Je me rappellerai toujours de Nathalie, la responsable de l’agence de pub dans laquelle j’avais fait un stage de deux mois. C’était une vraie bombe sexuelle. 31 ans, les cheveux auburn arrivant à ses seins, le corps svelte, toujours habillée en tailleurs coupés courts, elle aimait aguicher le client masculin en montrant ses longues jambes fines souvent couvertes de bas. C’était un 8 mai. Le reste de l’équipe – 5 personnes – était de repos. Seule Nat et moi assurions la permanence. Exceptionnellement, Nat m’avait invité à m’installer au bureau de sa secrétaire, situé juste en face du sien. J’avais un vrai bureau, avec de beaux tiroirs, et surtout un ordi du feu de dieu. Le bureau de Nat était en revanche une simple table de travail. Nat aimait par-dessus tout la sobriété et la modernité. Il devait être neuf heure dix du matin lorsque j’arrivai à l’agence. Nat semblait occupée dans la paperasse. Comme convenu la veille, je m’installai au bureau de sa secrétaire. Une fois assis, je me rendis compte de la vue que j’avais. Nat avait mis son tailleur rouge ultra court. Elle avait également mis des talons aiguilles, relevant ainsi ses cuisses. Je me rendis tout de suite compte qu’elle me présentait malgré elle (?) son entrejambes. Je vis en effet à la jonction de ses cuisses sa culotte que je devinais en dentelle très fine, visiblment à moitié transparente avec quelques motifs. Habillée ainsi et avec ses chaussures, Nat ne croisant pas les jambes, les ayant même légèrement écartées, elle était plongée dans ses dossiers. Evidemment, face à pareil tableau, mon regard ne pouvait que se river sur son intimité. Je me mis tout de suite à bander comme un âne dans mon pantalon de costume. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. Nat était si belle, si bien faite... Si excitante ! Je sentis ma queue gonfler et durcir d’excitation dans mon caleçon. Nat semblait anormalement plongée dans ses affaires, peu bavarde, pas comme à son habitude. Elle leva les yeux un instant, me fit un bref sourire, avant de replonger dans sa lecture... Je me dis dès lors que j’allais passer une formidable journée, à bander et me rincer l’œil comme un cochon pour cette belle vision d’érotisme qu’elle m’offrait. Elle bougeait de temps à autres ses jambes, serrant et déserrant étrangement les cuisses, lentement, lasciviement, comme si sa fente lui faisait « tout chose ». Ne pouvant résister, l’idée de sortir discrètement ma grosse queue de mon caleçon de façon à pouvoir bander plus librement dans mon pantalon m’occupa l’esprit. Dans tous les cas, je ne pouvais rester comme ça !
Le fait de voir l’entrecuisses de ma chef - que je rêvais tellement de baiser ! - me fis bander si fort que je ne pus me retenir une seconde de plus. La matinée était calme, je bossais sur mon ordi, je pouvais donc sortir discrètement mon sexe de mon caleçon kangourou en dessous de mon pantalon. Nat leva la tête au même moment de ses papiers, feignant consulter son ordi, mais nul doute qu’elle compris ce que j’étais en train de faire en me voyant étrangement gesticuler. Restant immobile, ma belle queue en érection totale, je sentais mon gland fondre sur place sans rien pouvoir faire, si ce n’est maculer mon pantalon gris d’une épaisse tâche de mouille. J’avais le sexe le long de ma cuisse droite. La sensation de sa chaleur brûlante contre ma peau m’excitait plus encore. Le sang tambourinait à l’intérieur, le faisant hoqueter à vue d’œil. Bordel, je n’avais pas à bouger ou le caresser de trop. La situation était à la fois trop excitante et dangereuse pour pouvoir la gérer tranquillement. Je devais être tout rouge, mon cœur battant à exploser. Un orgasme pouvait vite arriver. Je rêvai alors d’être le mec de Nat, de la baiser comme il se devrait, en levrette ou contre un mur, la faire crier de jouissance, remplir sa jolie petite chatte pour la faire jouir. Elle le méritait tant ! Revenant à mes esprits, je devinais de ma position la toison foncée de son pubis à travers sa culotte en dentelle transparente, ornée de petits motifs blancs. Nat, de son instinct de prédatrice sexuelle, devait sentir que je bandais ferme derrière mon bureau. Elle jeta d’ailleurs quelques coups d’œil discrets en ma direction. Nos bureaux n’étaient que des tables ; elle pouvait donc voir en-dessous. Nul doute qu’elle avait déjà repéré mon sexe en érection totale dressé et gonflé jusqu’au milieu de ma cuisse. Nat se mit à faire basculer sa jambes droite de gauche à droite, feignant réfléchir… écartant et resserrant les cuisses lentement. C’est à ce moment là que je m’aperçus qu’elle portait des bas, car je vis la lisière en dentelle blanche arrivant en haut de ses cuisses ! Ça ! Elle ne nous l’avait jamais fait ! On se demandait avec les collègues si des fois Nat n’avait pas des plans cul le midi, s’absentant parfois longtemps, prétextant des rendez-vous clients et revenant avec un sourire étrange et à moitié dans le gaz… mai là, habillée comme elle l’était, elle n’aurait jamais osé avec l’équipe au complet, sous peine de lancer des ragots à l’en plus finir. Elle avait donc peut être confiance en moi, ou alors, peut être était-ce « donnant-donnant » dans sa tête : chacun aurait un secret à ne pas révéler ? Moi, je devenais fou. Je mouillais comme un dingue. C’était d’ailleurs très ennuyeux, car plusieurs tâches maculaient mon pantalon gris clair, ce à chaque fois que mon gland en fusion touchait le tissu. Je sentais de temps à autre une épaisse goutte de mouille sortir de mon chibre. Je fondais sur place. Je n’en pouvais plus. Il fallait que je fasse quelque chose… mais comment ?! D’autant que la vue de son entrecuisses que j’imaginais chaud et humide me rendait fou : je me mis moi aussi à bouger ma jmabe droite de gauche à droite, serrant ma belle queue contre ma cuisse avec ma main de façon à ce que mon frein se tende et se détende pour me procurer un plaisir presque insupportable.
C’est à ce moment là qu’elle écarta amplement les cuisses en écrivant sur son cahier. Elle avait carrément sa jambe droite à côté de son bureau, et non en-dessous ! Je crus halluciner. Jamais elle n’aurait fait cela en temps normal. Ses joues semblaient rosir. Le fait d’écarter ainsi les cuisses retroussa à ce point sa mini-jupe qu’elle lui remonta jusqu’à la taille. Sa culotte m’apparut au grand jour. Elle était si échancrée que je voyais une partie des lèvres de sa jolie chatte. Elles semblaient dépourvues de poils. La bite en feu, de dézippai, à moitié fou, mon pantalon, et je sortis ma belle queue et mes boules, pour me palucher le plus discrètement possible à pleine main. La chatte de Nat semblait gonfler d’excitation. Sa culotte lui rentrait d’ailleurs à moitié dans la fente. Nat semblait respirer discrètement par la bouche, tant son cœur devait battre elle aussi. Elle avait beau être la boss, il y a des situation auxquelles le statut ne donne aucune protection ! Ayant orienté ses papiers dans ma direction, nul doute qu’elle devinait ce que j’étais en train de faire. Ses yeux montaient et descendaient discrètement jusqu’à la hauteur de mon bureau. Moi en tout cas, j’avais la bite en feu. J’essayais de remuer le bras le moins possible pour que Nat ne remarque pas mon manège. Je n’avais pas besoin en tout cas de mouiller mon sexe de salive, tant il luisait de mouille épaisse. Mais bien que la radio venait rompre le silence mortel de ce jour férié, elle ne couvrit pas totalement les chuintements de ma queue en fusion. La vue de ses bas qui lui arrivaient jusqu’en haut des cuisses, le fait de voir sa jolie chatte me mettait dans tous mes états. Les lèvres lisses de sa fente avaient l’air si douce que je les aurais dévorés à pleine bouche et à pleine langue ! Je n’en demandais pas plus ! Je me masturbais tantôt à l’horizontale, tantôt à la verticale, variant ainsi les plaisirs et les sensations. Je voulais aussi que ma chef adorée se rince l’œil tout comme moi. J’étais de plus en plus excité et surtout de plus en plus inconscient. Mon gros gland me faisait jouir de plus en plus. Je fondais par le moindre centimètre de mouvement de ma main sur mon sexe qui devenait dangereusement sensible. Nul doute que Nat savait ce que j ‘étais en train de faire derrière mon bureau. Elle semblait tout aussi excitée que moi, écartant et resserrant les cuisses de plus en plus fréquemment, tapant même le sol avec sa chaussure, comme pour protester de cette situation devenant insupportable, comme si l’envie de caresser sa belle petite chatte la démangeait plus que tout. Resserrant un instant les cuisses pour la énième fois, Nat se trahit en lâchant un petit gémissement. Je ne jurerais pas là-dessus, mais il me semblai avoir vu sa culotte blanche se foncer de mouille en son milieu. En tout cas, celle-ci lui rentrait de plus en plus dans la fente. Il me semblait voir une partie de sa vulve. La culotte était tendue et de fait écartait les lèvres de sa chatte, pressant très certainement sur son clitoris. Je n’en pouvais plus. Je fis même claquer ma grosse queue dans la paume de mon autre main comme pour avertir Nat de mon état d’excitation très avancé. Ses joues rougissaient de plus en plus. Elle aussi n’en pouvait plus de ces silences, de cet immobilisme… Maintenant, j’en étais sûr, sa culotte se trempait de mouille. Une tâche sombre apparaissait entre ses petites lèvres. Les cuisses bien écartées, je pouvais affirmer que Nat n’avait qu’un fin « ticket de métro » sous sa culotte. La coquine ! A la voir comme ça, je lui aurais dévorée la chatte sans crier gare. Elle avait l’air si bonne, si douce, si chaude… si humide ! Je m’imaginais asseoir Nat sur son bureau, foutant toutes ses affaires à la con par terre, et dans un éclair, saisir ses mollets pour la faire basculer en arrière après lui avoir ôté sa culotte et lui dévorer la fente à pleine bouche, faisant cliqueter le bout de ma langue sur son clitoris en feu, pour ensuite insérer ma langue en elle. Elle peinerait à prendre appui sur ses coudes pour se redresser en vue de voir ce beau spectacle : ce jeune homme lui léchant la minette à pleine bouche, la projetant en dehors de l’espace et du temps. Elle mouillerait et exploserait dans un râle accompagné d’un flot de cyprine. Je ne sais si on fantasma la même chose. Posant son stylo, Nat passa alors son majeur droit en dessous de sa culotte, les yeux rivés sur son texte. Je vis son doigt continuer de descendre et glisser le long de sa fente. Nat eut un spasme dans sa cuisse droite qui vascilla malgré elle, par réflexe. Nat relâcha un petit gémissement, retira son doigt de sa fente. Celui-ci luisait de mouille. Mon cœur allait exploser, ma belle bite aussi. La pièce me semblait empester l’odeur de sexes en chaleur. L’ambiance en tout cas n’était plus réduite qu’à cela. J’allais éjaculer d’une seconde à l’autre. Tant pis pour les conséquences, me retenir était purement impossible, au-dessus de mes forces. La situation en elle-même était tellement excitante que l’orgasme était en train de me venir sans même que je me caresse… il fallait voir la chose : seul avec ma bosse, qui écartait les cuisses et se caressait la fente, moi ma queue à l’air derrière mon bureau qui ne cachait rien… Je me mis à souffler, à grimacer… C’est à ce moment là que Nat se leva… tel quel. Elle fit demi-tour sur elle-même pour feindre vouloir écrire sur le tableau blanc situé derrière son bureau. « Tel quel » car sa jupe était restée de fait à moitié retroussée. Elle me jeta un regard lascif et insistant. Je craquais. Me levant de mon bureau, mes belles boules et ma grosse queue à l’air, tenue dans ma main, je fonçais en la direction de Nat sans mot dire. Elle ne dit rien non plus. Telle une bête en rut complet, je la fis de pencher légèrement en avant. Elle me présenta ainsi son cul. Je retroussai définitivement sa jupe de façon à ce que Nat se retrouve les fesses à l’air. C’est là que je vis qu’elle portait un string, et que ce dernier moulait et épousait les lèvres de sa jolie chatte. Il en était transparent de mouille. Prenant le dessus sur ma chef, je vis qu’elle ne dit rien, sinon lâchant un gémissement en sentant mes mains parcourir ses jolies fesses lisses et fermes. Elle avait les yeux plissés de plaisir, comme prête à jouir. La tête à demi tournée vers moi, elle baissa les yeux pour reluquer mon sexe en érection totale et mes belles boules remplies de sperme, qu’elle ne tarda pas à caresser et à prendre à pleine main. Nat se mit à me masturber doucement, passant son pouce sur mon gland trempé de mouille tout en venant aller et venir sa main sur mon manche épais. Moi, je lui pelotais les fesses, passa une main sur sa jolie chatte tandis que l’autre cherchait sa poitrine pour ensuite la malaxer avec autant de vigueur. Nat sentait bon, son corps était délicieusement doux et chaud. Sa main ferme et étrangère excitant mon sexe me rendait fou. De son autre main, elle en profitait pour se masturber elle aussi, sa main plongée dans sa culotte. Nat gémissait, moi je râlais. J’allais jouir. Elle le sentais, sentant cette raideur et cette grosseur typiques des secondes précédant l’orgasme. C’est à ce moment là que je lui dis : « je vais jouir ! ». Je repris ma belle queue à pleine main et reculant d’un pas, je me mis à me vider les couilles sur ses jolies fesses. Sentant les puissants et copieux jets de sperme brûlant gicler sur ses fesses, les voyant ainsi jaillir de ma grosse queue au gland rose et tendre, Nat ne put s’empêcher de jouir, excitant son clitoris. On se mit à râler tous les deux de jouissance. C’était divin. Je jouissais de puissants jets de sperme à sur le cul de ma chef à l’en plus finir. Elle adorait visiblement cela. Je voyais sa main caresser sa fente sous sa culotte. Nul doute qu’elle avait son majeur enfoncé au plus profond de sa minette. Une fois l’éjaculation terminée, Nat, comme hystérique, se saisit de ma queue encore gonflée et dure d’excitation et se mit à la masturber, pour en extraire les dernières gouttes. Elle semblait vouloir l’avoir dans sa chatte, ne cessant de la fixer de ses yeux à demi fermés. Reprenant mes esprits, je constatai que Nat avait pleins de giclées de sperme sur ses fesses et même sur son tailleur. Quel tableau ! Cette diablesse lascive avec ma semence maculant son joli cul ! Ne lâchant pas mon sexe des mains, Nat en profita pour étaler mon sperme sur ses fesses avec, ses jambes curieusement parcourues de spasme, accompagnés de petits gémissements de ma belle jument. Je pris des kleenex pour nettoyer le cul de ma chef. Je lui dis qu’il y en avait sur son tailleur, elle me dit que ce n’était pas grave. On reprit nos esprits. On se rhabilla, toujours dans ce mêle silence pesant. Moi, j’étais ailleurs… ne revenant pas de ce qui venait de se passer. Il était maintenant l’heure de déjeuner. On alla tous les deux, sans mot dire, à la pizzeria du coin, abordant tout autre sujet que ce qui venait de se passer… notre secret !
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