Le combat de coqs

Faire jouir l’adversaire en premier, voila le défi qu’avait accepté une vingtaine d’étudiants des clubs de sport de la fac. Chacun de ces ados, âgés de dix huit ans,et bourrés de testostérone, voulait prouver leur force sexuelle, en montrant sa capacité à bander le plus longtemps, et à retenir son sperme, queue contre queue.

Les deux premiers sportifs à mesurer leur force sexuelle était Michel, et Guy. Michel était une star de l’équipe de Rugby locale, et on sait ce que signifie rugby, dans le pays de rugby.

Grand, brun, poilu, Michel était un mec sûr de lui, bien foutu évidemment, et il le savait. Il aimait narguer les plus faibles que lui, et se la jouait devant les filles.

Face à lui, le tirage au sort avait désigné Guy, joueur de tennis. Guy était loin de dégager la même puissance physique. Il avait vraiment la tête du mec sympa, pas violent pour un sou, le minet blond, bourgeois, poli. En terme de domination sexuelle, la balance ne semblait pas pencher en sa faveur.

Et pourtant, Guy fut le premier, dès le lancement du défi, à s’approcher de Michel pour lui ouvrir la braguette, lui baisser pantalon et caleçon, et lui empoigner fermement la queue, après avoir craché dans ses mains. Surpris, Michel dut rapidement en faire de même. Les deux sportifs commencèrent alors à se branler vigoureusement.

Rapidement, les deux bites devinrent plus raide, plus dure. Alors que la queue du rugbyman dépassait à peine de quinze centimètres, celle d’un jeune tennisman avoisinait les vingt au compteur. Guy comptait bien profiter au maximum de cet avantage. Il provoque alors son adversaire.

Ça alors, le rugbeux, on a tout mis dans les muscles et rien dans la queue. Viens un peu te frotter à moi, voir si ta bite peut se retenir de cracher ton jus.

Michel enserre alors vigoureusement Guy de ses bras musclés, et comme sa bite contre celle, plus longue du joueur de tennis. Malgré ce désavantage, Michel était certain de gagner. Tout le monde savait qu’il était le plus gros baiseur du campus.

--Ma queue est habituée à limer les chattes des plus belles filles de la fac pendant des heures, ta bite n’est pas prête à affronter la mienne. Tu n’as pas vu une chatte depuis quand ?

Les discours de Michel n’effrayaient pas Guy. Son calibre dépassait la queue du rugbyman de cinq bons centimètres, et c’est bien lui qui donnait le mouvement de leur « frottage ». En même temps qu’il balançait de grands coups de reins pour dominer le joueur de rugby, Guy n’oubliait d’utiliser toutes les techniques possibles pour le dominer sexuellement. Après les sucions dans la nuque, il se mit à mordiller le lobe de l’oreille du brun poilu. Petit à petit, le plaisir montait chez les deux hommes, mais Michel semblait moins confiant qu’au début.

Alors que Guy le regardait fixement, droit dans les yeux, Michel détournait souvent le regard. Il sentait la pression de la bite due Guy contre la sienne, et sa résistance faiblissait. La queue du blondinet réussissait à courber celle de Michel, tellement elle s’avérait rigide. Une vraie épée, contre laquelle le membre du rugbyman commençai à s’épuiser. C’était un spectacle impressionnant de voir un joueur de rugby hyper viril, tenu en respect par la seule force d’une bite plus dure que la sienne. Miche écarta les jambes, et balança son cul musclé pour répondre au coups de boutoir du tennisman. Mais les muscles ne pouvaient rien y faire. Seule la force sexuelle comptait dans le combat bite contre bite.

Guy sentait qu’il tenait le bon bout. Non seulement l’érection de Michel faiblissait, mais de la mouille commençait à sortir de la queue du rugbyman. En spécialiste de combat, Guy savait qu’une queue qui mouillait, n’en avait plus pour longtemps.

La bite de Guy continuait de coulisser, et Michel était maintenant quasiment immobile, il n’arrivait plus à rendre coup de reins pour un coup de reins, face au blondinet à grosse queue. Ses gros muscles ne s’agitaient plus, et il semblait se concentrer pour retenir son éjaculation encore quelques minutes.

Mais ce qui devait arriver arriva. Le costaud rugbyman senti ses couilles se contracter, jeta la tête en arrière, et ouvrit la bouche en grand, dans un cri silencieux. Son sperme se mit à jaillir de sa queue vaincue. Un adversaire bien moins fort que lui en apparence, avait réussi à dominer sa virilité. Pour la première fois de sa vie, la bite avait touché la bite d’un autre mec, et ce mec lui avait fait cracher sa semence.

Les autres joueurs de rugby présents étaient consternés de voir le fifre de leur camarade se rabougrir progressivement contre la queue toujours raide de Guy.

Ayant remporté la victoire, ce dernier exigea, comme il en avait le droit, que Michel se mette à genoux. Guy se branlait à deux centimètres de la bouche du vaincue, et envoya de puissantes giclé de sperme, puis d’un coup, il enfonça sa queue dans la boche du rugbyman qui se mit à tout avaler. La bite mit plusieurs secondes à se vider, puis se retira, tandis que Michel finissait de déglutir.

Guy le fit se lever, lui palpa les couilles, comme pour s’assurer qu’elles étaient bien vide. L’humiliation du rugbyman était complète.

Guy avait battu son principal rival, et pouvait poursuivre le tournoi.