Mon premier concubin, le cycliste !

               Mon premier concubin, le cycliste !

Dès que j’ai commencé à travailler, j’ai mis de l’argent de côté, je voulais voler de mes propres ailes et quitter le cocon familial.

À 22 ans, ma rencontre avec Michel a été le déclencheur ! Je n’étais pas plus amoureuse que ça, mais il avait son appartement et une bonne situation de comptable.

Je n’avais rien à investir, juste à emménager avec mes culottes, et si cela n’allait pas, je pouvais partir !

Forcément, cela ne plaisait pas trop aux parents, même si ils adoraient Michel, vu sa situation.

En plus de son travail, Michel avait une passion : le vélo ! Il pratiquait des compétitions. C’est comme cela que j’ai connu ce milieu.

Avec quelques victoires à son palmarès, il se prenait pour un Champion, et j’ai rapidement été obligé de m’adapter à son régime et ses exigences !

Avec lui, pas question de baiser le Mercredi, car il avait fait sa grande sortie et fatigué ne bandait pas ! Le Jeudi, c’était souvent un « 69 », et le Vendredi et Samedi, veille des courses il ne fallait rien faire, car cela lui donnait mal aux jambes et des crampes ! Et le Dimanche soir, rebelote, il était mort et quéquette molle ! Voilà ma vie sexuelle de cette époque !

Ce Dimanche de Juin, il courait assez loin dans l’Orne, il avait donc décidé d’emmener avec lui un coéquipier de son Club pour partager les frais. Notre véhicule avait une galerie spécifique.

Celui-ci, Alain arriva à la maison vers 11H 30, et nous partîmes rapidement. Nous sommes arrivés sur place peu avant 13 h 00, les gars avaient le temps de se préparer, de s’échauffer, et les voilà partis.

Nous étions stationnés après le village, dans une petite allée ombragée. Et cela était bien, car il faisait chaud !

Malheureusement, c’était des grands tours de 16 km, donc un passage tous les 24 minutes car c’était un circuit avec de la côte !

J’avais déplié une serviette de bain, et vu qu’il n’y avait personne, je pouvais relever ma petite robe pour sentir un peu de fraîcheur sur mes jambes et mon bas ventre.

Au premier passage, les coureurs avaient mis 26 minutes, et déjà une échappée avec Michel dedans ! Je n’avais pas vu passer Alain, et retournais sur ma serviette m’allonger !

Quant soudain, après environ dix minutes, je le vois arriver en marmonnant !

« Fais chier ! J’étais bien et je crève, la merde quoi ! «

Il pose son vélo au sol, retire son casque, enlève son maillot, restant avec son short cycliste que j’appelle un moule bite !

Il sort de son sac une grande serviette et un petit tapis de sol, enlève ses chaussures et chaussettes.

Je continue à l’observer, étonné par la grosseur de son sexe bien moulé par son short lycra.

Il ouvre le coffre du véhicule, sort une bassine et un bidon d’eau commence à se laver avec un gant, se frotte la poitrine et puis les jambes.

Les coureurs passent et entament leur troisième tour, il leur en reste quatre !

Lorsque je reviens, Alain est en train de nettoyer son sexe avec le gant.

Je reste plantée à le regarder faire, il a l’air de bander et machinalement, je porte ma main à ma petite chatte pour me caresser !

Alain m’interpelle :

«  Hé bien  Marcelle, mon sexe te fait de l’ effet ? Tu veux le toucher pour comparer avec celui de Michel ! «

Tout en me rapprochant, je ne quitte pas sa queue des yeux !

« Oui, elle a l’air bien plus grosse que la sienne ! «

Je la prends en main, et la soupèse. Encore humide, elle est bien chaude, elle se dresse dans la main.

Je commence à la branler doucement, derrière la voiture, personne ne peut nous voir.

« Alors, elle te plaît, tu peut la goûter si tu en a envie, je ne dirai rien à ton Champion ! «

Je ne réponds pas, et sans attendre, je m’agenouille et la prends en bouche. Ma langue glisse sur son gland, il a l’air d’aimer, car il a empoigné ma tête !

Je baisse un peu plus son short cycliste et lui malaxe les couilles en le suçant !

« Oh là là !!!!!! Comme tu suces bien !!!!! Ahhhhhhhhh !!!!!!!

Je me doutais que tu étais une bonne chienne !!!!!!!!!!! «

Ses réflexions m’excitent et j’augmente ma vitesse de succion, sa queue est grosse et bonne, c’est vrai que j’en avais envie ! «

Mais, ce que je veux, c’est la sentir en moi, dans mon vagin !

Je me relève, et m’ appuis sur le rebord du coffre, lui présentant mon derrière !

Il a compris mon désir, et me relève ma robe, avant de baisser mon Tangua.

Je suis arc-boutée, les jambes écartées et j’attends qu’il me plante son dard !

Ça y est, je sens son gland contre mes lèvres vaginales, et là doucement il s’enfonce entre celle-ci !

Il m’a déboutonné le haut de ma robe, et ses mains pelotent ma poitrine après avoir dégagé mes seins des balcons.

Je bouge mon cul d’avant en arrière pour l’aider à la pénétration et c’est génial, il me baise comme jamais ne m’a baisé Michel, ses grosses couilles tapent sur mon cul !

J’ai envie de crier mon plaisir, je me contente de le remercier !

« Oh oui, enfonces ta grosse queue dans ma chatte, baise moi bien ! «

« Oui c’est ça, bouges bien ton cul, oooooh ouiiiiiiiiii, trop bonne ! «

Il me maintient aux hanches, mais c’est moi qui donne la cadence !

Je roule mon cul pour approfondir mon plaisir ! Je l’entends grogner de plaisir ! Il est plus motivé que Michel, c’est un bon coup !

J’accélère la vitesse, des frissons m’envahissent, la chaleur envahi mon vagin, je sens son sperme qui se répand en moi !

« Oh oui oui !!!!!!! Ta queue est bonne ! «

Il a vidé ses couilles en moi et maintenant me présente sa queue à nettoyer !

Consciencieusement, ma langue parcourt son gland, puis son membre, je me délecte de ce jus de sperme et cyprine mélangé, c’est bon !

Une fois nettoyée et rhabillée convenablement, nous nous apercevons que nous avons ratés un passage !

La course se termine, Michel fait troisième !

Pas content, il nous déclare en colère :

"  Je me suis fais baiser ! "

Je le console.

Puis, il me dit :

« Je ne vous ai pas vu un tour ? «

 Alain s’empresse de répondre :

« Oui, ta fiancée avait une envie, il a fallut lui trouver un endroit tranquille ! «

Après le départ d’Alain, Michel me demande si je veux bien que nous partions en vacances avec son copain ? «

«  Pourquoi pas, si tu t’accordes bien avec ! «

Après sa douche et le dîner, Michel, comme d’habitude c’est endormi comme une souche, fatigué par sa course !

Moi, je me suis caressée devant la TV, en pensant à Alain !

                 Merci de votre lecture !