Monia ma douce idylle

Récit érotique écrit par lepompier le 16-08-2017
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Catégorie Couple

Monia ma douce idylle



Nous étions plusieurs garçons et filles célibataires et nous fêtions l'anniversaire de l'un d'entre nous faisions cette fête à mon domicile du fait que j'étais à la campagne et que les proches voisins étaient à plus de 500 mètres. Nous avons fêté cet anniversaire comme il se doit, jeux et alcool à volonté, certains ont bu plus que d'autres, sauf en ce qui concerne les Capitaines de soirée ou les chauffeur si vous voulez.

Nous avions décidé ensemble qu'ils devaient se regrouper par véhicules et que dans chaque voitures il y auraient un chauffeur qui ne buvait pas d'alcool durant cette soirée.

Néanmoins dans le lot de copains et copines il y avait Monia, qui venait d'un autre coin et elle était seule dans sa voiture et elle habitait assez loin, elle me plaisait assez bien et j'avais tiquer sur elle.

Lors de cette soirée j'ai pu me séparer du groupe et discuter librement un peu avec elle, en discutant de chose et d'autre Monia me fit comprendre que je ne lui était pas totalement indifférent et qu'elle m'avait remarqué dans le groupe.

Cet anniversaire se fêté dans la joie et la bonne humeur, et comme les voisins avaient une bonne distance entre mon domicile et eux, nous pouvions plus ou moins faire du bruit.

Monia et moi, nous furent vite rejoint par les autres bouts en trains. Ce soir là nous avons fait plusieurs jeux dont le prix du gagnant fut à chaque fois une boisson alcoolisé, sauf pour les chauffeurs, et bien sûr comme Monia voulait elle aussi s'amuser comme presque la totalité des personnes présentes, elle bu elle aussi et commençait à être joyeuse et bien gaie. Nous avions donc presque tous bu un peu plus que de coutume et nous étions bien éméché.

Au final, il à bien fallu qu'on se sépare et que chacun rentre chez lui. Cela se passait bien pour ceux qui avaient des Capitaines de soirée, mais comme Monia était venu seule et n'était pas en état de conduire, je lui proposait de restée dormir à la maison et qu'elle pouvait reprendre la route plus tard dans la journée. Je lui ai montrée la chambre et je l'ai laissée se débrouiller toute seule, pendant ce temps moi je m'occupais de ranger un peu le foutoir qu'ils m'avaient laissé.

Quelque minutes plus tard Monia vint me retrouver en slip et soutien-gorge, me demandant ou se trouvais la douche. Je n'en revenais pas, face à moi se trouvait cette belle jeune femme, la quarantaine, cheveux noir, yeux bleu, elle devait mesurer dans les un mètre cinquante six pour à peu prés soixante kg, avec une poitrine pas trop grosse et bien maintenu, elle était comme cela devant moi et ça ne la dérangée nullement d'être en petite tenue devant moi.

J'en resté bouche bée devant cette belle créature si bien faite ! Je l'accompagnait, et lui montré l'emplacement de la salle d'eau, puis je lui proposait quelques serviettes de bain, une fois dans la pièce durant que je cherchais les serviettes, Monia quitta son soutien-gorge et son slip et se mit sous la douche en ma présence. Je ne pu m'empêcher d'admirer ce beau corps d’albâtre si parfait qui se dressé devant moi. Elle me vit la contempler et me fit un grand sourire en signe d'approbation. Je sorti à contre cœur et un peu gêné pour retourner ranger. Tout en rangeant je n'arrêtais pas de repenser à ce que je venais de voir, au sourire qu'elle m'avait lancée, et à ce qu'elle m'avait dit lorsque nous étions seul avant que les autres ne nous rejoignent.

Au bout d'un moment j'en avais assez, car je n'arrivais plus à me concentrer sur ce que je faisais, mais toujours avec cette vision de Monia sous la douche entrain de me sourire.

Je décidais d’aller me coucher à mon tour. Une fois dans mon lit, essayant de dormir, je me tournai et me retournai sans arrivé à m'endormir, ayant toujours l'image de Monia sous la douche et qui me souriait. Une heure plus tard et n'arrivant toujours pas à dormir, je décidais d'aller dans la chambre ou dormais la belle de mes insomnies.

Monia dormait à poings fermés, cuvant son vin, elle ne s'était pas rendu compte que j'étais dans la pièce en train de la mater.

Je m'approchais tout doucement du lit ou gisait le corps si bien fait, la peur au ventre, craignant qu'elle se réveille ou qu'elle ne soit choquée de me voir dans la chambre.

Une fois à côté du lit, je me suis mis à genoux et je contemplais ce beau corps nu couché dans ce lit avec comme simple couverture un drap. Au bout d'un moment je risquais une main sous le drap, allant à la rencontre de ce corps qui m'était offert et qui était inerte devant moi. J'ai d'abord été discrètement vers sa poitrine assez ferme et volumineuse, qui se dressée, sa peau était toute douce et chaude au contacte de ma main. Dés que j'étais au contacte de sa poitrine avec ma main et que je la caressé, je sentais comme ses mamelons se dressés et devenaient dur. Monia laissa s'échapper à ce moment un petit soupir de plaisir, ce qui m'encouragea à poursuivre mes attouchements. Je lui caressait maintenant littéralement les seins, pinçant de temps en temps le téton, allant même jusqu'à le tirer. La belle était là devant moi et semblait satisfaite de mes caresses, laissant de s'échapper par moment quelques râles de plaisir.

Tout à coup je senti son bras droit bouger sous le drap, je soulevais celui-ci pour voir ce qui se passait, et je vis sa main descendre vers son entre-jambe et se poser sur sa vulve. Je la découvrit totalement afin de bien voir ce qu'elle allait faire avec sa main.

Au bout d'un certains temps je décidais d'aller un peu plus loin dans mes investigations et j'explorais ce beau corps nu gisant sur le lit, avec mes deux mains. Je ne le voyait que très peu, je l'imaginais surtout, et je le découvris réellement qu'avec mes mains qui parcouraient celui-ci à force de le toucher et que je déplaçait sur elle, je me suis même hasardé à aller prendre un téton en bouche pour le téter, le sucer et le mordiller.

En faisant de la sorte, je n'ai fait que croître le désir de Monia qui maintenant n'arrêtait pas de gémir, sous mes sussions et ma tétée, son doigt rentrait et ressortait plus rapidement de son vagin, à plusieurs reprises, je vis ses cuisses se resserrer et bloquer son doigt dans sa chatte.

Ne voulant pas l'effrayée, ni la réveiller, je m'arrêtais là, je la recouvrit du drap et je ressorti de la pièce avec ma verge qui se dressé à l'horizontal allant rejoindre les toilettes pour me soulager et faire descendre ma tension, puis je m'en suis allé me coucher à mon tour, laissant la belle Monia poursuivre son rêve érotique.

Cette histoire avec Monia n'est que pure imagination de mon esprit, elle n'a été écrite que pour le plaisir de lecteurs qui ont des fantasmes inavoués et qui aiment les histoires érotiques.


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16-08-2017 0 3430

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