L'objet de mon désir

Récit érotique écrit par cerebrox le 17-07-2014
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Catégorie Gay

Il y a, non loin de chez moi, un sous-bois très connu des initiés qui s'y donnent rendez-vous pour voir et être vu. C'est un ballet incessant mais discret de voitures qui se garent le long du fossé qui sépare la végétation de la petite route goudronnée, laquelle serpente à travers la pinède. Je m'y rends régulièrement, seul, car mon épouse, qui ne partage pas mes fantasmes, refuse de m'y accompagner. C'est bien dommage parce qu'on y fait parfois des rencontres imprévues, mais inoubliables. C'est dans ce coin isolé mais souillé, derrière les buissons, de capotes usagées que je suis tombé sur René, un vieux pervers de 62 ans qui, à l'ombre d'un gros chêne faisait semblant de pisser en me jetant des regards entendus. Je fus immédiatement saisi et attiré par la grosseur de son sexe qu'il tenait entre ses doigts de façon à bien me le montrer. Je m'approchai sans attendre, déjà pressé de tripoter l'engin et de l'emboucher. D'ordinaire je prends la peine de poser un préservatif sur les queues que je suce avant d'être emmanché, mais ,cette fois-là, je trouvai ce long et gros gourdin si beau et d'apparence très propre que j'en tétais le gland bien décalotté aussitôt avec une gourmandise visible. J'étais accroupi entre ses jambes, le nez dans ses couilles quand le vieux m'a saisi la tête à l'aide de ses deux grandes mains rugueuses pour me baiser la bouche. J'arrondissais les lèvres, j' enserrais le gros bout suintant du morceau de choix qui me forçait l'orifice de façon à signifier au type combien, pour lui, je consentais à faire de ma bouche un humide et doux vagin dans lequel, à en juger par ses soupirs de contentement et ses grimaces, il devait s'y trouver bien. René avait laissé son pantalon lui tomber sur les cheville, le cul à l 'air, afin de me tringler plus à son aise. Je ne bougeais pas d'un pouce malgré les cognées au fond de ma gorge qui me faisaient, par instants, tousser. Ma bave coulait sous le menton abondamment et je n'étais, à ses yeux, qu'un con qui dégueule des flots de mouille. Mes mains caressant un fessier musclé stimulaient encore davantage les ardeurs viriles du vieux satyre qui s'en donnait à cœur joie en proférant un tombereau d'injures: "Quelle bonne bouche tu as, ma chienne, ma putain de salope! Bouge pas, enculé, que je puisse te niquer la gueule bien profond..."Je pense que seul un homme peut sucer aussi amoureusement un autre homme. Je m'efforçais, en tout cas, de satisfaire à toutes ses exigences et le vieux disait se régaler. J'étais fier de lui donner ce plaisir égoïste avant de lui exposer mon cul. Bien que très ouvert, je redoutais le premier assaut tant sa pine était épaisse. Il me fit mal, mais son obstination et son savoir faire eurent finalement raison de la faible résistance de mon sphincter gélifié et je me sentis littéralement empalé, transpercé, évasé par le volumineux barreau de chair rigide qui me fouillait les viscères. Les sensations plaisantes prirent très vite le pas sur la douleur initiale. Penché en avant, cuisses bien ouvertes et pantalon ôté, je me faisais prendre comme une vraie petite salope en me tenant au tronc d'un pin pour ne pas perdre l'équilibre sous les coups de boutoir du vieux qui me tripotait les couilles d'une main ferme en me pistonnant le derche: "T'es bien serré comme j'aime", lança-t-il. Il était si bien monté qu'il ne parvenait pourtant pas à me l'enfiler jusqu'aux burnes. C'était proprement l'extase et j'en tremblais sur mes jambes. Je sus alors que ne pouvant pas tenir dans cette position inconfortable plus longtemps, il était préférable pour nous deux, afin d'en mieux profiter, qu'il me prenne par devant, comme une femme. Je m'allongeai rapidement sur le dos, parmi les épines de pin et les détritus pour le recevoir. René me roula une pelle suave avant de guider sa queue vers mon antre avide. Je l'aimais et réclamais encore, de sa part, de si bons et virils baisers fougueux, le trou du cul dilaté par ses lents mais si délicieux va et vient. Je me sentais dévasté, mais heureux. J'ai quitté mon épouse pour m'installer chez lui, content d'avoir enfin trouvé l'homme de ma vie. Ce qui compte dans l'existence, ce n'est pas la différence des sexes, c'est le pied que l'on prend avec son ou ses partenaires. L'objet de nos fantasmes, si l'on a, comme moi, la chance de pouvoir le rencontrer...

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17-07-2014 0 6762

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