7ème épisode
LA SŒUR DE MA BELLE-MÈRE
MICHÈLE
Quelques jours après, tout penaud je frappe à la porte de ma tante (enfin
ce n'est pas ma vrai tante puisque s'est la sœur de ma belle-mère) Michèle.
Elle ouvre la porte et me regarde bizarrement. J'entre et je l'embrasse sur la joue et la questionne.
- Ma tante, comment vas-tu et que va-t-on faire maintenant après ce qui est
arrivé?
- Eh bien, j'avoue, quand j'ai vu que c'était toi, j'ai complètement paniqué me
répond-t-elle rougissante, ses mains sur mes épaules.
- Claude m'avait bien parlé de son amant exceptionnel super bien membré qu'elle
partageait avec sa fille ce qui m'avait déjà choquée.
-Quand je suis rentrée dans la pièce... elle m’a demandé si…
- Ca fait si longtemps que je n’ai
pas fait l'amour...Si je voulais goûter...et... oh Patrick, quand elle s'est
retirée de cet énorme gourdin je n’ai pu résister à sucer ta magnifique bite, elle est vraiment
extraordinaire!
- Quand je l'ai prise dans ma bouche j'ai tout de suite voulu m’empaler sur ce monstrueux engin et quand je l’ai introduit dans ma chatte,
ooooh... mon Dieu! Elle fait une pose pour reprendre son souffle et poursuit ;
- Le temps de m’habituer à la taille exceptionnelle de cet énorme verge qui
dégorge des flots de foutre à n'en plus finir, j’ai tout de suite su que cette bite mystérieuse allait me faire jouir
comme jamais et j’attendais ça depuis si longtemps.
- Oh Patrick ! Je te connais
depuis que tu es tout petit, c'est tellement embarrassant, mais je n'ai jamais pris
autant de plaisir sexuel! Je voulais demander à Claude si elle accepterait de
partager son étalon avec moi! Mais ensuite Claire se levée et je t'ai vu!!!
Tout en parlant, sa main descend doucement jusqu'à mon pantalon et elle
commence à me caresser à travers le tissu.
- Michèle, tu sais ce que tu fais?
Elle me sourit et tombe à genoux, ouvre ma braguette et sort mon sexe, le prend en bouche avalant
doucement ma teub. Sa langue fait des merveilles, je gémis de plaisir à la voir
ainsi, à mes pieds, ma queue entrant en érection entre ses magnifiques lèvres
humides, au bout d'un moment elle retire ma bite de sa bouche et commente.
- Patrick...Je peux enfin admirer ce sceptre magnifique tranquillement.
Je n'ai jamais connu un monstre pareil. La plus longue c’était celle de mon mari mais elle ne dépassait pas 16 cm et sa grosseur était plutôt en dessous de la moyenne.
La plus grosse c’était celle d’un garçon au lycée, mais ma main en faisait largement le tour. La tienne est beaucoup plus longue et son épaisseur est fantastique. Elle regarde avec amour mon pieu dressé que ses deux mains branlent sur toute sa longueur.
- Ooohhh, Patrick elle est dure mais si douce ! T'as un sacré engin entre les jambes! Et sa bouche gobe de nouveau ma queue pour une
gorge profonde. Pendant cinq minutes elle me fait une fellation de Ouf, sa
bouche distendue par le pieu de chair qui est devenu énorme. Je sens mon gland vibrer préparant la salve de foutre qui
va inonder sa gorge. Elle se met à pomper
encore plus vite, donnant des coups de langue précis et nerveux.
Je ne vais pas tarder à gicler alors c’est moi qui recule de 3-4 cm et j’envoie
toute ma saucedans ce gosier qui n’attend
que ça !
- Ouiiiiiiiii, Tiens salope ! Avale mon foutre ! AAAaaaHHHHhhhh... Putain
d’enfoirée de cochonne ! T’es douée !
Soudain elle reçoit une très forte
giclée de sperme au fond de la gorge et manque s'étouffer tant elle est
abondante suivit aussitôt d'autres jets aussi copieux.
Michèle recule un peu sa tête pour faire rouler sa
langue autour de ma bite et profiter pleinement de toute cette crème qui
envahie sa bouche et coule dans sa gorge. L'excès de jus coulant sur son menton, après avoir tout avalé
goulûment elle reconnait.
- Eh bien toi quand tu jouis tu ne fais pas semblant, allez, fini les
amuse-gueule je veux que tu me baises ! Prend-moi Patrick et fais-moi jouir!
Cela dit, elle m'emmène dans sa
chambre, se déshabille en vitesse puis s’allonge sur le lit et écarte ses cuisses.
Elle ouvre en grand son sexe avec ses doigts pour me laisser voir un tunnel sombre.
Je la tire vers moi pour approcher ma
queue qui a reprit toute sa vigueur vers cette grotte grande ouverte. Elle
gémit à chaque mouvement de mon gland que je frotte le long de ses grandes
lèvres quand elle m'implore.
- Patrick, prend moi lentement... le plus lentement possible, pousse ton interminable queue dans ma chatte. Donne-moi
du plaisir.
Je guide le gland
violacé au bord de sa grotte intime. Ma bite commence sa longue
pénétration. Je l'entends gémir.
- Ouiiiiii... comme ça, chéri je te sens bien ! C’est si bon...doucement! Huummm...ouiiiii...
prend tout ton temps, quel magnifique bélier tu as!
Et je m’enfonce tout en douceur au plus profond dans sa chatte frémissante. 5,
7, 10 cm, elle n'arrête plus de geindre, ses yeux grands ouverts fixant ma verge
qui pénètre et écartèle ses chairs. 16 cm, il reste encore un quart de ma bite
dehors quand tout son corps est prit de tremblement, elle est si chaude que je
vois ses admirables seins briller sous sa sueur.
- Oh mon Dieu, Patrick, mon vagin se
distend au maximum pour pouvoir absorber tout ton monstre de queue! J’ai
l’impression que tu vas me déchirer!
Je me retire un peu mais Michèle s'y oppose et attrape mes fesses à deux mains.
Ma queue reprend lentement son voyage à l'intérieur de son vagin, 20, 22 cm,
mes couilles butent sur ses fesses, sa
chatte accueille en entier mon mandrin et elle murmure dans un souffle en poussant de petits soupirs
de plaisir;
- Oh la vache, t’es si gros !
Patrick! - Mon Dieu! T’es énorme ! Je
n’arrive pas à croire que tu m'as tout mis !... C’est bon, très bon …elle est bonne, ta queue, elle est
dure et chaude…
Je suis enfin en butée, déclenchant dans tout son corps d'incontrôlables vagues voluptueuses. Je commence un lent et puissant mouvement de va et vient, je me cambre sur elle, je joue du bassin, de plus en plus vite.
Je la pénètre d’un coup et la ramone sans ménagement tout en lui caressant ses fesses. Son pubis bat la cadence sur ma bite jusqu'à sa première vague orgasmique, elle part…
Je sens son vagin qui sert ma verge dans des contractions de plus en plus fortes. Quant à moi, j'utilise tout ma force pour tenir ma bite fermement planté au fond de son sexe brûlant, pétrissant ses seins, les caressant.
Ma bouche suce son aréole gauche, ma langue effleurant rapidement le téton dardé puis mes dents le mordillant doucement. Ça fait "tilt" dans sa tête et son corps se tend pour un nouvel orgasme. Je recommence lentement à mouvoir ma bite de quelques centimètres, l’écrasant contre son clitoris dur et tendu et me renfonçant à fond. Je l'entends haleter comme la petit chienne qu'elle est. Elle jouit de nouveau sous mon pilonnage.
- OH OUIIII! Tu butes sur mon utérus… Ooooh merde, Nonnn... pas encore.....mon
Dieu je jouiiiisssssss, putain de merde je suis une vraie fontaine !
Aaaaahhhhh..... Quel
pied ! Cela explose dans mon ventre.
Tout le bas de mon corps est douloureux du plaisir qui
monte. Je ne sais même plus ce que je dis, oh mon neveu adoré, c'est
bon, continue de baiser ta tante lubrique avec ta grosse bite, encore plus fort ! Ouiiiiii... Patrick, fore-moi avec
ta longue teub!
- OK!
Je prends la direction
des opérations, sort complètement de sa fournaise et pose mon gland gonflé par
toutes ces réjouissances sensuelles à l’entrée de sa fente et d'une seule
poussée rectiligne, je rentre la totalité de mes 22 cm et ma queue va cogner au
fond de sa chatte.
- C'est ça, Patrick, défonce moi, j'adore ça !
Sa main droite frotte son clito avec le bout de ses doigts que j’écrase à
chaque poussé. Et de nouveau je sens les muscles de son vagin se contracter et
un 3ème orgasme l’anéantir !
Son corps repose désarticulé sur le lit
après ses jouissances si rapprochées
mais sa chatte n'a toujours pas libérée ma bite. Reprenant ses esprits elle me dit.
- Putain je n’ai jamais eu 3 orgasmes l’un derrière l’autre aussi rapidement.
Il faut dire que je n'ai jamais connu d'hommes capables de tenir aussi
longtemps sans jouir. -Et en plus sur
la bite de mon propre neveu ! Je ne peux pas croire que suis aussi lubrique que
ça !
Elle se redresse et regarde ma queue
encore en elle et part dans des délires.
- Tu me remplis tellement bien que quand tu te
retires, ma vulve fait un bourrelet circulaire autour de ta bite bouillante. Tu
me fais mourir, jute moi dans la chatte, je vais mourir, c’est trop, jute moi
dedans petit merdeux, ta queue est trop grosse, tu me défonce!
Je sens ma queue devenir encore plus grosse, le gland enfle et me fait mal et
dans un dernier mouvement je sors de sa chatte et me renfonce d’un grand coup en
prenant soin de m’enfoncer à fond et de revenir en arrière juste au bord de ses
lèvres.
Michèle ne
tarde pas à crier sous les poussées de ma queue prisonnière de sa chatte. C’est incroyable comment elle
maîtrise ses muscles vaginaux. Elle fait varier la pression sur ma bite en
fonction de sa pénétration.
Je sens qu’elle essaye de se retenir, mais elle recommence à prendre son pied
car elle remue de la chatte d’une façon incontrôlée. Apres plusieurs aller
retour elle dit d’une voix déformée par le plaisir ;
- Huummm c’est tellement bon ! Oh ouiiiiii... continue, je vais jouir. Oh Dieu,
oui, je sens que ça repart! Mon neveu me fait jouiiirrrr ! OH MON DIEU!
Des que son orgasme commence je me lâche et mon sperme gicle dans sa chatte, remplissant
le peu d'espace libre de ce puits accueillant.
J'envoie une énorme giclée dans son vagin, puis une deuxième puis une troisième très abondante avant que je ne retire vivement mon pieu et le présente devant son visage. Sa chatte déborde d'une quantité incroyable de sperme. Je continue à éjaculer pendant un temps qui me parait interminable, envoyant d'abondantes giclées sur ses lèvres, son front, ses cheveux. Cela n'en finit plus. Tout son visage est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore.
Quand j’ai fini de me vider les couilles
ma tante me serrant dans ses bras ajoute ;
- Oh mon Dieu, mon chéri, mon amant ! Pas un seul mec avec qui j’ai baisé n’a
été capable de me faire autant jouir et ta charge se semence est tout bonnement
monumentale! Tu ne débandes donc jamais? Ta queue est toujours en pleine
érection après 2 éjaculations incroyables. Comment peux-tu faire ça, toi qui es
si jeune ?
Après lui avoir donné un sensuel baiser, je lui caresse ses cheveux avant de
dire ;
- Et bien ma tante, je crois que tu peux remercier Claude, elle m'a bien éduqué.
Mais je crois aussi
que la nature m'a bien dotée pour donner du plaisir à une femme capable
d’accueillir mon calibre, et jamais une fille ne m'a surpris les burnes à vide.
Michèle me rétorque.
- Ah bon ! Prétentieux avec ça! Comment peux-tu en être sur ?
- Euuuuhhhh... Claude me l'a dit et m'a informé que je souffre d'un léger
priapisme et d'hyper spermatogenèse ce qui fait que je bande à volonté et peux
expulser des quantités très importantes de foutre.
Eh bien si c'est vrai, refais-moi l'amour!
Elle a les yeux rivés sur la grosse tige bien tendue que j'approche peu à peu de sa foufoune. Elle guide avec sa main ma bite qui se présente à l'entrée de sa caverne intime, d'un impétueux coup de rein je la plante sur mon mat avec une précision redoutable.
Michèle crie, autant de surprise par la rapidité de la pénétration, que de plaisir de sentir cette énorme teub qui vient de la transpercer si brusquement, je la fais lentement monter et descendre sur ma longue hampe, elle sent le gland appuyer sur le col de son utérus.
J'accélère le rythme. Michèle sent ma bite follement glisser en elle, terriblement grosse. Elle hurle de plaisir et l'orgasme arrive comme une violente vague qui la laisse presque dans un état de demi-conscience. Plus tard, alors que ma tante est secouée par les spasmes d'un énième orgasme, je n'arrive plus à me retenir.
Ma bite prise dans ce fourreau de convulsions, éjacule de monstrueux jets de sperme dans ses entrailles. Elle hurle de plaisir, encore et encore, jusqu'à que je termine de me vider dans son trou béant, dégoulinant de mon foutre encore chaud.
- Bon Dieu, je ne pourrai plus baiser avec un autre que toi
! Ça fait si longtemps que je n'ai pas eu de rapport sexuel, que j’avais presque
oubliée la jouissance que l’on peut tirer d’une belle bite, mais je n'ai jamais
connue ça avec personne. Une fois il y a longtemps je me suis fais prendre par
3 hommes à tour de rôle mais à toi tout seul tu les bats à plate couture. Elle me
donne des baisers et des caresses avant de poursuivre.
- Eh bien, mon cher neveu, tu as peut être encore des forces mais moi je suis
plus bonne à rien, tu m’as anéantie.
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