-Lave toi . Change toi. Tu mettras un jogging haut et bas et des tennis. Rien dessous sauf cette cage.
Il est parti à ma cuisine et revenu avec un bac à glaçon pendant que je finissais de me laver.
-Allonge toi. C'est un tout nouveau modèle.
Il a passé un premier truc autour de mes couilles et ma queue puis une cage noire avec un truc qui pendait accroché à l'anneau juste sous mes couilles et fermé à clé, pressant le truc sur mes couilles.
-Habille toi comme je t'ai dit et on part en voiture, elle est en bas.
La voiture était classe mais ne déparait pas dans Vichy. Assis à côté j'étais juste gêné par cette nouvelle cage autrement tout allait bien jusqu'à une aire d'autoroute pas loin entre Gannat et Vichy ou il s'est arrêté.
-Comme je ne veux pas que tu saches ou tu seras tu descends et tu monte dans le coffre! Une fois dedans tu ôtes le jogging ne gardant que tes tennis et tu me les donnes. Là où on va tu n'as pas besoin de fringues.
Une fois nu il a refermé le coffre me laissant dans le noir. La route a été longue mais je crois qu'il faisait tout pour me perdre et de longues périodes de vitesse alternaient avec des ralentissements puis on a du rouler sur une route sinueuse qui montait. Enfin un chemin surement mal entretenu. Sa porte s'est ouverte il est sorti puis revenu. Arrêt à nouveau, même sortie puis un chemin caillouteux et du gravier avant un arrêt ou il a stoppé le moteur et venu ouvrir le coffre.
J'ai de suite été ébloui par le soleil et me suis protégé les yeux pour découvrir un vieux manoir avec une allée longeant un bâtiment avec des stalles comme pour les chevaux mais à la place il y avait des mecs, colliers au cou et mains cadenassées au collier. Le collier retenu à une tige de métal. Porte du haut ouverte et celle du bas en verre épais. Paul m'a mis un collier rose au cou alors que les leurs étaient noirs. Tenu en laisse j'ai du longer les stalles d'où jaillissait des mots gras à mon propos
-Il est pour nous monsieur Paul?
-Calmez vous, vous aurez votre tour et toi tu te mets à quatre pattes pour qu'ils voient ce dont ils ont envie et tu avances.
J'ai maté un peu les queues raides qui se frottaient contre la vitre, sachant qu'un jour ou l'autre je les aurais en moi. Le dernier aussi excité avait le collier différent et m'a fixé des yeux.
Enfin il a ouvert un enclos herbeux entouré d'une clôture et a détaché la laisse. Sauf du côté du manoir des haies assez hautes de houx cachait le pré.
-Découvre ton domaine. T'as une cabane au centre avec un toit sans murs sauf deux transparents. Toi non plus tu n'as as le droit de toucher ta bite dans sa cage et il a refermé l'enclos. Fait gaffe il est électrifié.
Mon premier réflexe une fois libre a été de toucher la cage mais j'ai reçu une décharge électrique.
-Je t'avais prévenu.
Il tenait un boitier dans la main , souriant de voir mon air un peu stupide.
-Ici tu es dans mon domaine secret. Il faudrait voir d'hélicoptère mais c'est interdit alors je fais ce que je veux sans dépasser la loi. Je vais libérer un des étalons dans l'enclos. Tu peux essayer de courir, vous aurez tous les deux les mains entravées. Tu as surement remarqué comme ils sont bien montés et en rut. Alors essaye de s'échapper.
Il a fait sortir de sa stalle un grand mec, sa queue battait contre son ventre. Il l'a fait entrer dans l'enclos et a détaché la laisse. La queue était impressionnante d'épaisseur et il avait le corps poilu ce que je n'aimais pas alors j'ai couru. Lui aussi mais moi je n'étais pas spécialement un coureur et et sans les mains on court moins bien. Lui devait être habitué et m'a assez vite coincé dans un angle de la barrière.
Entre l'électricité et lui je nais pas voulu avoir une décharge électrique et me suis fait prendre par le collier et renversé sous lui il me plaquait la tête dans l'herbe et j'ai senti son sexe chercher entre mes fesses.
Semblable à un étalon il avait du liquide qui coulait de sa queue et quand il a eu le gland sur mon oeillet il m'a pénétré d'un coup sec me faisant crier. Pas de surprise mais par l'épaisseur de sa bite. Il m'a baisé comme une bête à grands coups de reins loin dans mon cul. restant en moi pour vider une première fois ses couilles avant de reprendre son va et vient, cette fois plus lent mais qui a eu le même résultat. C'est Paul qui l'a tiré en arrière par la laisse et de la cravache fait sortir du pré. Je sentais son jus qui sortait et coulait sur mes couilles.
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