutes de ce manège, Inyael bloqua la tête de Marie-Sophie alors qu’elle titillait son intimité, celle-ci comprit qu’il fallait conclure à présent. Elle s’activa davantage, et lança ses mains sur les seins tendus, plus particulièrement sur les tétons qui pointaient fièrement. Inyael ne put résister longtemps aux doubles câlineries et prit son plaisir bruyamment.

Après avoir pris le temps de récupérer, Inyael annonça qu’il était l’heure d’aller faire un peu de shopping. Nous prîmes une douche rapide les trois ensemble. Les deux amies se rhabillèrent hâtivement, et malgré mon envie de continuer l’après-midi comme elle avait commencée, je dus suivre le mouvement. Inyael nous emmena dans la galerie d’un supermarché tout proche, où se trouvaient de nombreux magasins d’habits. Arrivés sur place, elle se dirigea directement vers une échoppe qu’elle avait certainement repérée au préalable.

- Nous allons t’acheter quelques fringues plus cool, car ta tenue est vraiment trop ringarde, émit-elle à l’intention de Marie-Sophie.

Avec son tailleur et son chemisier, Marie-Sophie avait vraiment l’air austère, une tenue plus jeune ne lui nuirait pas. Inyael se dirigea vers plusieurs rayons dans lesquels elle prit diverses jupes et débardeurs. Arrivée aux cabines d’essayage, elle choisit la cabine la plus au centre des autres, et intima à Marie-Sophie l’ordre de se dévêtir, mais ne referma pas le rideau. Marie-Sophie ne portant pas de soutien-gorge, elle se retrouva en string quelques secondes plus tard.

- Retire aussi ton string et donne-le-moi, précisa Inyael.

Après être devenue toute rouge, elle obtempéra et essaya de cacher son intimité autant qu’elle le pouvait.

- Tiens, essaie déjà cette mini-jupe.

En fait de mini-jupe, c’était plutôt une microjupe d’environ 25 centimètres qui ne cachait pas grand-chose.

- Elle est un peu trop longue pour la saison, passe celle-ci maintenant, dit Inyael en lui tendant une bande de tissu d’à peine 20 centimètres.

Une fois l’essayage fait, Marie-Sophie était encore plus excitante, car la jupe ne cachait pas grand-chose. Le bas de ses fesses rebondies était franchement visible, et son intimité à peine voilée.

- C’est beaucoup mieux ainsi, mais sors de la cabine que l’on te voie mieux.

Marie-Sophie se tenait maintenant à demi-nue devant nous, heureusement qu’à cette heure il n’y avait pas beaucoup de monde. Elle passa ensuite un débardeur, il plut tout de suite à Inyael, il n’y eut pas besoin de deuxième essayage. Comme pour la jupe, le peu de tissu qui s’arrêtait à mi-poitrine ne cachait rien. Il n’aurait pas fallu de grands gestes pour mettre ses seins à nu.

- Donne-moi tes vêtements, tu vas garder cet ensemble qui te va à ravir.

Marie-Sophie pensait à une plaisanterie, mais le ton d’Inyael ne portait pas à équivoque. Elle sortit de la cabine avec une tenue qui était un véritable « pousse au viol. », Inyael était aux anges. Nous continuâmes notre après-midi de lèche-vitrines, avec tous les regards des mâles en direction de Marie-Sophie. Certains étaient collés à nos basques et ne nous lâchaient pas. Pour les faire baver davantage, Inyael passait régulièrement une main sur les fesses de Marie-Sophie, en faisant remonter légèrement sa jupe. Cette dernière, bien que mal à l’aise, n’osait rien dire.

Un peu plus tard, Inyael annonça qu’elle désirait se désaltérer et se dirigea vers un bar dans la galerie. Elle choisit une table en terrasse avec trois chaises dirigées vers l’allée centrale. Mais face à nous se trouvaient surtout plusieurs bancs où les clients de la galerie pouvaient s’arrêter un moment pour se reposer, et où surtout les messieurs attendaient patiemment leurs épouses ou leurs petites amies.

Inyael donna à Marie-Sophie une place en vue directe depuis ces bancs, la minuscule table du bistrot ne pouvait évidemment pas masquer les trois chaises. Elle lui ordonna également de ne pas croiser les jambes. Marie-Sophie était rouge de confusion, sachant très bien qu’elle exposait ainsi toute son intimité. L’instant d’après les premiers promeneurs s’étaient installés, et commençaient à mater plus ou moins discrètement depuis les bancs.

Marie-Sophie serrait les jambes autant qu’elle pouvait, Inyael passa alors une main entre les cuisses serrées, et les pinça discrètement pour les obliger à s’ouvrir. Marie-Sophie perçut le message cinq sur cinq, et entrouvrit ses genoux, cela suffit au bonheur de ma chérie. Les curieux étaient de moins en moins discrets dans leurs observations. Il n’était pas nécessaire de se faire repérer par la sécurité, Inyael jugea qu’il était temps de rentrer à la maison.

Comme il était déjà assez tard, et qu’Inyael n’avait rien prévu pour le dîner, nous nous arrêtâmes dans un restaurant situé sur notre route. Là encore, la vue de Marie-Sophie fit grande impression à l’assistance présente. Le repas se passa rapidement et sans péripétie particulière. Une fois dans notre salon, Inyael demanda à Marie-Sophie :

- Assieds-toi sur le fauteuil, en posant tes jambes de chaque côté des accoudoirs, et ne bouge pas, je reviens tout de suite.

Elle revint comme prévu quelques secondes plus tard, un rasoir à la main.

- Même si tu n’en as guère, je vais te raser le peu de poils qu’il te reste. Tu seras plus jolie sans rien.

Elle se mit à genoux, et moins d’une minute après Marie-Sophie était totalement glabre. Avant de se relever, elle passa une langue gourmande sur le minou si tentant.

- Maintenant tu vas te caresser longuement, mais sans te faire jouir.

Marie-Sophie ne fut pas surprise par la proposition et commença par appliquer délicatement ses mains sur ses seins. Après quelques caresses, l’une d’entre elles descendit constater la douceur du Mont de Venus. Elle ne s’y attarda guère, et plongea ensuite entre les lèvres où perlaient déjà quelques gouttes d’excitation. La deuxième main vint rejoindre sa presque jumelle, pour ne se consacrer qu’à la partie basse de sa propriétaire. Marie-Sophie y mettait beaucoup d’application depuis plusieurs minutes, lorsque Inyæl l’arrêta en lui présentant un vibromasseur de belle taille:

- Tiens, voilà un petit gadget qui t’aidera à préparer ton autre petit trou. Lorsque tu seras prête, tu te retourneras en gardant toujours les jambes sur les accoudoirs, Raoul se fera un plaisir de t’honorer par là.

Marie-Sophie marqua cette fois une certaine surprise, mais se plia aux exigences de la maîtresse de maison. Après l’avoir appliqué dans son intimité humide durant plusieurs allers et retours, elle l’approcha ensuite doucement de son deuxième trou bien plus intime. Elle le flatta d’abord sans oser aller plus loin, puis voyant le regard d’Inyael, elle se l’enfonça lentement avec une extrême prudence. Une fois les premiers centimètres entrés, et les premières douleurs passées, elle se fit moins timide. La main qui tenait l’objet y allait à présent avec moins de retenue, et les va et vient s’accéléraient progressivement. Après un moment, le glissement paraissait tout naturel et Marie-Sophie prit la pose commandée.

Je remplaçai alors l’ersatz de plastique par un sujet beaucoup plus naturel, et continuai sur la lancée les mêmes impulsions que précédemment. Marie-Sophie apprécia le changement et calqua ses mouvements aux miens. Inyael s’était placée face à son amie et l’embrassait ardemment. Je dus faire un effort maximum pour résister et attendre pour me libérer conjointement à ma compagne.

Il était à présent temps de penser à combler Inyael, mais la connaissant, elle avait déjà dû songer à ce qu’elle désirait. Je ne m’étais pas trompé, elle s’approcha de Marie-Sophie en minaudant :

Et sans perdre une minute, elle nous attira dans la chambre et s’allongea sur le lit. Marie-Sophie se coucha aussitôt sur elle, et débuta sa série de baisers par la nuque. Rampant sur le corps alangui, elle prit soin de redescendre doucement en la caressant également de sa poitrine. Lorsque les seins commencèrent leurs frôlements sur la partie charnue, les lèvres s’abandonnèrent avec plaisir sur le bas du dos. Inyael appréciait manifestement tous ces attouchements, les ondulations de son corps en témoignaient.

Les lèvres continuèrent leur invasion un peu plus tard, lorsqu’elles arrivèrent au but recherché, la langue prit le relais. Elle débuta son inspection minutieuse par chaque globe, puis continua son incursion entre les deux jumeaux. Inyael souleva son bassin afin de favoriser la visite, Marie-Sophie en profita pour s’immiscer au plus profond. Inyael se leva encore plus franchement pour être à genoux, facilitant par là même la douce caresse. Un doigt, puis deux, vinrent alterner avec la langue, au plus grand plaisir d’Inyael.

Je me contentais de contempler le spectacle, lorsque Inyael souhaita que je la prenne dans cette position. Je ne la fis pas attendre et la pénétrai sans précaution, Inyael aimait cela, et le travail de préparation avait été bien fait. Quelques instants plus tard, sous l’impulsion d’Inyael, notre couple bascula sur le côté. Elle invita alors Marie-Sophie à reprendre sa pratique, mais par devant cette fois, et tête-bêche. Les deux filles pratiquèrent alors un sublime 69, alors que je m’activais derrière Inyael. Tous trois avions à cœur de donner le plus de plaisir à nos partenaires. La première à se libérer fut Inyael, qui ne résista guère à la double pénétration et aux caresses des mains baladeuses qui parcourraient le reste de son corps. Marie-Sophie et moi suivîmes dans les secondes suivantes.

Nous nous rendîmes ensuite à la salle de bain pour une douche bien réparatrice. Là encore nous passâmes un temps infini à nous câliner les uns les autres. Une fois dans la chambre, et terrassés par une journée exceptionnelle, nous n’eûmes pas la force de nous adonner à de nouveaux ébats.

Le Lendemain matin, Marie-Sophie fut chargée par Inyael d’aller à la boulangerie chercher les croissants. Bien évidemment, c’est avec la tenue achetée la veille qu’elle dû aller faire ses emplettes. La matinée et le déjeuner se passèrent dans un calme olympien, nous n’étions pas encore tout à fait remis de notre journée du samedi. Le seul petit truc un peu extraordinaire, fut que de retour avec ses viennoiseries, Marie-Sophie dut se mettre nue et le rester. Nous en profitâmes quelques fois lorsqu’elle passait près de nous, pour investir l’espace d’un instant, sa poitrine ou son minou.

En début d’après-midi, Inyael décida qu’elle et Marie-Sophie devraient commencer par s’occuper de moi. Elles me jouèrent aux dés pour savoir laquelle pourrait me déshabiller, notre invitée gagna sur le fil. Mon strip-tease fut très agréable, Marie-Sophie joua parfaitement le jeu, en me caressant en même temps de toutes les parties de son corps. Inyael exigea pour elle le même traitement que moi. J’eus l’impression que Marie-Sophie y mit encore plus de tendresse, et pour la première fois du week-end j’eus une légère pointe de jalousie.

Une fois tout le monde sur le même pied d’égalité dans les tenues vestimentaires, les deux filles me prirent en sandwich, Marie-Sophie devant et Inyael par derrière. Les bouches, les cheveux et les poitrines frôlaient chaque partie de mon corps avec une sensualité extraordinaire. Lorsque Marie-Sophie fut à genoux à hauteur de mon intimité, Inyael vint la rejoindre. Les deux bouches prirent alors possession de mon sexe l’une après l’autre. Chacune avait son style particulier, aussi efficace l’un que l’autre. A un moment, je sentis un doigt se glisser entre mes fesses et pénétrer intimement. Loin d’être désagréable, la sensation ne fit qu’augmenter mon désir. Lorsque je ne pus plus me retenir, Inyael laissa la place à Marie-Sophie, et obligea cette dernière à tout déguster. Jamais je n’avais pris un tel plaisir à être goûté de la sorte.

Inyael eut une fois de plus une nouvelle exigence, elle proposa d’attacher Marie-Sophie aux quatre coins du lit. Elle alla chercher des cordelettes et me les tendit en disant :

- Tu lui attaches chaque membre solidement, qu’elle ne puisse se détacher.

Une fois que cela fut fait, elle alla vérifier les attaches. Marie-Sophie se trouvait à présent écartelée, à notre entière merci. Inyael me tendit le vibromasseur, en m’intimant l’ordre de faire jouir notre hôte le plus rapidement possible. Pendant ce temps elle s’accroupit en posant son intimité, quasiment sur la bouche de son amie, à laquelle elle ordonna de ne pas prendre son plaisir la première. Je m’appliquai de mon mieux pour suivre les consignes d’Inyael.

Pour atteindre le but donné, je titillai également le petit bouton de Marie-Sophie avec ma langue. Mes caresses simultanées commencèrent à produire leur effet, Marie-Sophie se trémoussait sur le lit. Inyael sentant que son amie ne se préoccupait plus que de son plaisir personnel, la rappela à l’ordre en lui tordant violemment les tétons, ce qui la ramena rapidement à la réalité. Elle s’appliqua davantage et put remplir sa mission, Inyael explosa rapidement. Elle me tança vertement :

- Puisque tu n’est pas capable de faire ce que je te demande tu vas avoir un gage. Tu vas prendre la place de Marie-Sophie.

Une fois Marie-Sophie libérée de ses entraves, celle-ci prit un malin plaisir à me ligaturer les membres, mais couché sur le ventre comme l’avait exigé Inyael. Ma chérie s’approcha de moi en me disant tendrement :

- Tiens mon amour, voilà un coussin pour que tu sois plus à l’aise.

Elles s’assirent ensuite toutes deux face à face sur moi, Inyael sur mon dos et Marie-Sophie sur mes jambes. Elles commencèrent à me caresser le dos et surtout les fesses, câlinerie que j’affectionnais particulièrement. Inyael m’écarta les fesses en demandant à Marie-Sophie.

- Si tu lui faisais goûter à lui aussi de ta langue si divine ?

J’étais bien surélevé par le coussin, Marie-Sophie plongea immédiatement sa langue sur mon petit trou. Elle devait aimer ce genre de pratique car elle était très douée. Une fois l’effet de surprise passé, je commençai à y prendre goût et reculai mon bassin pour en profiter davantage. Inyael intervint à nouveau.

- Je crois qu’il est prêt à présent pour tester lui aussi les bienfaits du vibro. Je t’en prie Marie-Sophie, à toi l’honneur.

Bien que cette proposition ne m’enchantât guère, et avec Inyael sur mon dos, je ne pus guère gigoter pour témoigner mon mécontentement de façon marquante. Marie-Sophie prit cela pour du consentement, et approcha l’objet du délit de l’orifice où elle devait me l’introduire. Dès que je le sentis entre mes fesses, je remuai énergiquement pour marquer mon mécontentement. Inyael encouragea son amie à l’enfoncer plus profondément, ce qu’elle continua de faire avec ravissement. Mes gesticulations n’eurent d’autres effets que de permettre à l’olisbos d’entrer plus facilement et de me causer de plus vives douleurs. De guerre lasse, je laissai faire les deux complices. Mon infortune semblait ravir mes tortionnaires, qui en profitèrent pour continuer à s’amuser à mes dépens.

Inyael passa alors sa main sous mon ventre pour saisir ma virilité. Ses caresses débutèrent doucement, pour être de plus en plus précises. Bien évidemment je ne pus résister longtemps à cette douceur, et je me libérai dans la main qui me caressait. Inyael en fut très fâchée et présenta sa main devant ma bouche en m’annonçant :

- Tu vas me lécher cela tout de suite pour t’apprendre à te retenir.

Je ne pus faire autrement que de m’exécuter, et je dus avaler la liqueur qui souillait sa main. Inyael souriait en me regardant faire et invita Marie-Sophie à remplacer le vibromasseur par un modèle plus gros. Le temps qu’elle aille le chercher et je me retrouvai avec le nouvel objet planté entre les fesses, avec l’impossibilité de me révolter. La douleur fut plus intense mais se calma rapidement, dès que Marie-Sophie commença ses allers et retours. Et là, à ma plus grande surprise, la douleur fit place à une véritable satisfaction, qui m’amena peu à peu à la jouissance. J’ai découvert un nouveau plaisir ce jour-là.

Avant que Marie-Sophie ne nous quitte pour rentrer chez elle, nous nous sommes encore fait quelques câlineries tous les trois sous la douche.

Pendant qu’Inyael était partie s’habiller, Marie-Sophie m’expliqua qu’elle avait eu des relations avec des garçons autrefois. Mais depuis qu’une femme l’avait initiée, elle préférait les relations purement féminines. En voyant arriver Inyael dans son entreprise, elle était tout de suite tombée amoureuse d’elle. Lorsque cette dernière avait proposé son pari, Marie-Sophie avait tout de suite accepté en découvrant l’enjeu. Mais en arrivant à la maison, elle avait été surprise de voir que j’étais avec Inyael, elle la croyait célibataire. Alors pour arriver à la séduire, elle avait tout accepté sans contester et ce qu’elle avait préféré avait été sans conteste les relations entre elles.

Marie-Sophie revient régulièrement nous voir, et à chaque fois nous inventons de nouveaux petits jeux coquins. La seule différence, c’est que c’est à chacun notre tour d’être le maître ou la maîtresse du jeu.

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17-08-2009 0 5533

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