Je ne portais rien sous ma robe.

Récit érotique écrit par mazaudier le 03-08-2025
Récit érotique lu 4 fois
Catégorie Couple

Ce soir là, une vague relation nous avez invité, mon mari et moi, à venir profiter de leur piscine, car les températures estivales s’annonçaient caniculaire. Après une douche rafraîchissante, qui n’avait pas calmé nos ardeurs matinales, nous nous préparâmes pour nous rendre à notre rendez-vous.

Tu avais choisi de ne rien mettre en dessous de ton bermuda et avait recouvert ton torse d’une fine chemise. Pour ma part, j’avais adopté pour une robe légère, fluide et longue, fendue sur le côté. Un bon moyen d’être ouverte et de pouvoir profiter des quelques bribes d’air frais. Je voulais te faire ressentir ce désir bouillonnant qui grimpait en moi.

Aussi, et alors que tu étais concentré sur les kilomètres à parcourir, je découvris mes jambes qui, je le sais, apparaissaient nues dans ton champ de vision. J’avais modifié l’angle du miroir afin que tu puisses également profiter de ma vue.

J’avais langoureusement mouillé mes doigts tandis que j’allongeais mes jambes en les écartant légèrement. Mon autre main venait caresser ma poitrine au travers du tissu de ma robe. Puis doucement, je vins faire glisser la bretelle te dévoilant ainsi mes seins. Mes doigts glissaient entre mes lèvres intimes, déjà bien humidifiées par cette chaleur qui me dévorait délicieusement.

Je voyais dans le rétroviseur que tu n’étais pas que concentré sur la route. À ce moment, j’avais envie que tu me vois, et peu importe si les autres automobilistes qui roulaient en face de nous me voyaient ainsi, Avec toi, c’était toi que je voulais. Mes yeux se dirigèrent vers ton bermuda, et je voyais que mon petit jeu subtil ne te laissait pas insensible. Ton allure n’allait pas changer sur une bonne partie de trajet. De ce fait, j’avais délicatement ôté ta main du pommeau de vitesse, et vins la placer entre mes jambes.

Tu n’étais pas difficile à convaincre.

Et tes doigts ont rapidement pris la route que je voulais que tu empruntes. Tu souriais à mesure que je venais faire danser mon clitoris sur tes doigts qui cherchaient à me donner du plaisir. Je respirais fort, je te désirais tellement, et tu ne semblais pas vouloir t’arrêter. Aussi, j’avais choisi de te faire languir également. J’approchais ma bouche de ton cou que je dévorais délicatement avant de venir t’embrasser au coin des lèvres.

Je m’étais approché de toi, un sein nu contre ton bras, pour venir caresser tes cuisses. Tu haletais. C'était tellement bon à entendre. Tu succombais à mes désirs Mes caresses remontaient en direction de ta queue, et c’était avec joie et satisfaction que je constatais que tu étais bien en forme. Ma main caressait ton sexe à travers le tissu de ton vêtement. Les soubresauts qui l’animaient parlaient d’eux-mêmes.

Le tissu ainsi tendu témoignait de l’étroitesse de ton bermuda. Je fis descendre la braguette pour libérer la pression accumulée et vins te masturber. Tu avais alors soupiré, comme l’on soupire lors d’un soulagement éprouvé...doucement. Je me baissais pour venir goûter à ta moiteur.

Ma langue humidifia ton gland, et je le lapais pour qu’il soit aussi trempé que pouvaient l’être mes cuisses à ce moment. Je léchais ton membre de tout son long, tout en te masturbant de temps en temps. Mes ongles parcouraient le haut de tes cuisses et se promenaient également sur ton sexe. Je te désirais si fort… Je me redressai et vins t’embrasser dans le cou tout en te masturbant de toute ta longueur.

Puis je pris ta main pour venir la placer entre mes cuisses afin de satisfaire mes envies.

« J’ai tellement envie qu’on soit en retard » soufflais-je au creux de ton oreille.

Je revins alors lécher ta queue si douloureusement tendue et je la fis entrer dans ma bouche. Tu étais si chaud, et si dur… J’avais tellement envie de te sentir en moi. Je déplaçai ta main et vins me masturber tandis que je suçais ton sexe avec autant d’ardeur que si je te chevauchais.

Brusquement, tu fis ralentir la voiture. Je me relevais pour observer ce que tu faisais.

Tu t’étais garé sur le bas-côté. Et tu me demandas de sortir alors que tu ouvrais déjà ta portière. Tu vins me rejoindre côté passager, à l’extérieur, et tu attrapas fermement ma poitrine toujours découverte. Ta bouche était intensément agrippée à la mienne et tu collais ton bassin pressant ainsi ton érection contre mon corps. Tu pris ma main et m’emmenas vers le bosquet qui était non loin de nous. Durant cette petite course, je remontais maladroitement mes bretelles. Nous étions maintenant plus ou moins hors de visibilité des passants, cela dépendait de l’angle, mais l’endroit était plutôt intime. Nos bouches se sont rapidement retrouvées, aimantées par une puissante envie commune. Tes mains m’ont aussitôt déshabillée, dévoilant ainsi ma nudité à la nature qui nous entourait.

Je ne portais rien sous cette robe, elle était mon seul apparat.

À cet instant, je pliais mes genoux pour venir retrouver ta bite afin de pouvoir m’adonner à te donner du plaisir. Je glissais ton membre entre mes lèvres et je caressais tes cuisses sous ton bermuda les griffant légèrement pour accompagner le désir qui faisait vibrer mon corps. Tes mains caressaient mes cheveux et se laissaient bercer par les mouvements de va-et-vient que ma tête produisait. J’adorais te sentir si vigoureux au fond de ma bouche. Tu fis ralentir mon rythme avec tes mains et pris les miennes pour m’inviter à me relever, comme un maître demandant à sa soumise de le rejoindre à ses côtés. Obéissante, je me redressais et tu fis alors glisser tes doigts dans le volcan qui avait prit le contrôle du creux de mes reins.

Un cri m’échappa et je te vis sourire fièrement.

Mes cuisses ruisselaient de mon désir qui te criait sa frustration. Tu me retournas et je me retrouvais face à un arbre. Son écorce semblait avoir vu bon nombre d’amants avant nous. Je me penchais tout en relevant mes fesses face à ton pubis et tu dirigeas ta verge vers mon intimité. Tu glissais ton sexe entre mes lèvres me faisant ainsi bouillonner d’envie et d’impatience. Je me déhanchais doucement afin de pouvoir te faire entrer en moi… Et j’y parvins. Mais tu ne bougeais pas. Aussi, j’ondulais mon corps afin de te faire entrer et sortir de moi, reproduisant une levrette menée par madame. Mes mouvements étaient lents, tout du moins pas assez intenses à mon goût, et cela ne faisait qu'atiser mon désir. Tu caressais mes fesses en observait ta queue se faisant engloutir par ma chatte qui ne demandait qu’à être rassasiée.

Après quelques mouvements, tu te décidas enfin à reprendre le contrôle.

Quel soulagement de te sentir plonger profondément en moiUne de tes mains se tenait à mon épaule et l’autre s’accrochait fermement à ma fesse. Tu me pilonnais m’arrachant plusieurs cris de plaisir que je tentais d’étouffer en pinçant mes lèvres. Je me retenais d’une main contre l’arbre et je me touchais de l’autre. Si tu savais combien tu m’avais remplie de plaisir et de satisfaction à ce moment. Tu semblais grogner, je t’entendais gémir au rythme des coups de reins que tu m’infligeais. Tu étais rapide et très vigoureux.

Une décharge se fit ressentir aux creux de mes reins. j’étais en train de jouir, ici, nue dans un bosquet en ta délicieuse compagnie.

Je ne retenais plus mes cris de plaisir et fît entendre à qui le voulait la jouissance que tu me donnas. Tu sortis alors d’entre mes lèvres et poussa légèrement ton gland contre ma croupe. Ta verge était tellement enveloppée de mon envie que tu entras dans mon petit trou sans difficulté. Tes mouvements étaient d’abord longs et profonds, j’adorai sentir le plaisir que tu éprouvais avec mon corps. Tu gagnas alors en vitesse, retrouvant ainsi cette allure que tu avais quand tu étais au fond de ma chatte. Je te sentais devenir de plus en plus dur et tu continuais à cette même vitesse en insistant fortement tes coups de reins quand tu t’enfonçais en moi. Je me touchais encore, j’avais toujours aussi faim de toi. Tes à-coups devinrent un peu plus lents, longs et toujours aussi profonds, et ta respiration prenait un autre rythme : tu allais jouir. Quelques secondes, plus tard, je sentis ton corps se raidir alors que tu te soulageais au fond de moi.

Tu restas là, ta verge entre mes fesses, le temps que tu reprennes doucement tes esprits après ce plaisir.

Je me redressai et remis ma robe tandis que tu réajustais tes vêtements. Nous nous embrassâmes tendrement avant de se diriger vers la voiture que nous avions quitté plusieurs minutes auparavant. Avant de s’y installer, tu regardas ton téléphone pour voir l’heure qu’il était.

« Nous sommes très en retard ? » Te demandais-je.« On leur dira qu’on a eu une panne ». Répliquas-tu en souriant d’un air espiègle.














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03-08-2025 0 4

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