Mon épouse et moimême sommes habitués aux plages

Récit érotique écrit le 17-12-2008
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Catégorie Partouzes-Orgies


Mon épouse et moi-même sommes habitués aux plages languedociennes naturistes assez coquines. Nous frisons la cinquantaine, mais ma compagne est très bien conservée, aussi lorsque nous nous sommes allongés nus sur une plage près de Perpignan, nous n’avons pas étaient étonnés de voir immédiatement un jeune homme venir étendre sa serviette à moins de trois mètres des pieds de Lili.

Il était assez tard et peu de gens erraient dans les criques. Ma chère et tendre, allongée sur le ventre, me pria de lui huiler le dos avec de l’ambre solaire, aucun problème j’obéis avec un grand plaisir. Je pris même un très grand plaisir à exhiber son petit trou à notre voyeur qui commençait à sérieusement bander.

Peu de temps après il déplaça sa serviette pour s’installer plus prés de nous, alors que Lili venait juste de se mettre sur le dos offrant une vue sur sa chatte impeccablement entretenue, et presque entièrement épilée. Je repris un peu d’huile sur mes mains et enduisit sa poitrine, son ventre puis son minou.
« Ben ma cochonne lui, dis je, il te fait de l’effet, tu veux que je te laisse seule avec lui ? »
« Non reste là, je pari qu’il veut me baiser » me répondit elle

Pas sourd du tout il déplaça sa serviette pour la coller contre la notre et engagea la conversation. Les présentations sommaires faites, il se proposa de m’aider pour protéger des effets du soleil la peau de mon épouse.
Elle chercha du regard mon approbation.
« Ok lui dis je mais tu commence en haut et moi par les pieds »

Facile pour moi, j’avais une vue imprenable sur les mains du garçon pelotant la poitrine de ma femme et je pouvais arrivais le premier à sa chatte. Elle était trempée, la cyprine dégouliner jusqu’à son anus en abondance.

Elle se mit sur le coté, offrant à notre inconnu ses fesses et à moi sa bouche avec de long baisers passionnés. Il était écarlate, il caressait tantôt les seins tantôt les fesses, moi je m’occupais à pleines mains de sa chatte.
Entre temps un autre larron était arrivé et observait, de loin, notre manège avec attention.
Notre compère me présentât un préservatif et du regard me demandât de le mettre. D’un signe de tête j’acquiesçais. Je sentis lorsqu’il la pénétra, Lili avait marqué un temps d’arrêt dans ses baisers, puis elle reprit plus ardemment avec cette fois des bruits de plaisirs intenses.
Je changeais de position pour offrir ma bite à la bouche goulue de mon épouse, et par le fait pouvoir voir celle de notre inconnu la pénétrer.

Pendant ce temps l’autre voyeur s’était approché à quelques mètres, pour mieux observer. Notre partenaire l’aperçut et nous dit :
« Il y a un voyeur qui s’approche »
« Pas grave, lui répondis mon épouse je suis partis alors bourre moi fort »

Moi, la sentant consentante je lui écartais une jambe au maximum, pour ma vue personnelle et pour le plaisir du voyeur. Il prit l’invitation pour argent comptant, étala sa serviette à nos pieds, soulevant même la jambe de mon épouse et il se branlait fougueusement de l’autre.
Là je reconnais qu’il y avait une photo à prendre. Un homme besognant, à grand claquements de son ventre sur ses fesses ma femme elle d’une main écartant son cul et avalant entièrement mon sexe, un autre se masturbant pratiquement sur la chatte de mon épouse et moi astiquant rapidement le clito de Lili.

Lili a jouit à plusieurs reprises, à chaque fois elle lâchait ma queue pour dire « bourre moi fort, défonce moi putain que c’est bon ». Le dernier à jouir fut le premier, et le seul qui la pénétra.
Une fois seul, les deux autres s’étaient écartés elle me dit
« ca te gène pas que ta femme se fasse baiser devant toi ? »
Je lui répondis « premièrement cela me gène pas au contraire, et deuxièmement tu as perdu ton pari il ne t’a pas baiser ! »
« Bof il m’a enculé des le début, c’est pire »
« Oui mais t’a perdu quand même »
Sur ce elle s’est levée avec un sourire coquin.
« Je n’ai pas dis mon dernier mot »

Moins de dix minutes après elle était assise sur lui avec cette fois ci un beau mandrin dans la chatte
Elle est revenue plus d’une heure après vers moi
« Mince il n’a plus de capote, mais j’ai gagné »
Silence de ma part, elle s’allonge puis me dit
« T’en a pas ? »
« De quoi ? »
« Des préservatifs ? L’autre voyeur n’avait pas prévu »
« Si dans mon sac »
Elle les prit puis dis « je reviens »
Effectivement elle revint plus tard
Mais entre temps les garçons s’étaient lâchés, ils criaient « elle aime ça la salope avoir deux queues en même temps »

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17-12-2008 0 11216

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