Une paire de mois était passée et nous n'avions toujours pas remis ça. Au travail on en parlait souvent avec Bernard et il me demandait de passer le bonjour à sa petite chérie.
Par contre notre sexualité de couple s'était étoffée et nous avions de nouveaux jeux lors de nos soirées de baise. Maintenant Liza adorait s'habiller et se maquiller comme une pute, elle marchait en se déhanchant dans l'appart avec une cigarette au bec et un petit sac à main ,elle jouait le rôle à la perfection on aurait dit qu'elle avait fait le trottoir toute sa vie.
Ce qui avait pour résultat de ma faire bander comme un fou, au point d'en avoir mal tellement la peau était distendue.
Je ne manquait pas d'en parler à Bernard, qui comme moi était hyper friand. Il faudra qu'un soir je vienne et avant de baiser on l'a fera marcher devant nous!
Un autre plaisir qu'on pratiquait c'était souvent qu'elle descende en ascenseur un sac poubelle au sous sol dans ces tenues, car le sous sol communiquait avec le parking sous terrain et les gens prenaient l'ascenseur au sous sol. Liza était fortement excitée, j'avais pu le vérifier, sa chatte commençait à durcir et à jouir dès qu'elle sortait sur le palier.
Le risque on en avait parlé, c'était qu'un soir elle tombe sur un voisin qui rentrait tardivement et qui la voyant dans cette tenue l'aurait baisée.
Lorsque nous sortions habillés normalement, ma femme était assez féminine talons hauts, tailleur, bien maquillée, on avait pu constater dans l'ascenseur que certains de nos voisins n'étaient pas insensibles à ses charmes.
Ce qui nous permettait de fantasmer sur une éventuelle conclusion.
Parfois en rentrant tard le soir dans le boulevard à côté de chez nous il y avait des filles qui faisaient le trottoir, liza les regardait de la voiture, certaines étaient très jolies et très sexy, et elle me demandait si j'aimais ça, et elle s'employait à les imiter le soir à la maison lorsque je la faisait habiller en pute.
Évidemment je lui répondais que ça m'excitait et que certaines me faisaient bander.
Un soir où elle était habillée et maquillée comme un tapin et que je me caressais en la regardant marcher; elle me demanda si ça me dérangerait si un soir elle essayait de faire le trottoir, je lui répondais que je n'étais pas foncièrement contre mais qu'il fallait faire attention et faire ça dans un endroit discret, où personne de nos connaissances pourrait la reconnaître.
Elle le confia que ça l'exciterait certainement encore plus qu'à la maison, et que le faire avec un inconnu rajouterait de l'excitation.
Le lendemain je confiais cette conversation à mon collègue Bernard, qui me dit que ma femme était vraiment une pute et qu'elle aimait ça...
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