Une famille pas ordinaire Une drôle de surprise

Récit érotique écrit par mlkjhg39 le 17-05-2017
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Catégorie Partouzes-Orgies

Une famille pas ordinaire.

 Sixième chapitre :

Je présente une amie pas ordinaire à mon frère.

 Nous avons continué nos ébats dépravés de nombreuses années en pimentant parfois le jeu en amenant à notre étalon de « belles juments Â» qui voulaient absolument découvrir son vit exceptionnel.

Je vais vous raconter une histoire qui l’a beaucoup marqué.

Mon frère et moi avions été invité dans le midi chez une de mes amies pour une semaine de vacances ou tout le monde sait à l’avance que ça va finir à l’horizontal.

C’est une fille qui se confie peu et malgré que l’on soit d’excellentes amies, je ne sais pas grande chose sur elle et sa famille. Elle a des mÅ“urs assez libres et lors d’une conversation assez « olé- olé Â» entre nous, je lui ai parlé de l’organe hors-du commun de mon frère.

Depuis, elle me tanne régulièrement pour que je les fasse se rencontrer.

Nous arrivons  chez elle juste pour l’apéritif. Il fait très chaud et la maison est superbe avec une grande piscine.

Sandrine est toujours aussi jolie et accueillante, elle me prend à part et me dit qu’elle nous a réservé une surprise mais ne veut pas m’en dire plus.

Le sport lui a fait une silhouette longiligne sans un poil de graisse, elle a un bassin étroit, des seins parfaits et bien proportionnés, une longue chevelure blonde descendant jusqu’à la naissance de fesses musclées.

Ses yeux sont verts avec de beaux sourcils. Une grande bouche bien dessinée. Bref, le genre de fille idéale que tous les mâles veulent avoir à leur tableau de chasse

Tout de suite, je vois que le courant passe entre Damien et Sandrine.

Après un bon repas, nous passons un après-midi idyllique  de découverte du coin et avant de dîner, elle nous invite à piquer une tête dans la piscine.

Sans attendre notre réponse, elle se met complètement à poil et plonge dans l’eau.

Elle refait surface et nous explique en souriant.

 -Depuis mon enfance, j’ai passé avec ma famille toutes mes vacances dans des camps de naturistes. La nudité est à vrai dire pour moi une seconde nature. Alors vous venez ?

Nous nous regardons et n’ayant depuis longtemps plus rien à nous cacher, en deux temps trois mouvements nous nous retrouvons nus comme des vers et plongeons la rejoindre.

Damien fait quelques longueurs de bassin puis vient nous rejoindre à l’endroit de la piscine ou nous avons pieds, il se retrouve entre nous deux et je vois Sandrine fixer l’entrejambe de mon frère avec des yeux exorbités.

L’eau de la piscine a deux effets sur sa verge, elle permet a sa hampe majestueuse de flotter entre deux eaux et la diffraction du liquide a un effet de loupe. Son mandrin encore flasque paraît disproportionné.

 Récit de Sandrine.                                                                                  La vision de ce membre hors du commun me met dans un état second. Comme un automate, ma main s'avance, c’est une expérience unique, de la curiosité et de l’envie. Mes doigts fins s'enroulent autour de la hampe flasque.

Je prends son pénis à pleine main et commence à le caresser. Je joue avec, telle une petite fille qui découvre un nouveau jouet et veut l'essayer tout de suite.

 Je soupèse cette belle verge et commence une lente masturbation.

Quelle vision étrange, ma main délicate glissant le long de ce sexe disproportionné, ce nœud lourd qui sous mes caresses gonfle et grandit, se dressant doucement, fièrement, j’observe ce tuyau flasque grossir et grandir encore et encore.

Je rêve, ébahie devant le spectacle… Son pénis se redresse et s’allonge centimètre par centimètre, il semble doubler de longueur, et plus il devient dur plus il épaissit.

 Ma main ne peut plus en faire le tour, cela semble plus gros que mon poignet.                      Le plus impressionnant, c'est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque.

Je la caresse pour qu’elle atteigne toute sa plénitude et m’exclame tout sourire sans aucune gêne :

 -Putain, tu m’avais pourtant prévenue Aude, mais je n’en reviens pas, je n’ai jamais été confrontée à un tel épi. Sa queue est démesurée mais ce qui  m’impressionne le plus c’est son épaisseur, comment peut-on accepter en soit un tel bélier?

Je l’embrasse et lui demande si elle accepte que Damien me prenne tel un étalon saillant une jument. Elle me répond que ça ne dépend que de lui mais qu’elle veut aussi sa part.

Damien n’attendait que ça et rétorque :

 - Je ne peux vous prendre en même temps mais je veux bien en baiser une en léchant le minou de la deuxième.

Je continue ma masturbation y mettant les deux mains puis avec des gestes de plus en plus rapides, je m’acharne d’une seule main. Il gémit se tordant de plaisir, je plonge la tête sous l’eau et en apnée enfourne son gland congestionné entre mes lèvres.

Ma langue fait des cercles au bout de son sexe avant de gober son pieu en bouche. Enfin ce que je peux enfourner.

Plusieurs fois je remonte reprendre ma respiration pendant qu’Aude me relaie dans cette fellation subaquatique.

Damien est au bord de la jouissance et crie dans un râle.-Je vais jouir !...

Je replonge et accélère encore la cadence. Il se retient autant que possible mais au bout d'un moment, ne peut plus se retenir et tire sur mes cheveux pour retirer son mandrin de ma bouche qui telle une sangsue ne veut plus se détacher de son vit.

Nous voyons de longs filaments blancs pulser du méat et flotter dans la piscine. Les jets se succèdent se diluant les uns après les autres dans l’eau.

Nous sortons de la piscine mais je suis vexée de n’avoir pu profiter de sa semence et reviens à la charge branlant Damien pour que sa bite retrouve sa dureté ferrugineuse.

Je le suce pour que sa bite monte plus vite et Aude me rejoint pour m’aider.

 Dès que je le trouve à point pour mon goût, je le fais s’étendre sur un matelas pneumatique et m’empale lentement sur sa queue dans un gémissement très fort aussi loin que je peux, puis entame une course folle sur cet axe d’acier.

 Aude a mit un genou à terre de chaque coté du visage de Damien pour qu’il  lèche sa chatte pendant qu’elle m’embrasse et me caresse, j’adore ça.

J’accélère mes va-et-vient et gémis de plus en plus fort. Au bout de quelques  minutes nous intervertissons nos places quand la fatigue du coït se fait sentir.

 Mais n’étant pas encore prêt à éjaculer, Damien me retourne sur le dos et dit à Aude de se mettre debout devant lui. Il me pilonne tout en la tenant par les fesses, sa langue titillant son clitoris.

Aude et moi partons ensemble dans un merveilleux orgasme  qui déclenche le plaisir de Damien. Il éjacule toute sa semence dans ma chatte tétanisée. Nous nous écroulons, fatigués mais heureux de notre partie de sexe à trois.

Les deux jours suivant ont été merveilleux, nous faisons de belles balades découvrant des paysages superbes et finissons nos journées dans des bacchanales endiablées.

 La surprise que je leur ai promise arriva le quatrième jour.

Il pleut à verse et ne pouvant faire du tourisme, l’après-midi tourne vite à une nouvelle partie de jambes en l’air.

 Récit de Damien.

 Fatigué après cette gymnastique sexuelle, je me détends couché sur le sol entre ces deux belles filles nues enlacées dans mes bras, elles ont chacune une main sur ma verge et me caressent doucement entretenant mon érection.

Je ne sais pas ce qu’a Sandrine aujourd’hui mais elle est déchainée coté sexe, j’ai du mal à la contenter, une vraie ogresse revenant sans cesse au rab.

Au bout d’un moment Sandrine se relève et quitte la pièce pendant que ma sœur vient se positionner au niveau de ma bite et s’empale dessus lentement.

A quel manège joue Sandrine ? Ca fait plusieurs fois qu’elle sort de la pièce pour revenir presque aussitôt et se jette sur moi comme une droguée en manque.

La chatte étroite de ma sÅ“ur compresse ma bite dans ses contractions intimes montant et descendant sur ma queue en poussant des cris de jouissance. Plantée sur moi, elle ne bouge plus. Elle se contente de contracter et décontracter les muscles de son vagin. Quel pied !

 Sandrine prend la place de ma sÅ“ur qui présente son coquillage à ma bouche gourmande et ne tarde pas à m’inonder de sa mouille.

Sandrine crie de plus en plus et je commence à avoir du mal à me retenir, soudain elle me demande.

 -Je veux que tu me mettes ton énorme dard dans le cul !

- Je vais te préparer au supplice, riposte ma sÅ“ur !

Et pendant cinq minutes, elle lui lèche le fion, lui glisse un doigt puis plusieurs dans le cul et pour finir lui passe une crème qui détend ses muscles tout en désensibilisant les chairs.

Ce petit intermède m’a fait du bien, ma sÅ“ur  m’oint la pine du même onguent et c’est parti pour l’enculage.

Je lance à Sandrine en m’étendant sur le dos.

 -Je te laisse l’initiative.

Elle a un moment d’hésitation, mais l’envie est trop forte.

Ma bite que je tiens à la base est dressée comme un « I » au milieu de mon pubis poilu.      Elle m’enjambe et vient pour s'empaler sur ce mât dressé.

Je mets une main sur sa hanche et elle sent pointer mon gland sur son anus. Aussitôt elle exerce une pression et son derrière s’ouvre absorbant mon gland. Jusque-là tout va bien…                                                        Je la rassure:                                                                                               

-Détends-toi. C’est le moment le moins agréable mais tu vas vite apprécier.                                                                                                 Je m’enfonce en elle en élargissant les parois de son petit trou, ses fesses sont ouvertes comme jamais et je la vois grimacer, à ce moment-là elle ne prend pas encore de plaisir.   Cette intrusion lui fait mal et lui arrache des larmes accompagnées de longs gémissements. Elle essaie de se retirer mais je mets ma deuxième main sur son autre hanche et propulse avec puissance mon bassin.

Elle hurle sous la douleur et comprend qu’elle ne peut échapper au supplice.  Mais en même temps, elle n’a pas envie que ça s’arrête et ne veut pas me décevoir, elle encaisse mon engin avec courage et m’avoue :                                                                                                           

 -Damien, je souffre tel une suppliciée, je veux que tu m’empales à fond sur ton obélisque dressé !

J’arrête ma poussée et la rassure:

-Ça va aller. Tu as fais le plus dur. Tu as  pratiquement mon gourdin en entier entre  les fesses.

-Ça, je m’en suis rendue compte, je n’ai jamais été aussi remplie ! Ton énorme engin est dressé comme un tuteur en moi, m’empêchant de me pencher ou de me relever. Je ne peux plus bouger, je suis complètement  paralysée par cette colonne de chair à l’intérieur de moi et les muscles de mon anus se contractent autour de ton pieu extraordinaire, comme pour essayer de l’en expulser, je me sens investie, possédée, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera...

 Je ne bouge plus pour lui permettre de s’habituer à l’intrus pendant 2 minutes avant de recommencer à m’enfoncer un peu plus en elle.

Elle reprend son monologue :

-Je sens mes fesses s’ouvrir, petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Je sens tes lourdes bourses s’écraser contre ma vulve. Ça y est, tu es entièrement en moi.

Je l’expulse de mon chibre et la retourne sur le dos  pour mieux la sodomiser et attire son attention sur ce qui va suivre :

 -Allez, en piste pour le rodéo ! Tu as un cul génial. Maintenant, je vais te défoncer, mais si c’est trop pour toi, préviens-moi et je stoppe illico. Ok ?

Elle me rétorque dans un râle:

-Parle moins et agis, tu verras que je supporte bien, je suis une grande fille !

Je la prends au mot et  l’encule dans des poussées de plus de vingt centimètres.

Elle recommence son reportage radio :

  -J’ai un peu mal, mais la sensation est indescriptible. Je sens ton membre si épais coulisser dans mes fesses, me remplir puis un grand vide quand tu te retires ! Jamais je n’ai ressenti ça avec d’autres partenaires ! Je suis comme une marionnette désarticulée que tu animes de l’intérieur.

Ses muscles se relâchent complètement, Elle gémit,  râle,  crie. Des larmes de douleur ou d’extase coulent sur ses joues, quelle sensation ! J’accélère le rythme  jusqu’à devenir brutal me défoulant dans sa raie culière. 

Je tiens quelques longues minutes avant de tout lâcher et je lui éjacule dans ses entrailles une bonne dose de foutre.
J’ai à peine sortie ma verge du cul de Sandrine complètement dilaté que ma sÅ“ur, pas gênée une seconde par  l’endroit ou traînait ma teub, ne peut se retenir  de me caresser la bite et commencer une fellation.

 Elle me gobe le gland avec sa bouche et me nettoie la pine du bout de sa langue me redonnant très vite toute ma vigueur. Pendant ce temps Sandrine s’éclipse une nouvelle fois.

Ma sœur continue à me sucer comme une experte et si je ne venais pas d’éjaculer je n’aurais pas pu tenir longtemps sous ces coups de langues. Elle me malaxe les testicules tout en me suçant.

Sa matrice est trempée. Je lui enfonce un doigt, mais elle se lève pour me présenter sa chatte que je lèche sans me faire prier. Ses lèvres sont douces et je sens sa mouille me couler sur la langue. Elle râle de bonheur et se palpe les seins en même temps.

Soudain je sens quelque chose à l’entrée de mon anus, je me laisse faire et Sandrine qui est revenue m’introduit un doigt puis un deuxième tout en prenant mon braquemart entre ses lèvres, j’ai du mal à me retenir de lui éjaculer dans la bouche.

Sandrine me susurre à l’oreille.

 -Je veux que tu me reprennes à nouveau par derrière mais par pitié, cette fois ci, vas-y en douceur !

Elle se met en levrette et me présente ses fesses cachant son anus d’une main.

Je m’approche d’elle et présente mon vit à l’étroit passage qui s’est considérablement refermé, pourtant je l’avais bien alésé il n’y a pas si longtemps…… ?!?!

Je mets mes deux mains sur ses hanches et m’engage d’une poussée lente tout en force.

Elle a l’air de vouloir résister à la pénétration et si je ne la tenais pas aussi bien, je n’aurais pas pu réussir à faire rentrer mon gland qui glisse avec une extrême lenteur dans ses entrailles.

Elle hurle comme une folle qui connaît sa première sodomie.

 -Nooooonnn ! Nonnnnnnn ..... Ohhhhhhh ..... Ohhhhhh.....Arrête… Je t’en prie......  Argghhhhhhhhhhhh !.... Tu es trop gros, c’est atroce !….

Qu’est qu’elle raconte ? Je suis perplexe, comment son petit cul que j’ai ramoné comme un fou il y a à peine un quart d’heure a-t-il pu  perdre son élasticité et me broyer si fort la pine ???

Je la vois de nouveau se tordre de douleur quand chaque centimètre de mon vit  glisse à l’intérieur de sa raie culière.

Elle reprend de plus belle :

 -Arrête, j’ai trop mal, je t’en supplie Damien, stop, je souffre trop !!!!

Je me fixe, ne voulant pas la faire souffrir plus quand j’entends une porte claquer derrière moi et une voix s’exclamer.

-Arrête Damien, tu va déchirer Virginie !!!.................

Je tourne la tête et suis saisis de stupeur, je vois une deuxième Sandrine !!!

Elle prend la parole.

 -Aude et Damien, je vous présente ma sÅ“ur jumelle Virginie, mon aînée de dix minutes.

Ce que nous adorons, c’est de nous faire passer l'une pour l'autre, nous échangeons ainsi les rôles mêmes pour nos conquêtes masculines. Ils n'y voient que du feu.
- Oui reprend Virginie, Sandrine m’a dit que tu étais un bon coup et j’ai voulu vérifier si elle n’exagérait pas un peu.

J’ai pu me libérer pour arriver aujourd’hui voulant absolument le constater moi-même. Avec Sandrine on a toujours tout partagé.

- On t’aime toutes les deux et on te présente nos excuses pour la supercherie.

Tu as l’air d’avoir la santé car tu assures grave depuis le début de l’après-midi.                  C’est les vacances, alors si tu y consens et tu absous la méthode peu orthodoxe que l’on a employée envers vous deux, on continue comme ça. Je pense que ça ne doit pas te gêner, vu tes performances sexuelles  peu communes.

Ma surprise est totale. Des sÅ“urs jumelles, semblables comme deux gouttes d’eau !!!!!

Sandrine reprend la parole.

 -Depuis le début de l’après-midi, nous nous relayons auprès de vous mais Virginie a eu les yeux plus gros que le ventre, ou plutôt le trou du cul.

- Je n’ai pas eu le temps de la préparer comme Aude a fait pour moi et ton chibre est trop massif, tu risquais de la blesser si tu avais persévéré.

-Ressors en douceur de son fion que l’on puisse mieux la préparer.

 Le plus lentement possible, je retire mon pieu de sa petite corolle, la faisant hurler à nouveau.

Pendant dix bonnes minutes, Aude et Sandrine s’occupent du derrière endolorie de Virginie  avant de me donner le feu vert par une fellation double pour me faire rebander.

Virginie s’est remise en position mais je vois dans son regard de l’inquiétude, sinon de la peur.

 

Pour savoir la suite, il faudra attendre le prochain épisode.


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17-05-2017 0 24421

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