Par effraction

Récit érotique écrit par cerebrox le 19-03-2015
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Catégorie Sadomazo

J'ai entendu un gros bruit sourd inhabituel, cette nuit-là. Nous habitons à la campagne, une maison isolée et depuis que nous avons emménagé récemment, je ne dors pas si rassurée qu'en ville. La tranquillité du cadre où nous vivons, notre foyer l'a payée au prix fort! Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Il devait être une heure du matin... Un gros bruit m'avait tiré de mon sommeil profond au point que j'hésitai encore un instant à secouer mon mari qui ronflait toujours à mes côtés. Avais-je rêvé? Cela semblait pourtant provenir du garage. Pendant un court moment, à nouveau le silence de la profonde obscurité avait repris ses droits. Perplexe et très inquiète, je me dressai sur les coudes, attentive au moindre signal d'alarme. Avais-je rêvé? La lumière crue qui m'aveugla soudainement me terrorisa. C'est alors que trois types costauds et cagoulés firent irruption dans la chambre. La violence et les cris éveillèrent mon mari en sursaut, mais, solidement maintenu et immobilisé par deux d'entre eux, il ne put réaliser l'agression nocturne dont nous étions les victimes qu'une fois la bouche bâillonnée avec du gros adhésif et les poignets ligotés dans le dos. J'étais tétanisée par la peur et je reçus, sans la voir venir, une gifle très brutale qui me fit basculer hors du lit. J'étais tremblante d'effroi et en larmes, à quatre pattes sur le tapis de sol: _Ferme ta gueule salope! Arrête de couiner ou je t'en colle une autre. J'avais peur et terriblement honte d'exposer ainsi mon postérieur à ces rustres que je n'osais regarder dans les yeux. En tombant, ma fine nuisette retroussée à hauteur de mes hanches laissait apparaître ma nudité que celui qui me tenait fermement par le cou sembla très vite apprécier: _Putain, les mecs! Le cul qu'elle a, cette bonne putasse! Joignant le sans-gêne à ses paroles, le sale type me massa vigoureusement les fesses et me glissa deux doigts dans les orifices sans ménagement, ce qui me fit mal et je sursautai sans oser toutefois protester. Je fus traînée par les cheveux vers le bord du grand lit et jetée comme un sac de viande par ce malotru. A leurs mains, je devinais que nos trois cambrioleur étaient tous des voyous Noirs. Leurs manières très rudes associées à un langage très vert prouvaient que nous avions affaire à des individus sans foi ni loi. On m'ordonna de m'allonger sur le lit aux côtés de mon mari entravé qu'un coup de poing en pleine face avait calmé. Je vis alors le plus impatient des trois dégrafer son ceinturon et se défaire rapidement de son pantalon pour venir se positionner de tout son long sur moi. Une forte odeur de transpiration mâle me fit frémir, mais incapable d'échapper à mon bourreau, il me fallut faire un effort terrible afin de ne pas me laisser aller derechef à pleurer. Ce salaud me lécha le visage en m'intimant l'ordre de me laisser faire et de répondre à ses baisers nerveux. Il glissa sans peine sa grosse langue dans ma bouche et je répondis aussitôt à ses manifestations de furieux excité. Collé à moi, ses mains épaisses parcouraient mon corps et je sentis une énorme érection à hauteur de mon bas-ventre. Le type, sur de son coup et fort désireux de s'amuser avec une femme blanche en présence inoffensive du mari, me pénétra soudain sans protection. Il me fit sucer ses doigts imprégner de mes propres sécrétions intimes comme pour narguer mon époux dont le regard effaré en disait long sur son malaise. _Putain, elle est bonne et bien serré comme j'aime, cette bonne pouliche! Ses commentaires salaces adressés à la cantonade allèrent bon train au fur et à mesure que je sentais céder en moi toute forme de résistance physique. Le choc de la surprise passé, je m'ouvrais maintenant comme une fleur au très gros calibre qui me labourait et me distendait trop profondément l'intérieur du vagin. Je n'avouerai jamais à mon mari qu'une telle scène de viol qui ne pouvait que le complexer et le faire rager, d'autant que les ardeurs des trois hommes virils montés comme des mulets durèrent jusqu'au matin, m'avait procuré un immense et très inattendu plaisir de femme. Combien de fois ai-je dû serrer les dents pour ne pas crier? Les soupirs d'aise restaient cependant bien difficiles à contenir. Je feignais des grimaces de dégoût au moment de l'orgasme en espérant que Paul, mon mari, ne se doute de rien quant à la réalité de mon ressenti. Mais, les vibrations de mon corps me trahissaient. Et, ces trois superbes étalons se montrèrent fiers de leurs performances d'acteurs. Je n'avais plus peur depuis que l'excitation inextinguible avait pris le dessus et malgré les manières parfois très brutales de ces trois bougres qui me partouzaient et se partageaient mes trous béants, allégrement et sans répit. J'étais ruisselante de mouille et en nage, toute essoufflée. Entraînée par la violence de ma jouissance égoïste, j'en oubliais la présence passive et contrainte de mon pauvre mari tout contrit, j'en oubliais aussi quelle espèce de salope j'étais devenue entre les bras de ces trois malpolis. Je me découvrais tout autre que celle que j'avais cru être. Emportée par la fougue de ces ébats torrides, j'étais sérieusement secouée, mais prête à toutes les mauvaises fois du monde pour cacher de mon mieux un tel bonheur à mon mari. Il faut parfois savoir donner de sa propre personne pour rester en vie!

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19-03-2015 0 8432

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