Une journée en famille

Récit érotique écrit par mazaudier le 08-07-2022
Récit érotique lu 3732 fois
Catégorie Sadomazo

Comme chaque année, un repas de famille, a lieu.

Il est dix heures quand tous les invités sortent de la piscine, pour l’apéro, et les grillades. Il va sans dire que, vu la chaleur, tout le monde reste en maillot.

Il y a Francine, la terreur, la plus méchante, et qui veut imposer sa loi. Tout le monde en a une peur bleue. Cette année, parmi les invités, récemment en couple avec Daniel. Le frère de Francine. Lors des présentations, Francine regarde Béa de travers. Les deux belles sœurs se toisent du regard.

- Qu’est-ce que t’as à me regarder comme ça ? Dit Francine. Ici, c’est moi qui commande. Alors t’as intérêt à te plier à mes ordres.

- Mais bien sûr, ironise Béa, en rentrant dans le salon poser ses affaires. Francine la suit.

- T’as entendu ce que j’ai dit, ou il faut que je te mette une rouste.

- Tu peux toujours essayer, répond Béa sur ses gardes.

Puis Béa se dirige vers sa voiture pour récupérer son maillot et sa serviette. Francine en profite pour la suivre. S’engage alors une violente altercation entre les deux femmes, coincées entre deux véhicules. Les corps s’opposent, se rapprochent. Soudain dans le reflet de la vitre, on s’aperçoit que Francine se retrouve entièrement nue. On voit ses yeux fermés, sa bouche légèrement entre ouverte, les mains appuyées sur les épaules de Béa. On l’entend gémir. Elle est tout simplement en train de se faire branler par sa belle-sœur. On voit Francine envoyer des coups de reins, sur les doigts qui la fouillent. Le reflet montre aussi le clitoris de Francine entièrement décalotté, rouler entre les doigts de Béa.

- Arrêtes, supplie Francine...ma chatte est toute mouillée...

- T’avais envie, hein, salope, dit Béa...ça fait trois fois que tu jouis. T’étais en manque. Allez, va rejoindre ta famille.

Francine arrive sur la terrasse, accueillie par les rires des invités. Elle saisit une serviette pour essuyer sa chatte.

- Que t’est-il arrivé, demande l’un...pourquoi tu criais ?

- Regardez...ma chatte est mouillée tellement elle me l’a branlée...Et mon clitoris, comme elle l’a décalotté, doigté...elle m’a fait jouir trois fois. Vous allez voir quand je vais la choper.

Béa revient calmement sur la terrasse, ou l’apéritif vient d’être servi.

A peine arrivée, que Francine lui saute dessus. Dans un ultime réflexe, Béa se retourne, saisit sa belle soeur par la taille, la soulève et la couche sur ses genoux. Elle commence à lui donner une fessée, puis glisse une main entre ses cuisses.

- Tu sais ce que vais faire, dit Béa, je vais arracher les vilains poils de ta chatte.

- Aie...aie...elle va arracher ma touffe…

- Mais bien sur que je vais les arracher...un par un...

Puis Béa soulève Francine, la ramène sur la terrasse, pour que tous les invités assistent au spectacle. Francine est mal en point, hurle à chaque épilation.

- Ouah...celui là il est gros…

- Non...c’est pas un poil...c’est mon petit bouton...c’est toi qui la décalotté...aie...aie…

- Tu préfères que je te le doigte...comme tout à l’heure.

Francine hurle de douleur, supplie Béa d’arrêter, que l’endroit est sensible, et qu’il va être tout rouge.

- Aidez-moi...elle m’a coincée, elle est en train d’arracher ma bourre. aie...aie...

- Et dire qu’elle voulait me mettre une rouste...quelle honte…

Les invités éclatent de rire en voyant le majeur de Béa tourner sur le petit bouton. Puis, ils préfèrent laisser les femmes entre elles, et aller se baigner.

- Allez Béa….amuses-toi bien avec elle, dit l’un d’eux.

- J’en ai bien l’intention, je vais bien la dresser, n’est-ce pas ma chérie…

Béa entraîne Francine à l’étage. Par derrière, dans les escaliers, elle glisse une main entre ses cuisses, et lui enfonce deux doigts dans la chatte, un troisième sur son petit bouton, toujours décalotté. Francine écarte légèrement les jambes, se met à gémir.

Arrivé à la salle de bains, elle force Francine à s’asseoir sur le plan de travail du lavabo, et d’écarter les jambes. Puis elle barbouille l’entre jambe de Francine de crème à raser, et lui rase la chatte.

- Voilà, dit Béa, la chatte d’une petite fille.

Francine est maintenant entièrement soumise à sa belle sœur, qui lui fait dire n’importe quoi. Elle lui fait avouer que son mari n’est pas bien monté, et qu’elle va deux fois par semaine, se faire baiser chez Guy, son pire ennemi.

- T’es une salope en fait...non seulement tu trompes ton mari, mais tu vas bientôt aimer les femmes.

- Non...je veux pas devenir gouine...j’ai mes voisines marocaines qui attendent que ça, pour s’amuser avec ma petite chatte....mais c’est tellement bon.

- Et ça mérite pas une fessée ça ?

- Fait ce que tu veux, souffle Francine.

Béa oblige sa belle sœur à se coucher sur ses genoux, prête à recevoir une fessées. Puis elle glisses une main entre les cuisses.

- Tiens...c’est quoi que j’ai attrapé là...c’est dur…

- Tu le sais, gémit Francine...c’est mon petit bouton...oh oui...vas-y...caresses le...hum, oh oui, c’est bon...je le sens bien rouler entre tes doigts...

De la piscine, les convives entendent les cris de douleur provenant de la fessée, mais aussi ce de plaisir, quand Francine atteint l’orgasme. Et ils sont nombreux, car Béa n’arrête pas de faire jouir sa belle sœur.

Quand ils reviennent, ils assistent à un spectacle hallucinant. Béa est en train de donner le sein à Francine. L’humiliation est totale. Francine est entièrement soumise.

- Regardez comme elle tète bien, sourit Béa.

- Oh putain...vite que je prenne une photo, dit une invitée.

- Et son clito, vous avez vu comme je l’ai bien décalotté, il est gros, hein.

- Ouah...mais tu l’as rasée aussi...Là aussi, ça mérite une photo.

En effet on voit nettement le clitoris décalotté, ainsi que la fente parfaitement épilée

- Attends que je le fasse rouler entre deux doigts...comme ça...vas-y…filme...

- Ouah...mais qu’est-ce qu’il lui arrive là ?

- C’est pas vrai...elle jouit encore...

- Assez, gémit Francine en lâchant le bout du sein, ça fait six fois que tu me fais jouir…

Francine se vrille sur le majeur qui doigte son clitoris, et qui lui apporte un plaisir intense. Elle reconnaît sa défaite, n’a plus honte de jouir devant les invités.

- Regardez, gémit Francine, comme elle s’amuse avec ma petite chatte, et mon clitoris tout décalotté. Oh oui ma chérie...c’est bon ce que tu me fais...oui...oui...

Les invités disent avoir assisté à un spectacle hallucinant, et l’avoir immortalisé en photo. L’un avoue avoir filmé, et propose de le passer lors d’un prochaine repas de famille.

Béa saisit une serviette sur la table, et entreprend d’essuyer la chatte de sa belle sœur.

- Maintenant, dis leur le pacte que l’on a passé.

- A chaque repas, je devrais porter une courte jupe, sans rien dessous.

- Et pourquoi ?

- Pour que tu puisses caresser ma petit chatte et mon clitoris, quand tu le désires.

Tous les invités applaudissent.

Puis Béa propose à Francine de finir la soirée chez elle, qu’elle a deux jeunes voisines maghrébines, qui aiment bien s’amuser avec les petites chattes des françaises.

Francine acquiesce de la tête, dit qu’elle va passer une robe. Béa lui répond que ce n’est pas nécessaire, qu’elle veut qu’elle reste entièrement nue, car elle a l’intention de la branler, et la faire jouir pendant le trajet, et qu’arrivé à la villa, elle sortirai dans le parc, et qu’elle courra. Le jeu consiste que les deux marocaines l’attrapent, pour s’amuser avec sa petite chatte, et son petit bouton.

Et voila. Depuis, à chaque repas de famille, Francine, soumise, finit entièrement nue, sur les genoux de Béa, qui s’amuse à la faire jouir devant tout les invités. Pire, c’est parfois Francine qui saisit la main de Béa, et la guide sur sa chatte. Elle lui murmure à l’oreille.

« J’ai envie...branles-moi...fais-moi jouir...»

Ce qui ce produit dans les courtes minutes qui suivent, dans des hurlements de plaisirs.

Elle participe également aux soirées cochonnes organisées par Béa, entre femmes d’un certain âge. On a vu une vieille de quatre vingt ans la couchée sur ses genoux, et lui a donné une fessée, tout en la branlant jusqu’à l’orgasme. Un autre soir, on a vu la doyenne de quatre vingt cinq ans, l’emmener dans une chambre, en la tirant par le clitoris. Francine en est ressorti qu’au petit matin, c’est vielles salopes se relayant pour la faire jouir.

Depuis, Francine passe tout ses week-end chez sa belle sœur, à servir d’objet sexuel à ces vieilles dames, aux idées perverses..


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08-07-2022 0 3732

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