Le lendemain matin, pas plus d’Alexandra que la veille ! Pourtant, après la soirée que nous avions passée, j’espérais la voir… Mais non. Juste un SMS pour me souhaiter… un bon travail ! Bon, au boulot comme au boulot… Je retournais donc à mes paperasses avec, comme je l’avais demandé, davantage de vérifications à effectuer, histoire den pas perdre mon temps. Mais franchement, rien à dire, une vraie secrétaire pro – non, ne fantasmez pas, la cinquantaine bien tassée, les kilos en trop, et l’air mièvre et gentil que je ne supporte pas chez les chiens, alors, chez les humains… Toutes ces factures, toutes ces commandes, tout ça ordonné à ne pas y croire, ce qui fait qu’en fait, tout était déjà fait… Et me revoilà à 15h30 à l’hôtel ! Après tout, pas si mal. J’ai pas demandé qu’on m’en mette plus le lendemain – dernier jour – parce que de toutes façons, c’était presque bouclé pour moi… et puis les après-midis à l’hôtel pouvaient aussi être sympas.
Donc une fois rentré, je me fous à poil, j’ouvre discrètement la fenêtre et… putain, non seulement la fenêtre était ouverte, comme la veille, mais pour des raisons que j’ignore, un miroir était placé de telle sorte que je voyais dans la chambre ! Et il y avait à voir : une fille de dos était en train d’en brouter une autre, nue sur le lit et jambes écartées. Et les gémissements ne laissaient aucun doute, c’était la fille de la veille. Impossible de voir le visage de l’une ni de l’autre, mais en revanche, le cul se dandinant de celle qui broutait l’autre, et le son, mes amis, le son ! L’épisode fut bref, elles étaient sans doute là depuis un moment, mais les jambes fuselées et le cul de celle qui me tournait le dos étaient déjà un régal. Alors en plus les gémissements et les cris de sa copine, je ne mis pas longtemps à éjaculer puissamment. Je fermais discrètement ma fenêtre, histoire de ne pas me faire gauler, sans enlever de mon esprit que ce miroir était là … pour moi. Qu’elles savaient exactement où j’étais, que je les regardais, ce que je faisais, et que j’avais assisté à un spectacle à mon intention. J’aime bien me raconter des films… ou pas.
J’envoyais un sms à Alexandra pour lui dire que j’avais une histoire à lui raconter. Elle me répondit rapidement en me disant qu’on se retrouverait au resto. Cette fois-ci, elle y était avant moi. Je lui racontais mon après-midi, avec force détails. En bonne voyeuse, elle voulait de la description, comment étaient les fesses, est-ce que je voyais sa fente, est-ce que celle qui était de dos mouillait ? Je lui dis que peut-être le miroir était encore en place, et qu’on pouvait aller voir… me disant qu’au pire, on se masturberait encore, et peut-être davantage.
Nous quittâmes donc le resto assez vite, pour nous installer dans mon observatoire. Cette fois-ci, Alexandra se déshabilla directement, m’invitant à faire de même, afin de pouvoir se caresser plus facilement en matant. Putain, je vous avais dit qu’elle était canon, mais alors franchement, des seins comme ça ! Bien sûr, j’avais giclé dessus hier, mais sans les voir. Et sa bouche, ses yeux sur ma bite, rien que ça, ça valait tous ces efforts. Mais pas touche, me dit-elle. On éteignit la lumière, et on ouvrit la fenêtre. Oui, la fenêtre en face était encore ouverte, et le miroir en place. Et sur le lit, nue, jambes écartées, parfaitement visible dans le miroir, une fille se branlait… mais là , je ne compris pas tout de suite. La fille en face, c’était Alexandra. Et la fille à côté de moi, qui se branlait en regardant, c’était Alexandra… Je n’avais rien bu, et je ne comprenais plus rien. L’Alexandra à mes côtés me prit la bite dans sa main et commença à me branler lentement, en continuant à regarder par la fenêtre, pendant que l’Alexandra de la fenêtre se levait : elle vint en face de moi, à quelques mètres, se doigta en me regardant droit dans les yeux… Alexandra se doigtait là , et Alexandra me branlait ici. Je ne comprenais rien. Alexandra se mit à genoux et me prit entre ses lèvres pendant qu’Alexandra se doigtait de plus en plus profondément, commençait à trembler. Elle partit dans un long gémissement d’orgasme pendant que j’éjaculais puissamment. Est-ce que je rêvais ? La fenêtre d’en face se ferma, Alexandra lâcha son sexe et se dirigea vers la porte. Au bout de quelques minutes, ahuri et affalé sur le lit, ne comprenant rien, je les vis revenir toutes les deux, hilares.
Alexandra me présenta Sarah, sa sœur jumelle. Elles avaient fait l’amour le premier jour, sans savoir que je les regardais, mais je l’avais avoué à Alexandra le soir, sans savoir à qui je parlais. Et aujourd’hui, elles avaient disposé habilement le miroir, parce qu’elles étaient davantage exhibitionnistes que voyeuses.
Je peux vous le dire, je suis toujours un voyeur à jumelles, mais ce sont des jumelles exhibitionnistes, qui adorent que je les regarde. Et je les baise régulièrement aussi, l’une regardant l’autre et réciproquement. Il n’est pas dit que nous n’organisions pas un jour un plan d’exhib et de voyeurisme avec un naïf comme je l’étais… Si ça arrive, je vous raconterais…
Je me connecte ou je m'inscris