Un jour, tu as sculpté ce dragon menaçant. Pour notre plaisir. Tu l’as patiemment rêvé, façonné, poli, serti, pour qu’il s’ajuste à ma verge, aux recoins de ta grotte, à nos fantasmes.A voir ce dragon, je bande. Et c’est ainsi que je me glisse en lui, sertissant dans sa gueule la cerise de mon gland, garnissant sa gorge de mon prépuce plissé, lui offrant pour...