Maîtresse lalla samira

Récit érotique écrit par lailatvx le 16-09-2010
Récit érotique lu 11292 fois
Catégorie Couple

<!-- /* Style Definitions */ p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal {mso-style-parent:""; margin:0cm; margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-font-family:"Times New Roman";} @page Section1 {size:612.0pt 792.0pt; margin:70.85pt 70.85pt 70.85pt 70.85pt; mso-header-margin:36.0pt; mso-footer-margin:36.0pt; mso-paper-source:0;} div.Section1 {page:Section1;} -->


Je suis chez maîtresse lady Samira qui aime prendre des initiatives lors de nos jeux érotiques. Elle s’approche de moi en souriant :
- Aujourd’hui Karim, c’est toi qui fais la fille et je vais te faire vivre quelques heures dans la peau de Karima. - Déshabille toi, me dit-t-elle en choisissant avec soin dans sa garde robe la lingerie qu’elle me destine. - Essaye ces ravissantes petites choses ma chérie, me susurre t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux. Elle m’aide à m’harnacher d’une guêpière très sexy ornée de quatre paires de jarretelles. Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c. Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme. Avec sensualité, elle tire sur mes bas pour aligner les coutures avant de les accrocher aux jarretelles.
J’enfile une craquante combinaison satinée rouge rehaussée de dentelle pendant qu’elle remonte sur mes cuisses deux jarretières affriolantes en me provoquant une superbe érection. Satisfaite de mon apparence, Samira me contemple d’un regard sensuel en refermant ses mains sur mon sexe.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches un adorable slip ouvert qui met mon zob en valeur en dégageant l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des escarpins achèvent ma métamorphose.
- Je vais maintenant t’assouplir l’œillet, me dit-t-elle. Sans me laisser le temps de réagir, elle me plante un plug dans les fesses.
- Ce n’est qu’un début, rajoute-t-elle d’un ton moqueur. Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je retrousse mon déshabillé en libérant ma queue qui jaillit par l’ouverture de ma lingerie. Puis, je contracte mes fesses sur le plug en frottant lentement mes cuisses l’une contre l’autre pour faire monter le désir dans mes reins. Samira fixe d’un regard brûlant mon zob en érection pendant qu’elle me pose du mascara et du fard à paupières.
Elle souligne mes lèvres d’un rouge intense et termine la séance en me coiffant d’une perruque blonde bouclée très glamour.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant le miroir qui me renvoie l’image d’une fille attirante portant tous les symboles de la féminité
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière et c’est avec une émotion contenue que j’ajuste la hauteur de mes jarretelles. Mon regard s’attarde sur le galbe parfait de mes mollets mis en valeur par mes escarpins et mes mains caressent avec volupté la douceur du voile satiné.
- C’est magnifique Samira, mais me trouves-tu à ton goût ?
- Tu me fais craquer ma belle et j’ai hâte de commencer.
Impatiente, elle se met à genoux devant moi et plonge sa tête dans mes dessous en jouant avec le plug qu’elle m’a planté dans l’œillet.
Elle le mordille du bout des lèvres en l’activant dans mes fesses.
Un moment plus tard, me voyant bien excitée, elle le retire et m’entraîne sans résistance dans sa chambre.
Avec une lueur de perversité dans le regard, elle me culbute sur le lit et retrousse mon déshabillé sur mes hanches.
Elle contemple un instant ma queue nichée dans les dentelles de mon slip ouvert. Puis, elle la masturbe lentement jusqu’à ce qu’elle soit gonflée de désir. - Ne bouge pas, je reviens dans un instant, me dit-t-elle.
Je la vois réapparaître tenant à la main un curieux gode ceinture hérissé d’un triple sexe.
- Nous allons prendre du plaisir entre femmes, me dit-t-elle en brandissant ce jouet étonnant devant mes yeux.
Elle enlève son slip et retrousse sa jupe en me dévoilant sa croupe. Puis, elle plonge le premier gode lubrifié dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.
Prenant son temps, elle place le second contre sa rosette et l’enfonce lentement dans ses reins en me fixant d’un regard trouble. Elle attache ensuite solidement les harnais à ses hanches. Provocante, les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans sa minijupe de cuir ultra courte, elle me murmure à l’oreille :
- Je te réserve le plus gros ma chérie.
Je regarde fascinée le gode impressionnant qui retrousse sa jupe. Il se balance lourdement entre ses cuisses en battant la mesure contre ses cuissardes.
En riant, elle me dit :
- Regarde comme il est long, il m’arrive au genou, il doit bien faire trente centimètres ! C’est comme le zob d’un cheval ! Tu n’as jamais pris un tel calibre dans les fesses, s’exclame-t-elle. Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa croupe en valeur, elle caresse lentement le gode en me donnant des frissons. Mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s’approche de moi.
Mimant un coït imaginaire, elle bascule son bassin d’avant en arrière en exhibant le pieu qu’elle me destine. - Regarde il est plus vrai que nature me dit-t-elle en pressant les bourses du gode.
Surprise, je vois sortir du gland un jet puissant qui s’écrase sur ma guêpière.
- Allonge toi sur le côté que je te remplisse les fesses ma belle, me dit-t-elle d’une voix chaude.
Elle se place derrière moi en écartant mes jambes avec son genou pour y glisser l’énorme dard. Tétanisée, je regarde ce sexe qui a le diamètre d’une bouteille coulisser entre mes cuisses pendant que mes mains effleurent les grosses veines saillantes courant sur sa hampe.
Lady Samira se concentre sur le contour plissé de mon anus en s’attardant sur le léger renflement de mon anneau qui lui révèle mes pratiques sodomiques.
- Eh bien ma petite cochonne, je vois que tu as de l’expérience, me susurre-t-elle d’un air complice. Elle me titille longuement l’œillet et plonge sa langue dans mon fourreau. En me donnant un bonheur sans égal. - Maintenant, mets-toi à genoux sur le lit, me dit-t-elle.
Elle pointe le gode à l’entrée de ma grotte en exerçant de petites pressions successives. Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes.
C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut. S’aidant de ses mains accrochées à ma taille, elle tente sans succès de forcer mon passage.
Déçue par ses échecs successifs, elle retire le gode de son attache pour le lubrifier abondamment. - Tu ne perds rien pour attendre ma belle, me dit-t-elle avec dépit.
J’entends un bruit sec qui me fait frissonner lorsqu’elle l’emboîte à nouveau sur son socle. - Cette fois-ci, je vais t’enfiler sans problème, m’affirme-t-elle.
Elle écarte la fente de mon slip avec le gode avant de l’appuyer contre ma rosette.
- Maintenant, cambre-toi et pousse fort pour m’aider car il est vraiment très gros.
Son assaut est tellement puissant qu’elle me fait vaciller sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage.
Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression de ce pieu qui m’ouvre en deux. Samira me relève une jambe pour mieux me pénétrer et me masturbe avec une telle virtuosité que je m’empale moi même sur ce zob qui me défonce. Elle m’encourage en me donnant de violents coups de reins.
- C’est bien ma chérie, il est presque entièrement rentré dans tes fesses, me chuchote- t-elle à l’oreille.
Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le beau visage de Samia s’assombrir. - Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle déçue.
- Laisse-moi faire, lui dis-je dans un souffle.
J’ondule et roule du bassin en guidant le gode de la main pour qu’il franchisse le repli sinueux de ma muqueuse.
Ravie du résultat, Samira s’active de plus belle en sentant les godes lui pilonner le vagin et les reins.
Soudain, je sens des giclées de sève s’écraser sur les parois de ma grotte.
- Je lubrifie ton petit trou pour finir de te défoncer mon ange.
Puis, elle me viole sans retenue en ne pensant plus qu’à son plaisir.
Au bout d’un moment, elle sort brutalement de ma croupe en contemplant le temps infini que met mon œillet à se refermer. Décidée à me faire jouir, elle m’embroche à nouveau jusqu’à la garde en se concentrant sur ma glande intime qu’elle stimule de petites pressions successives. Puis, ondulant du bassin, elle me fouille lentement le ventre en suivant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.
Elle m’achève en grattant mon frein avec son ongle jusqu’à ce que ma semence gicle sur ses doigts.
A cet instant, nous sommes tellement soudées l’une à l’autre que l’on ne voit plus les godes qui nous empalent.
Lorsqu’elle sort de mes fesses, mon anneau s’étire sur le pal comme pour mieux le retenir.
Puis, elle détache les sangles de son gode ceinture et me dit avec impatience.
- Maintenant, j’ai envie que tu me baises.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je compte lui faire.
Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir en découvrant le plug vibrant que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un cri quand je vrille dans ses fesses ce calibre de sept centimètres de diamètre qui la dilate fortement. Son vagin est fortement comprimé par le plug. Devenu très étroit, il devient plus sensible à la pénétration. Excitée, elle écarte les jambes en saisissant ses talons aiguilles à deux mains.
- Viens vite, je n’en peux plus d’attendre.
En la voyant ainsi offerte, je ne résiste pas à son appel et je m’enfonce en elle d’un coup de rein puissant.
- Tu as eu une idée géniale en me mettant ce plug car je te sens mieux, me dit-t-elle. Survoltée, elle m’emprisonne la taille en nouant ses cuisses dans mon dos pendant que sa chatte humide et avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.
Je bande comme un fou au contact des vibrations du plug planté dans ses fesses et je me retire à temps pour lui faire découvrir d’autres jeux.
Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin en lui enfonçant en même temps mon majeur dans les fesses.
De l’autre, j’effleure son clito avec un vibro.
Son orgasme monte aussi vite que mon sexe se durcit.
Je prends plaisir à frotter mes jambes gainées de nylon contre les siennes en entendant le crissement excitant de nos bas quand je la bascule sur le côté pour l’enculer. - J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode tout en faisant vibrer son clito. Très vite, elle jouit et crie sans retenue son plaisir en m’inondant le ventre de cyprine. - Quel pied tu m’as fait prendre ! S’exclame-t-elle, en se mettant sur le dos.
Je m’allonge sur elle pour continuer à m’activer dans ses reins lorsque je sens ses cuissardes me serrer la taille. - A mon tour de te vider les couilles, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser. Puis, empoignant mes bourses d’une main, elle me plante un gode dans les fesses avec l’autre main. Tétanisée par la surprise, j’essaye désespérément d’échapper à ce pieu qu’elle manie avec une efficacité diabolique. Implacable, elle ne me laisse aucune chance et le pousse à fond dans mon ventre.
Au bord de l’orgasme, je ne résiste plus et plonge ma tête dans ses seins en signe de soumission.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle me fait découvrir une large palette de sa science érotique avant de me faire jouir.

 


J'aime 3
16-09-2010 0 11292

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Settings