Jo le gorille

Récit érotique écrit par Adam35 le 17-09-2025
Récit érotique lu 3 fois
Catégorie Zoophilie

Je m’appelle Dorian, j’ai 20 ans et Je suis étudiant en 2 année de droit. 1m76 pour 60 kg je ne suis pas un grand gaillard mais je suis très musclé et très poilu au point que souvent dans les vestiaire mes potes me charrie et me compare à un singe. Les yeux vert et châtain très foncé je plais beaucoup aux filles mais beau trop timide pour oser passer le cap du simple bisou.


Pour cet été j’ai trouvé un super taf dans un immense parc animalier. Et le pompon je bosse en plus avec 4 de mes meilleurs potes, Samuel, Marc, Paul et Sylvain. On se rejoint à toutes les pauses et on s’amuse tout en travaillant. 


Ma mission principale consiste à nettoyer les enclos de certains animaux et parfois de leur donner à manger.


Je m’occupe plus particulièrement de la zone des cervidés et des primates moi que l’on compare à un singe il y a de quoi rire ! Je ne vous raconte même pas les blague de mes copains sur ce sujet comme quoi je dois être dans mon élément et que je dois faire attention à Jo le grand gorille au dos argenté en rut qui risque de me prendre pour sa femelle. 


Enfin, tout ceci aurait pu en rester là si l’histoire n’avait pas mal tournée. Il est vrai que Jo était en chaleur ces derniers temps et que l’absence de femelle le rendait légèrement agressif.


Un jour en présence de 2 de mes potes, je me promenais devant la cage de JO torse nu et en short. JO s’était mis alors à s’exciter contre les barreaux et de son sexe était sorti de son fourreau ce qui m’avait laissé une réputation d’aguicheur. Les jours suivant Jo était devenu fou rien qu’en me voyant.


Le jour de mon anniversaire nous avions décidé de fêter ça le soir tous ensemble. Mais dès le matin mes potes étaient déchainés et avaient promis pour mes 20 ans de me faire dévierger. Ce dont je rêvais mais cela n’était pas gagné.


Les salauds avait mis du rhum dans ma gourde et avec la chaleur inutile de vous dire que j’avais pourtant très soif. Arrivé midi je titubais légèrement et j’avais bien du mal à passer le balai. 


Au moment de midi pour le repas l’alcool coulait à flot pour fêter mon anniversaire dignement. J’essayais de bien manger pour absorber l’alcool mais j’étais déjà bien ivre. L’après-midi fut des plus compliquée. Et après le départ des visiteurs les choses se sont accélérés.


Paul me demanda de venir l’aider dans la zone des phoques et otaries pour l’aider à leur donner à manger. Je le suivais de près de trop près. Nous passons devant le bassin des dauphins et là il s’arrête brutalement pour ramasser un objet sur le sol. Impossible de maitriser mes gestes je lui passe littéralement par-dessus et termine ma galipette dans l’eau.


Paul est mort de rire et m’aide tant bien que mal à me hisser hors de l’eau. Je suis trempé et complètement ivre. Une fois nos esprits récupérés, Paul m’invite à ôter mon polo et mon pantalon pour les sécher. Nous n’étions plus que tous les 5 sur le parc ce qui était sans risque d’être vu.


Mes gestes étaient complètement désordonnés et Paul vint à mon secours pour enlever mon polo. Pour le pantalon se fut un exercice très compliqué entre mon équilibre précaire et les vêtements trempés qui collent à ma peau impossible de désolidariser mon caleçon du pantalon en toile blanche. J’étais allongé pendant que Paul, qui riait aux éclats, tirait de toutes ses forces sur mon fute.


Soudain je sentis le tout partir sans que je puisse faire quoi que ce soit !

Je me retrouvais complètement à poil, trempé de la tête au pied et ivre. Paul me redresse et me dit bon au moins tu seras plus vite sec comme ça.


Je n’avais pas trop conscience de la situation et je continuais à le suivre à poil jusqu’aux bac à poissons, nourriture favorite des otaries. Le bac était immense et il fallait se pencher pour récupérer les poissons à l’aide d’un seau. La manœuvre habituellement simple demandait néanmoins de la force. Vue mon état j’étais bien incapable de soulever ce putain de seau même avec les deux mains. Je me penchais encore et encore si bien que je fini par tomber entièrement dans le bac.


Ça sentait une infection et j’étais tout gluant.

Paul se tordait de rire et alla chercher les autres pour admirer la situation. Ils prirent quelques photos souvenir avant de me sortir de ce pétrin !


Sylvain : tu pues une infection t’approche pas de nous, va finir de nettoyer tes cages et va te laver ensuite.


J’allais difficilement vers la cage de Jo afin de lui donner à manger. J’étais tout gluant ce qui ne facilitait pas mes gestes. En tant normale je fais vite j’ouvre rapidement sa cage et je lui mets sa gamelle à l’entrée mais mes gestes étaient très imprécis. Je réussis néanmoins à faire le code pour ouvrir la cage mais en ouvrant la cage je glisse et me voilà en l’espace d’une seconde étalée de tout mon corps sur le sol recouvert de paille qui me collait partout.


Mon état d’ébriété rendait mon temps de réaction très lent et mes gestes encore plus. Je relevais la tête pour regarder Jo qui avait disparu de mon champ de vision.


Soudain j’entendis le clic de la porte qui venait de se refermer comme par magie. Je me mis à genoux pour essayer de me relever mai une main ferme et velux me pris par les hanches pour m’empêcher de bouger.


Mon dieu Jo était juste derrière moi et j’étais enfermé dans sa cage. 


Moi : Au secours, à l’aide….


Je criais de toutes mes forces mais j’entendis rapidement les grognements de Jo et ses mains qui commençaient à me serrer de plus en plus fort.


Jo me souleva de terre comme une poupée de chiffon et m’emmena avec lui dans le fond de son enclot où se trouvait un endroit dérobé avec de la paille pour se mettre à l’abri des regards. Il ignorait cependant qu’une caméra projetais en direct tout ce qu’il faisait


Moi : Jo, pose-moi, pose-moi, s’il te plait Jo…. Je vais me fâcher


Il me reposa sur le sol pour mieux me rattraper par les hanches et commença à se coller à moi.


Je baissai la tête pour regarder par-dessous ce qu’il faisait. Putain ! je vis la pointe de sa petite bite rouge sortie et cogner contre mes fesses.

Je criai et bougeait mais cela n’avait pour effet qu’accroitre son agressivité. Je me calmai rapidement en voyant mes 4 compagnons arriver devant la grille.


Marc : Oh putain Dorian qu’est-ce que tu fous !


Paul : on a parlé de te dévierger mais on ne pensait pas comme ça !


Samuel : il faut le sortir d’ici rapidement sinon il va se faire prendre par Jo


Sylvain : je ne veux pas être défaitiste les gars mai je ne vois pas comment il va s’en sortir indemne !


Moi : Putain les gars aidez-moi !


Marc : il faut faire quelque chose.


Marc tapa le code de la cage pour entrer mais Jo se mis à crier de rage et à taper ses points contre sa poitrine. Marc referma rapidement la cage.


J’entendais à peine mes camarades mais je voyais de loin leur inquiétude


Sylvain : arrêtez ! vous voyez bien qu’il ne le lâchera malheureusement que lorsqu’il aura fini son affaire !


Moi : non par pitié… pas ça


Je me mis à pleurer comme un gosse


Paul : prends une bonne inspiration Dodo c’est juste un mauvais moment à passer !


Marc : ça met combien de temps à jouir un gorille ?


Sylvain : j’en sait rien moi ! Je ne suis pas un spécialiste


Paul : sur google ils disent qu’il à un tout petit pénis !


Marc : ça c’est plutôt une très bonne nouvelle


Paul : Aï !


Marc : quoi ?


Paul : ils disent aussi qu’ils peuvent se reproduire plusieurs fois toutes les heures.


Samuel : Ah poil les gars !


Tous : Hein !


Samuel : il veut du cul on va lui en donner !


Sylvain : je n’ai pas envie de me faire enculer par un gorille en rut !


Samuel : on va lui montrer notre cul pour l’attirer vers nous.


Je vis de loin alors mes 4 potes à poil derrière la cage en train de remuer leur derrière afin d’attirer JO qui ne restait pas insensible au spectacle et me lâcha pour se rapprocher d’eux.


Marc : Putain les gars ça marche ! Il nous faudrait un somnifère ou un tranquillisant !


Paul : moi j’ai bien un truc qui peut peut-être faire l’affaire.


Paul récupéra quelques cachets dans les poches de son short.


Marc : Depuis quand tu utilises ce genre de truc toi ?


Paul : C’est juste pour pimenter certaines soirées.


Marc : c’est ça !


Sylvain : c’est quoi ?


Marc : du GHB, une drogue euphorisant que l’on appelle également drogue du viol.

Samuel : excellent donne-moi en 3 ou 4 on va en mettre dans une banane. Allez vient mon bon Jo


Tous : vient chercher la banane


Jo hésitait et s’arrêta au milieu de l’enclot pour me regarder et vérifier si je ne bougeais pas.


Samuel : branlez-vous !


Sylvain : Ca va trop loin là !


Samuel : arrête de faire ton coincé avec nous ! On a tous les mêmes petits jeux cochons alors fais toi plaisir !


Marc : Putain, qu’est-ce qu’il ne faut pas faire !


Devant ce spectacle JO devint fou et très excité et tapait ses points contre son torse tout en arborant une belle érection.


Il s’approcha très rapidement des 4 gars se mis également à se branler ce qui fit juter Sylvain et Samuel très rapidement.


Marc : Putain les gars vous ne pouviez pas attendre un peu !


Sylvain : désolé j’étais trop excité… c’est parti tout seul.


Jo fini par juter également, récupéra son sperme pour le mettre en bouche . Il se saisit de la banane avant de se retourner pour rapidement retourner dans sa couche où je me trouvais tétanisé de peur.


Jo arriva avec une banane que je croyais pour lui mais à ma grande surprise il me la tend pour me l’offrir. Je trouvais le geste très délicat pour un animal. Je n’osai pas refuser et mangea ce cadeau précieux dont j’ignorais la contenance.


Les 4 gars observaient la scène par la caméra. Je les entendais crier mais sans trop comprendre pourquoi.


Samuel : Il est trop con ! Qu’est-ce qu’il va se passer ?


Paul : La dose est beaucoup trop forte pour lui ! 


Rapidement je sentais mon esprit s’embrumer et je me sentais très léger avec chaleur qui m’envahit tout le corps. Jo me pris dans ses bras comme une poupée. Étonnement je me sentais très attiré par lui avec une folle envie de lui faire l’amour. J’essayais de me raisonner mais j’étais complètement possédé et je commençais à embrasser mon amant en lui caressant la tête. Il se laissait faire et s’allongea de tout son long.


Progressivement je glissais en marche arrière sur son corps pour me diriger vers sa bite en érection. Je découvris deux énormes couilles et un petit sexe rouge que je m’empressais de lécher et sucer.


Marc : je ne veux pas voir ça je pars d’ici.


Samuel : reviens Marc ! 


Paul : Il a raison, après tout il ne risque rien hormis se faire sauter toute la nuit. En plus il voulait se faire dépuceler je crois ? Et bien ça va être chose faite. On reviendra demain matin à la première heure.


Sylvain : Ce n’est pas faux ! Le pauvre !



Je passais donc toute ma nuit avec mon amant qui était aux anges











J'aime 0
17-09-2025 0 3

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par Adam35

Settings