La cage de la liberté

Récit érotique écrit par Adam35 le 25-07-2025
Récit érotique lu 1 fois
Catégorie Zoophilie

Je m’appelle Simon, j’ai 17 ans. 1,70 pour 58 kg je ne suis pas très gros mais assez musclé. De beaux cheveux châtain foncés avec une pilosité abondante qui me donne un air très viril et de très jolis yeux vert émeraude.

Les filles sont souvent sous mon charme mais j’avoue être très complexé par ma petite bite de 5 cm au repos et de 8 cm en érection. Malgré les nombreuses opportunités je suis malheureusement toujours puceau.

Je suis de la fin de l’année et ayant sauté 2 classes je me retrouve avec des potes plus âgés que moi notamment mes 3 potes préférés Allan 20 ans, Marc 21 ans et Joseph 19 ans. Ces 3 camarades passent leur temps à me charrier sur mon statut de puceau. Malgré notre proximité même dans les vestiaires j’ai toujours réussi à protéger l’accès à mon intimité pour ne pas leur donner d’avantage l’occasion de se foutre de moi avec ma petite queue. Par contre eux ne sont absolument pas pudique et passe leur temps à montrer leur bite et leur cul.


Allan vit dans une grande maison dans une immense propriété avec piscine et 5 chiens de chasse souvent confinés dans un chenil. C’est lors des grandes vacances d’été chez lui que tout a dérapé.


La mère d’Allan était partie 1 mois en vacance chez ses grands-parents et son père à la pêche avec des copains dans un gîte qui se situait de l’autre côté de la forêt qui jouxtait la propriété. Nous étions seuls et sans véhicule dans ce lieu paradisiaque.


Nous étions dans le home cinéma confortablement installé devant un film de boules quand la conversation a commencé à dévier sur les stimulations sexuelles. C’est à cette occasion que je découvris avec naïveté l’existante de cage de chasteté. Joignant les mots aux gestes Allan baissa son pantalon afin de nous laisser observer le mécanisme qu’il portait. Il m’expliquait qu’avec ce dispositif la frustration décuplait l’envie et l’érection s’en trouvait encore plus grande et la bite d’au moins 3 cm plus longues. J’étais subjugué par sa bite complètement compressée dans ce dispositif métallique que je trouvais fort imposant. Devant l’intérêt que je portais les gars m’expliquaient qu’il y avait plusieurs grosseurs et plus la bite était serrée mieux cela était. Certains dispositifs étaient même capables de quasiment faire disparaitre la bite. Allan me confirmait la sensation de bien-être et d’excitation qu’il pouvait avoir en portant cette cage.


J’avoue que je bandais rien que de l’écouter et j’étais moi-même excité. Je lui demandais comment il l’avait mis car elle me semblait trop petite pour lui. Allan enleva le dispositif devant moi. Sa bite se mit à grossir immédiatement de manière impressionnante.


Allan : pour la remettre deux façons mon petit puceau. Soit la vidange manuelle pour faire diminuer la bête, mais pour moi cela ne suffit pas. J’utilise des glaçons pour rentrer l’escargot dans sa coquille si tu vois ce que je veux dire ?


J’étais très gêné et rouge de honte mais en même temps en admiration devant le spectacle.


Le soir venu Allan nous accompagna à nos chambres respectives. La maison étant immense nous avions chacun notre suite parentale. En arrivant dans la chambre Allan était sur le point de me laisser mais se retourna et me confia que dans le grand tiroir du dressing il y avait quelques accessoires qui valaient le coup. Il me fit un clin d’œil et ferma la porte.


Ma curiosité me conduisit directement vers le dressing. Je m’empressais de tirer sur ce grand tiroir.


Je découvris alors tout une panoplie de jouets sexuels allant du plug anal au god et enfin toute une série de cages de chasteté. J’étais sous le choc et me demandais bien à qui pouvait servir tout ce matos !


Je remarquais que les cages allaient de la plus grande à la plus petite. Sous chaque cage se trouvait un petit cadenas avec un jeu de clé. J’hésitais mais mes hormones avaient totalement pris possession de moi. Je pris en premier la plus grosse cage. J’essayais maladroitement de la mettre mais mes couilles et ma bite étaient beaucoup trop petites et la cage ne tenais pas en place. J’essayais donc un model intermédiaire plus léger et dans lequel malgré tout ma petite bite nageait. Je fermais le dispositif et me regardais dans le miroir. Je trouvais en effet une certaine excitation à porter cette cage. J’en levais la cage et la reposais dans son emplacement. Je repensais aux paroles d’Allan concernant l’oppression de la bite « plus la bite est compressée plus l’excitation est grande et la bite rallongée ». A ce moment là je pris la plus petite des cages dans ma main. Elle était très légère et contrairement aux autres avec des petites nuances de rose et pour une longueur de bite d’environ 1 à 2 cm. Je pensais au fond de moi que même ma petite bite ne rentrerait pas. Je me dirigeais vers le frigo bar de la chambre pour y récupérer des glaçons comme me l’avait expliqué Allan. J’encerclais ma bite avec un gant de toilette rempli de glaçons pendant 5 bonnes minutes. Ma bite était devenue non seulement presque bleue mais surtout devenue ridiculement petite. Je saisis la cage et l’enfermais sans difficulté dedans. Je passais le reste de la cage autour de mes deux petites couilles et refermais rapidement sans réfléchir le dispositif à l’aide du petit cadenas. Je me regardais dans le miroir et découvrit avec stupeur que l’on ne voyait plus du tout que j’étais un homme. Ma bite avait disparue en même temps que la cage dans ma touffe de poil. Même si la sensation n’était pas désagréable j’avais une folle envie de me branler en me remémorant cette soirée. Allan avait raison cette sensation d’avoir la bite oppressée décuplait les sensations. A ce moment-là je n’avais qu’une seule envie c’est de me soulager rapidement. Je pris rapidement la clé pour enlever cette prison. Dans l’excitation ma main tremblait un peu et la clé ne rentrait pas dans le cadenas. Je repris mon souffle et mon calme pour renouveler l’opération, sans succès.


Putain ! Ce n’était pas la bonne clé ! J’essayais toutes les autres clés de toutes les cages sans succès. J’étais pris de panique et ma bite n’arrêtait pas de grossir dans cette minuscule cage. Je réalisais soudain que je m’étais fait certainement purement simplement piégé en beauté par mes potes. Vu l’heure je ne pouvais pas aller les voir.


Je devais donc passer la nuit entière avec cette cage. Après une nuit très agitée perturbée par cette sensation désagréable dans le bas ventre entremêlée de rêves érotiques, je descendis juste en peignoir sur la terrasse rejoindre mes camarades au bord de la piscine qui me regardaient tous l’air lubrique et dans un silence inhabituel.


Moi : Salut les gars !


Allan : salut toi, tu as la tête d’un gars qui a mal dormi, je me trompe ?


Très gêné je ne pouvais cependant pas mentir.


Moi : non.


Marc : rien de grave au moins ?


Ne sachant pas trop quoi répondre je restais très évasif.


Moi : non non


Joseph : tu sais que tu peux tout nous dire

petit puceau ?


Moi : ou je sais…..


Allan : bon et si on allait tous à poil dans la piscine ?


Joseph : très bonne idée, aller hop….


Sans même avoir le temps de réfléchir joseph m’attrapa par l’arrière de mon peignoir qu’il ouvrit d’un seul coup en me poussant avec le pied dans l’eau. Je me retrouvais nu comme un vers à la vue de tous en train de faire un magnifique plat dans l’eau.


Marc : Putain les gars vous avez vu ? Il l’a mis cet enfoiré !


Allan : Et oui tu me dois 100 euros et toi Joseph 50 euros pour bibi !


Je n’en revenais pas. Mes potes avaient parié sur moi. Et moi comme un bleu je suis tombé dans leur piège.


Moi : vous êtes vraiment des sales gosses ! Vous m’avez bien eu et vous vous avez bien rit maintenant donnez-moi la clé.


Allan : attends pas si vite mon petit puceau, nous on veut s’assurer que c’est bien la plus petite cage que tu as mis.


En disant ces mots les 3 gars m’encerclèrent pour finir par me coller. Leurs mains parcouraient mon corps et me créaient des décharges électriques. L’un deux soupesait mes petites couilles et tirait sur la cage pour vérifier si elle était bien mise. Un autre s’amusait à me caresser les fesses avec sa queue bien raide. J’étais coincé et comme paralysé. Une nouvelle sensation s’empara de moi.


Moi : Arrêtez le gars maintenant c’est très humiliant


Allan : j’en reviens pas même si je me doutais que tu avais vraiment une toute petite bite je ne pensais pas que quelqu’un mettrait cette cage un jour à par un enfant.


J’étais rouge de honte et très gêné par la situation


Marc : Allez soit pas gêné, ce n’est pas grave d’avoir une petite nouille ! Le principal c’est d’avoir un bon cul !


(rires collectifs)


Vexé je les poussais pour sortir de l’eau afin de renfiler rapidement mon peignoir que je cherchais désespérément.


Moi : putain, vous l’avez mis où ?


Tout en cherchant j’essayais de cacher cette cage avec ma main.


Joseph : c’est ça que tu cherches ?


Josephs brandissait fièrement mon peignoir trempé au milieu de la piscine


Moi : vous êtes vraiment con.


Allan : cool puceau, on déconne ce n’est pas méchant et on est entre mec alors détends toi !


Il avait pas trop tort sur ce point mais j’étais de nature très pudique et la situation n’aide franchement pas !


Moi : Bon c’est vrai que j’exagère peut-être un peu mais c’est quand même très humiliant


Marc : allé sois bon joueur, vue la situation maintenant tu n‘as plus rien à cacher ! Enlève tes mains que l’on observe la situation.


C’est résigné que je finis par enlever mes mains de ma cage laissant libre tous les commentaires humiliants de mes camarades.


Marc : Oh la vache je vois rien avec ta touffe de poil !


Sur ces paroles Marc et les autres sortirent de la piscine pour se rapprocher de moi.

Joseph : Excuse-moi Simon mais je peux toucher…. car on distingue à peine la cage.

Joseph attrapa fermement la cage minuscule pour la tirer et la faire sortir de mes poils.


Moi : AÏÏÏ arrête ça fait mal !


Allan se positionna derrière moi afin de frotter sa queue bien raide sur mes fesses


Allan : et ça ? Ca fait moins mal je suis sûr ?


Moi : Arrêt Allan, qu’est-ce que tu fous ?Donnes moi donc la clé maintenant !


Je me retourne vers Allan pour mettre fin à son jeu érotique qui j’avoue m’excite énormément, mais joseph entreprend de le remplacer et essayant de glisser un de ses doigts dans mon cul. Je m’extirpe de leurs griffes rapidement en bousculant Marc qui tenant son verre de bière à la main. Tout le verre se déversa sur moi.


Marc : Merde… désolé Simon…


Moi : franchement vous êtes lourds les mecs !


Marc : Je m’excuse ! je t’assure que je n’avais vraiment pas envie de perdre ma bière.


Allan : vas dans la douche extérieur prêt de la piscine il y a du shampoing et du gel douche dans une bouteille rouge. On va te préparer un bon petit déjeuner pour se faire pardonner ok ?


Moi : c’est la moindre des choses !


Arrivé dans la douche je me badigeonne le corps de gel douche qui a un aspect légèrement gluant mais qui malgré tout sans bon. Au moment de me rincer l’eau ne vient évidemment plus ! J’étais en train de m’énerver tout seul !


Moi : Putain les gars j’espère que ce n’est pas encore une de vos conneries !


Je parlais tout seul car personne ne semblait m’entendre malgré mes demandes à l’aide. Je sortis donc de la douche évidemment nu comme depuis le début. J’arrivais, plein de mousse, devant les gars qui pour une fois étaient dans la cuisine en train de préparer à manger.


Marc : Mais qu’est-ce que tu fous avec cette mousse !


Moi : très drôle ! il n’y a plus d’eau à couler

Allan : A merde il y a un robinet juste derrière la douche il faut juste l’ouvrir.


Moi : Et tu ne pouvais pas me le dire plus vite !


Sur ces bonnes paroles je repartis vers la douche. Entre temps le gel était devenu tout gluant et presque sec. Enfin l’eau coulait sur mon corps. Je grattais pour enlever ce gel douche que je trouvais de plus en plus bizarre. Je compris rapidement la situation quand soudain je regardais vers le sol et découvris des touffes entières de poil tomber. Ils n’avaient quand même pas osé ? Je commençais à pleurer comme un enfant en voyant la catastrophe de la situation. J’avais en plus bien insisté avec le gel sur mon pubis, mon sexe et mon torse comme à mon habitude pour des questions d’hygiène. L’eau continuait de couler et de m’enlever les quelques poils qui me restaient. Tous ce qui faisait ma virilité, ma fierté, venait en l’espace de 30 secondes de disparaitre. J’avais maintenant le corps d’un enfant sans sexe avec une magnifique petite boule d’acier rose à la place de ma bite. J’étais humilié et je n’avais qu’une envie c’est de partir loin de ces monstres ! Je sortis de la douche comme un zombi sans me rendre compte que mes 3 tortionnaires m’attendaient avec leurs téléphones portables pour immortaliser la scène ! Je mis plusieurs secondes pour réagir et les empêcher de continuer.


Moi : ça suffit maintenant je rentre chez moi et effacez ces photos immédiatement !


Jospeh : putain…. On dirait un gosse sans ses poils


Marc : ou une jolie demoiselle avec la peau toute lisse


Dit-il tout en me caressant le corps m’occasionnant des décharges électriques un peu partout.


Allan : Et là au moins on voit mieux cette très très petite cage avec son très très petit oiseau à l’intérieur. Cela doit-être très frustrant n’est-ce pas ?


Moi : Poussez-vous je rentre chez moi !


Allan : mais pas de soucis petit puceau !


J’étais sur le point de partir mais j’en avais oublié cette maudite cage !


Moi : et la clé ? Elle est où ?


Joseph : dans ton cul !


(rires générales)


Moi : c’est malin !


Allan : si tu veux savoir où est cette cage tu vas nous faire une petite gâterie chacun.


Moi : ça va pas la tête, je ne suis pas PD !


Joseph : mais nous non plus mais on est un peu en manque et 1 mois c’est long !


Moi : C’est ça utilisez votre main pour vous soulager mais vous pouvez toujours vous brosser !


Marc : comme tu veux mais les enchères viennent de monter…..


Moi : comment ça ?


Marc : disons que vu ton comportement insolent tu vas devoir nous supplier à genoux de nous sucer !


Moi : c’est une blague j’espère ! Vous êtes vraiment trop cons


Allan : ok alors on rajoute un notre gage…. Tu devras avaler entièrement tout notre foutre…


Moi : sur ces paroles je quittais le groupe pour me réfugier dans ma chambre


(de loin)


Joseph : A plus tard belle bouche !


En arrivant dans ma chambre je mesurais l’impasse dans laquelle j’étais. Nous étions que le premier jour des vacances et j’étais prisonnier pendant 1 long mois avec cette cage.


1 mois sans me branler, sans bander, sans éjaculer pour un jeune de mon âge c’est un supplice ! Je n’allais quand même pas m’abaisser à ce jeu stupide. Je commençais par me rhabiller afin de redescendre rejoindre mes bourreaux. Je ne voulais surtout pas les laisser continuer de m’humilier.


La 3 jours qui suivirent étaient un enfer et je ne vous parle même pas des nuits. 3 nuits de rêves érotiques avec des réveils nocturnes et une vive douleur dans le bas ventre et ma bite affreusement compressée dans sa cage. Lors de la 4ème nuit je me réveillai en sueur avec ce besoin de me purger. Je devenais fou et faisais les cent pas dans ma chambre pour respirer calmement. Je pris une bonne douche froide pour essayer de me calmer mais c’était encore pire avec des idées nouvelles qui me traversaient l’esprit notamment je me surpris à essayer de me doigter. Putain je devenais fou et je regardais les heures défiler sur mon réveil.


Vers 3h du matin je sortis de la chambre pour aller nu dans la piscine. Arrivé sur les lieux je découvris mes 3 potes nus également en train de dormir à la belle étoile au bord de la piscine. Les 5 chiens étaient en liberté et également endormis au bord de la piscine.


Marc et Allan avaient une érection nocturne et laissaient à la vue de tous leur magnifique verge bien tendue. Je rêvais moi aussi de bander de la sorte et dans un élan pulsionnel je me mis à genoux près d’Allan et balbutiais quelques mots à peine audibles. Pourtant suffisants pour qu’Allan ouvre les yeux en esquissant un large sourire.


Allan : alors ma petit salope on veut quoi ?

Je pris mon courage à deux mais et la tête baissée et le cœur déchiré je m’entendis prononcer ces mots …


Moi : je t’en supplie Allan laisse-moi te sucer.


Allan : c’est pas mal ça, mais tu vas falloir

apprendre à me vouvoyer et à m’appeler maître quand tu t’adresses à nous


Au point où j’en étais je n’avais plus trop le choix


Moi : bien maître Allan. Puis-je vous sucer.


Allan : c’est demandé si gentiment. Aller viens t’occuper de popol


Allan écarta les cuisses pour me laisser approcher le visage de sa queue bien tendue. Bien maladroitement j’avançais ma bouche de son sexe.


Allan : commence par lécher mes deux orphelines tout en me regardant dans les yeux.


J’obtempérais en position de soumission. Ma langue effleurait ses bourses légèrement velux. La situation n’était pas pour me laisser indifférent et je sentais ma bite comprimée dans sa cage par l’excitation.


Allan : c’est parfait ça ma petite cochonne ! Maintenant avale mes deux grosses boules dans ta bouche et joue avec ta langue pour les faire rouler.


J’avais bien du mal à rentrer ses deux orphelines dans ma bouche tellement elles étaient grosses. J’étais à 4 pattes, le nez dans sa touffe de poil en position de soumission complète. Allan fermait les yeux par le plaisir que je lui procurais.


Allan : Putain que c’est bon les gars !


Je n’avais pas vu mes deux autres potes arrivés juste au-dessus de moi en train de se palucher.


Marc : Salaud ! On avait dit que c’était moi le premier à se faire sucer !


Allan : Aller sois bon joueur et attends ton tour !

Marc : En plus vous me devez 50 euros chacun !

Joseph : C’est dégueulasse a une journée prêt c’est moi qui gagnais mais je ne pensais pas qu’elle cèderait aussi rapidement cette petite salope.


J’étais encore tombé dans leur piège et leur jeu stupide de paris sur moi. En l’occurrence ils avaient parié sur le temps que j’aurais mis à les sucer.


Allan : Aller maintenant tu vas remonter tout doucement avec ta langue le long de ma tige jusqu’au gland que tu vas avaler entièrement jusqu’à la base


C’était la première fois que je faisais une pipe à un mec et que je touchais une autre bite que la mienne. Cela était très perturbant et à la fois très excitant.


Soudain je sentis une drôle de sensation sur ma rondelle. Quelque chose de légèrement rugueux qui m’électrisait le corps à chaque passage me faisant lever la croupe comme pour poursuivre ce plaisir. En ouvrant grand les yeux je découvrais mes 3 potes autour de moi les mains déjà bien occupées. Ils esquissaient de large sourire pervers en me voyant excité de la sorte. Je ne comprenais plus trop ce qui se passait mais je savais que mathématiquement aucun d’eux n’étaient à l’origine de ce jeu sensuel. Au fur et à mesure des passages sur mes fesses, je sentais mon trou de plus en plus mouiller et s’ouvrir instinctivement par l’excitation. Je laissais bien malgré moi échapper de petits soupire de jouissance qui faisaient rire mes camarades aux éclats. Je voyais joseph immortaliser la scène avec son téléphone tout en me traitant de véritable petite chienne.


En l’entendant mon sang ne fit qu’un tour et tout en m’appliquant à sucer ce magnifique sexe je pivotais la tête pour observer l’origine de ce traitement. Je lâchais rapidement mon travail de succion


Moi : Putain…. Non….


Les 5 chiens étaient arrivés derrière moi et me léchaient consciencieusement les fesses pour bien me lubrifier…


Allan pris ma tête pour me la renfoncer de force sur son pieu !


Je me débattais de toute mes forces pour m’extirper des mains de mes bourreaux et de cette grande inquiétude qui me gagnait…


Allan : aller fais pas ta mijaurée et continue ton travail !


Allan donnait des grands coups de rein pour m’enfoncer au maximum sa teub dans la gorge m’empêchant de penser à mon fessier qui étaient trempé de bave canine.


Marc : Si tu ne le lâches pas tout de suite Allan….


Joseph : Putain les mecs j’y crois pas….. Oh le con….


Un des chiens venait de me monter dessus et de m’enfoncer sa bite d’un coup sec dans le cul me faisant lâcher un cri de douleur vite étouffer par la bite d’Allan qu’il me forçait à engloutir entièrement jusqu’à sa toison pubienne. Des larmes coulaient sur mes joues. Des larmes de douleur mais également de honte d’être humilié de la sorte par mes soit disant potes. Le chien m’avait agrippé fortement par les hanches et commençait à me pilonner à toute vitesse faisant saccader mon corps entier. J’haletais comme une chienne lorsqu’Allan voulut bien lâcher la pression sur ma tête. Marc et Joseph ne manquaient rien de la scène et filmaient sans mon consentement. Je sentais le pieux de l’animal s’enfoncer en moi et grossir, grossir. L’animal déversait de grosse quantité de foutre qui coulait le long de mes cuisses et qui avait également pour effet de lubrifier son mandrin afin de faciliter la pénétration.


La douleur passée je commençais en effet à ressentir un certain plaisir inavoué. Je poussais des petits cris de jouissance ce qui ne faisait que d’accroitre le plaisir pervers des garçons.


Allan : c’est bien ça ma petite chienne. Tu aimes ça te faire saillir comme une petite chienne hein ma belle ?


Sur ces mots je sentais Allan se raidir et pousser un cri roque de jouissance. Sa bite se mis à gonfler dans ma bouche et déversa un liquide chaud et amer dans le fond de ma gorge qu’il m’obligea à avaler. Dans le même temps je sentais une pression sur mon anus. Comme une boule qui voulait entrer en moi.


Pris de panique je profitais d’un moment de relâchement d’Allan pour m’’extirper de ses griffes. J’enlevais les pattes du chien qui me maintenaient par les hanches et je roulais sur le coter pour arrêter ce viol canin. Je repris mes esprits me releva et partis me réfugier dans ma chambre.


Marc : c’est malin ! Qui c’est qui va nous sucer maintenant !


Joseph : Oui tu t’en fou toi il t’a bien vidé les couilles mais nous ! On a été trop vite avec lui, maintenant c’est foutu !


Allan : Putain quel pied les gars. Personne ne m’a jamais sucé comme ça. Et de le voir se faire prendre par mon beau petit chien c’était trop kiffant !


De retour dans ma chambre je fermais la porte à double tour. J’avais les jambes qui tremblaient et du sperme du chien qui coulait le long de mes cuisses. J’étais encore sous le choc et m’empressa d’aller sous la douche. Malgré la violence de la scène mon corps entier était encore sous l’effet de l’excitation qui ne retombait pas. Qu’avais-je fait ou plutôt que m’avaient-ils obligé à faire ? J’avais en une seule fois perdu ma virginité buccale et anale moi le puceau coincé et timide. Jamais je ne pourrais sortir de cette chambre et encore moins les regarder dans les yeux. Ce soir-là, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Je repassais la scène dans ma tête et j’étais en sueur et mon cul restait mon unique préoccupation. Jamais je n’avais ressenti cela auparavant. J’avais une putain d’envie de me fourrer quelque chose dans le cul comme pour combler le vide d’avoir arrêté ce chien. J’avais tellement honte !


Le lendemain vers 10 h quelqu’un frappa à ma porte.


Allan : Simon tu dors ? Tu ne vas pas quand même pas rester enfermé dans ta chambre toutes les vacances ! Ouvre s’il te plait pour que l’on discute un peu. Je suis désolé on a été trop loin ! Ok, ça a dérapé mais on voulait juste s’amuser un peu…. Ce qui se passe içi restera ici…


Moi (derrière la porte) : c’est promis ?


Allan : Bien évidemment ! Aller mon petit puceau ouvre cette porte.


J’étais tout nu avec ma cage bien évidemment mais je n’avais plus grand-chose à cacher de mon intimité maintenant ! Donc c’est dans mon plus simple appareil que je lui ouvris la porte.


Allan : merci et pardon. Je veux quand même que tu saches que tu suces comme un dieu.

Je ne savais pas ce que je devais faire de ce pseudo compliment.


Moi : merci


Allan me regardait de haut en bas.


Allan : tu as un corps magnifique, très fin mais bien proportionné. J’avoue que tu m’excites beaucoup même si je ne suis pas attiré par les hommes.


C’était la première fois qu’Allan se confiait à moi et cela était très émouvant.


Allan : j’espère que l’on ne t’a pas fait trop mal hier soir ?


Moi : non ça va. J’avoue que je n’ai pas complètement détesté te sucer.


Allan : c’est vrai ? Je m’en doutais…. c’était trop bien fait pour un gars qui ne voulait pas. Tu veux recommencer ? (rires)


Moi : N’abuse pas non plus !


Allan : désolé


Moi : et où est la clé ?


Allan : Ah oui la clé ! Ecoute. La clé se trouve sur le porte-clés de mon père.


Moi : Tu veux rire j’espère ? Tu m’as dit qu’il était parti à la pêche avec des potes pour 15 jours et qu’ensuite il allait rejoindre ta mère dans le sud ! Je ne vais quand même pas attendre 1 mois avec ce truc entre les cuisses ?


Allan : Je sais c’est long vu comme ça…


Moi : non…non…non je vais devenir dingue ! Tu te mets à ma place ?


Allan : Je n’imagine même pas, de toute façon ma bite ne serait jamais rentré dans ce…. Enfin ce n’est pas ce que je voulais dire…


Moi : Putain mais elle se trouve où la cabane de ton père ? Il n’y a pas moyen d’y aller à pied ?


Allan : Si à travers la forêt c’est plus court mais environ 60 kms quand même. Mais c’est faisable. Bon en attendant vient nous rejoindre et encore une fois ce qui se passe ici reste ici ok ?


Je regardais Allan qui me fit un large sourire et un clin d’œil en me donnant un petit sac.


Moi : C’est quoi ?


Allan : je sais que cela ne va pas te plaire mais tu en fais ce que tu veux. J’imagine que tu dois être en effervescence à l’intérieur et c’est la seule chose que j’ai trouvé. Et vraiment si tu es trop en manque ma chambre reste ouverte la nuit. A toute…


Sur ces mots Allan quitta la chambre. Je regardais dans le petit sac de noir et découvris une poire de lavement, du gel lubrifiant, un god et un plug. Sur le coup j’étais vexé et en colère mais en même temps j’étais perdu car au regard de la situation c’était un geste intentionné comme un autre. Je posais ce sac sur mon lit et enfilais un maillot de bain pour rejoindre mes camarades qui étaient à table.


Joseph : Ah te voilà enfin. On est désolé pour hier


Marc : Oui franchement on est des salauds et on ne pensait pas que cela irait aussi loin même si je ne trouve pas juste qu’il n’y ait qu’Allan qui se soit fait sucé ….


Joseph : Marc !!!


Marc : ben oui quoi….


Allan : Ne les écoute pas et assis toi.


Les nuits suivantes furent horribles. Mes rêves étaient hantés par des cauchemars érotiques tous plus hard les uns que les autres. Je me réveillais en sueur lorsque j’arrivais à trouver le sommeil. Une nuit je me suis surpris en train de me doigter. Dans une pulsion j’entrepris maladroitement de réaliser mon premier lavement et de me lubrifier l’anus pour y faire pénétrer le god. Je tremblais mais lorsque celui-ci me pénétra mon corps entier se calma et un sentiment de plénitude m’envahit. Je commençais des petits vas et vient qui me faisaient un immense bien. Je lâchais malgré moi de légers cris de jouissance. Putain que c’était bon. Je trouvais le sommeil 5 minutes plus tard mais je fus de nouveau réveillé par une envie de recommencer.


Je repensais à ce que m’avait dit Allan. Non…non je ne pouvais pas aller de mon plein gré me faire prendre par mon meilleur ami ! Putain après tout c’est lui qui m’a mis dans cette galère ! C’est donc nu comme un ver et d’un pas décidé que j’entrais dans la chambre d’Allan. Il faisait chaud et il était à peine recouvert par un drap. Il dormait profondément. Je me glissai gentiment dans son lit le dos collé cotre son torse. Je cambrais mon cul que j’avais pris soin de lubrifier. Instinctivement sa bite prit du volume et se trouvait à l’entrée de mon intimité. Je pris une respiration et recula de moi-même pour le faire pénétrer. Que c’était bon !


Allan : Merci d’être venu et de t’offrir à moi tu ne vas pas le regretter bébé.


Allan me parlait tendrement dans l’oreille et m’enlaçait de ses bras pour mieux me posséder. Il commençait par de légers va-et-vient dans mon fondement. Je sentais la chaleur de son corps sur mon dos et ses lourdes bourses me taper les fesses. Il allait lentement pour mieux profiter de l’instant. Je m’abandonnais complétement à mon amant en lâchant des cris de plus en plus forts.

Nous fîmes l’amour toute la nuit si bien qu’à 11h nous n’étions toujours pas levés. C’est Joseph et Marc qui nous réveillèrent alors que nous étions encore au lit enlacé Allan sa bite toujours en moi.


Joseph : putain je n’y crois pas  ! Ce n’est pas juste ! Merde alors !


Marc : Allan c’est pas cool ! J’ai les couilles pleines et trop envie…. T’es chier.. ;


Sur ces mots les deux jeunes hommes partirent de la chambre.


Moi : Désolé… on aurait pas dû …


Allan : non c’est de ma faute. On devait te partager… mais ça tu l’as déjà compris. Je vais aller leur parler.


L’après-midi fut très tendue. Et j’étais un peu gêné de la situation. Au moment de la sieste je pris la décision de tenter d’améliorer la situation. J’attendis que tout le monde dorme pour me faufiler dans la chambre de Joseph. Les volets étaient qu’à moitié fermés et laissaient apparaitre son corps magnifique, nu étendu sur son lit. Il ronflait et j’entrais sans bruit dans son lit. Une fois bien installé je frottais mes fesses contre sa bite flasque qui ne tarda pas à se réveiller en même temps que lui.


Joseph : mais putain qu’est-ce que tu fous…. Tu es une véritable salope toi ! Aller viens par-là que l’on s’amuse aussi tous les deux. Après tout tu n’es pas réservé qu’à Allan.


D’un coup Joseph me pénétra. Sa bite était plus longue mais moins large que celle d’Allan. Mais par l’excitation au bout de 2 minutes il jouit en moi.


Joseph : tu ne peux pas t’imaginer comme ça fait du bien !


Moi : si vaguement mais c’est un lointain souvenir !


Joseph : Ah oui merde désolé ! On peut recommencer s’il te plait ?


Moi : quand maintenant ?


Joseph : Oui juste 5 minutes.


Moi : ok mais c’est moi qui mène les opérations.


Je mis mon partenaire sur le dos afin de me positionner dessus et de m’empaler moi-même sur sa bite. Je commençais à monter et descendre mon bassin pour faire coulisser sa bite dans mon cul. Je regardais mon partenaire dans les yeux. A chaque mouvement il se tordait de plaisir et serrant les draps avec ses poings.


Joseph : Oh que c’est bon, continue j’e t’en supplie… fais moi jouir encore…


5 minutes plus tard je sentis tout son corps se contracter et un jus chaud se déverser en moi. Je restais quelques secondes afin d’observer le visage adoucit de Joseph qui se rendormit comme un bébé.


Je sortis de la chambre sans faire de bruit et aperçus la porte de Marc légèrement entre ouverte. Je jetais un œil et observait Marc également nu sur son lit, les yeux fermés, les jambes écartées en train de se branler.


J’entrais discrètement pour me rapprocher du lit. Je me mis à genoux et positionna ma bouche sur l’extrémité de son gland. La chaleur de ma bouche le fit sursauter et arrêter ses mouvements. Aussitôt je repris la suite des opérations uniquement avec ma bouche. Marc se mit à sourire et sans dire un mot se laissa faire. Par moment il me caressait les cheveux affectivement mais également pour me faire avaler son mandrin jusqu’au moment où il explosa en une dizaine de jets dans le fond de ma gorge. Dans le spasme de sa jouissance il m’écrasait la tête sur sa bite. J’avais sa bite entièrement dans ma bouche et les lèvres contre sa toison pubienne. Je n’arrivais plus à respirer. Je ne me suis même pas poser la question d’avaler ou pas son jus car il est arrivé directement dans ma gorge.


Marc : Merci Simon.


En guise de réponse, je levais timidement les épaules.


Marc : je sais que rien ne t’y obligeait mais tu ne peux savoir comment c’était bon


J’allais repartir mais Marc m’attrapa par le bras pour me retenir. Il se releva pour approcher son visage du mien. Il me regarda dans les yeux et timidement approcha ses lèvres des miennes. Son baisé était chaud comme de la braise et terriblement romantique. C’était le premier homme à m’embrasser de la sorte.


Marc : tu peux rester avec moi te reposer si tu veux.


En guise de réponse je m’installa dans son lit. Il m’enlaça. J’étais le dos contre son torse velux. Nous nous endormîmes tous les deux dans cette position. 1 heure plus tard je fus réveillé par une drôle de sensation. Non, je ne rêvais pas ! Marc dormait toujours et me ronflait dans les oreilles et pourtant il bandait comme un âne au point que sa bite était rentrée en moi pendant notre sommeil. Je ne bougeais plus en attendant que cela se passe. Mais très vite les choses se sont compliquées quand Marc sans doute dans un rêve érotique a commencé à me pilonner jusqu’à m’éjaculer sur les fesses sans même sans rendre compte. Il se réveilla en sursaut légèrement en panique …en mettant sa main sur son sexe trempé de sperme


Marc : Merde…. Je t’ai…. Je n’ai pas fait exprès je t’assure…


Moi : pas de panique Marc…. J’ai bien vu que tu dormais et j’étais consentant.


Marc : c’est vrai ? Putain je n’ai même pas profité du moment. On peut recommencer ?


Moi : Je crois que je suis comblé pour aujourd’hui.


Sur ces mots je quittai sa chambre pour retourner dans la mienne. J’avais le cul dégoulinant de sperme. Je venais de me faire sauter 3 fois en à peine une journée. Le manque de sexe me faisait faire n’importe quoi et en faisant ma douche je retrouvais ma raison. Je ne pouvais pas continuer à me transformer en esclave sexuel à ces lascars. Il fallait vraiment que je récupère cette clé. Je m’habillais bien vite décidé à partir à la recherche de cette maudite clé.


Allan : Simon ? qu’est-ce-que tu fous habillé ? on a plus l’habitude de te voir ainsi !


(rires)


Moi : très marrant…. Je veux aller récupérer cette clé comment dois-je faire ?


Allan : Tu es sûr ? Mais c’est à au moins deux jours de marche à travers bois !


Marc : ce n’est pas un peu dangereux ?


Allan : non ces bois sont privatisés et il n’y a que quelques animaux sauvages. Tu devrais attendre demain matin pour partir.


Moi : non je veux y aller maintenant !


Allan : Ok dans ce cas je vais te préparer ton sac avec de l’eau et de la nourriture


Joseph : J’ai une idée on va pimenter l’escapade !


Marc : qu’est-ce que tu as encore derrière la tête ?


Joseph : Je vais te prêter ma boussole, mon couteau suisse et de bonnes chaussures de randonnées à condition que tu traverses la forêt à poil !


Moi : T’es malade ! Tu veux rire ?


Marc : J’ai apporté mon drone longue distance avec une balise GPS que l’on va te mettre dans ton sac. Je ne l’ai pas encore étrenné au moins cela serait une sécurité pour tout le monde.


Allan revenant avec un sac à dos noir.


Allan : Tiens voici pour toi. Je t’ai même ajouté quelques biscuits et des surprises.


Moi : Merci Allan


Joseph fouille dans ses affaires pour me donner ses chaussures, son couteau et une magnifique boussole ?


Allan : Ah une boussole c’est une excellente idée ça. C’est direction plein sud. Tu attends quoi pour lui donner ta boussole Joseph ?


Moi : Ces deux barjots veulent que je traverse la forêt à poil.


(Rires de tout le monde y compris moi)


Allan : vous êtes con les mecs ! Si sincèrement mais c’est une putain de bonne idée ! Allez Simon chiche ?


Moi : non mais vous exagérez !


Tout en disant ça je me désapais devant eux

Joseph : eh bien voilà qui est mieux ! Tiens ma boussole.


Allan : Attends par mesure de précaution tu vas emmener les chiens avec toi. Ils vont te protéger des autres animaux et ils connaissent le chemin par cœur.


C’est comme ça que je suis partis à poil traversant une forêt munis uniquement de ma cage de chasteté rose, de chaussures et d’un petit sac à dos. Au bout de 3h de marches je commençais à avoir mal aux pieds et j’étais trempé de sueur avec cette canicule. J’arrivais près d’une rivière sauvage. L’endroit était magnifique. Au-dessus de moi j’entendais parfois le Drone de Marc qui nous observait. J’avoue que cela me rassurait un peu. Les chiens étaient comme moi assoiffés et légèrement fatigués. J’enlevais bien vite mes chaussures pour me jeter avec eux dans l’eau fraiche. Les chiens appréciaient de plus en plus ma compagnie et moi la leur. Au bout d’une heure de jeux dans l’eau je voulus regagner la rive mais j’aperçu a une dizaine de mettre de là un groupe de jeunes hommes en train d’installer leur campement. Même si le soleil était en train de se coucher il faisant suffisamment jour pour s’apercevoir que j’étais nu et que j’avais en plus une cage. Je n’avais aucune serviette de bain et aucune couverture pour la nuit.


Je pris mon courage à deux main pour sortir de l’eau et aller récupérer mon sac à dos.

En arrivant sur la berge mon sac avait disparu. Je cherchais partout mais rien. Un jeune garçon d’environ 13 à 14 ans accompagné d’un autre un peu plus âgé s’étaient approchés de moi et me regardaient de haut en bas. Embarrassé je cachais ma cage avec mes mains.


Garçon 1 : c’est ça que tu cherches ?


Moi : oui en effet. Vous voulez bien me le rendre s’il vous plait ?


Garçon 2 : Mais bien sûr mais tu es tout seul et où sont tes affaires ?


J’étais bien en peine quoi leur répondre.


Moi : Je décidais d’être franc et transparent en leur racontant mes mésaventures.


Les jeunes garçons m’invitèrent à les rejoindre à leur camp et me prêtèrent une couverture.

Leurs hormones étaient comme les miennes en pleine ébullition et ils me posèrent plein de questions très personnelles et très hardes. A de nombreuses reprises ils me demandèrent pour regarder ma mini cage. Ils se moquèrent également de l’absence de pilosité sur tout mon corps. La soirée était très sympa et agrémentée par des alcools fort et quelques substances interdites de leur âge. Afin de les remercié j’acceptais naïvement de participer à leur dévergondage même si je savais que je ne supportais pas l’alcool.


Au beau milieu de la nuit je me réveillais avec une étrange gueule de bois la tête vers le bas. J’essayais de me relever mais impossible. Je voulais crier mais là aussi les mots ne sortaient pas en raison d’un bâillon dans la bouche. Un des chiens me léchait le visage. Ces sales gosses m’avaient posé à plat ventre sur un gros tronc d’arbre, mes chevilles étaient bien écartées et attachées par des piquets et mes poignets à l’opposée faisaient le tour de l’arbre et étaient attachés par des cordelettes qui passaient sous l’arbre pour venir se solidariser à mes chevilles. Et le pompon ils avaient pris un tronc d’arbre mort avec un léger trou pour y passer ma bite avec sa cage afin d’attacher mes couilles à une cordelette pour l’amener jusqu’au tour de mon cou. Le système était très ingénieux de sorte que si je tirais trop avec ma tête je tirais sur mes couilles. Et si je tirais sur mes bras je tirais sur mes chevilles. J’étais à 50 cm du sol le cul à la vue de tout le monde. Je sentais du gel froid couler entre mes cuisses et mon cul bien plein. Les salauds avaient fouillé dans mes affaires et m’avaient enfoncé le plug dans le cul pendant que j’étais inconscient. En entendant des pas j’essayais de crier sans succès. Je ne voyais rien et j’entendais juste des murmures.


Garçon 2 : attends je vais te mettre un pros caillou pour que tu sois plus grand.


Garçon 1 : regarde c’est bon je suis à la bonne hauteur.


Quelqu’un tira violemment sur le plug m’arrachant une vive douleur. Aussitôt je sentis que la place était déjà prise par autre chose.

Non…non pas ça j’étais en train de me faire prendre par un gamin de 12 à 13 ans. Je commençais à pleurer comme un gosse. Je sentais à peine sa petite bite mais je sentis son jus me remplir au bout de 3 allés et venus. Je m’agitais dans tous les sens pour protester mais mes deux violeurs n’y prêtaient même pas attention. J’entendais le plus grand prodiguer des conseils au plus jeune.


Soudain j’entendis une fermeture éclair descendre et la chaleur de deux belles cuisse contre mes fesses. Joignant le geste à la parole le plus grand commençait à m’enculer tout en expliquant au plus jeune avec beaucoup de pédagogie comment s’y prendre. Je dois dire qu’en effet malgré son jeune âge ce petit con savait utiliser sa bite. Chacune de ses pénétrations m’électrisait le corps. Il prenait, contrairement, à son camarade, tout son temps et ondulait le bassin pour bien me pénétrer. Il finit par me prendre par les hanches afin de bien expulser sa semence au plus profond de moi. Les deux jeunes hommes repartirent ensuite laissant place aux 3 autres qui s’empressèrent de prendre leur place.


Le premier commença à jouer avec le god. Il me l’enfonçait brutalement pour m’extirper des petits cris qui le faisaient rire. Au bout de 5 minutes de ce traitement mon cul était bien dilaté et le god laissait place à un trou béant qui fascinait les 3 gosses. L’un d’eux se demandait si sa main pouvait rentrer. Un autre lança les paris. J’étais en panique et terrorisé par l’esprit pervers de ces petits monstres. Soudain je sentis un liquide froid sur mes fesses et une petite main jouer avec mon trou. 1 doigt, 2 doigts, 3 doigts puis 4 sont rentrés sans grande difficulté à ma grande surprise. Les commentaires y allaient de bon train et très rapidement je sentis une vive douleur au moment de passer la main entière dans mon orifice. Putain j’avais la main d’un gamin dans le cul. Ils se mirent tous à éclater de rire et à prendre la scène en vidéo.


J’étais humilié comme jamais. Je me débattais comme je le pouvais ce qui accentuait leurs rires et ce contribuait à m’arracher les couilles qui étaient fermement attachées à mon cou. Je n’avais pas d’autre choix que de me laisser faire comme une vulgaire marionnette à qui on a mis la main dans le cul. Ce petit saligaud profitait de la situation pour me chatouiller la prostate avec ses doigts ce qui me procurait des orgasmes à répétition au point de jouir même avec la cage. Ce supplice n’en finissait pas. Quand il finit par enlever sa main je sentis comme une libération et un trou béant à la place. L’avantage c’est que leurs petites bites ne pouvaient plus que flotter dans cet espace ce qui ne les intéressait visiblement plus. Ils étaient sur le point de repartir en me laissant minablement sur ce tronc d’arbre le cul dégoulinant de sperme et à la merci de n’importe qui. J’ignorais quelle heure il était mais je pense que le jour n’était pas près de se lever. J’entendais parfois le Drone de Marc planer au-dessus de moi et qui n’avait certainement rien raté de la scène. Soudain je sentis des langues me lécher les cuisses et les fesses. Les garçons qui s’étaient éloignés firent demi-tour afin d’observer la scène.


Garçon 3 : regardez les gars les chiens m’ont l’air vachement excité.


Garçon 4 : une pointe rouge sort de leur bite regardez….


Garçon 5 : tu crois qu’un chien peut sauter un mec ?


Garçon 3 : j’ai déjà vu ça en vidéo mais ça doit faire vachement mal.


Garçon 4 : en même temps vu le trou énorme qu’il a maintenant.


Rires


Juste à ce moment-là je sentis tout le poids d’un chien se poser sur mon dos. Sa bite cognait de part et d’autre de mon trou sans y rentrer. J’étais soulagé.


Garçon 3 : c’est con il y était presque.


Garçon 4 : attend on va l’aider un peu. Aller vient ici mon beau.


Le garçon aida le chien à monter sur mon dos et à m’agripper par les hanches. Il positionna ensuite sa bite bien en face de mon trou déjà bien ouvert et d’un coup il se mit à donner des petits coups de reins pour me pénétrer. Au début je ne ressentais pas grand-chose mais très vite je sentis sa bite prendre du volume et un liquide chaud m’inonder les entrailles. J’étais en train de me faire saillir par ce clébard pour la deuxième fois mais cette fois devant des gosses perverses en train de filmer toute la scène en se marrant comme des bossus. La première fois le chien n’avait pas eu le temps de terminer son travail mais cette fois il était bien décidé à me posséder comme une vulgaire chienne. Soudain je sentis le chien arrêter ses mouvements et m’agripper de plus en plus fort. Comme la dernière fois une boule énorme faisait pression sur mon anus pour me pénétrer. La dernière fois j’avais pu m’extirper juste à temps mais là je ne pouvais pas bouger et je sentais mon trou capituler devant cette boule qui allait me souder au chien afin de finaliser l’accouplement. Je pleurais de douleur et d’humiliation ce qui ne faisait qu’accroire les rires des ados en chaleur. Cette boule me procura une vive douleur au moment de son passage mais un sentiment étrange m’envahit juste après. Le flot de sperme mélangé à la pression de cette boule et de la bite du chien décuplaient mes sens et me provoquaient des orgasmes à répétition. Je pouvais difficilement contenir ma jouissance par mon souffle saccadé et mes petits couinements. D’ailleurs un des gamins m’ôta mon bâillon pour me demander si j’aimais me faire sauter comme une chienne. Pendant ce temps l’autre filmait toute la scène.


Garçon 4 : alors tu aimes ça on dirait te faire sauter comme une chienne ?


Sous l’effet de la jouissance je ne contrôlais plus ma raison et encore moins mes mots.

Moi : oh oui !


Garçon 3 : Dis bien à la caméra que tu es une belle salope qui aime la bite


Moi : Je suis une grosse salope qui aime me faire tringler par toutes les bites


Garçon 5 : Est-ce que tu en veux encore ?


Moi : oh oui oui encore… c’est bon


Garçon 5 : tu veux servir de chienne à tout tes chiens ?


Je mis un blanc avant ma réponse mais la jouissance était trop forte et je ne maitrisais plus rien


Moi : Oh oui sautez moi tous… par pitié…. Encore


Garçon 3 : putain quelle salope j’en reviens pas ! regardez le chien vient de se retourner et reste collé à lui cul à cul comme une chienne. C’est trop génial !


Le chien continuait pendant 15 minutes à déverser sa semence en moi devant les yeux ébahis des mômes. J’étais aux anges. Quand le chien se retira dans un bruit de succion mon trou était grand ouvert et très vite un autre chien pris sa place.


Les gamins me laissèrent ainsi avec mes camarades canins et disparurent dans la nature.


La nuit fut la plus longue de ma vie. J’ignore combien de fois je me suis fait saillir et combien de fois j’ai eu d’orgasmes mais les chiens s’en donnaient à cœur joie.

Au lever du jour j’étais toujours attaché et les chiens étaient comme moi épuisés.


Par chance les mouvements répétés des cordes sur le troncs d’arbre les avaient fragilisées au point que je réussis à en cassée une et à me libérer.


Très vite je repris mon sac à dos et quittais cet endroit sans demander mon reste. Des quantités impressionnantes de sperme s’échappaient de mon cul et coulaient le long de mes cuisses. Je puais le

sperme à plein nez.










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25-07-2025 0 1

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