Le dogue à mon Fils !

                          Le Dogue à mon Fils.

                                        Le mois de Juillet arrive, et les vacances avec. Depuis longtemps déjà, mon mari et moi préférons partir en Septembre, les locations sont moins chères et il y a moins de monde !

                                     À l’approche de cette période, notre fils Hervé est passé à la maison avec sa chérie Nathalie. Leur visite était intéressée, car ils n’avaient pas trouvé de monde pour garder leur chien, un magnifique dogue Allemand âgé de trois ans. Forcément, pour en parler, ils ont attendu que mon mari François soit bien gai, après l’apéro et le vin du repas !

                                    François, lui n’y trouvait pas d’inconvénient ! Forcément, il travaille en équipes de quart, et il dort avant ou après son boulot !

                                 Je me suis faîte à cette vie, car matériellement, je suis heureuse ! Concernant ma vie sexuelle, ou le peu qu’il en reste, à 48 ans, c’est déjà du passé ! Je me contente, lorsque je le peux, de le faire cocu avec des rencontres éphémères, ou alors je me caresse tout y passe, même le concombre que je lui sers après me l’être mis dans ma chatte ou mon anus ! Cela m’excite de le voir le manger après, sans que je l’ai lavé !

                                  Donc, voilà, nous avons été mis au pied du mur, nous allons avoir Mephisto en garde pendant une quinzaine de jours, le temps qu’ Hervé et sa Chérie profitent de leurs vacances et qu’il lui en mette plein le cul, car elle aime cela la blonde !

                             Forcément, cela ne me plaît pas, mais je n’ai pas le droit à la parole !

                            Les enfants partent, mon mari François est bien chaud ou ivre, je vais devoir écarter les cuisses et le sucer ! Bon, il n’y a que dans ce genre de soirée qu’il se rappelle que je suis sa femme, même si dans ses moments, je suis plus sa salope, et j’aime cela !

                         Je le laisse finir son digestif ( un vieux Calva ) je monte me rafraîchir et je passe ma nuisette lycra noire et m’allonge sur le lit, sans culotte !

                       Environ une vingtaine de minutes après être passé à la salle de bain, il arrive. J’ai laissé la lampe de chevet allumée pour qu’il se repère.

                       Cela ne tarde pas, ses mains caressent mes jambes et remontent jusqu’à mon bassin !

                      Là, ses doigts sans préliminaires écartent mes lèvres vaginales et pénètrent mon vagin !

                     « T’ es bien mouillée ma salope ! T’as envie de mon dard ! «

                      « Oui, enfonces ta grosse queue, baise moi ! «

                    Je sens son gland qui se pose sur l’entrée de mon vagin, je soulève mon bassin et roule du cul, je suis trop excité, j’ai envie de sa queue et qu’il me lime comme une chienne !

                   Son gland pénètre en moi, et doucement il enfonce son membre dans ma chatte. Il commence à aller et venir en moi, c’est bon, c’est chaud, j’aime qu’on me baise !

                  Après quelques allers et retours, il décharge sans prévenir ! Je ne suis pas partie, je n’ai pas jouis, comme souvent !

                Là, il se retire et me présente son sexe.

                « Allez, nettoies le ma biche, t’es bonne ! «

               Sans réfléchir, je lèche son membre et lui nettoie le tout en insistant sur son gland.

               Sans me parler, il s’effondre sur son oreiller et commence à dormir en ronflant.

              Pas satisfaite, j’attends qu’il soit endormi profondément, et me caresse en pensant au voisin qui me baise !

               Quelques jours ont passés, Hervé est venu déposer son dogue et ses affaires ( Harnais, laisse, gamelle, sac de nourriture , matelas et un oreiller. )

              En me déposant le tout, il m’explique que l’oreiller lui sert quant il est excité, et qu’il s’en sert comme une femelle, que c’est normal et qu’il faut le laisser faire !

             La première semaine se déroule bien, François et d’ après-midi, il part vers 13 H 30 et rendre vers 22 H 30;

              Il fait beau, la chaleur n’est pas insurmontable, j’ai passé un petit robe courte évasée à fleurs, et mis mon chapeau de paille, je vais désherber les allées du jardin, car les mauvais herbes ont déjà repoussées. Je commence après déjeuner à 13 H 30, François vient de partir.

         Je mets une couverture épaisse sous mes genoux et j’avance tranquillement. Ma robe est remontée pour ne pas me gêner .Comme souvent je n’ai pas mis de culotte, je me sens plus à l’aise.

          Mephisto me suit et se pose derrière moi. Il est calme et obéissant.

         Prise par mon labeur, et mes pensées, je n’ai pas vu qu’il c’est levé et qu’il est juste derrière mes jambes. Jusqu’au moment ou je sens comme un objet froid au niveau de mon sexe.

         Je tourne la tête et le vois entre mes jambes, la sensation de froid est sa truffe, il me sens la chatte.

        «  Arrêtes mon grand, c’est pas bien ! «

       Là, maintenant, je sens sa langue qui me lèche l’entrejambe !

        Au début, je voulais me lever et le gronder, mais en faite, cela me plaît et me donne des frissons !

       « Oui mon pépère, c’est bien ! Oh ouiiiii ! «

      Il n’est pas 14 h00, et j’ai pas envie que cela s’arrête, je me lève, on ne peut pas rester dans les allées !

      Je remarque que Mephisto bande, son pénis est sorti du fourreau.

  Je pars vers la maison, nous rentrons dans le salon, je lui demande de se coucher.

J’enlève ma robe et m’incline vers lui, je lui caresse son ventre et commence à lui branler son sexe, il ne dit rien. Son sexe est bien dure. Comme par réflexe, je regarde autour de moi avant de commencer à le sucer.

              Ce n’est pas le même goût que le sexe d’un homme, mais je suis tellement excitée que j’accélère la cadence. Je malaxe ses couilles qui sont bien dures ! Mais j’ai envie de sentir sa queue en moi, au moins, il bande dure !

               Je me mets à quatre pattes en écartant les jambes et appelle :

              « Viens, tu peux me prendre, je suis ta femelle ! «

             Comme si il avait compris, il se lève et se positionne derrière moi. Il me sent la moule, puis de nouveau me lèche avec sa langue rappeuse De ma moule à mon anus, sa langue passe et repasse, déclenchant en moi de nombreux frissons

            Je tape sur mes fesses et l’encourage.

           « Allez, viens baiser Martine, allez, bon chien ! «

           Il s’avance et se positionne derrière moi. Ses pattes avant enserrèrent mon bassin, je sens son sexe qui tape sur mes cuisses, cherchant mon vagin.

           D’une main, j’arrive à prendre sa queue et la présenter entre mes lèvres vaginales.

           Ça y est, il a trouvé l’ouverture et commence à me pilonner !

         Oh, comme c’est bon, je sens ses couilles claquer sur mes fesses, il n’arrête pas et continue à me limer !

         Oh, comment est ce possible de se faire baiser comme cela !

        Ouiiiiiiiiiii !!!!!!!!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii? Oh continue ! Oh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!

      Mephisto continue à me besogner sans relâche, je sens son membre se tendre au maximum, et saisit de spasmes éjaculer longuement en moi par jets ! Il me réchauffe mon intérieur et j’aime cela !

          Après avoir déchargé, le sexe du chien se verrouille, heureusement je le savais et nous tombons sir le côté attendant le déblocage, cela dure quelque minutes et ensuite Mephisto va sur son matelas se nettoyer, j’aurai aimer le sucer encore, mais il a a ses habitudes et ce n’est que la première journée !

        Son sperme coule sur mes cuisses, après l’avoir goûté, je pars à la douche !

         Rien ne sera plus pareil maintenant !

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