Mon mari m’a trouvée assise sur les genoux d’un autre ...

Je fixe mon reflet dans le miroir de la salle de bain, en repassant pour la dernière fois du mascara sur mes cils. Mes mains sont immobiles, mais je ressens un léger tremblement dans ma poitrine, mi-excitation, mi-culpabilité.

- Chérie, tu es magnifique, me surpris Derek m'appelant de la chambre. Ton patron a de la chance d'avoir une employée aussi ravissante et aussi dévouée.

Je déglutis. C’est vrai que ma tenue est audacieuse, courte jupe, chemisier, hauts talons. e

- Merci, mon amour. C'est juste un dîner d'affaires. Rien de spécial.

Il apparaît dans l'embrasure de la porte, m'adressant ce sourire chaleureux qui avait l'habitude de me donner des frissons dans tout le corps. Maintenant, ça ne fait qu'empirer ma culpabilité.

- À quelle heure rentreras-tu ? Demanda-t-il.

- Pas trop tard. Probablement vers vingt trois heures.

- OK, je serais certainement endormie. Grosse échéance pour un projet demain.

Le klaxon de Jasmine retentit au dehors. Derek n’aime pas Jasmine, il dit qu’elle a de l’influence sur moi, et je dois admettre qu’il n’a pas tout à fait tort. Divorcée, elle ne supporte pas qu’une femme mariée ne puisse pas s’amuser, profiter de la vie. Et elle connaît ma position à ce sujet. Il est hors de question que je trompe mon mari.

Je prends mon sac, vérifie mon téléphone qui vibrait dans mon sac. C’est Derek. « Je t’aime. » - « Moi aussi. » Je le dis et le pense vraiment. C’est ce qui rend la situation déroutante, mais aussi captivante. Puis un message de Ryan, un collègue de travail, me demandant si j’avais toujours l’intention de sortir ce soir. Je répondis que oui, puis mis mon téléphone en mode silencieux.

Jasmine est pratiquement débordante d'énergie quand je monte dans sa voiture.

- Ma belle, tu es canon. Ce soir va être incroyable.

- C'est juste de la danse, Jazz, d’accord ?.

- Juste de la danse, répète-t-elle avec un sourire entendu, peut-être plus. Quand est-ce que Derek t'a-t-il vraiment baisée? Quand t’a-t-il vraiment satisfaite pour la dernière fois ?

Je dois avouer qu’elle n’avait pas tord. Derek était souvent absent ces derniers temps.

- Ils sont toujours absent quand on a besoin d’eux. C’est pour ça que je suis divorcée. Ce soir, tu vas te sentir vivante comme jamais. Ta beauté ne mérite pas de rester insatisfaite.

Je regarde les lumières de la ville défiler par la fenêtre. Peut-être a-t-elle raison. Peut-être qu'une nuit à se sentir vue et désirée ne fait pas de mal. La salle est bondée. Des cœurs s'emballent. Des corps partout. Le rythme est si fort que je le sens dans ma poitrine. L'air est lourd de parfum, d'eau de Cologne, de sueur et de quelque chose électrique.

- Deux vodkas-sodas, crie Jasmine au barman.

Je les bois trop vite. Mais j'ai besoin de courage. C'est à ce moment-là que je le vois. Ryan. Il est encore plus beau qu'à la salle de sport. T-shirt noir moulant, démarche assurée en se frayant un chemin dans la foule. Il sourit en me voyant. Il m’embrasse sur la joue, m’invite à danser. J’aurai dû dire non. J’aurai dû rentrer. Au lieu de ça, j'acquiesçais. Sur la piste de danse, des mains trouvèrent ma taille, tandis que je nouais mes bras autour de son cou.

Soudain, nous bougeons ensemble. La musique était si forte, si envoûtante que j'en oubliais presque que j’étais mariée. Presque. Ryan me murmura à l'oreille. « Détends-toi. »

Jasmine me fait un signe de pouce levé de l'autre bout de la pièce. Elle demande si elle peut intervenir. Un autre homme, grand, beau gosse, probablement dans la trentaine, apparaît à côté de nous. J’apprendrai son nom plus tard. Marcus. Puis il y en a un autre, puis un autre. Je tourne d’un partenaire à l’autre, ris, ressentant cette euphorie d’être désirée, d’être vue. Chacun me regarde comme si j’étais la seule femme dans la pièce. Puis on se dirige au bar, j’aperçois mon reflet dans le mur de miroirs. Joues rouges, regard hagard, alliance qui scintille sous les lumières de la boîte de nuit.

Je sens des mains montées sous ma courte jupe. Elles sont douces, chaudes. Puis elles redescendirent, mais pas vide. J’aperçus ma culotte entremêlée entre ses doigts. Lentement, il m’oblige à m’asseoir su lui. Je sens un objet dur, imposant se glisser entre mes fesses, puis pénétrer ma chatte. J’essaie de me retirer, mais mon corps capitule, s’ouvre à la pénétration.

La musique semble s’estomper. Mais quelque chose change. Ce sentiment qu'on que quelqu'un vous observe. Je me tourne vers le bar, encore en train de jouir, puis le rire de quelque chose que Marcus vient de dire, mon cœur s'arrête. Derek est là, debout, dans le costume noir que je lui ai acheté l'année dernière. Son visage est parfaitement calme, ses yeux sont rivés sur moi avec une intensité qui me glace le sang. Nos regards se croisent à travers la salle bondée. Tout disparaît. La musique, les gens.

- Que fais- tu Sarah, bafouille-t-il.

L’inconnu sur lequel je suis assise, arbore un sourire narquois, montrant qu’il est maître de la situation. Calmement, il soulève ma jupe, dévoilant à mon mari ma chatte empalée sur son énorme queue.

- Tu comprends pourquoi elle ne peut bouger...avec ce qu’elle a dans la chatte, regarde comme elle aime ça...n’est-ce pas ? Dis à ton mari comme tu aimes.

Je fixe les yeux de Derek. Je sens les larmes coulaient sur mes joues. L’inconnu fait un léger mouvement des hanches, s’enfonçant plus profondément en moi, me forçant à avouer. Je fermais les yeux, pris une profonde inspiration, puis secoua affirmativement la tête. Mais ce ne fut pas suffisant. Il me dit qu’il n’avait pas entendu. Mes sanglots embuaient mes yeux… « Oui….j’aime ça. »

Soudain, l’homme se retira, me força à me pencher sur lui. J’ouvris les lèvres et le pris en bouche. Il ne fallut pas longtemps pour sentir son abondante semence giclée au fond de ma gorge. Puis l’inconnu tira ma tête en arrière.

- Fais voir à ton mari ce qu’il y a sur ta langue.

Soumise, je me tournais face à mon mari, les yeux remplis de larmes. J’ouvris la bouche. Il ne put que constater le sperme épais déposé sur ma langue. Puis il me demanda de faire voir à Derek comme j’avalais. Je déglutis, et avala tout.

Derek en avait assez vu. Sans un mot, il quitta le club.

Je m’étais laissé courtiser pour me sentir désirée, mais de là tromper mon mari, il y avait un gouffre que je ne pensais pas être prête à franchir. Et pourtant, je les fait, de la plus horribles des manières, en m’offrant à de quasi inconnus. Voyant ma détresse, Jasmine me pris dans ses bras, m’entraîna au bar, là ou tout avait commencé. Les verres défilèrent rapidement, trop rapidement, au point qu’au bout de cinq minutes, je me trouvais entièrement nue, au milieu d’un groupe d’hommes.

Je sentais leurs mains parcourir mon corps, leur doigts me pénétrer, branler ma chatte et mon petit trou. Jasmine riait de me voir jouir, m’entendre crier à chaque orgasme. Elle se permit même d’essayer ses doigts dans moi. J’étais devenu leur jouet sexuel. Ils me prenaient chacun leur tour, chacun à sa façon, chacun sa levrette, chacun sa sodomie, chacun ma bouche, même en double. Je ne compte pas le nombre de fellations, le contenu de sperme avalé.

Le lendemain, je me réveillais dans un lit qui n’était pas le mien, une queue dans ma bouche qui n’’était pas celle de mon mari. Autour de moi, des bites en érections attendent leur tour. Je prend finalement à goûter leur texture, leur gland décalotté qui déversent leur semence au fond de ma gorge. Puis, ils jouent une dernière fois avec moi sous la douche, ou j’atteins les derniers orgasmes.

Je rentre enfin chez moi. La maison est vide. Sur l’îlot de la cuisine, la bague de Derek, accompagné d’un mot. « Je ne plus vivre avec toi après ça.»

J’appelle Jasmine pour l’informer du départ de mon mari, et lui demande de fixer la date de la prochaine soirée...Allez, à bientôt...